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VI - Le six de pique

«La sagesse nous envoie à l'enfance.

Blaise Pascal.»


Factuellement, qui décide de la nature réelle d'une personne ? 

Né, fortuné et en sécurité, de l'union programmée du roi de la plus grande force de ce monde et de la fille d'un riche noble, Izuku est venu au monde enveloppé de draps blancs, propres et parfumés. 
L'accouchement, mené par un docteur renommé et respecté, était si bien encadré que l'ensemble des domestiques du château avaient été préparés à toutes les éventualités, et formés sur le tas à y réagir pour s'assurer qu'aucun fâcheux événement ne puisse porter atteinte à la vie du prince tant attendu. 

Surveillé de très près par des infirmières et des nourrices dès les premières secondes de son existence, l'héritier a reçu tous les bons soins nécessaires et facultatifs qu'il est possible d'administrer. 
Dès lors, toute une organisation bien particulière s'est mise en place pour veiller au confort absolu de ce nourrisson. 
Allaité par une nourrice grandement expérimentée, lavé par des infirmières formées et habituées, bordé par une maitresse de maison aguerrie, éduqué et instruit par des professeurs de renom, tout devait être absolument parfait, calculé et millimétré pour faire de cet enfant un adulte irréprochable, en excellente santé et condition physique. 

Izuku, à ce titre, pouvait accéder à tout ce que les paysans et villageois ne peuvent qu'imaginer : une nourriture de tout premier choix, des médicaments et un suivi médical à la pointe de l'évolution, une bibliothèque infinie, du repos autant que nécessaire et des vêtements taillés sur mesure à chaque nouvelle occasion. 
Des dizaines de petites mains usées par le dur labeur s'employaient à le protéger, l'habiller, le soigner, répondant à l'ensemble de ses envies et de ses besoins, sans jamais pouvoir s'en plaindre .
Le prince a tout eu dans cette vie. 

Un père investi dans son éducation, désireux de faire de lui un digne successeur, prêt à consacrer de nombreuses heures de son temps à cette importante tâche. 
Une mère douce et aimante, entièrement dévouée à son bonheur et totalement disponible pour pouvoir répondre à toutes ses demandes. 
Disposant d'un étage exclusivement dédié à ses quartiers personnels, d'une imposante chambre privée, d'un jeune valet formé expressément à veiller sur lui, et d'une liberté absolue de jouir des possessions de sa famille, Izuku ne peut qu'être heureux. 

Pourtant, le constat est tout autre, et la cours entière observe d'un oeil incrédule le rébellion de ce jeune prince révolté. 
Ils le voient s'opposer à l'autorité de son propre père, fuyant ses responsabilités promises, allant jusqu'à s'enfermer des heures durant derrière la porte de sa chambre pour manifester son refus d'obtempérer. 
Alors qu'un écosystème tout entier s'est employé nuit et jour à son bien-être, en dépit des nombreux professionnels qui se sont réunis autour de lui pour lui garantir un avenir stable, et malgré tous les privilèges qui lui sont offerts, Izuku méprise ces efforts et ces sacrifices en tournant le dos à un trône qu'il devrait honorer. 

Pour toutes ces personnes, Izuku est une incarnation de l'ingratitude. 

Sa mère, rare figure bienveillante de ce monde à feux et à sang, disait que son fils était empli d'une âme délicate, aussi délicate que celle d'une femme, capable de déceler la beauté de tout ce qui l'entoure sans chercher à lui attribuer une valeur pécuniaire.
Quand il se trouvait seul avec elle, elle lui répétait qu'il portait peut-être en lui la clé d'un nouveau monde, grâce à ce regard si différent. 
Elle souriait, affirmant qu'il n'y a rien de mal à penser que des changements sont possibles, qu'il pouvait cultiver le rêve d'une vie de paix et de confiance, à condition qu'il soit prêt à y consacrer toute sa force et sa détermination. 

Pour la reine, le prince était un espoir. 

