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5. Tout est bien qui finit bien!

Pendant un an environ, Will suivit la formation d'Halt. Cela apporta beaucoup à son personnage. Tout d'abord, tous les rodeurs et les contacts l'aidèrent. Bien entendu, le fait qu'il soit l'apprenti du célèbre Halt était pour beaucoup. Sa renommé recouvrait maintenant tout le pays. Il était devenu l'ennemi public numéro 1 et le réseau de résistance gagnait des partisans tous les jours. Will avait expliqué son plan aux dirigeants des loyaux. Ils avaient rapidement mis en exergue les failles et avec leur aide, consolidé et amélioré son idée.

La ville se trouvant au pied du château d'Araluen était en effervescence. Nous étions dans la semaine du carnaval. Les rues étaient pleines du matin au soir et les gardes avaient beaucoup de mal à contrôlé tout le monde. C'est pourquoi Will réussi à s'introduire facilement dans la ville. Il devait se diriger vers la grande place, pour faire son discours avant l'usurpateur. Chaque année à cette époque, le roi faisait une apparition. Les loyaux avaient prévu de reprendre le pouvoir ce jour là. Dans tous les villages, les soldats avaient été arrêtés par la population. Seules les grandes villes ne voyaient pas se mouvement de rebellions. Elle devait avoir lieu à 14 heures 30 partout, pour assuré une victoire totale et globale. Comme ça, même si un château n'était pas pris d'assaut, il ne pourrait pas demander de l'aide. Mais le plus important était que la tête du serpent tombe. C'est pourquoi, et malgré le monde présent dans la ville, la sécurité était renforcée. Des fuites du plan étaient arrivé aux oreilles du roi, notamment que robin des bois viendrait le déchoir de son trône. Mais, comme tout bon stratège qui se respecte, il mit en place un plan machiavélique...

Revenons-en à Will, qui parcourait la ville dans sa tenue de Robin. Il connaissait parfaitement les risques liés à cette mission. Il devait discourir pour obligé la foule à se soulever. Au château d'Araluen, la population était la plus soumise, celle qui avait perdu le plus d'espoir. Ce serait difficile. Pour les convaincre et les persuader, Will avait reçu l'aide de ses deux amis, George et Alice, qui l'avait entrainé pendant plusieurs semaines à réciter son texte. Il le connaissait parfaitement et savait le rendre charismatique. Cependant, il avait peur de ne pas être capable de le réciter. Il avait peur que Morgarath soit au courant de son plan et qu'il ait prévu une parade. L'angoisse monta d'un cran lorsque la cathédrale sonna 14 heures 30. La foule était déjà dense au pied de l'estrade, et Will, après cette assuré que les loyaux c'étaient occupé des gardes, monta sur ce qui lui sembla un échafaud. Lorsqu'il fut visible par toute la population, des cris retentirent, des murmures, puis, le silence. Un silence pesant, tendu. Tous attendaient quelque chose, mais personne ne savait quoi. Will avait le visage caché par son capuchon et personne ne le vit ouvrir et fermé la bouche comme un poisson. Il prit une grande inspiration pour ce calmé et commença à déclamer :
-Habitants et habitantes d'Araluen, l'heure est venue... L'heure est venue de se réveillé, de prendre les armes et de se rebellé...

Un applaudissement le coupa sur sa lancé. Un frisson d'horreur le parcouru quand une voix nasarde s'adressa à lui :
-Une rumeur courrait comme quoi Robin des bois avait décidé de rentrer en politique. Je n'y croyais pas trop puisqu'il se disait rodeur mais il s'emblerait que se soit la vérité. Malheureusement pour toi, ton coup d'éclat s'arrête ici et maintenant. Gardes, emparez-vous de lui !

Comme un seul homme, des soldats habillés en civils sautèrent sur la scène. Will ne les laissa pas s'approcher et commença à tirer. Il tirait flèches par flèches, sans pauses, sans vérifié si elles touchaient leur cible, car après tout «le carquois d'un rodeur contient la vie de 24 hommes ». Après 15 flèches, les soldats étaient trop proche de lui, et l'adolescent du dégainé ses couteaux. Puisque sa vie était en jeu, il ne fit pas dans la dentelle et les hurlements des soldats créaient une symphonie musicale. Pourtant Will fut rapidement dépassé par le trop grand nombre d'assaillant. Ils le maîtrisèrent et l'obligèrent à s'agenouiller dans le sang qui maculait désormais l'estrade. Blessé à quelques endroits, Will était tout de même parvenu à garder son capuchon en place. Morgarath s'avança alors, le surplombant de toute sa taille. Un duel de regards noirs eu lieu entre les deux hommes. L'usurpateur fut le premier à détourner les yeux mais repris contenance en lui administrant une baffe magistrale, qui retenti dans la place à nouveau silencieuse. Le seigneur ricana et disant :
-Pas mal du tout, tu es bien un rodeur après tout, être capable de mettre à terre une vingtaine de chevaliers n'est pas donné à tout le monde. Mais je suis au regret de t'annoncer que nous étions au courant de tes plans. Nous savons se que tu prévoyais de faire. C'est pourquoi je vais te faire l'honneur que se soit moi-même qui mette fin à tes jours.

