Siyeon - Bureau
Relation : Siyeon x Lectrice
Catégorie(s) : Smut
Tags : dom/sub, Siyeon dom, lectrice sub, appel téléphonique/phone sex, JOI (Jerking Off Instructions), masturbation, compte à rebours, sextoys
Nombre de mots : 3292
Résumé : Quand la lectrice décide de s'occuper en se masturbant mais Siyeon l'interrompt à distance par inadvertance...
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Ma main avait glissé sous mes vêtements depuis déjà plusieurs minutes. Mon désir croissait jusqu'à ce que je sois sur le point de jouir...
La sonnerie de mon téléphone m'interrompit. Ma première réaction fut de me stopper soudainement pour me lever et attraper la source du dérangement bien que je sois en train de trébucher. Le nom affiché sur l'écran me rassura. Il s'agissait de Siyeon, alors je n'avais pas de quoi paniquer.
On s'était installées ensemble depuis peu mais elle était partie travailler aujourd'hui. Bien sûr, après ses courtes vacances, c'était évident qu'elle serait moins à la maison. Siyeon était assez bien placée et gérait une petite équipe dans les bureaux d'une agence de cosmétique. Sa présence là-bas était nécessaire, même si je serais incapable de réellement décrire ses rôles au sein de l'entreprise.
Puisqu'elle me laissait seule à la maison, elle avait promis de m'appeler une fois par jour au moins, pour prendre de mes nouvelles même si elle me rejoindrait en fin de soirée. Et elle avait décidé que c'était le moment idéal, sans savoir comment j'avais décidé de m'occuper...
J'acceptai l'appel en m'efforçant de reprendre ma respiration discrètement.
« Allô ? »
Entendre sa voix apportait un sourire sur mon visage.
« Comment tu vas ? demanda-t-elle d'une voix posée.
- Ç-Ça va...
- T'es sûre ? Je te dérange pas, mon ange ? »
J'hésitais à lui dire. Après tout, lui partager l'information ne pourrait pas être une mauvaise chose. Toutes les réactions possibles que je pouvais imaginer ne finissaient que bien dans ma tête. Sa voix appela mon nom car ma réflexion durait longtemps. Enroulant un doigt propre autour d'une mèche de cheveux, je lui expliquai :
« C'est juste que... Tu me manquais et... Tu manquais aussi à mon corps alors... Quand tu m'as appelé j'étais en train de...
- En train de ? Je t'écoute, mon ange, utilise tes mots. »
Le ton de sa voix avait clairement changé. J'entendais la malice dans ses mots et pouvais deviner le sourire en coin qui étirait ses lèvres.
« Je me caressais. Je pensais à toi alors je me touchais.
- Tu n'aurais même pas du t'arrêter. Continue, reprends où tu en étais. »
Mon téléphone à la main, je m'allongeai à nouveau sur le lit. Ma main libre se retrouva sous ma culotte pour reprendre mes caresses. Je soupirai quand mes doigts refroidis reprirent contact avec ma chair chaude.
« Et si... Et si tu me guidais ? proposai-je avec une certaine hésitation, le cœur battant vite.
- Attends un instant. »
À travers mon téléphone, j'écoutais ses pas claquer sur le sol. Je devinai ensuite une porte s'ouvrir. Où allait-elle ?
« Je suis dehors, je suis tout à toi désormais. »
La voix de Siyeon avait-elle toujours été aussi attirante ? Je ne me rendais compte que maintenant, lorsque je n'avais accès qu'à ça, que sa voix devenait plus grave quand elle me parlait ainsi.
« Tu portes encore tes vêtements ? s'informa-t-elle posément.
- Oui.
- Tu n'en as pas besoin. Enlève-les. Tous. »
Je posai le téléphone sur le matelas et retirai mon t-shirt et mon pantalon qui me donnaient bien trop chaud.
« T'as tes écouteurs à proximité ? me demanda Siyeon alors que j'étais encore en train de me déshabiller.
- Oui. Pourquoi ?
- Connecte les, tu m'entendras mieux et ce sera plus simple. »
Je m'éxécutai tout en me débarrassant de mes sous-vêtements. J'étais alors complètement nue, seule, mais accompagnée médiatement par celle qui savait me donner du plaisir.
« C'est bon, lui indiquai-je.
- Bien. »
Elle n'avait pas menti : sa voix qui atteignait mes oreilles grâce aux écouteurs était bien meilleure. Je l'entendais directement, tout près de moi. Comme si elle était là pour de vrai. Et en fermant les yeux, je pouvais l'imaginer à mes côtés.