Un espoir qu'elle nourrissait autant qu'il l'effrayait et, du haut de ses onze ans, ce jour où Izuku a accompagné le dernier souffle de sa mère bien aimée, il se souvient des larmes qui perlaient aux coins de ses yeux cernés par la maladie. 
Tenant la main de son enfant, alors que son bras tremblait d'épuisement, elle a réuni toute la force qu'il lui restait dans ses ultimes paroles. 
Piégée dans les draps blancs de son lit de mort, qu'elle ne pouvait plus quitter depuis déjà des jours, son visage avait blanchi à vu d'oeil au court des dernières heures de sa vie. 
Ses cheveux décoiffés encadraient ses joues creusées, et ses lèvres asséchées ont murmuré : 

_ Mon fils, mon fils adoré ..  J'aurai voulu te soutenir plus longtemps. Je m'apprête à quitter ce monde, et je ne pourrai plus veiller sur toi. Tes rêves sont magnifiques, je sais à quel point tu chéris cette paix que tu imagines disperser quand viendras ton tour de régner. Mais .. Sache, mon enfant, que personne ne te laissera faire. Ils ont trop peur de la paix, elle ne permet pas d'asseoir leur égo. Chéris ton rêve, mais s'il te plait ne lui sacrifie pas ta vie. Ne m'en veux pas pour ces paroles .. Je suis ta mère, je veux que tu vives, que tu ne souffres pas. La voie que tu as choisi jusqu'à aujourd'hui est bien trop dangereuse .. 

Pour la reine, Izuku était un espoir vain. 

L'instant d'après, ses yeux se sont éteints, ses iris habituellement brillants comme l'émeraude se sont changés en perles noires, sans reflet ni nuance, juste avant de disparaitre derrière ses paupières qui s'abaissaient pour la toute dernière fois. 
Le tremblement de ses bras s'est interrompu, et en même temps qu'elle quittait ce monde, elle abandonnait la douleur et la souffrance qui rongeaient son corps depuis des mois. 
Pleurant, fébrile et terrifié, Izuku n'a su qu'appeler à l'aide en frissonnant d'angoisse, et seule une maitresse de maison s'est présentée dans la chambre. 
Couvrant le visage de la reine sous le draps de son propre lit, puis invitant l'enfant à la suivre hors de la pièce, elle l'a ensuite confié à Hanta qui, pas plus âgé que lui, devait se charger de consoler le prince endeuillé. 

Le soir même, le décès de l'épouse du roi fût annoncé à l'ensemble du peuple et, tandis qu'Izuku séchait encore ses larmes, son père n'a même pas daigné rendre une dernière visite à sa femme avant que son cadavre ne soit emporté. 

La première nuit fut la plus pénible. 
Incapable de trouver le sommeil, les paupières brûlantes et la bouche emplie du goût du sel, Izuku n'a cessé de supplier le ciel de lui rendre sa tendre mère. 
Près de lui, tombant de fatigue mais assurant la mission qui lui avait été donnée, Hanta lutait contre l'épuisement pour rester à son chevet. 

Pour lui, qui avait connu la reine comme une mère douce et attentionnée, souriante et bienveillante, il compatissait à la souffrance de son jeune maître, espérant que les mots qu'il choisissait pour le réconfortaient étaient les bons. 

Jamais son père n'est venu le consoler, ni même lui adresser une parole de soutien, et dès le jour suivant, le prince devait reprendre ses obligations quotidiennes. 
Alors, désobéissant à sa mère pour la première fois de sa vie, Izuku refusa d'abandonner la voie qu'il avait choisie. 
Parce qu'elle n'avait pas pu consacrer toutes ces années à l'encourager et l'accompagner pour que ses rêves s'arrêtent ici, et parce qu'il ne voulait plus vivre dans un monde où les conflits et les mœurs n'accordent même pas le droit de s'endeuiller. 

