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XIII - Le cinq de coeur

«L'amour est comme une brique. Vous pouvez l'utiliser pour construire une maison, ou pour couler un cadavre. 
Stefani [...] Germanotta (Lady Gaga) »


L'été, toujours quand il s'apprête à tirer sa révérence, déverse sur le paysage ce parfum si singulier, qu'on ne sait pas nommer mais qu'on pourrait pourtant reconnaître entre mille autres senteurs. 
Une odeur d'herbe sèche, d'arbre vert, et de vent chaud, une fragrance qu'aucun génie ne saurait mettre en flacon tant elle n'appartient qu'à la nature. 
Katsuki l'a toujours particulièrement aimé, cette effluve qui ne ressemble à aucune autre. 

C'est vrai qu'elle signifie l'approche de l'automne, une saison qu'il préférerait voir disparaître, mais avec les années, il s'habitue à ne pas y penser, et apprend à se contenter de profiter de ce mélange parfumé aussi longtemps qu'il se promène autour de lui. 
Aussi, il lui est arrivé de sentir cette affreuse boule dans son ventre quand, sur un champ de bataille ou un autre, l'odeur du sang et du feu recouvrait celle de l'été prenant fin. 
Certains appelaient ça de la faiblesse, d'autres parlaient de mélancolie, Katsuki surnomme ce phénomène le nœud de chagrin. 

Parce que c'est comme un immense nœud qui, amené là par la tristesse et le désarroi, parvient à entortiller entre eux ses boyaux, son estomac et son cœur.
Il déteste ça. 
Evidemment qu'il déteste ça. 

Peu importe à quel point le prince Izuku peut avoir du mal à le croire, Katsuki ne prend aucun plaisir à exécuter les ordres du roi quand il s'agit d'écraser d'autres hommes. 
Il ne se sent pas victorieux face à la mort de ses adversaires, il ne se considère jamais gagnant quand le sang d'un autre s'étale et glisse sur la lame de son épée. 
Quand il voit passer les lances des hallebardiers et les flèches des archers pour aller se planter dans les côtes des chevaux et la gorge des soldats inconnus, la seule sensation qu'il y gagne, c'est la nausée. 

Il la ravale, il n'a pas vraiment d'autres choix. 
Si ce ne sont pas les autres qui meurent, alors ce sera lui. 
C'est seulement grâce à cette idée qu'il ne jette pas les armes en plein combat pour fuir la bataille. 

Mais aujourd'hui .., aujourd'hui il peut sentir, apprécier, savourer ce parfum de fin d'été. 
Il pourrait presque le ramasser, en faire des petites réserves dans des sacs de toile et les serrer contre lui toute la nuit, il n'est pas sur un champ de bataille. 
C'est étrange un peu, d'ailleurs. 
Jusqu'ici il a dédié toute son existence aux ordres de bataille, s'en était devenu routinier presque. 
Dégouttant, effrayant, mais routinier. 

Et voilà qu'il découvre autre chose, la sensation -certainement fausse mais pas moins agréable- qu'il n'aura plus jamais à ressentir le nœud de chagrin dans son ventre, comme s'il s'imaginait rester caché dans cet instant toute sa vie. 
Juste là, au bord du courant murmurant de la rivière, après un plongeon pas tout à fait consenti, réchauffé par les rayons du soleil qui caressent ses épaules, assit dans l'herbe jaune et tendre. 
Tout à coup, il se surprend même à penser que le monde pourrait bien s'enflammer, s'autodétruire, il ne lèverait pas le petit doigt pour se battre. 

Il se contenterait de respirer le parfum de l'air. 

_ Vous savez que vos vêtements sécheraient bien plus rapidement si vous les retiriez pour les faire sécher sur une branche. 

Il bouge à peine, même si les paroles du prince viennent de l'arracher à ses pensées terriblement naïves et, en gardant ses jambes bien étendues et les bras en appui derrière lui, il se contente de tourner légèrement la tête. 

_ C'est drôle, je ne me souviens pas vous avoir demandé une quelconque expertise. 

_ Oh, mais ce n'est qu'un conseil que je vous donne. sourit Izuku, toujours presque entièrement déshabillé et couché dans l'herbe. 

