Coucou ! J'espère que vous allez bien, et que vos cours ou vos études se passent bien : ) Pour ma part j'ai retrouvé une rédaction que j'ai écrite à l12 ans. J'ai voulu la poster, parce que elle me plait beaucoup, et j'avais envie de vous la partager : )

Juste pour le contexte, on avait une phrase d'un livre et on devait poursuivre l'histoire. 

Mermoz fut assomé, dévêtu, ligoté, jeté sur le bât d'un chameau. Lorsqu'il se réveilla, le soleil était déjà plus bas dans le ciel. Il se trouvait dans un campement à l'ombre, près de gigantesques palmiers verdoyants qui sentaient la végétation d'Europe. Mermoz se sentait désormais en sécurité et en meilleur forme car il avait l'espoir qu'un jour il boirait de l'eau, qui ne serait certainement pas fraiche, mais de l'eau malgré tout. 

C'est alors qu'il remarqua que ses mains étaient solidement ligotées à une corde. Pourtant, personne ne semblait le surveiller... Il essaya donc de se libérer discrètement, ce qui n'était pas une de ses qualités. En effet, une voix arabe retentit tout près de lui. Elle expliqua à Mermoz qu'il ne pouvait point se libérer. 

Mais les meilleures qualités de Mermoz étaient la détermination, et la persévérance. Il essaya une fois de plus de se libérer, mais en vain. Alors il supplia la jeune arabe de lui donner à boire. Celle-ci accepta, car elle avait bon cœur, et le prévint qu'un long voyage allait débuter. En effet, peu de temps après, la tribu d'arabe et le prisonnier étaient en route.

Mermoz se sentait très seul, car son compagnon avait disparu à travers les dunes de sables. Ses plaies le faisaient terriblement souffrir, et du sans gisait de ses genoux. Il avait peine à marcher, non parce qu'il avait mal, mais parce qu'une grande tristesse envahissait son âme toute entière. Malgré ce qu'il subissait, il gardait la volonté d'un champion de survivre, et la fidélité d'un père qui avait promis son retour.

C'est alors qu'un village prit forme au loin. Le cœur de Mermoz fut submergé par une grande joie qu'il songea déjà à son retour, car ce qu'il voyait, c'était le camp des Maures.

Les Mauréens payèrent la rançon de Mermoz, qui fut alors soigné par de braves gens, qu'il remercia du fond du cœur; Il rentra chez lui en embrassant toute sa famille, et repartit quelques mois après pour de nouvelles aventures.

FIN !! Qu'en avez vous pensé ? Voudriez vous que je publie davantage de rédactions de ce type ? 

Si vous avez aimé, vous pouvez mettre ce livre dans votre liste de lecture, ça me ferait super plaisir : ) Bref, faites ce que vous voulez ; ) Au fait, pour la dernière petite info, j'avais eu 18 à cette rédaction, et je crois que c'est ma meilleur note en rédaction. 

à bientôt !