Sur ce, il sortit une grande épée noire de son fourreau. Will tremblait, il avait peur de mourir mais il garda les yeux rivé sur son adversaire, pour ne pas lui donné la satisfaction de le voir flancher. Morgarath leva son épée onyx vers le ciel, éblouissant un court instant Will. L'éphèbe détourna le regard pour retrouver son acuité visuelle et remarqua alors l'horloge de la cathédrale. Malgré lui, un rire joyeux traversa la frontière de ses lèvres. Ce son, totalement incongru dans cette situation et surtout par cette personne bloqua le temps et les actions. De nombreuses personnes reprirent leurs respirations lorsque Robin prit la parole :
-Qu'importe ce qui va m'arriver, c'est trop tard... Toutes les autres cités ont du tombé, le roi et la princesse viennent d'être libéré. Et vous pouvez me tuez, c'est vous qui subirez la vengeance des rodeurs. C'est trop tard maintenant, échec au roi, souffla-t-il en dernier
-Peu importe, tu ne seras pas là pour y assister ! hurla Morgarath
-Il suffit, vous n'êtes qu'un usurpateur ! Vous avez soumis un peuple libre qui avait la liberté comme devise ! Rendez-vous en nous serons clément, tonna une voix venant du palais
-C'est le roi Duncan, c'est le vrai roi qui est présent ! s'époumona un villageois

En vérité, le roi n'était pas seul, à ses cotés se trouvaient trois rodeurs, le baron Arald, Dame pauline mais aussi Alice, Jenny, George, Horace, la princesse Cassandra et de nombreux chevaliers. La population qui c'était regroupé autour de l'estrade leurs fit une haie d'honneur. La vedette venait de changer de camp et une personne n'était pas d'accord :
-Le roitelet et ses amis on finalement réussi à sortir, quelle bonne nouvelle ! Vous êtes arrivé au bon moment ! J'étais sur le point d'annoncer au peuple une série de bonne nouvelle. La première, l'exécution public de l'ennemi numéro un. La seconde, la répression des troupes rebelles et la troisième, mon future mariage avec la princesse Cassandra
-Jamais ! hurla une voix. Elle provenait de la princesse
-Ma chère, voyons, un peu de tenue, vous ne sied guère à votre rang ! ricana Morgarath
-Morgarath, je vous sommes de vous arrêtez ici et maintenant ! tonna une nouvelle fois le roi Duncan
-Mon cher roitelet, vous êtes un chevalier normalement non ? Alors, défiez-moi en duel si vous voulez reprendre votre place
-Morgarath, nous estimons que tu es déchu de tes privilèges depuis fort longtemps. Toutefois, je t'accorde le droit de te battre en duel. Ainsi que tu le dis, laissons le soin au destin de désigner un vainqueur, fit royalement Duncan
-Tu ne veux pas te battre contre moi, aurais-tu peur de perdre ? ricana à nouveau l'usurpateur
-Je n'ai pas pratiqué pendant 17 ans, ma défaite ne fait aucun doute, mais j'aimerais que tu affrontes mon champion. Il s'appelle Horace Altman !

Le roi poussa légèrement le jeune chevalier en avant. Des murmures retentirent. Un aussi jeune garçon pour affronté celui qui est considéré comme le meilleur escrimeur du royaume ? Un large sourire perla sur les lèvres du seigneur :
-Tu me demande d'affronter un gamin ? toutes ces années de prisons t'aurait-elle fait perdre la tête ? Aurais-tu...

Mais soudain, tous les yeux des personnes présentes convergèrent sur Horace. Ce dernier parcourut la distance qui le séparait de Morgarath en moins de temps qu'il n'en faut pour le dire. Le seigneur rebelle posa la main sur son épée, mais le jeune homme, plutôt que de dégainer son arme, retira son gantelet et le jeta au visage de Morgarath :
-Morgarath, cria-t-il d'une voix rauque, je te défie en combat singulier !

