Chào các bạn! Vì nhiều lý do từ nay Truyen2U chính thức đổi tên là Truyen247.Pro. Mong các bạn tiếp tục ủng hộ truy cập tên miền mới này nhé! Mãi yêu... ♥

IX - Le sept de cœur

«L'horizon souligne l'infini.
Victor Hugo.»


Katsuki ne bouge plus d'un iota depuis plusieurs secondes, le regard plongé dans le vide, tandis que ses sourcils se froncent à mesure qu'un vieux souvenir remonte à sa mémoire.
Une vieille histoire perdue parmi tant d'autres, qu'il avait fini par oublier.
Il devait avoir quatorze ans, et en sa qualité de jeune apprenti de l'armée, il suivait ses ainés dans leurs missions, tantôt héroïques, tantôt aussi banales que l'emprisonnement d'un voleur de pomme de terre.
Ce matin là, sur la place principale d'un petit village au nord du pays, un homme à moitié nu, condamné à l'humiliation puis à la mort pour son crime, pleurait sans retenu en priant que son calvaire se termine vite.

Dénoncé par un concitoyen qui le soupçonnait d'entretenir des relations trop intimes avec d'autres hommes, interrogé puis torturé, il venait d'être officiellement accusé d'un des pires crimes de ce monde : l'homosexualité passive*.
Ainsi, partiellement déshabillé en public pour faire pleuvoir a honte sur son nom, hué par les habitants de son propre village, renié par ses proches, il cachait son visage et ses larmes derrière ses mains blessées.

Katsuki, au milieu de ses ainés qui encadraient la scène, observait cet homme en se demandant ce qui avait bien pu le pousser à agir de la sorte.
Pourquoi, et comment, avait-il pu bafouer les commandement de la nature elle-même pour s'adonner à des rapports sexuel avec un individu du même sexe que lui ?
L'éducation et les valeurs de ce pays demeurent les mêmes pour tous, et comme on l'apprend à chaque enfant du royaume, il devait savoir que les relations amoureuses ne peuvent s'épanouir qu'entre un homme et une femme.

Quelques minutes se sont encore écoulées, agitées par les cris des villageois qui maudissaient le nom de l'homme, avant qu'il ne soit conduit sur un échafaud de fortune, bâti rien que pour lui, duquel il fût pendu lentement.
Son visage gonflait et rougissait à mesure que l'oxygène lui manquait, Katsuki pouvait voir ses yeux se gorger de sang, ses lèvres changer de couleur, tandis que ses bras et ses jambes tentaient de se secouer.
Soudain, ce qu'il voyait lui serrait la gorge et, pour ne pas le voir mourir, il a détourné le regard bien avant la fin de son agonie.

Ce n'est que bien plus tard qu'une occasion de reparler de cet événement s'est présentée, un jour où il accompagnait un officier en garde de nuit.
La conversation, qui partait de rien, a dérivé jusqu'à cette histoire, qui datait déjà de deux ans à ce moment là.

_ Tu sais, Katsuki. lui expliqua l'homme pendant la discussion. Les lois suprêmes de la nature, comme ils aiment les appeler, ce n'est ni plus ni moins que de la propagande. Beaucoup d'entre nous se contentent de faire semblant d'y croire et d'y adhérer pour ne pas se faire chasser de nos propres maisons, mais tout ce qu'on t'apprend sur l'amour et les relations intimes n'a pour unique but que d'entretenir une vision formatée de la société. Des hommes qui s'aiment entre eux, il y en a bien plus que tu ne peux le croire, autant que de femmes qui s'aiment. Celui ci s'est juste fait prendre, et il a été tué pour faire peur aux autres. Mais ça ne les empêchera pas de continuer d'exister. Aucune loi ne peut empêcher un cœur d'aimer. Crois moi.

Cette conversation, bien que l'ayant ruminé pendant les quelques heures qui ont suivi, Katsuki a fini par l'oublier aussi, au même titre que l'évènement qui l'avait amené à exister.
Il partait désormais d'un postulat simple, ces personnes existent, mais ils doivent se cacher pour ne pas entraver le fonctionnement de la société.
Du moment que personne ne les voit, le monde peut fonctionner.