_ Vous avez décidément une vision de la pudeur qui m'échappe. 

Ricanant sans se sentir vexé, Izuku hoche les épaules avant de fermer les yeux. 
Puis, soudainement, se met à rire plus franchement. 

_ Ne me dites pas que vous riez encore pour la même chose ! boude soudain Katsuki en contractant ses épaules, comme pour se cacher derrière. 

_ Bien sûr que si ! J'en rirais certainement encore toute ma vie Katsuki ! 

_ Vous exagérez ! Et ce n'est même pas drôle. 

Riant plus fort encore, à en faire tressauter son torse et à lui tordre le ventre, Izuku cherche son souffle en se redressant partiellement, tandis que Katsuki continue de tenter de disparaître dans le décor. 

_ Je ne peux pas croire que le grand, l'immense, que dis-je l'héroïque commandant que vous êtes ai pu être ainsi vaincu par un malheureux petit poisson. 

_ Qu'est ce que vous racontez !? Il ne m'a pas vaincu ! 

Contrarié, Katsuki redresse son dos pour croiser ses jambes en tailleur et ses bras sous sa poitrine, la mine renfrognée et le front baissé. 

_ Vous avez sursauté si haut que j'ai cru vous retrouver perché dans un arbre. 

_ Il est passé entre mes jambes par surprise ! 

Retenant son souffle une seconde pour se forcer à s'arrêter de rire, le prince se concentre sur un point invisible devant lui en serrant les dents, espérant parvenir à se calmer avant de mettre réellement Katsuki en colère. 

_ Peut-être que je devrais essayer cette technique pendant les entraînements. ajoute t-il alors qu'il se calme enfin. Si ça fonctionne j'arriverais enfin à gagner un combat. 

_ Quelle technique ? interroge le commandant en arquant un sourcil. 

_ Passer entre vos jambes par surprise. 

Croyez bien que personne ne pourrait dire avec exactitude lequel des deux rougit le plus. 

_ Je vous prie de ne pas jouer à ça avec moi Izuku. gronde cependant Katsuki après un soupir. 

_ Je vous demande pardon, je n'aurai pas dû dire une chose pareille. s'excuse immédiatement le prince, avant de chuchoter néanmoins. Je n'en pense pas moins pour autant.

_ Vous êtes ingérable .. Et, dans l'éventualité où vous l'auriez oublié, votre père supervise toujours la mission qu'il m'a donné. Je vous entraîne et vous forme sous sa surveillance, alors il pourrait être judicieux de votre part de ne pas trop vous égarer. 

Soufflant bruyamment, Izuku lève les yeux au ciel en s'asseyant, à son tour, en tailleur. 

_ Vous arrive t-il de penser et de vivre par vous même ? Sans devoir systématiquement dépendre de la sainte parole de mon père ? 

_ Vous plaisantez j'espère ? grogne enfin Katsuki. Permettez moi de vous rappeler, "Izuku-la-mauvaise-foi", que nous ne serions certainement pas là si je me contentais d'agir selon les désirs de votre père. Toute comme vous n'auriez pas passé les précédentes après midi à cueillir des fleurs et courir après un lapin ! Je suis plus que concilient en ce qui concerne vos petits caprices, et je pense pouvoir légitimement vous demander de ne pas en abuser. 

Sidéré, silencieux et très certainement vexé comme un enfant, le prince reste bouche bée une poignée de secondes, la respiration ralentie et le regard agité. 
Puis il détourne ses yeux, observant le vide par dessus l'épaule de Katsuki, tandis que son visage se couvre de malaise. 
Sans doute aussi qu'une boule se forme dans son ventre, et que par la force de la tristesse qui l'emmène là, elle forme tout à coup un nœud de chagrin. 

_ Je ne faisais pas un caprice. marmonne t-il seulement avant de se relever sans rien ajouter. 

Marchant plus rapidement qu'il ne l'aurait fait si le nœud de chagrin ne lui agrippait pas la poitrine, il rejoint les clapotis de l'eau de la rivière, entrant à nouveau dedans comme pour s'y cacher. 
Déambulant sur quelques pas, il se tourne -trop- calmement dans la direction du courant pour le suivre sans plus rien dire, s'en allant derrière les arbres en caressant la surface sous la paume de ses mains. 