Horace recula de quelques pas et attendit la réponse du Seigneur. Le lourd gantelet de cuir cingla le visage de Morgarath. Furibond, ce dernier se tourna vers le chevalier qui venait de le priver de sa splendeur. Mais un nouveau sourire éclaira à nouveau son visage. Ce qui venait de le défier n'était qu'un garçon. Il fallait le convenir qu'il était costaud, mais Morgarath comprit que le jeune visage ne devait pas avoir plus de 20 ans. Il répliqua vivement :
-Je relève le défi ! Quelles armes ? Comment choisis-tu de te battre ?

Horace, le visage pâle, les traits tirés par la peur, ne parvenait pas à répondre et sentait que sa voix restait coincée dans sa gorge :
-Tels que nous sommes, réussit-il alors à articuler

Morgarath fit alors un signe à ses soldats qui créèrent un espace suffisant au milieu de la foule. Les deux hommes se firent face quand tout à coup, Morgarath fondit sur Horace en l'espace d'une seconde et Morgarath, d'un coup de revers, l'abattait déjà sur Horace, qui ne s'était pas encore éloigné. Il eut tout de même la présence d'esprit de se pencher sur le coté, évitant ainsi la lame qui passa en sifflant à quelques centimètres au-dessus de sa tête.  Le début du combat se porta sur des attaques en puissance, principalement destiné à faire trébucher l'adversaire. Morgarath prit l'avantage en ne cessant de pilonner Horace, qui du temps bien que mal parer avec son bouclier déjà cabossé. Finalement, il le jeta lorsque celui-ci perdit sa couroi. Le seigneur de la nuit l'abandonna à son tour et fit de nouveau pleuvoir des coups sur le jeune homme. Le chevalier, exténué, baissa soudain la garde ; l'immense épée du seigneur s'abattit une dernière fois sur sa lame et la brisa nettement. Horace ne pouvait quitter des yeux sa lame, désormais inutilisable. Un silence à couper au couteau l'enveloppait. Au couteau, Horace cligna des yeux et un sourire couvrit ses lèvres. Il porta la main à sa ceinture et dégaina sa dague. Morgarath ne lui laissa pas le tend de reprendre son souffle et brandit son épée, avec l'intention d'asséner le coup fatal. La large épée fendit l'air et entama sa descente. Horace, qui mit tout son courage dans cet ultime geste, avança d'un pas et croisa les deux lames, la dague soutenant le morceau d'épée brisée. L'impact fut violent et ses genoux vacillèrent, mais le garçon put parer le coup et retenir l'épée de son adversaire. Les deux combattants se retrouvèrent l'un contre l'autre et Horace vit de près la fureur démentielle de Morgarath, qui se demandait encore comment les événements avaient pu prendre une tournure aussi déroutante. Son expression rageuse vira à la stupéfaction quand une atroce douleur lui transperça soudain le corps. Horace avait dégagé sa dague qui traversa la cotte de mailles pour aller se plonger dans le cœur de Morgarath.

Lentement, le seigneur rebelle s'affaissa sur le sol. Abasourdie, l'assistance resta muette durant quelques secondes. Puis des acclamations se mirent à retentir de toutes parts. Le vainqueur recula de quelques pas et tomba lourdement assis sur le sol, la respiration coupé. La foule était en extase, et les soldats de Morgarath arrêter. Soudain, quelque chose sauta sur les épaules du chevalier, une voix où se tintait l'amusement, mais aussi le respect lui parla :
-J'ai gagné, j'ai gagné ! Tu me dois un restau mon gros !
-C'est vrai, si ce jour là j'avais su, je n'aurais jamais parié avec toi Will

Les personnes présentes se tournèrent vers Alice, qui généralement expliquait les phrases alambiqués deux nos deux amis. A la stupéfaction de tous, se fut Jenny qui prit la parole :
-C'est une méthode que Will à inventé et Horace lui disait que ça servirait à rien. Ils se sont un peu disputer dessus et on passer un pari. Horace apprenait à le faire et si jamais un jour il en avait besoin, il saurait le faire et après il devrait payer un restau à Will. Tout le reste du temps, il pouvait se foutre de sa tête.

Toutes les personnes présentes explosèrent de rire. Durant les semaines qui suivirent, les suppôts de Morgarath furent arrêter et juger. Malheureusement pour les rodeurs, nombreux sont ceux qui se sont enfuit, les obligeants à les pourchasser en plus de leurs travails. Robin des bois disparu et devient bien vite une légende qui traversa les siècles. Personne ne connu jamais sa véritable identité mis à part ses amis proches mais tout le monde savait que Robin des bois et un rodeur, et si un jour un autre usurpateur devait revenir, Robin des bois reviendrais lui aussi.

Je vous souhaite à tous un joyeux noël et une bonne année !

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