Titre alternatif : Seungmin vit-il finalement mieux dans son nouvel appartement ?

Pairing : Seungmin solo

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Cliquetis d'une clé actionnant le mécanisme d'une serrure, grincement discret de la poignée, frôlement du bas de la porte sur le parquet, deux chaussures à la démarche silencieuse puis la même suite en sens inverse. Vous entendiez ? Le silence était reposant. L'apaisement palpable sur ses traits.

Ses oreilles ne saisissaient pas en cours de route une émission qui passait à la télévision, elles n'entendaient pas le remue-ménage d'un de ses petits-amis ou de Minho cuisinant, elles ne percevaient pas les éclats de rire, les cris, les gémissements ou tout autre bruit pouvant provenir des chambres. Il n'y avait plus cette foule compacte d'élèves qui élevait le volume sonore dans un bourdonnement inintelligible, cette camarade de classe persuadée que son rire de chèvre devait être entendu de tous, ce gars qui toussait avec la répétition d'un métronome ou encore ce connard qui venait briser la quiétude d'un bus bondé où tout le monde était terne, lessivé de sa journée, en braillant dans son portable.

Seungmin avait dû descendre trois arrêts avant le sien pour ne pas devenir fou. Il avait terminé à pied mais maintenant il était chez lui. Chez lui. Seul. Le bonheur. Débarrassé de ses chaussures et son manteau, sac à dos laissé pour le moment dans l'entrée il alla se servir un verre d'eau. Ses pas amortis par les chaussettes étaient d'un silence délicieux.

Puis dans cette habitude facilement prise il récupéra son sac et se rendit dans sa chambre, s'assit à son bureau qui n'était encombré que de ses affaires, uniquement des siennes sans boite à maux, cahier de cours d'un certain Hwang Hyunjin ou pot de ramen a emporté, vidé de ses ramens. Il actionna l'interrupteur de sa lampe de bureau dans un clic hautement satisfaisant. Cahiers sortit il se mit à ses leçons.

Durant toute l'heure et demie que dura son travail complémentaire pour ses études, il ne fut dérangé d'aucune façon. Jeongin ne vint pas lui demander de l'aider pour sa rédaction de coréen, Felix ne vint pas lui apporter de verre d'eau, de cookie ou quelconque encas pour l'inviter à prendre une pause toutes les dix minutes, Jisung ne vint pas lui proposer de regarder un film, jouer à tel jeu ou autre idée farfelue s'étant mis en tête qu'il avait déjà beaucoup travaillé, personne n'alluma la télévision pour s'abrutir devant sans aucun respect pour lui...

Sérénité.

Ce fut uniquement quand les premiers signes de lassitude pointèrent qu'il referma son cahier. Il s'étira avec contentement pour éveiller ses muscles endormis. Sa séance de travail avait été fructueuse. Son estomac criant famine, il retourna dans la cuisine pour se préparer un petit quelque chose.

Il n'était pas un fin cuisinier. Il laissait toujours sa place aux fourneaux à ses petits-amis et avant eux à ses parents. Il n'avait jamais vraiment cuisiné un véritable plat et ce n'était pas dans ses projets proches. Ses placards regorgeaient de boites de conserves, de sachets de ramen cuit en trois minutes dans l'eau bouillante, de plats industriels tout préparés. Un appartement étudiant jusqu'au bout des ongles en somme.

Un sachet de soupe fut sacrifié pour sa cause. Il ne prit pas la peine de salir une casserole et la fit directement chauffer au micro-onde. Le ronronnement de l'appareil fut le premier bruit « fort » qui empli l'appartement en cette journée. Ses oreilles n'en furent pas dérangées et invariablement Seungmin se demanda pourquoi. Pourquoi tel bruit l'insupportait et tel autre lui était indifférent ? La seule piste un tant soit peu tangible qu'il ait pu élaborer était que le bruit qu'il décidait de créer ne le dérangeait pas mais quand c'était autrui qui le créait cela capotait.