Pantois, Katsuki le regarde partir un instant, se demandant soudain s'il doit le retenir, le disputer davantage, ou le suivre avant qu'il ne fasse encore plus n'importe quoi. 
Quelques secondes passent, Izuku gambade en slalomant dans l'eau, tournant le dos pour dissimuler les émotions dans ses yeux, et quand le remord, sorti de nulle part, donne un coup de griffes dans la gorge du commandant, il se décide enfin. 

En se levant presque d'un seul bond, songeant que mouillé pour mouillé ça ne peut pas être pire, il entre à son tour dans l'eau en ignorant les petits poissons qui se dandinent près de ses mollets et de ses genoux. 
Suivant le courant un peu plus vite que celui qu'il poursuit, il le rattrape en moins d'une minute. 

_ Vous ne voulez plus me parler ? tente maladroitement Katsuki en grimaçant à sa propre question bancale. 

_ Non. Si .. C'est vous qui avez raison Katsuki. bredouille Izuku, s'arrêtant mais sans se retourner pour autant. Je suis allé un peu trop loin, n'est-ce pas ? C'était vraiment très indélicat de ma part .. Si j'avais dit ça à n'importe quelle femme, j'aurai reçu une gifle bien méritée. C'était grossier, et un excès de confiance tout à fait déplacé. Je voulais juste .. Je ne sais pas .. Je ne sais pas du tout comment m'y prendre finalement. 

Baissant  les yeux sur les reflets de l'eau, Katsuki prend une inspiration presque silencieuse en cherchant les mots juste au fond de sa bouche. 
Il hésite un moment, ferme les yeux, les rouvre sans les détourner. 

_ Je sais, enfin je crois savoir, ou peut-être que je me trompe. Je ne sais pas, mais peut-être que je comprends, que je peux comprendre .. ce que vous ressentez. Vous n'avez pas besoin d'en faire autant pour que je l'entende. Je suis seulement navré, sincèrement navré de n'avoir aucune réponse à vous donner, je suis désolé de ne pas vous donner ce que vous espérez. 

Sans bouger, Izuku baisse un peu la tête, semblant suivre du regard un banc de petits poissons clairs contre les rochers qui bordent le courant. 
Il avale sa salive, puis se retourne d'un seul coup. 

_ Je ne sais pas de quoi vous parlez. C'était juste une plaisanterie. dit-il en souriant plus faussement que jamais. 

Reprenant le chemin en sens inverse pour retourner d'où il vient, marchant plus lentement à cause du courant qui frappe ses jambes, il plante ses dents dans sa lèvre inférieure, il retient son souffle, il retient les larmes qui agressent ses paupières. 
Il se sentait si léger, il y a tout juste moins d'une heure, tout lui semblait si clair et si simple. 
Il aurait alors simplement fait erreur, comme il arrive à tout le monde de le faire. 

_ Vous n'êtes pas obligé de me mentir. 

S'arrêtant à nouveau, inspirant pour la première fois depuis près d'une minute, le jeune prince hoche la tête. 

_ C'est certainement la meilleure chose à faire, je crois. 

_ Je ne crois pas. 

_ Ce n'est pas grave si nos avis divergent. Nous ferions tout de même mieux de retourner où nous étions. Hanta ne tardera pas à revenir, il nous cherchera partout. 

Ainsi, fuyant une discussion qu'il ne veut pas -ne peut pas- poursuivre, Izuku s'entête contre le courant pour regagner leur rive de départ. 
Du reste, en remettant les pieds sur terre, il prend le temps de renfiler l'entièreté de ses vêtements pour se cacher dedans, comme si sa peau risquait de se transformer soudain en parchemin, sur lequel le monde entier pourrait lire la honte et la peine qui s'y inscrit. 

Et, comme il le rejoint une fois de plus, Katsuki reste en retrait, à quelques pas de lui pour ne pas le brusquer ni l'effrayer davantage. 
L'observant, voyant ses gestes lents autant que fragiles, il en oublie d'essorer sa propre tenue qui ruisselle sur elle-même. 