Soit.

Et puis, finalement, il se contentait de ne pas y penser.
Lui, à titre personnel, n'a jamais ressenti l'amour ou le désir pour qui que ce soit, principalement parce qu'il n'est pas formé pour ça.
On lui a appris à se battre, à garantir l'ordre, à faire respecter les règles.
On lui a enseigné comment se tenir droit, manier une arme, gérer une troupe.
Pas à aimer.

_ Hanta. brise soudain la voix, toujours moqueuse, de jeune prince. Notre invité à l'air de se sentir mal. Voudrais tu bien lui faire préparer un bain pour qu'il puisse se remettre sur pied ?

La requête, avant même d'être entièrement prononcée, est déjà validée par le valet qui, sans objection, disparait de la chambre pour aller chercher du personnel prêt à remplir une baignoire.

_ Je n'ai pas besoin d'un bain. se ressaisit Katsuki en secouant la tête.

_ Vos effluves disent le contraire. sourit Izuku en levant le menton.

_ Comment ?! s'interloque le militaire en reniflant ses aisselles sans discrétion.

_ Je plaisante ! ricane le prince en déambulant gaiement jusqu'à son lit. Ou peut-être pas. Mais quoi qu'il en soit, un bain fait toujours du bien, non ?

_ Sûrement, je n'en sais rien. Nous n'avons pas de baignoire dans les résidences militaires.

Sautillant sur ses fesses au bord du lit, Izuku semble se réjouir encore plus, fixant le commandant avec les yeux remplis d'étoiles.

_ Vous n'en avez jamais pris ? Vous verrez, vous allez adorer, je vous le promets !

Bien moins démonstratif, Katsuki se contente de hausser une épaule en faisant quelques pas distraits dans la pièce, l'esprit toujours occupé à cette affaire de chevalier de la manchette.
Plissant les paupières, hésitant sur ses mots un instant, il se tourne finalement vers le prince, l'observant sans oser le regarder dans les yeux.

_ Dîtes .. Est ce que Hanta et vous avez .. Partagez vous une relation de ..

_ Oh grand Dieu non ! s'esclaffe soudain Izuku, qui rit si fort que les murs en résonnent. Hanta et moi avons été élevés ensemble. Il est mon unique et plus cher ami, il est surtout comme le frère que je n'ai pas eu. Jamais je ne pourrai ... Et puis, Hanta aime les femmes, tout particulier dame Nejire !

_ Votre père .. Le sait-il ? Ou dit-il ça simplement pour vous insulter ?

Baissant la tête, une grimace naissant sur ses lèvres, le prince inspire longuement en signe de réflexion, avant de vider bruyamment l'air de ses poumons.

_ Je ne sais pas vraiment, à vrai dire. Mais dans tous les cas, il serait bien incapable de l'accepter, alors même si je lui annonçais officiellement, il le refuserait.

_ Comment ferez vous lorsque le trône vous reviendra ? Un roi doit épouser une femme pour donner une reine, et un héritier, à son peuple.

_ Epouser et aimer sont deux choses bien différentes. Je peux mettre une femme à mon bras pour rassurer le peuple, sans pour autant éprouver le moindre sentiment à son égard.

Puis, s'avachissant dans ses draps, les bras écartés, les jambes dans le vide et le regard au plafond, Izuku se tait un moment, le visage neutre et le souffle calme.
Son expression se fait soudain indéchiffrable, comme s'il disparaissait derrière un masque impassible, et Katsuki incline la tête sur le côté en l'observant.
Aujourd'hui, il aura vu de multiples facettes de ce prince et de son quotidien.
Il l'a entendu rire aux éclats, pleurer des larmes de détresse, il l'a vu s'amuser comme un enfant, se mettre en colère, cracher sa haine et montrer sa délicatesse.
Mais, en dépit de chacun de ces moments, il demeure incapable de le cerner véritablement.

Izuku reste un homme mystérieux, dont la souffrance ne semble avoir d'égal que sa capacité à sourire malgré tout.