Lui qui n'avait jamais été dérangé par la solitude la retrouvait aujourd'hui avec beaucoup de soulagement.

Sachet de soupe à la poubelle, grosse cuillère, verre et bol de soupe sur la table basse, il s'installa pour son frugal festin. Pas de télévision en bruit de fond, pas d'appel téléphonique avec Jisung comme celui-ci aimait le faire quand il déjeunait seul, pas de vidéo YouTube lancée depuis son portable, rien que le silence pour lui tenir compagnie.

Il s'était facilement fait à son nouveau chez lui. Avait trouvé ses marques, ses habitudes, bien plus aisément qu'il ne se l'était imaginé. C'était une grosse décision qu'il avait prise, il en avait pleinement conscience. Et si finalement le problème ne venait pas de la ménagerie cacophonique qu'il partageait avec ses copains ? Et si le problème n'était pas là ? Cette crainte l'avait étreinte jusqu'à sa première journée seul ici.

Tous ses doutes s'étaient envolés. Le silence lui avait été ressourçant. Il était mieux ici, loin d'eux... Il avait les idées claires, ne se sentait plus irritable, n'avait plus l'impression que la moindre voix était un hurlement tout contre ses oreilles, que les sons martelaient son crâne dans l'espoir de faire de son cerveau une bouillie informe...

Cependant il savait que le problème n'était pas ses copains, enfin pas totalement. C'était le bruit qui émanait d'eux, qui émanait de partout dès qu'il sortait de chez lui... Et ce n'était pas normal qu'il stresse à chaque fois qu'il devait se rendre à l'extérieur. Ce n'était pas une vie de fuir tous les endroits bruyants, où de redouter le rassemblement avec ses copains de peur de la portance de leur voix. Mais chaque chose en son temps. Tout problème avait sa solution cependant elle se trouvait rarement en claquant des doigts.

En dessert il s'offrit un carré de brownie déjà découpé par les soins de Felix. Au bout de quatre jours ils commençaient à rassir mais il n'en avait que faire. Une simple bouchée était une réminiscence de leur colocation à huit. De ses copains tout simplement.

La nostalgie lui faisait du bien, elle le rassurait presque. Elle ramenait ses petits-amis à lui et lui prouvait qu'ils lui manquaient. Que seul le bruit était cause de son malheur, pas leur amour. En une bouchée il se rappelait qu'il ne goûterait plus les préparation de Felix tout juste sorti du four, que Felix et Jisung n'accourraient plus à toute jambe à chaque fois qu'il franchirait le seuil de son appartement, que Jeongin ne viendrait plus le tirer du canapé à tout heure de la soirée pour une promenade nocturne, qu'il n'aurait plus un cœur dessiné sur la buée du miroir par Hyunjin, que Changbin ne le trimballerait plus soudainement sur son épaule pour le déposer sur un lit ou le canapé afin de le câliner ou encore que Minho n'écarterait plus le draps pour voir qui entrerait dans la chambre, il ne verrait plus son sourire conspirateur se former sur ce visage joueur avant que le drap ne soit écarté un peu plus pour l'inviter tout spécialement à entrer... Le mauvais était parti mais le bon était en partie resté avec lui.

Evidemment qu'il retournerait dans son ancien appartement pour les revoir, pour leurs soirées du vendredi mais... Rien que d'y penser l'anxiété affluait. C'était encore trop tôt et même s'il savait que ce joyeux brouhaha était indissociable d'un regroupement de personne et expression des sentiments de ceux-ci... Il ferma les yeux et chassa ces idées qui lui infligeait une dose de stress. Pensa plutôt aux rendez-vous à deux beaucoup plus calme, qu'il organiserait pour rester en contact avec eux, leur prouver qu'il n'allait pas s'éloigner et les oublier petit à petit...