Aussi, et malgré l'absence de sang et de feu pour entacher le parfum la fin de l'été, le nœud de chagrin s'invite dans sa poitrine, il  lui semble même plus agressif et intrusif que jamais. 
Les doigts d'Izuku réajustent le tissu sur son corps, ses mains glissent le long de ses bras, et autant qu'il se perd dans leur contemplation, Katsuki se demande combien de temps encore il parviendra à se museler lui-même. 
C'est drôle, ou plutôt étrange parce que rien ne l'amuse dans cette situation, comme il en prend conscience, d'un seul coup, sans prévenir, tout en ayant pourtant l'impression de l'avoir un peu toujours su. 

Mais il revoit, dans sa mémoire, l'image de l'homme pendu au milieu de la grande rue.
Il se souvient du sort qui lui était réservé, de l'humiliation qu'on a fait pleuvoir sur son nom et son visage avant de l'accrocher à une corde. 
Peut-il vraiment s'en vouloir, et quiconque pourrait-il vraiment lui en vouloir de sentir la terreur lui grignoter les os ? 

Encore plus férocement que quand elle vient face à une épée, elle lui perce les tripes. 
A cette époque, ce jour-là quand il a assisté à la mise à mort d'une homme, il n'avait pas perçu la réalité sous cet angle, il n'avait pas réfléchi de cette manière là, mais en changeant de point de vue désormais, il s'en rend compte. 
Katsuki a le droit de détruire des villages entiers, de blesser, de torturer, de prendre des vies, mais pas d'accepter les sentiments d'Izuku. 
Pas plus que ceux qu'il entend éclore dans son propre ventre. 

S'il pouvait entrer dans les pensées du prince, s'il pouvait les entendre, il lui répondrait qu'il n'a pas fait erreur. 
C'est le monde qui fait erreur. 

_ Vous comptez toujours maintenir autant de distance entre nous désormais ? interroge soudain Izuku en remarquant la mise en retrait du commandant. Je ne vais pas vous manger, vous savez .. 

Il aurait voulu sourire, et lui sourire. 
Mais ses lèvres brûlent, elles lui font si mal qu'il n'arrive même plus à les faire bouger pour parler. 

Alors simplement, sans répondre, il s'approche d'un pas, puis de deux, et finalement ne s'arrête pas. 
Marchant sans faire de bruit sur l'herbe sèche, oubliant toujours que sa peau baigne dans ses vêtements mouillés, il retient son souffle à son tour, lui aussi ravale les larmes qui, presque pour la première fois de sa vie, lui dévorent les yeux. 

Dans le décor sans témoin, juste entouré d'eau et d'arbres, il tremble subitement en enfermant le visage du prince entre ses deux mains. 
Touchant sa peau comme il ne l'a jamais fait auparavant, il s'enivre instantanément de cette caresse qu'il voudrait pourtant plus douce. 
La pulpe de ses doigts couvre certaines des tâches de rousseur qui courent partout sur les joues d'Izuku, il pourrait presque les sentir sous ses pouces.

Son regard attrape le sien, il l'agrippe, et au risque qu'il ne puisse plus jamais le faire, il se laisse se noyer, abandonnant ses défenses, au fond des yeux d'Izuku. 
Il plonge dans le vert impérial qui borde ses pupilles, il y trouve un incroyable point d'ancrage, et en l'espace de deux petites secondes silencieuses, il dit tellement plus de choses qu'en alignant des milliers de mots. 

Au bout de son index, une petite boucle de cheveux bruns ne demande qu'à être touchée. 
Instinctivement, il la cherche du regard, juste avant d'observer la tempe sur laquelle elle repose, la mâchoire qui s'étend en dessous, et les lèvres, entrouvertes de surprise, qui naissent tout près.

A t-il déjà vu des lèvres aussi roses ? Aussi pleines ? 

Finalement, a t-il simplement déjà ressenti ce désir incontrôlable d'embrasser la bouche de qui que ce soit ? 

Il n'avait pas imaginé que ce soit si douloureux. 