« Tu t'étais servie de quoi, juste avant ?
- Rien. Mes doigts.
- Va chercher un jouet. Celui que tu veux, tant qu'il vibre. »
Je me levai encore pour lui obéir.
Finalement, elle m'indiqua d'autres petits détails avant qu'elle me guide enfin vers ce que j'attendais.
« Touche-toi, mais doucement. Commence doucement. Tu as joui, tout à l'heure ?
- Presque.
- Alors ça ira vite. »
Rapidement, Siyeon me fit allumer le jouet pour le poser directement sur mon clitoris. Je savais qu'elle entendait chacun de mes soupirs que je renchérissais pour l'exciter.
La laisser prendre des décisions à ma place, même en terme de masturbation, était stimulant. La laisser me guider, m'accompagner, ne pas réfléchir, écouter ses mots. Cela faisait croître mon excitation, et elle devait s'en rendre compte.
« Tu as une main libre, n'est-ce pas ? Caresse tes seins, mon anges. Je peux facilement les imaginer, si beaux et dénudés... Touche-les pour moi. »
Mes actions suivaient ses mots, et mes doigts jouèrent avec un de mes seins pendant que je tenais toujours le vibrateur contre mon intimité humide.
Avant d'être interrompue par Siyeon, j'avais été sur le bord de l'orgasme si bien que cela revint très vite. Je tentais de le repousser et de me retenir pour faire durer ce plaisir d'être guidée mais cela commençait à être difficile.
« Siyeon...
- Je t'entends, mon ange. J'entends comme tu es proche. Rahhh, j'adore t'entendre. C'est vraiment difficile de rien pouvoir faire, ici. J'ai hâte de rentrer. »
Je la sentais vraiment frustrée d'être aussi excitée en restant loin de moi et en étant sur son lieu de travail.
« Je vais compter à partir de trente, d'accord ? »
Je hochai la tête avant de me rappeler qu'elle ne pouvait pas me voir. Alors, je m'évertuai à verbaliser mon accord. Puis le compte à rebours commença.
« 30, 29, 28, 27, 26, 25, 24... »
Serais-je capable de tenir jusqu'au zéro sans jouir avant ?
« 23, 22, 21, 20, 19, 18, 17, 16... »
Comme le nombre était grand, elle se permettait de compter plutôt vite, ou en tout cas sur le début.
« Siyeon, je vais pas pouvoir–
- Bien sûr que si, tu peux. Tu as déjà fait bien pire. Ma voix t'excite tant que ça ?
- Oui, tellement. »
Je sentais qu'elle appréciait cette réponse. C'était la première fois qu'on tentait quelque chose comme ça et ça se passait merveilleusement bien.
Même si ce n'était sûrement pas autorisé, je lâchais mes tétons pour mieux me retenir.
« 15, 14, 13, 12– »
Soudain, une voix extérieure la coupa.
« Siyeon, vous êtes partie depuis un moment, on vous cherchait. Vous pouvez revenir ? »
*Putain, manquait plus que ça.* Ça allait encore plus rallonger le temps avant mon orgasme.
« Un instant, Gahyeon, répondit mon amoureuse. Mon équipe sait quand même se débrouiller sans moi ? Je serai là bientôt. Sinon, demandez à Minji. »
Le ton de sa voix n'avait pas changé et devait sembler inhabituel pour ses collègues. Peut-être fut-elle intimidée car je l'entendis à peine murmurer une politesse avant qu'elle ne paraisse disparaître pour laisser Siyeon reprendre.
« Désolée, mon ange... J'ai hâte de rentrer. Je reprends. J'en étais où ?
- Plus vite, s'il te plaît, je–
- Ça va aller, tu vas y arriver, je crois en toi. 11, 10, 9, 8, 7, 6... »
Je sentais l'orgasme me venir à chacun de ses nombres et attendais tellement impatiemment la fin. C'était tellement difficile de continuer à me réfréner ainsi. Plus vite...
« 5. 4. 3. »
Son rythme était plus lent. Siyeon avait ralenti. C'était encore plus long. Putain...
« 2.
- Siyeon... »
Je la suppliais presque, sans vraiment savoir pour quoi.
« 1. »
Si près...
« 0. C'est bon, mon ange, c'est fini, tu peux te libérer. »
Et il ne m'en fallut pas plus pour laisser un orgasme jusqu'alors nié enfin faire trembler mon corps. Mes soupirs se transformèrent en gémissements pour exprimer la puissance de mon plaisir. Mes yeux se révulsèrent pour la même raison, tant j'avais attendu. La voix de Siyeon s'était tue mais toute son implication précédente m'avait permise de jouir aussi intensément.