Le silence se prolonge, s'étale et s'approfondit durant de longue minutes, et l'esprit de Katsuki se perd dans le bilan de cette journée.

_ A quoi pensez vous Katsuki ? murmure Izuku sans bouger.

_ Je vous retourne la question.

Un fin sourire se dessine entre les tâches de rousseur du jeune prince, qui demeure toutefois immobile, tandis que le corps de Katsuki se défroisse progressivement.
Quittant son petit bout de plancher, il se déplace à nouveau de quelques pas, visitant l'espace sans vraiment y prêter d'attention pour autant.

_ J'étais en train de me demander quel rôle me sera attribué dans les livres d'Histoire. soupire Izuku en tournant légèrement la tête, suivant des yeux les déplacements du commandant. Si je ne suis simplement pas fait pour ce trône et ce monde .. dira t-on, après ma mort, que je fus un horrible roi ?

Sans réponse pertinente à lui donner, Katsuki se contente de baisser la tête et de se taire, laissant filer l'ange qui traverse la pièce, tandis que le malaise vient lui agripper la nuque.
L'air semble devenir lourd, difficile à respirer tant il colle à sa gorge, et alors qu'il ne sait plus où se mettre depuis plusieurs interminables secondes, le retour d'Hanta lui apparait comme un miracle divin.

_ Le bain est prêt. Souhaitez vous que quelqu'un vienne vous aider ?

_ Ai-je l'air d'un infirme ? se vexe Katsuki.

_ Non, non pas du tout. sourit le valet sans tenir compte de l'étrange atmosphère qui hante les lieux. Alors laissez moi simplement vous indiquer la salle du bain.

Sans demander son reste, Katsuki emboite le pas au valet, non sans jeter un dernier regard à Izuku, qui semble s'être replongé dans la contemplation du plafond.
Puis, dans la petite pièce qu'Hanta lui désigne, il s'enferme silencieusement avant de se tourner vers la fameuse baignoire.

Dans le petit village qui l'a vu naitre et vivre ses premières années, personne ne pouvait se vanter d'en posséder une.
L'objet lui-même pourrait être fabriqué avec des matériaux peu couteux, mais les simples villageois n'ont certainement pas autant d'eau à porté de main pour se permettre d'en gâcher cinquante litres uniquement pour se laver.

Alors, curieux d'expérimenter ce moment, il s'empresse de se défaire de l'entièreté de ses vêtements, qu'il laisse choir sur le sol sans inquiétude, avant de s'avancer vers cette eau fumante d'un confort qu'il devine déjà.
Entrant dans le bain, sentant la chaleur envelopper d'abord ses mollets, il ouvre la bouche sans qu'aucun son n'en sorte.
Les petites vagues que créent ses mouvements caressent la peau de ses jambes, et alors qu'il fléchit les genoux pour s'assoir complètement, la douce sensation s'étend au reste de son corps.

Fermant les yeux, appréciant cette incroyable étreinte, il soupire sans bruit puis plonge ses mains sous la surface, recueillant un peu de liquide qu'il asperge ensuite sur son visage.
Enfin, il s'affaisse, et perd la notion du temps.

Les clapotis de l'eau s'intensifient alors qu'il trempe son crâne à l'intérieur, ses bras flottent au dessus de son ventre nu.
Il pourrait bien rester là toute sa vie ...


Soudain, un sursaut lui attrape le dos.
Ouvrant les yeux sous la surprise, réalisant tout juste avoir sombré dans une somnolence inopinée, il constate que la pièce se trouve presque plongée de noir.
A travers la fenêtre, un léger éclat de lune fait courir un brin de lumière sur le plancher, tandis que le soleil a pleinement disparu.

Sortant de l'eau devenue froide, passant une main dans ses cheveux emmêlés d'avoir trop longtemps flotté librement, il n'enfile que son pantalon et son simple maillot de corps.
Délaissant le reste de son uniforme sur le sol, il jaillit hors de la pièce pour rejoindre la porte menant à la chambre de prince, de laquelle s'échappe du reste quelques paroles étouffées, et qu'il ouvre brutalement.