Il se leva pour prendre son portable qui était resté dans l'entrée tout ce temps et son poulpi qui trônait en maitre sur son oreiller dans sa chambre. Il retourna dans le salon, se rassit sur son canapé et déposa un poulpi vert et heureux sur la table. Il dégagea l'argenterie du plan, mit son brownie bien entamé devant la peluche avant de capturer le tableau. Il prit plusieurs clichés sous différents angles avec un plaisir non dissimulé. Suite à son emménagement il immortalisait régulièrement ses journées de quelques clichés pour les envoyer sur leur groupchat qu'ils faisaient revivre après un long abandon. Si au début s'était une manière maladroite de tenir ses copains aux courants de son quotidien pour leur montrer qu'il pensait à eux dans les moments les plus futiles, le processus lui avait vite été distrayant.

Il envoya un cliché choisi avec soin sans prendre la peine d'ajouter une légende, la photo parlait pour lui. Si au début il n'était pas certain de comment serraient reçus ses photos, ses copains étaient-ils blessés de le voir si heureux et sûr de sa décision ? Est-ce que cela les plongeait dans une remise en question du type « comment ça se fait qu'on ne parvenait pas à le rendre heureux quand il était avec nous ? » ? Ou peut-être trouvait-ils ses clichés déplacés à leur éclater son bien-être à la figure alors qu'ils faisaient encore le deuil de son départ ? Il avait fini par demander à Minho en privée comment leurs copains prenaient ses photos et son hyung l'avait rassuré de quelques exemples limpides.

Avec un petit sourire aux lèvres il imagina Hyunjin complimenter chaque détail, la luminosité, le placement des objets, l'angle... Jisung se lever en piaillant pour avertir tout le monde de la photo, Jeongin décider que c'était un signe pour arrêter de réviser, Changbin arrêtant tout pour passer les prochaines minutes à trouver le meilleur des compliments, Felix prendre une photo de ce qu'il faisait à l'instant T pour lui envoyer en retour et Minho regarder leur petit monde sans montrer son attendrissement pourtant bien présent.

Les réponses ne tardèrent pas à fuser et il finit son brownie en échangeant avec eux. Bientôt il les prévint néanmoins qu'il allait se laver. Il quitta son portable après avoir lu la réponse de Changbin demandant un selfie sous la douche... Le cœur heureux de ce contact il alla rapidement laver sa vaisselle puis partit sous la douche. Pièce qui ne serait pas constamment humide car huit garçons n'y passeraient pas à tour de rôle et où il aurait toujours tout l'espace pour lui tout seul sans avoir à partager le lavabo avec un Hyunjin mal réveillé et ronchon, devoir réveiller Jeongin qui s'endormait constamment sur les WC ou Jisung qui viendrait demander de partager sa douche.

Mais en même temps la pièce lui paraissait maintenant bien vide. Aucune tête perverse pour ouvrir la porte de la cabine afin de reluquer son corps nu, aucune conversation sans queue ni tête le matin alors que lui et son interlocuteur avait encore la tête dans le cul, plus de menace riante d'un baiser plein de dentifrice qu'il ignorerait jusqu'à ce que l'autre passe à l'acte puis le regarderait des yeux pleins de fausses colères... Le côté joueur et un peu farfelu de ses copains lui manquait. Mais avec venait le bruit. C'était un dilemme sans fin.

Il sortit de la salle d'eau en pyjama, les cheveux encore humides de propreté. Il ferma les volets du séjour et de la cuisine où la lune avait pris place, avant de se mettre sous sa couette dans sa chambre. Il chaussa ses lunettes et à l'instant où sa main se refermait sur son livre de chevet ses yeux tombèrent un peu plus loin sur le carnet offert par Hyunjin. Son cœur s'alourdit d'un coup.

De tous ses magnifiques cadeaux c'était celui qui le faisait culpabiliser le plus. Il savait que Hyunjin ne l'avait pas fait dans cette intention mais... Un petit bout de ton monde pour que tu ne l'oublies pas. Il pinça la bouche et substitua le livre au carnet. Il le posa sur ses genoux et l'ouvrit comme il aurait ouvert un vieux livre étreint de la peur que les pages ne s'émiettent sous ses doigts. Le hasard choisi pour lui et il tomba évidemment sur le portrait olé-olé que l'artiste avait fait d'eux. Il passa à la suivante plus vite que l'éclair, sentant son visage chauffer.