« C'est bien, mon ange. Je suis fière de toi. »
Ma respiration haletante fut perturbée par un sourire qui étendit mes lèvres entrouvertes. Je me sentais bien, très bien.
« Je te manque toujours ? demanda-t-elle. J'ai envie de rentrer, je pourrais pas tenir. »
Je ne voulais pas interférer dans sa décision de quitter son travail plus tôt. Je ne voulais pas que cela lui attire des ennuis. Mais... Une seule fois... Avec le grade qu'elle avait... Et le fait qu'on s'approche déjà de la fin de l'après-midi...
« Oui, tu me manques toujours. »
Elle ricana presque.
« Toi aussi, tu me manques. »
Je fus étonner de voir qu'elle laissa l'appel allumé en retournant à l'intérieur des locaux.
« Handong, dites à mon équipe que je pars plus tôt, j'ai une urgence. Si quelqu'un demande, qu'on m'envoie un mail. Mais je ne suis pas sûre de répondre avant demain. Sinon donne la charge à Minji.
- Une urgence ? Tout va bien ?
- Oui, aucun problème. Ça va aller, jusqu'à ce soir ?
- Il ne reste que quelques heures, ça ira, » conclut qui j'imaginais être sa secrétaire.
Puis je l'entendis marcher à nouveau. Ensuite... Prenait-elle l'ascenseur ? Sûrement. La fois suivante où sa voix m'atteignit, elle résonnait.
« Je serai là dans quinze minutes, mon ange. Je suis dans le parking, j'arrive bientôt.
- Attends ! Siyeon... On peut passer en appel vidéo avant que tu partes ? »
Elle accepta ma demande après que je reprenne mon téléphone dans mes mains et elle m'apparut : ses cheveux noirs très droits atteignant ses épaules, son maquillage, sa tenue très classe. Je coinçai ma lèvre entre mes dents en voyant comme elle était attirante.
Puis, j'appliquai l'idée qui m'avait traversé l'esprit.
« Regarde Siyeon..., lui indiquai-je d'une voix faussement boudeuse pour volontairement la provoquer en dirigeant l'objectif vers mon entrejambe. Regarde ce que tu as fait de moi... »
Je tentai de stabiliser mon téléphone entre mes jambes pour qu'elle puisse voir du mieux possible la totalité de mon corps nu, avec un évident gros plan sur l'endroit que je venais de souiller pour elle, le jouet toujours entre mes cuisses. J'étais tant trempée que c'était visible même à travers ma pauvre qualité photographique.
Siyeon se mordit la lèvre en me voyant ainsi. Mais elle continuait à marcher dans le parking jusqu'à arriver jusqu'à sa voiture. En s'asseyant, toujours les yeux rivés sur mon corps à travers l'écran, elle soupira. Mon nom quitta ses lèvres. Elle m'avait appelée de sa voix toujours aussi grave. Je la mettais hors d'elle et j'adorais en jouer.
« Siyeon, tu me manques... »
Pour appuyer mes propos, mon doigt passa sur mes lèvres glissantes. Elle prononça mon prénom encore une fois. Je ne savais pas ce qu'elle voulait. Peut-être essayait-elle simplement de reprendre ses esprits et de ne pas laisser son désir prendre le dessus, surtout lorsqu'elle avait à conduire.
« J'arrive dans quinze minutes. »
Et l'appel se coupa. Étais-je allée trop loin ? L'avais-je réellement agacée ?
Ce furent les quinze minutes les plus longues que je puisse imaginer. Je n'avais quitté ni le lit, ni ma nudité quand j'entendis enfin la porte s'ouvrir. Siyeon était arrivée.
Je n'osais pas me lever. Devais-je l'accueillir ainsi ? La laisser venir jusqu'à moi ? M'excuser de ma provocation alors qu'elle devait prendre la route ? Mes questions furent coupées par sa voix, cette fois bien plus posée, qui appela mon nom. Elle ne semblait pas vexée ou frustrée.
En guise de réponse, je me levai doucement et entrouvris la porte. Mes yeux se plantèrent sur mon amoureuse qui n'avait pas quitté son costume.
Son regard se verrouilla sur moi tandis qu'elle se débarrassait de ses chaussures et de sa veste. Puis, elle s'avança vers moi avec un regard sombre. Sa main poussa la porte de la chambre alors que je continuais à me cacher derrière, nerveuse.