Et, comme si l'étoile de la reine Inko veillait sur son fils en propageant son amour, c'est au travers d'Hanta que le prince trouva un nouveau soutien infaillible. 
Le jeune valet cru immédiatement en ses rêves et ses idées, et sans jamais remettre en question sa détermination, il le soutenait dans chacune de ses rébellions et chacun de ses refus. 
Il n'a du reste jamais cessé de le suivre dans sa quête, partageant sa soif de paix et de liberté, comme sa volonté de créer une ère révolutionnaire, grâce à laquelle le monde ne tournerait pas autour de la guerre, du pouvoir, de l'argent et du mépris. 

Pour Hanta, Izuku est une porte vers un avenir prometteur. 

Alors, soutenu par cet ami précieux, Izuku continue encore aujourd'hui de se soustraire à ses leçons de gestion militaire, à ses entrainements au combat, de fuir les diner en compagnie de son père, d'ignorer ses demandes d'entretien. 
Il ne se soumet à aucune règle émanant du roi, refuse les codes et les usages relatifs à sa position, et n'obéit qu'à ses propres valeurs et convictions. 
Aussi furieux que déshonoré, son géniteur ne supporte plus la honte que son fils étale sur son nom, tant par son attitude irresponsable, son dégout affirmé pour le trône, son émerveillement puérile pour des choses futiles, que par cette affreuse manière de se vêtir. 

Si les dieux avaient voulu lui donner une fille, ils l'auraient fait. 
Mais c'est bel et bien à un garçon qu'ils ont donné naissance, alors pourquoi diable son abruti de fils se couvre t-il les poignets de bijoux, les hanches de corsets, et le visage de lotions absurdes ? 
Il ne voit à travers lui qu'un homme raté, qui a probablement grandit trop proche de sa mère, et qui fait honte à toute les lois du monde et de la nature par son comportement provocateur. 

Pour son père, Izuku est une erreur et une honte. 

Alors, parmi tous ces jugements, lequel est le bon ? 
Le prince ne serait-il pas simplement un enfant trop gâté, puéril et irresponsable, capricieux au possible et qui se contente de prendre le positif en négligeant ses obligations ? 
Doit il admettre que ses rêves ne sont rien de plus que des chimères, qu'il lui faut abandonner pour accepter et se faire accepter des autres ? 
Ou bien peut il être fier d'être considéré comme un porteur de changement par son unique et fidèle ami ? 

Au final, lui-même ne sait plus ce qu'il doit penser de sa propre personne, et peu importe à quel point ses convictions peuvent le mener loin, il comprend que rien de ce qu'il désire pour ce monde ne fait sens dans les consciences qui l'entourent. 
Du reste, ce monde est-il bien fait pour lui ..? 

_ Dîtes moi, Katsuki .. relance t-il timidement après le long silence qui a interrompu leur conversation. 

Leur repas tout juste terminé, balayant avec peine la déconvenue qui a heurté leur discussion quelques minutes plus tôt, ils s'efforcent de se regarder dans les yeux en dépit du profond malaise qui persiste à les écraser. 

_ Je vous écoute. 

_ Si vous pensiez qu'il existe une possibilité, même toute petite, de créer un monde dans lequel plus aucun petit garçon n'aurait à être arraché à sa famille, privé de son enfance, vendu contre de l'argent, et enrôlé contre son gré .. Ne voudriez vous pas vous battre pour le créer .. ce monde ? 

D'abord surpris, puis rapidement pensif, Katsuki semble chercher sa réponse en avalant sa salive. 
Puis, arquant un sourcil en même temps que son épaule droite se soulève d'incrédulité, il secoue vaguement la tête. 

_ L'armée a correctement pris soin de moi. Je ne me souviens pas avoir manqué de quoi que ce soit. 

_ De votre enfance, vos parents ..? 

_ Mes parents n'avaient ni le temps ni les moyens de s'occuper de moi comme l'a fait l'armée. 

_ Justement .. Et s'ils avaient pu ? Si vous aviez pu grandir entouré de vos proches, avec des parents en bonne santé .. Vous auriez pu avoir le temps d'être un enfant. 

_ Être un enfant ? questionne le soldat en grimaçant, comme si la supposition d'Izuku n'avait ni queue ni tête. 

