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❥ Chapitre 17 - L'attachement du vampire

- - - - - PDV Myriam - - - - -

Je cligne plusieurs fois des yeux lorsque j'entends Lily et Drogo. Aucune pique, personne ne crache l'un sur l'autre ? Je regarde ma sœur sortir de la pièce tandis que le vampire approche vers moi.

Myriam : - J'ai loupé un épisode ou quoi ?

Drogo se met à ricaner avant de glisser ses doigts sous mon menton pour que je verse légèrement la tête en arrière. Il tamponne la morsure de la serviette et je serre les dents, ça fait un mal de chien mine de rien putain ! Avec l'adrénaline de tout à l'heure, je ne ressentais rien, mais là mes terminaisons nerveuses se réveillent !

Drogo : - Quand il s'agit de toi, disons que... Ta frangine fait preuve de douceur ?

Je manque de m'étouffer avec ma propre salive.

Myriam : - Lily, douce ? Oula, toi tu tiens pas à la vie ! Si jamais elle t'entend...

Drogo : - Elle est déjà loin avec son loup, t'en fais pas pour elle.

Je lève les yeux au ciel alors que je vois Drogo qui se concentre sur sa tâche. Une question me turlupine et vu la tête qu'il tire, je suppose qu'il n'y aucune barrière sur mes pensées.

Drogo : - Pose ta question.

Myriam : - Comment tu fais pour te contrôler ? Je veux dire... Le sang et tout.

Drogo : - Je suis peut-être le plus jeune de la fratrie Bartholy, vampiriquement parlant évidemment. J'ai encore des choses à apprendre mais je sais me contrôler. J'ai 75 ans tout de même !

Je hausse les sourcils.

Myriam : - Je vois, petit vieillard...

Il me pince soudainement la taille, me faisant glousser.

Myriam : - Mais la petite... Lorie, elle est plus âgée que toi ?

Drogo : - Exact. Elle a été transformée très jeune, d'où le fait qu'elle soit bloquée dans un corps de fillette, mais elle en sait bien plus que quiconque.

Myriam : - Mais c'est Nicolae qui gère pourtant la famille.

Drogo : - Il est le plus rationnel et c'est celui qui gère effectivement. Du moins, en l'absence de Viktor.

Il grogne ce prénom, sa mâchoire se contractant. Je lève ma main pour caresser les lignes de son visage de la pulpe de mes doigts. Ses billes dorées remontent vers les miennes.

Drogo : - Je supporte pas de voir cette trace sur toi... Surtout SA trace, putain !

Myriam : - Drogo, c'est rien t'en fais pas.

Drogo : - Non, dis pas ça, bordel ! T'es comme connectée à lui maintenant, c'est pas rien une morsure d'originel !

Myriam : - Loan a dit qu'on était en sécurité ici...

Drogo : - C'est pas le souci, il pourra toujours t'atteindre ce dégénéré, par la pensée.

Un frisson glacial se met à galoper sur mon épine dorsale.

Myriam : - La pensée, ça me connait ! N'oublie pas que je suis médium.

Drogo : - Choses totalement différentes, je t'assure.

Je prends son visage en coupe. Sa peau est tellement froide que j'ai l'impression d'avoir sorti un pot de glace du congélo !

Drogo : - Merci bien, mais j'ai pas la tronche d'un Mister Freeze...

Je ne peux m'empêcher de rire.

Myriam : - Désolée, je pense trop ! En attendant, arrête de grogner, même si j'adore ça, et allons trouver une chambre. Je suis épuisée...

Drogo : - Tu veux que je bande ta blessure ou...

Myriam : - Arrête de te focaliser sur cette morsure, Drogo.

Il balance la serviette en boule dans la baignoire avant de me soulever façon princesse. J'enroule mes bras autour de sa nuque, mon cœur battant à mille à l'heure. Ma respiration est saccadée et je fixe ce visage sans imperfections.

Comme s'il connaissait les alentours, il se dirige vers le couloir de droite et pousse la porte au fond du corridor. Il la referme d'un coup de pied circulaire, allant ensuite m'allonger délicatement sur le lit. Mais au moment où il se recule, je l'agrippe par la nuque pour le forcer à rester. Son regard m'interroge instantanément.

Myriam : - Attends...

Drogo : - Myriam ?

Myriam : - Où tu vas ?

Drogo : - Je vais... me nourrir, j'ai besoin de reprendre des forces, il est tard. Ou tôt, selon le point de vue.

Je me fige, mais ne retire pas mes doigts de sa nuque pour autant. Avant même que je ne le questionne, il fait taire mes doutes intérieurs.

Drogo : - Je n'attaque pas les humains. Uniquement des animaux.

Myriam : - Tu vas bouffer Père Castor ?

Je pouffe de rire à ma connerie alors qu'il dépose un baiser sur mon front.

Drogo : - Essaie de dormir.

Il tente de se redresser, mais ma main reste ancrée sur lui. Il plisse cette fois les yeux et vient me surplomber, posant ses mains de part et d'autre de mon visage.