_ Oh, vous revoilà. l'accueille Hanta en souriant doucement. Vous ne reveniez pas, alors je me suis permis de venir voir si tout allait bien, et vous dormiez. Je n'ai pas osé pour déranger, vous deviez avoir besoin de ce sommeil.

_ Mais quelle heure est-il ?! s'affole Katsuki, avant d'oublier sa question aussi vite qu'elle fut posée.

Tournant la tête, balayant du regard la pièce assombrie, éclairée par les flammes de quelques lampes perchées ici et là le long des murs, il s'arrête pour observer le dos d'Izuku.
Ce dernier, debout sur le rebord de sa large fenêtre, les mains en appui sur les contours en pierre, et le nez relevé vers le ciel, n'a même pas réagi à l'apparition du commandant dans sa chambre.
Fronçant les sourcils, le militaire s'avance de quelques pas hésitants, comme s'il n'était pas certain de parvenir à rejoindre le prince dans son étrange bulle solitaire, celle qui semble s'être formée tout autour de lui.

_ Ne soyez pas en colère contre Hanta, Katsuki. Quand il m'a dit que vous dormiez, c'est moi qui lui ai demandé de ne pas vous réveiller. Nous avons eu une journée fort animée, j'ai pensé que vous aviez besoin de repos.

_ J'ai connu des journées bien plus fatigantes que celle ci .. se défend Katsuki sans oser parler trop fort. Mais vous, vous devriez descendre de là, vous risquez de tomber.

_ Je l'espère. murmure Izuku sans se retourner.

S'avançant à nouveau, jusqu'à pouvoir sentir le parfum du prince près de son visage, Katsuki se penche pour observer le vide en dessous de la fenêtre.
Perché au deuxième étage, les quartiers du prince se situent au dessus des quartiers privés du roi, eux même au dessus du rez de chaussée où se trouvent les pièces communes.
Tomber de cette hauteur pourrait bien le tuer, ou dans le meilleur des cas de le rendre totalement infirme, et comme n'importe qui d'autre, Katsuki ne souhaite pas voir ça.

_ Ne dites pas de bêtises. Qu'est ce que vous faites là-haut ?

_ Avez vous déjà pris le temps d'observer les étoiles Katsuki ?

Gêné par le ton mélancolique dans la voix du prince, et intimidé par la présence de Hanta qui empêche toute forme d'intimité, Katsuki se retourne vers le valet, qu'il découvre occupé à dépoussiéré un cadre accroché au mur.
Puis, sans qu'il ne dise rien, Izuku le devance.

_ Hanta, il se fait tard. Tu peux aller te coucher, tu dois te reposer.

_ Ca ira pour vous ? s'assure t-il néanmoins.

_ Bien sûr, ne t'en fais pas.

Ainsi, le valet quitte la pièce en silence après avoir solennellement souhaité une bonne nuit aux deux garçons.
Et, lentement, sans geste brusques, Izuku laisse son corps se replier pour s'assoir sur son rebord de fenêtre, se serrant autant que possible contre l'encadrement.

_ Montez, je vais vous montrer.

Sans grâce, levant une jambe quelque peu raide pour tenter de se hisser à la fenêtre, Katsuki se tortille difficilement pour y parvenir.

_ Il semble que vous manquiez de souplesse, mon cher. sourit doucement Izuku, néanmoins sans faire pétiller son rire moqueur.

_ Probablement .. admet pour la première fois le militaire.

_ Regardez. indique le prince une fois le commandant correctement installé.

Levant les yeux, Katsuki découvre alors un ciel aussi noir que peut l'être un ciel de nuit, décoré cependant par une interminable colonie d'étoiles aussi petites qu'un ongle, mais dont la lumière rayonne entre chacune d'entre elles.
Devenant à elle toutes plus puissantes que les rayons clairs de la lune, elles habillent le plafond de ce monde comme le font les tâches de rousseur du prince sur son visage.

Elle s'étendent au delà de l'horizon, dépassent tout ce que l'homme peut voir depuis la surface de la Terre.