Soupirant, le prince comprend que ses mots ne veulent rien dire à ses oreilles. 
Evidemment, dans ce monde où la vie est parfois si lourde à porter que des centaines de citoyens se donnent la mort chaque semaine, que peut bien signifier "être un enfant" ..? 

_ Jouer. Courir dans l'herbe, avoir des amis avec qui s'amuser, se sentir aimé et en sécurité. Monter dans un arbre, avoir peur du noir et demander un câlin maternel .. Être un enfant c'est avoir le droit de restant insouciant et innocent quelques années. Se construire un bonheur. 

Au fil des déclarations du prince, Katsuki fronce les sourcils de concentration, comme s'il lui fallait faire un immense effort d'imagination pour se figurer de telles choses. 
Puis, en déplaçant son regard vers la gauche, partant fixer une zone vide d'un coin de la pièce, il soupire doucement.

_ Avez vous été un enfant, Izuku ? 

_ Oui. 

_ Alors, où est-il ? Ce bonheur que vous devriez vous être construit ? 

_ Je l'ai perdu .. Je l'ai perdu parce qu'on me demande de reprendre les rennes d'un royaume dans lequel seule une poignée de petits élus ont le droit d'avoir une enfance, tandis que tous les autres sont voués à devenir esclaves de la dureté de la vie. 

_ Je ne comprends pas. Si tous les enfants du monde passent des années à ne rien faire d'autre que d'être insouciants .. qui va veiller à la sécurité à la royaume ? Produire de la nourriture ? Travailler ? 

Izuku, soudain, a l'impression de parler dans une langue et de recevoir des réponses dans une autre. 
Comme s'ils essayaient de communiquer dans deux langages totalement différents, sans rien comprendre de ce que dit l'autre, cet échange ressemble à un charabia sans syllabes. 

_ Mais .. Il y a bien assez d'adultes pour s'occuper de ça. Et quand les enfants grandiront, ils deviendront adultes à leur tour pour prendre la relève. 

_ Mais ils n'auront rien appris pendant tout ce temps, et comment rapportent ils d'argent dans ces conditions ? Des adultes sans compétence ça ne sert à rien. Il faut les former dès qu'ils sont en âge d'apprendre, sinon ils deviennent des incapables. 

_ Qu'est ce que vous racontez ? grimace Izuku en levant les sourcils. Je ne sais pas de quelle propagande vous tirez ces sottises, mais c'est complètement faux. 

_ Alors dans ce cas, je veux bien que vous m'expliquez quel peut-être l'intérêt de grimper dans des arbres et de courir dans de l'herbe. Ca n'apporte strictement rien. 

_ Ne l'avez vous jamais fait ? 

_ Pourquoi faire ?! 

Tandis que Katsuki montre des premiers signes d'impatience, Izuku sent les prémices d'une idée nouvelle s'agiter dans son esprit. 
Alors, bondissant de son lit comme un diable sortant de sa boîte, il tend une main polie vers le militaire. 

_ Très bien. Venez. 

Refusant sa main pour se lever seul, Katsuki maintient une distance de deux mètres d'écart entre eux, paraissant tout à coup peu confiant de la suite des événements. 

_  Pour aller où ? 

_ Vous verrez bien. 

_ Je suis supposé vous instruire et vous entraîner. C'est le marché que vous avez accepté. 

Levant les yeux au ciel, le prince soupire bruyamment en murmurant quelques jurons inaudibles, avant de se permettre d'insister à nouveau. 

_ Evidemment. Et nous le ferons. Je vous fait la promesse que nous serons de retour au château pour .. disons seize heures, et je me plierai à votre entrainement jusqu'à la tombée du jour. Mais pour ça, vous devez d'abord accepter de me suivre. 

_ Et si je refuse ? 

_ Et bien je refuserai aussi de m'entrainer et de vous écouter. Je m'assiérai par terre en croisant les bras, et ne bougerai pas jusqu'à ce que mon père ait vent de votre échec. 

_ Vous êtes insupportable. se désespère Katsuki en fermant les yeux, cédant par dépit au caprice du prince. 