Drogo : - Petite chose, tu vas devoir arrêter de t'agripper comme ça, je vais pas pouvoir partir... Déjà que j'ai du mal à être loin de toi...

Myriam : - On dirait que c'est toi qui es accro...

Je le vois secouer la tête. Ses mèches blondes tombent légèrement sur son visage, certaines camouflant les traits de ses pupilles.

Drogo : - C'est ma condition qui fais ça.

Myriam : - Le vampire en toi ? Parce que t'as envie de me croquer ?

Je l'entends ricaner, tandis qu'il se penche vers moi. Ses lèvres charnues effleurent mon oreille, sa voix rauque s'infiltrant délicieusement dans mon conduit auditif.

Drogo : - Entre autre... Je suis épris de toi, petite chose, tu sais ce que ça signifie ?

Je secoue doucement la tête, mes dents se plantant dans ma lèvre inférieure.

Drogo : - Je ne peux être loin de toi. J'ai envie de savoir constamment ce que tu fais, avec qui tu es, à quoi tu penses... Et ta sécurité est primordiale pour moi. Je crèverai à petit feu si on t'arrachait à moi.

A fur et à mesure de ses mots, mon cœur se met à taper un sprint. Je le sens battre comme un forcené dans ma poitrine. Du bout des doigts, je caresse la nuque du vampire, ma température corporelle étant bien plus élevée que la normale.

Myriam : - Je ressens aussi quelque chose... De fort, de différent...

Drogo : - C'est parce que t'es aussi une créature surnaturelle... Je te fais de l'effet, petite chose...

Je lui tape le pec, ce qui a le don de le faire éclater de rire.

Myriam : - Drogo, merde, tu viens de briser le moment !

Je me tortille comme une anguille sous lui pour tenter de me dégager, mais son corps appuie plus fort contre le mien, me maintenant ainsi contre le matelas.

Drogo : - Je sens que je vais vite te remettre dans le moment...

Sa voix n'est qu'un murmure qui me fait frissonner toute entière. Je m'apprête à dire quelque chose, mais il me fait taire en m'embrassant. Je noue mes bras autour de ses larges épaules, ma respiration se calant contre la sienne. Le contraste entre ma peau brûlante et la sienne glaciale est fulgurant !

Myriam : - Drogo...

Drogo : - Shhhh...

Ses lèvres dévient vers la ligne de ma mâchoire, de mon cou. Je me tends légèrement lorsqu'il passe sur la morsure de Viktor. Sa langue semble tracer le sillon de mes plaies, mon corps s'arquant presque instinctivement. Tout mon épiderme est à l'affût de ses caresses buccales.

Il s'arrache soudainement à moi, me faisant râler de frustration, mais je me prends bien vite lorsque je le vois ôter son pull, me révélant ainsi son torse taillé dans le marbre. Je l'avais déjà vu torse nu, mais là c'est tout autre chose. Je caresse ses abdos durs comme du béton, putain la vache !

Je vois un sourire satisfait à la commissure de ses lèvres, alors qu'il revient contre moi. Je presse ma poitrine qui est déjà tendue pour lui, toujours prisonnière de mes vêtements, contre son corps froid qui pourtant me met dans tous mes états. Avant même que je ne m'en rende compte, mon uniforme a déjà valsé à travers la pièce, laissant apparaître mon déshabillé en dentelle aux yeux du vampire qui se met à grogner en détaillant ma tenue.

Drogo : - T'es un véritable bijou, petite chose...

Je crois que je rougis. Non, c'est même sûr ! Je me cache derrière mes mains que je plaque contre mon visage, mais je sens les doigts de Drogo s'enrouler autour de mes poignets pour me remettre les bras sur le matelas.

Drogo : - Te cache pas. T'es magnifique.

On est loin du Drogo mesquin et arrogant que j'ai rencontré sur le campus ! J'ai l'impression de devenir une ado qui fricote avec le mec le plus populaire du lycée ! Je m'accroche à la chaîne de cou de mon beau blond, revenant sceller nos lèvres. Les bretelles de ma lingerie sont baissées sur mes épaules, révélant petit à petit ma poitrine, alors que les bords de mon tanga sont agrippés par les doigts de Drogo. Je le laisse m'ôter cette dernière barrière, qui de toute manière est complètement ruinée, son bassin se plaçant aussitôt entre mes cuisses.

J'enroule mes jambes autour de son bassin, pressant mes talons contre ses fesses rondes et fermes. Je constate d'ailleurs qu'il est déjà nu, bordel je l'ai même pas senti se déshabiller !

Drogo : - L'avantage d'être un vampire, petite chose.

Je souris, ses baisers me rendant de plus en plus folle, sans oublier ses mains sur mon corps. Il abandonne toutefois mes lèvres pour se préoccuper à nouveau de mon cou, me faisant gémir. Il s'agit de ma zone érogène, je vais défaillir rien qu'avec ça ! Sa langue trace des lignes de feu sur ma peau, remontant vers ma mâchoire. Puis viennent ses canines que je sens et je rouvre les yeux, voyant qu'il me fixe de ses pupilles ambrées. Il n'a pas ses yeux rouge, il n'est donc pas totalement transformé.