Ses deux mains froids se placèrent sur mes hanches pour qu'elle puisse me plaquer contre la porte qui se claqua. Un frisson parcourut ma peau dénudée.
« Toi aussi tu m'as manqué, » annonça-t-elle avant de prendre possession de ma bouche.
Ses lèvres se fixèrent aux miennes. Comme elles étaient entrouvertes, je lui laissais un accès facile à ma langue qu'elle vint caresser avec la sienne. Son parfum et son goût m'enivraient. La sentir près de moi m'avait manqué. Entendre sa voix était agréable, mais l'avoir contre moi était supérieur.
Ses doigts glissèrent le long de mon flanc jusqu'à atteindre mes seins tandis que mes bras s'enroulèrent autour de sa nuque pour approfondir le baiser. Mon manque d'air vint m'étourdir alors que mon étourdissement euphorique lié à mon orgasme ne s'était pas entièrement effacé.
Je soupirai dans sa bouche quand sa main massa mon sein. Je savais à quel point Siyeon les adorait. Puis, quand on manqua vraiment d'air, elle quitta ma bouche pour embrasser ma mâchoire et descendre jusque dans mon cou. Sur cette partie de ma peau exposée, elle laissa des marques. Je m'accrochai à elle jusqu'à entourer sa taille avec mes jambes. Être attachée à elle ainsi, plaquée contre la porte, me donnait une étrange sensation de sécurité et de protection. Elle me tenait, me portait. Elle me protégeait.
Finalement, mon dos suant se décolla de la porte lorsque ses deux mains se fixèrent sous mes fesses pour me soutenir et m'amener jusqu'au lit.
« Tu me rends dingue, affirma Siyeon. Tu m'as tellement manqué. »
Tout mon corps était brûlant, et même la fraîcheur de ses mains ne pouvait calmer mon ardeur. J'avais besoin de la sentir contre moi, encore plus. Je voulais sentir sa peau nue contre la mienne, absolument. Mais ses vêtements faisaient barrière. Après avoir été déposée sur le matelas, je pus libérer sa nuque de mes bras, en laissant cependant mes jambes autour de sa taille.
Elle se pencha pour m'embrasser mais je l'empêchai de trop se rapprocher de moi pour que je puisse enlever sa chemise. Je pus détacher quelques-uns des boutons les plus hauts mais le reste était trop éloigné de moi. Toutefois, mon désir était suffisamment clair pour que Siyeon prenne elle-même le relais en se débarrassant des autres. Je me mordis la lèvre en voyant progressivement apparaître le haut de son corps. Ses clavicules qui ressortaient joliment, la courbe de ses épaules et bras légèrement musclés, ses seins encore dissimulés mais qui ne laissaient quand même plus de place à l'imagination, et, finalement, son ventre. Tout ceci était un spectacle à mes yeux et je ne pus que sourire devant la beauté de son corps.
Finalement, sa chemise rejoint le sol. Mais elle portait toujours son pantalon et cela me dérangeait. Alors, de la même manière que son haut, je tendis mes bras vers son bas pour le défaire. Néanmoins, elle bloqua mes poignets au dessus de ma tête pour m'embrasser sans être gênée. Sa bouche vint se coller à la mienne une nouvelle fois. Mais ses mains lâchèrent les miennes pour tout de même se déshabiller comme je le souhaitais. En lâchant mes lèvres, elle dit, haletante :
« C'est désagréable de devoir marcher en étant aussi trempée. »
Elle devait sûrement faire référence à tout son trajet depuis notre appel. Devoir garder sa démarche confiante et charismatique alors que c'était en réalité inconfortable de marcher.
Bien qu'elle déposa sa bouche le long de mon cou, je réalisai que je voulais la satisfaire elle : j'avais déjà pu prendre du plaisir à ma guise lorsqu'elle dut se restreindre. Alors, même si je n'en avais pas l'habitude, je forçai comme je pouvais pour me retrouver au dessus d'elle. Cette position était moins naturelle et confortable pour moi mais, à mon tour, je voulais lui donner du plaisir.
Un sourire espiègle aux lèvres devant mon audace, Siyeon me laissa complètement faire. J'écrasai ce sourire avec mes lèvres pour venir chercher sa langue avec la mienne. Je laissais mes mains aveuglement errer sur son corps presque nu.