_ Savez vous à quoi servent les étoiles Katsuki ? Quelle est leur raison d'exister ?

Promenant son regard d'une étincelle argentée à une autre, Katsuki cligne des yeux à plusieurs reprises avant de répondre en murmurant.

_ Non.

_ Moi non plus. Et selon mes professeurs, personne ne le sait vraiment non plus. De notre point de vue, les étoiles n'ont aucune raison d'être là, elles ne servent à rien, elles ne signifient rien. Mais elles sont si lointaines .. Alors sans doute ont elle un rôle que nous ne sommes simplement pas en mesure de comprendre. Leur existence n'est pas vaine, ce sont les hommes qui ne parviennent pas à communiquer avec elles. Peut-être que .. si elles venaient à disparaitre, notre montre s'écroulerait. Peut-être que, sans que nous n'en sachions rien, elles sont nécessaires à la vie.

Percevant les mots dissimilés entre les lignes du prince, Katsuki oriente ses pupilles vers un autre champs d'étoiles, comme s'il lui serait possible de les compter.

_ Votre existence n'est pas vaine. affirme t-il dans un souffle léger. Peut-être ce monde n'est pas encore prêt à vous comprendre, mais vous avez de toute évidence un rôle dans cette vie.

_ Les étoiles ont cette chance de n'avoir pas besoin qu'on les encourage pour continuer de briller. Moi ..

_ Ne soyez pas stupide .. l'interrompt Katsuki.

Puis, en les observant encore, emprisonnant derrière ses paupières cette incroyable lumière venue du ciel, Katsuki se demande combien d'étoiles le monde entier peut contenir.
Elles sont si nombreuses, et leur éclat sans fin semble les multiplier.
Sont elles mille ? Cent mille ? Un million ?

_ Izuku, pensez vous que les étoiles sont conscientes de leur éclat ?

_ Je vous demande pardon ?

_ Les étoiles .. Selon vous, savent elles qu'elles illuminent tout un monde pendant des nuits entières ? Ou bien, de là où elles sont, se croient elles sombres et invisibles ?

_ Je n'en sais rien ..

Les pieds dans le vide, mais le regard perché à l'infini, Katsuki avale sa salive puis gonfle sa poitrine.
Qu'à t-il vécu, jusqu'à aujourd'hui, d'aussi intense et significatif que cette journée ? Que ce moment ?
A t-il seulement déjà rencontré quelqu'un d'aussi impressionnant sur tous les plans ?
A quel point s'est-il trompé au sujet de cet homme au courage sans limite, au sourire luminescent, dont la détresse et le désarroi mettraient à genou même le plus fort des guerriers ?

_ Vous, reprend Katsuki en tournant enfin son regard vers le prince, vous rayonnez comme dix-huit millions d'étoiles. En êtes vous conscient ?

Et parce qu'il ne peut et ne sait rien faire d'autre, il cesse ensuite de parler, recueillant seulement dans son silence les larmes discrètes qui échappent maintenant à Izuku.
Izuku, peut-être, est-il une étoile échappée des mains du ciel, tombé dans un monde peuplé de barbares et d'imbéciles, incapables de communiquer avec lui ..?


________________

* L'homosexualité passive (autrement dit celui qui se fait pénétrer) a souvent été plus durement punie que l'homosexualité active (celui qui pénètre), de par son caractère jugé plus "dégradant".


_____

Mon dieu je suis tellement désolée pour le temps que j'ai mis à poster ce chapitre !
Je vais essayer de faire mieux !

Je me suis commandé un nouveau pc, ça devrait déjà faciliter les choses, parce que le mien est tellement fatigué et lent que le simple fait de savoir qu'il va me falloir 30 minutes pour l'allumer me décourage souvent à me mettre dessus ...

J'ai beaucoup aimé écrire la fin de ce chapitre, j'espère qu'il vous aura plu aussi !

A bientôt, c'est promis ❤️

Prenez soin de vous ! 🦩😘

Bạn đang đọc truyện trên: Truyen247.Pro