Drogo : - N'aie pas peur, je te ferais jamais rien...

Je hoche la tête et ferme les yeux, le laissant faire ce qu'il veut de moi, je suis totalement à sa merci.

Je sens son gland à l'orée de ma féminité qui palpite de désir rien que pour lui. J'entrouvre les lèvres et l'observe, son regard est braqué sur mon visage. Je pousse un profond soupir lorsqu'il se presse en moi d'abord lentement, puis lâche un gémissement bien plus fort quand il me donne un coup de reins plus bestial pour s'enfoncer au plus profond de mon fourreau brûlant.

Drogo : - Bordel...

Je souris de fierté lorsque je l'entends râler. Il agrippe l'une de mes cuisses d'une poigne ferme, commençant à faire des va-et-vient endiablés. Sa peau claque contre la mienne, ma voix partant dans des aigües sous l'intensité du plaisir que me procure sa verge gonflée. Elle écarte délicieusement mes parois intimes, tapant ma garde à chaque fois, montant davantage la chaleur en moi.

Myriam : - Oh mon dieu... DROGO !

M'entendre crier son nom a visiblement son effet : il accélère la cadence et sa main libre caresse d'abord mes cheveux puis vient tirer sur le haut de mon déshabillé pour libérer mes seins toujours tendus pour lui. Sa bouche arpente les courbes de mon cou, ses canines râpant légèrement ma peau, alors que je me cambre pour lui donner un accès direct sur mes seins qui n'attendent que ça. Je suis une véritable boule de désir !

Lorsque ses lèvres englobent enfin l'un de mes tétons durcis, je ne pousse plus aucun gémissement, ce ne sont que ces cris qui s'échappent de ma gorge. Il embrasse, suçote et mordille le bout de mes seins par intermittence, tandis que mes ongles se plantent dans la peau de ses épaules.

Je finis par poser mes paumes à plat contre son torse pour le repousser. Je l'entends grogner mais je pousse plus fort, l'obligeant à sortir de moi.

Drogo : - Myriam, tu...

Myriam : - Shhhh...

Le mâle dominant semble avoir pris un coup. Je ricane et l'oblige à s'allonger sur le dos. Je viens de suite me mettre à califourchon sur lui, m'empalant sans plus attendre à nouveau sur son membre tendu à l'extrême. Mes parois sont écartées encore plus avec cet angle et je commence à danser sensuellement sur lui, mes fesses claquant sur ses cuisses à chacun de mes mouvements.

Les yeux de Drogo se posent d'abord sur le point d'union de nos corps, puis remontent vers ma poitrine qu'il vient à nouveau embrasser goulument. Je bascule la tête en arrière, mes mains plongeant dans ses cheveux. Ma chaleur corporelle monte crescendo, nos respirations sont de plus en plus fortes et nos peaux sont maintenant recouvertes de perles de sueur.

Un cri plus fort m'échappe lorsqu'il glisse une de ses mains entre nous pour venir tracer des cercles sur ma petite boule de nerfs. Je sens cette fois une vague de chaleur déferler en moi, me laissant happer par mon plaisir qui atteint son paroxysme. Je scande le nom de Drogo sans me priver, mon intimité se contractant autour de sa verge que je sens bien plus imposante qu'avant. Sa veine saillante palpite dangereusement en moi jusqu'à ce que je sente qu'il finit à son tour, me rejoignant dans la jouissance.

Il ancre aussitôt son regard dans le mien pour venir me voler un baiser furtif. Si lui semble récupérer presque instantanément, je suis totalement à bout de souffle, comme si j'avais couru un marathon ! Il échange nos places pour m'allonger, profitant de notre proximité pour garder son membre en moi, pour mon plus grand plaisir.

Je souris comme une idiote, sentant son corps contre mon dos, un de ses bras s'étant enroulé autour de ma taille. Je suis la seule à respirer comme un camionneur, mais putain que c'était bon.

Drogo : - Dors, petite chose, tu as vidé tes dernières forces... On se voit demain matin...

J'entends à peine sa voix, je sombre rapidement dans les limbes du marchand de sable. Mais à peine ai-je fermé les yeux que j'ai ce sentiment d'être prisonnière. Prisonnière de quelqu'un. Pourtant, je suis dans les bras de Drogo, celui qui me plait plus que de raison, je suis bien dans son étreinte. Mais un mauvais pressentiment me gagne, comme si... Je ne sais pas, comme si j'étais avec quelqu'un d'autre, sans vraiment l'être. Impossible de rouvrir les yeux !

? : - Je l'avais dit qu'un lien nous unissait maintenant, Myriam...

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[Si vous vous accaparez certains de nos montages, merci de nous demander la permission... Le dessin qui apparait dans ce chapitre de Drogo appartient à Miss Thorne Art que l'on félicite pour son talent ❤️]

XOXO ❤️

Myriam & Lily ❤️

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