Il était là, à coups de crayon sur le papier, lisant un livre qui n'était pas visible à cause de ses jambes replié, enlacé par Felix. Jeongin à côté d'eux en tailleur, penché sur ses leçons. Même les détails des plis de la couette et de l'affaissement du matelas étaient retranscrits avec précision et réalisme. La grimace typique de Jeongin, lèvres pincées, sourcils fait pour se rejoindre, le contentement paisible de Felix au moindre contact...

Ses petits-amis faisaient tous bonne figure mais ils étaient tristes par sa faute. C'était à cause de lui qu'ils allaient mal, c'était lui qui brisait tous leurs rêves et leurs espoirs... Il inspira profondément et fit de son mieux pour rationaliser. Ce qui était fait était fait et puis il ne pouvait pas culpabiliser d'une action qui le rendait heureux... Enfin si mais non. Il l'avait fait pour son propre bien, pour le bien de ses couples avant que son irritabilité ne se reporte sur eux pour les mauvaises raisons. Le tout maintenant était de continuer à les rendre heureux, de leur prouver qu'ils pouvaient vivre ainsi, que cela ne changerait rien à leur amour.

C'était une phase qui revenait souvent depuis le déménagement. La culpabilité qui lui serrait les entrailles malgré l'amélioration de son bien-être dans son nouveau chez lui, puis lui se reprenant, se persuadant qu'ils allaient y arriver que s'ils le pouvaient ils feraient fonctionner cette nouvelle mécanique. Il combattrait cette culpabilité sinueuse qui revenait constamment jusqu'à l'abattre, prouver à tous qu'ils avaient tort, cela fonctionnerait. Il ferait tout pour.

Il referma le carnet et prit son livre de chevet. C'était l'un des livres offerts par Jisung. Sur la couverture un personnage agenre de dos sous le vent du désert marchant vers l'infini horizon. Grâce à son marque-page il ouvrit directement là où il s'était arrêté mais pas pour reprendre sa lecture, non, pour admirer son marque-page. Il souleva le petit personnage magnétique qui lisait tranquillement jusqu'à ce qu'il se décroche de l'autre facette de l'autre côté de la page. Il le relâcha et il réemprisonna la feuille.

C'était son cadeau le plus chéri et de loin. Non pas que les autres lui plaisaient moins mais... Mais celui-ci venait de Chan. Son hyung duquel il ne se serait pas étonné de ne pas recevoir de cadeau même s'il en aurait été déçu. Son hyung toujours absent au point où il n'était plus certain qu'ils sortent ensemble, avait pris du temps pour réaliser ce marque-page de lui-même. Cela montrait qu'il tenait à lui, qu'il se souvenait de ce qu'il aimait, qu'il avait retenu son love langage... Bon nombre de message étaient transmis et gardés par ce petit personnage et Seungmin les chérissait tous précieusement.

Son hyung l'aimait et pensait à lui. Son hyung ne l'oubliait pas même au travail. Son hyung prenait de son temps de travail si précieux pour lui créer le plus beau de tous les cadeaux fait main qu'il eut jamais reçu.

Il referma son livre un long moment après s'être rempli de l'amour de Chan. Il déposa le livre juste à côté du carnet rassemblant trois des cadeaux reçus le jour de son déménagement. Quatre si on comptait la sobre bague gravée à son doigt. Cinq avec le brownie dans son ventre. Six avec les chemises sur mesure dans son armoire. Poulpi était resté avec son portable sur la table basse. Il retourna les chercher.

Il lança l'appel en se remettant dans son lit. Assis sagement sous la couette, dos contre la tête de lit, il attendit que son copain décroche portable sur le genou droit. Il avait mis en haut-parleur, le moins fort possible tout de même, car l'idée d'avoir une voix tout contre son oreille le rendait nerveux. Il ne savait même pas si cela le dérangerait ou pas mais chaque action nécessitant un volume sonore l'angoissait maintenant.