Je la débarrassai de son soutien-gorge tandis que je sentis l'un de ses bras venir entre ses jambes. En laissant ma langue tracer le chemin jusqu'à sa poitrine, je vis bien qu'elle se donnait elle-même du plaisir tandis que je vins lécher ses tétons. Désormais endurcis, il était alors plus facile de les pincer entre mes doigts.
Ses soupirs vinrent jusqu'à mes oreilles. Je comprenais comme cela devait lui faire du bien de pouvoir enfin se toucher après avoir été autant excitée. Et je voulais l'aider.
Après avoir déposé un baiser sur son ventre, je me levai rapidement pour chercher un jouet que je savais qu'elle aimait. Lui aussi vibrait mais il fonctionnait différemment.
Tandis que je retirai ses doigts de son entrejambe, j'approchai le jouet vibrant de sa culotte trempée. Ses soupirs étaient ainsi bien plus bruyants et se transformaient en gémissements. Ses mains s'agrippèrent aux draps et sa tête bascula vers l'arrière.
« C-Continue... »
Sa voix, qui m'avait accompagnée tout à l'heure, avait toujours ce pouvoir sur moi. Je devais être aussi trempée qu'elle, assurément.
Alors, au lieu de simplement tenir le jouet contre son clitoris, je m'assis sur celui-ci pour être aussi stimulée qu'elle. Mes genoux autour de ses hanches, j'attrapai ses mains pour entourer mon dos avec. Maintenant, c'était à ma peau que Siyeon s'accrochait. La douleur était légère, parfaitement agréable.
Mes gémissements se mélangeaient aux siens tandis qu'on couvrait presque totalement le bruit de la vibration. Le jouet était correctement calé entre nous deux, stimulant les deux clitoris de la bonne façon.
Son dos était toujours étendu sur le lit alors que moi, la chevauchant, je me cambrai sur elle car dominée par le plaisir. Je savais comme elle profitait de me voir nue lorsque la luxure prenait ainsi possession de moi.
Ses bruits se firent plus rauques lorsqu'elle m'observait et je me sentais belle.
« J-Je suis proche, Siyeon.
- Attends un peu mon ange, on viendra en même temps. »
Comme lorsque je me masturbais, je devais retenir l'orgasme qui s'approchait. Je devais m'empêcher de l'atteindre pour que je puisse être synchronisée avec elle. Ses mains descendirent sur mes hanches qu'elles maintinrent fermement. C'était encore plus dur de me retenir lorsqu'elle était là. Dur de me retenir lorsqu'elle gémissait sous moi, se contractait au même rythme que moi.
« Tu es prête, mon ange ? »
En fermant les yeux, je hochai la tête catégoriquement.
« Allez, maintenant, viens avec moi. »
Sa voix se perdit dans une vague euphorique tandis que le début de son indication me suffit à me lâcher complètement. Ses bras m'entourèrent entièrement alors qu'on jouissait encore. On se décala du jouet qui continuait à vibrer pour tranquillement redescendre.
Finalement, quand je fus en état de bouger, j'attrapai le jouet trempé pour l'éteindre mais le laissai là, trop lasse. Puis, je me mis en boule contre le corps de Siyeon pour qu'elle puisse m'encadrer. Mon oreille contre sa poitrine percevait les rassurants battements de son cœur alors que j'occupais mes doigts en les glissant gentiment contre la peau claire de sa joue.
« Merci, mon ange.
- Merci à toi, Siyeon. Et pour tout à l'heure, aussi. C'était génial.
- C'est vrai ? Tu as tant aimé que ça ?
- Ouais... J'aimerais bien recommencer une autre fois. Tu pourras essayer aussi. J'ai vraiment trouvé ça super bien. Je suis contente. »
Je souriais grandement contre sa peau dénudée, satisfaite et ravie.
« Je t'aime, Siyeon. »
Elle déposa ses lèvres sur le dessus de ma tête avant de me répondre :
« Mmmmhh... Moi aussi je t'aime. »
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13.01.23
DREAMCATCHER 6 ANS J'AI FAILLI PLEURER DEVANT LE MV DE REASON MAIS SLAY 🥲
J'espère que cet anniversaire est une bonne journée passée pour tout le monde
Avant que demain arrive, je vous livre donc ce one shot. J'ai adoré tenter de nouvelles, même si je l'ai écrit il y a assez longtemps
Je vous le publie en attendant que j'écrive de nouvelles choses car je freine un peu les lemons en ce moment. En effet, j'écris d'autres choses 👀 et ça finira par arriver. Hésitez pas à jeter un œil à mon compte plus globalement si vous aimez ce que je fais
Très bonne soirée à tout le monde,
Des bisous :)
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