_ Laissez moi tout miser sur vous, Izuku. Sur le monde dont vous rêvez, celui que vous voulez créer. Créez le, faites naître ce monde où je pourrais vous répondre sans nous condamner à mort tous les deux. Je vous suivrai, je serai votre bras droit, ou même votre larbin, votre bouffon si c'est ce que vous voulez, mais je vous suivrai. 

Son corps en tremblait déjà, mais son âme s'agite à son tour quand une pluie de larmes se dispersent sur le visage d'Izuku. 
Il voudrait intercepter chaque goutte de ce chagrin qui ruisselle sur sa peau, qu'il ne peut que se contenter de regarder. 

_ Katsuki, si vous attendez que le monde entier soit d'accord avec vous pour exister, vous mourrez sans avoir jamais vécu. Je vous en prie ne soyez pas naïf, je ne créerais pas ce monde. Même avec la plus grande et la plus solide volonté, personne ne change un monde à la force d'un seul rêve. Je ne ferais que faire naître un malheureux prémisse, que d'autres après moi nourriront. Ca sera si long que ni vos enfants ni vos petits enfants ne connaîtront ce monde. Et peut-être même qu'il ne verra jamais le jour. 

_ Alors .. N'allez vous pas vous battre ? 

_ Et vous ? relance Izuku, sans avoir à clarifier ses propos pour se faire comprendre. 

Et Katsuki comprend. 
Mais il ne peut pas l'accepter. 

Si ce ne sont pas les autres qui meurent, c'est lui. 
C'est toujours grâce à cette idée qu'il ne jette pas les armes en plein combat pour fuir la bataille. 
Mais ce combat là ne ressemble à aucun autre, et si ce tas d'inconnus habituellement sans visage prend tout à coup les traits d'Izuku, alors il le fera. 
Il jettera les armes et fuira la bataille.

Et puis le vent porte avec lui des échos de voix, le temps vient leur rappeler qu'il ne s'est pas arrêté, il ne s'arrête jamais. 
Quelques bruissements chantent ici et là, les arbres se remettent à danser quand l'air souffle entre leurs feuilles, et Katsuki s'éloigne. 
Ses mains, comme ses lèvres, brûlent comme sorties d'un tas de braises. 

Izuku sèche ses larmes contre son poignet, et comme il le fait toujours, il sourit. 

_ Hanta ! Tu es chargé comme une pauvre mule ! Je vais t'aider. s'élance alors le prince pour balayer tout ce qui vient d'arriver, piochant tout ce qu'il peut sur les bras de son ami. 

_ Ne vous inquiétez pas, vraiment. J'ai tout porté sans encombre jusqu'ici, je peux bien faire trois pas de plus Izuku. 

_ Et moi je peux bien t'aider un peu. 

_ Mon Dieu Katsuki vous êtes trempé ! s'exclame Hanta en se tournant vers lui. Il vous a jeté à l'eau ? Seigneur .. Je suis sincèrement désolé, je vais aller vous chercher des vêtements secs. 

_ Ca ira, ce n'est pas la peine. refuse Katsuki en se ressaisissant. 

Détournant son attention sur la nourriture -en bien trop grande quantité du reste- qu'ils installent dans l'herbe, il hoche la tête pour lui-même. 
Izuku a raison sur ce point, Katsuki a bien trop peur d'exister autrement qu'à travers ce qu'on lui demande et permet de faire. 

Finalement, le nœud de chagrin lui revient toujours. 

_______________

Hey ! 

Je suis confuse à la relecture de ce chapitre. 
Je le trouve à la fois très réussi et en même temps j'ai l'impression d'avoir gribouillé du n'importe quoi sur un coin de feuille. 

😭

M'enfin .. S'il vous plait c'est tout ce qui compte ! Alors n'hésitez pas à me dire ce que vous en pensez 🥹

J'en profite pour vous dire que, avec les votes de celles et ceux d'entre vous qui sont également sur discord, nous avons choisi ensemble le nouveau logo de mon compte (j'avais envie de changement) 
Allez y jeter un oeil, il est jouli 🥰

Sur ce, je vous embrasse fort fort ! 😘

Prenez soin de vous ❤🦩

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