-Hi boo, how you doin' ?

Il y eu des gloussements en arrière-plan face à l'accent séducteur de Felix qui était complétement inhabituel et cela le fit sourire. Au moins ils ne dépérissaient pas en son absence.

-ça va et toi ?

-Good ! We watch Friends.

Seungmin ne comprit pas que la première phrase de son chéri était une référence à la série télévisée. En revanche il savait que Felix et Jisung étaient de grands fans qui se binge watchaient régulièrement l'intégralité des saisons.

-C'est votre visionnage numéro combien ?

-Only the fourth ! Or the fifth ? Anyway we do it with Binnie this time for him to have a little bit of pop culture...

-Bébé dit leur de mettre en coréen ! Version original tout ça, je comprends mais je n'ai pas le temps de lire ! S'exclama Changbin qui essaya tout de même de ne pas être vexant.

L'éclat de voix le fit se rembrunir. Il baissa le volume sonore mais réalisa qu'il était déjà au minimum. Il réaugmenta juste à temps pour attraper la suite au vol.

-... Plus cela nous a cassé Yongbok ! Il parle qu'anglais !

-Sorry not sorry man i'm a bilangual ass ! Répliqua Felix avec cette pointe de sassy qu'il récupérait en même temps que son accent australien.

-Oh Minnie tu veux regarder avec nous ? Depuis chez toi tu pourrais suivre sur ton ordi ! Proposa Jisung en faisant entendre sa voix pour la première fois.

Seungmin accepta sans problème et la conversation dévia. Les autres passèrent dire un petit bonjour voir restèrent discuter et Seungmin se sentit comme s'il était sur le canapé avec eux. Felix lové dans ses bras, Jisung dans ceux de Changbin ou inversement, la série en pause devant eux pour que Changbin se plaigne et que finalement quelques jours plus tard il abandonne la partie avant la fin de la saison, laissant une nouvelle fois le jilix se la regarder tous les deux. Le soulagement teinté de joie étreignait son cœur de savoir qu'ils ne s'arrêtaient pas de vivre, déboussolés dans cet appart sans lui. Cela ne devait pas être tout rose mais ce n'était pas aussi dramatique qu'il l'imaginait.

Il n'avait pas laissé à Minho cinq inconsolables loques mais cinq garçons vaillants qui faisaient bon gré mal gré en attendant de s'habituer à la pluie.

Il entendit le bruit d'une porte se refermant et les voix de ses copains s'atténuèrent jusqu'à ne plus lui être perceptible.

-ça va boo ? Pourquoi tu appelles ? ça ne va pas ? Demanda Felix dont l'excitation avait laissé place à la préoccupation dans son timbre.

Il voulait s'assurer en privée que si Seungmin avait quelque chose sur le cœur, il avait une occasion calme et sereine de se confier. Son chéri n'eut pas à mentir :

-Oui ça va. Ne t'inquiète pas. Tout va bien.

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Petit TMI : Seungmin, contrairement aux autres, n'a jamais parlé de leur appartement où ils vivaient en colocation comme de son "chez lui/eux". Quand j'écrivais sous son point de vue, je faisais attention qu'il dise "qu'il rentrait à l'appartement", signe avant-coureur qu'il ne s'y plaisait pas

Sinon j'ai quelques petites questions pour vous si ça vous dérange pas.

J'aimerais savoir qui (mis à part Chan parce que c'est fait exprès) vous trouvez qu'on ne le voit pas assez ou que je ne l'ai pas encore beaucoup développé ?

Un point négatif dont vous souhaiteriez parler ?

Des pairings (à deux personnages ou plus) que vous aimeriez voir ?

Des idées de scènes, moments, interactions que vous aimeriez voir dans Dysfonctionnel ?

Merci à toutes celles et ceux and my non-binary friend qui auront prit le temps de me répondre !