Ainsi, fier de sa victoire, Izuku étire un large sourire sur son visage avant d'inviter son hôte à le suivre hors de la chambre. 
Puis quittant le quartier privé, redescendant les escaliers et traversant les pièces jusqu'à rejoindre l'extérieur, ils s'éloignent de l'imposante résidence en marchant dans les jardins de la cour. 
Sans s'arrêter d'avancer, Katsuki s'étonne de voir Izuku continuer de le guider en dehors des limites du domaine royal. 

_ Nous quittons aussi la cour du château ? demande t-il un peu bêtement en regardant derrière lui. 

_ Nous y sommes presque. 

Puis, après avoir foulé la terre d'un petit chemin visiblement rarement empruntés, en témoigne l'importante végétation qui l'envahit, Izuku les mène à la limite d'un pré abandonné. 
Sur une large surface d'au moins trois ou quatre mille mètres carré, de hautes herbes partiellement jaunis s'élèvent jusqu'à la hauteur de leurs genoux. 
Au milieu des brindilles poussent quelques colonies de fleurs sauvages, blanches pour certaines, aux teintes oranger pour d'autres. 

Aussi, le vent léger qui parcoure le décor agite les couleurs du paysage, portant avec lui les piaillements des oiseaux qui visitent gaiement l'espace. 
Au dessus d'eux, le soleil tape relativement fort. 

_ Que faisons nous ici ? interroge alors encore Katsuki. 

Avant d'obtenir la moindre réponse, il manque d'avaler sa propre langue en voyant le prince se déchausser puis remonter le tissu de son pantalon jusqu'au dessus de ses genoux, enroulant les jambières pour s'assurer qu'elles ne retomberont pas. 

_ Vous devriez vous délester un peu Katsuki, vous serez embêté avec les hautes herbes et tout ce que vous portez sur vous. 

Puis, pointant du doigts la ligne d'arbres qui bordent le fond du pré, Izuku plisse ses paupières pour protéger ses pupilles des rayons barbares du soleil. 

_ Faisons la course jusqu'aux arbres, là bas. 

_ Je vous demande pardon ? s'étrangle le chef d'armée en ouvrant de grands yeux sidérés. 

_ Je ne plaisante pas. Retirez vos chaussures, votre arme, et votre veste aussi. Comment voulez  vous être à l'aise avec vos épaulettes à franges ? Allez, faites le je vous dit. 

_ Il n'en est pas question. 

_ Bien. nargue Izuku en s'asseyant par terre. 

Croisant ses jambes en tailleur et ses bras contre sa poitrine, il fixe l'horizon barré par l'herbe jaunie sans plus bouger, laissant tout le temps à Katsuki de comprendre son petit jeu par lui-même. 

_ Vous êtes ingérable .. 

Enfin, se voyant de nouveau vaincu, le militaire consent -en toute mauvaise foi- à se défaire d'une partie de son uniforme. 
Retirant son épaisse veste droite, qu'il s'efforce de poser délicatement sur le sol, il laisse apparaitre le léger gilet blanc qu'il porte sur sa poitrine. 
Puis, cachant son arme dans les herbes avant de se défaire également de ses chaussures, il fixe le prince de haut en grimaçant. 

_ Voilà .. 

Se redressant seulement, un immense sourire vainqueur illuminant ses joues, le prince s'installe déjà en position de départ . 

_ Vous courrez vite Katsuki ? 

_ Sûrement plus que vous. 

_ Faites donc moi voir ça, alors ! 

_____

Hellooo ! 

Je suis partie tellement longtemps 😭
Je suis heureuse de vous retrouver pour ce chapitre ! 

Il en aura mis du temps à arriver ! 
Mais j'espère qu'il vous plaira, et je devrais avoir plus de temps pendant quelques semaines pour vous poster quelques chapitres bien mérités ! 

J'ai hâte de vos retours, ça m'a manqué 🥺

Plein de bisous sur vos joues 😘

Prenez soin de vous ❤️🦩


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