Handong - Cabine
Relation : Handong x Lectrice
Catégorie(s) : Smut
Tags : léger dom/sub, Handong dom, lectrice sub, semi public, fingering, miroir
Nombre de mots : 2132
Résumé : Une virée shopping entre Handong et la lectrice dérape assez vite lorsqu'elles décident de partager la même cabine...
∆
« Tu veux essayer celle-ci ? »
La voix de ma petite amie m'a tirée de mes pensées. Mes mains caressaient le tissu d'une robe dans laquelle j'essayais de me projeter.
« Peut-être...
- J'suis sûre que ça t'irait super bien, essaie ! »
Le soutien de Handong ne pouvait que m'encourager à essayer la robe.
Plus tard dans la soirée, nous irons chez SuA, une deux nos amies qui organise une fête pour son anniversaire. Le seul bémol... Le dress code est basé sur le thème "sexy" et je n'ai rien à me mettre qui le soit vraiment...
J'avais presque eu envie d'annuler quand elle insistait autant pour qu'on s'habille sexy car je savais déjà comment j'allais galérer. Mais... En même temps, je pourrais en profiter pour en jouer et charmer Handong en public. Mes lèvres se sont levées en un sourire en coin en l'imaginant presque hors de contrôle sans pouvoir me résister... Enfin bref, avant d'arriver à cette fameuse soirée, il me fallait donc une tenue. Voilà pourquoi ma petite amie et moi nous retrouvions au dernier moment à faire du shopping. Même si ce point-là est surtout causé par notre manque d'organisation.
Alors, après avoir parcouru les rayons, j'ai sélectionné deux robes différentes pour les essayer et savoir laquelle m'irait le mieux. Arrivée aux cabines d'essayage, j'ai été ravie en remarquant que c'était comme des portes qui les fermaient, et non des rideaux. À chaque fois que c'était simplement un tissu ondulé et instable, je n'étais jamais à l'aise, effrayée qu'on puisse m'apercevoir malgré tout.
Quand j'ai voulu entrer dans une cabine, Handong m'a suivie naturellement, avec un large sourire.
« T-Tu... restes avec moi ?
- Oui, bien sûr, a-t-elle affirmé sans quitter son sourire narquois. Je veux pouvoir t'admirer, même en dehors de la maison. »
Embarrassée, les joues rouges, j'ai commencé à me déshabiller en maintenant mon regard dans le vide. J'ai jeté un œil à son visage lorsque je me suis retrouvée en sous-vêtements, et je l'ai vue coincer sa lèvre entre ses dents. Je ne sais pas si c'était de la fierté ou de la gêne qui me donnait aussi chaud, mais je sentais mes joues encore plus ardentes.
Handong s'était adossée à une des parois pour me mater, un pied contre celle-ci, avec ses bras croisés. Seulement ensuite j'ai enfilé la première robe. Elle était blanche et descendait jusqu'à mes genoux. Par contre, elle créait un grand décolleté avant de remonter en deux épaisses bretelles.
Ce n'était vraiment pas le genre de vêtements que j'avais l'habitude de porter et étais donc peu à l'aise. Et honnêtement je ne saurais même pas dire si le regard brûlant de Handong m'aidait ou faisait tout le contraire.
J'ai attrapé mes cheveux pour les mettre tous du même côté, laissant mon cou encore plus à découvert. En faisant ça, j'ai attiré sans le vouloir ma petite amie observatrice qui continuait à sourire. Elle s'était décollée du mur et rapprochée de moi. Sa main s'est posée sur la mienne et, avec beaucoup de lenteur, elle a embrassé la zone que je venais de dégager.
Ses lèvres sur mon cou m'ont faite frissonner et je n'ai pas pu le retenir. On faisait toutes les deux face au miroir et je pouvais donc bien mieux voir ses yeux sombres perçants. Elle a posé sa tête sur mon épaule, fixé mon reflet et glissé près de mon oreille :
« Tu es magnifique. »
Tout s'agitait à l'intérieur de moi. Appelez ça comme vous voulez, des papillons sûrement, mais peu importe ce que c'était... Je le ressentais. Je n'ai pu retenir ni mon sourire, ni mon rougissement croissant.
« Vas-y, essaie la deuxième. »
Finalement, elle s'est reculée et replacée contre la même paroi, reprenant sa position. De la même manière, je me suis déshabillée en tentant d'ignorer ses yeux sur moi. J'ai replacé la robe blanche sur son cintre avant de porter celle qui était bleu marine.
Celle-ci avait l'air de mieux correspondre à l'idée d'une robe "sexy" alors elle partait déjà avec un avantage.
Sauf que... La fermeture éclair à l'arrière suggérait une aide extérieure. Je n'osais pas demander à Handong de venir la fermer, vu comme elle venait d'être audacieuse. Je n'avais pas envie de lui donner une autre occasion de m'exciter, puisque ce n'était absolument pas l'endroit idéal pour ça.
Mais je n'avais pas le choix, et j'ai soupiré avant de chercher son regard dans le reflet du miroir. Sans me retourner, je pouvais créer un contact visuel, et ma demande silencieuse a tout de suite été comprise. Handong est revenue vers moi, et, avant de remonter la fermeture, elle a caressé mon dos, me défiant du regard.
Quand ses lèvres se sont à nouveau posées sur la peau de mon cou, mes yeux se sont fermés et un soupir m'a échappé.
Le tissu moulait mes hanches, mes fesses, mes seins. Même si elle venait de me voir presque nue, cette vue sembla beaucoup l'exciter. Peut-être que ma projection de lui faire perdre le contrôle pendant la soirée était erronée... Parce que ça allait se passer maintenant.
Ses mains se sont posées sur mes épaules quand elle a bloqué ses yeux sur les miens à travers le miroir. Ses doigts ont lentement glissé le long de mes flancs, passant sur mes côtes jusqu'à mes hanches. De cette manière, elle a fait plusieurs allers-retours, sans que je ne comprenne réellement ses intentions.
« Et celle-ci est encore mieux. »
Je sentais son souffle sur mon cou. Je ne savais pas si elle chuchotait pour être sensuelle ou bien pour ne pas être entendue de l'extérieur. Puis, elle a encore embrassé mon cou mais cette fois plus longtemps, ses mains agrippant mon ventre.
« Tes seins sont splendides dans cette robe. Je peux les toucher ? »
Handong continuait à murmurer et avait déposé ses mots tout près de mon oreille. Mes joues n'arrêtaient pas de chauffer. Bien sûr que j'acceptais qu'elle me touche... Dès que ses doigts voyageaient sur mon corps, je ressentais beaucoup d'amour de sa part. J'adorais ressentir ça.
« Oui... »
Je ne parlais pas plus fort qu'elle mais elle avait tout de même compris et a agi instantanément. Ses mains sont donc remontées jusqu'à ma poitrine et elle la caressait sans quitter des yeux le reflet des miens.
« Regarde-toi... »
Un baiser sur mon cou.
« Tu es magnifique, chaton. »
Une pression sur mes seins.
« Regarde-nous... »
Mes tétons pointaient désormais, au point où c'était visible à travers le tissu sombre que je venais d'enfiler. Handong aussi l'avait remarqué et a commencé à tracer des cercles dessus, et a dit avec ce même sourire en coin :
« Je sais que ta poitrine est sensible, princesse. »
Je mordillais ma lèvre inférieure pour bloquer n'importe quel son qui aurait pu vouloir s'échapper.
« Chhhht. Reste silencieuse, chaton. »
Comme si elle me défiait, Handong a descendu l'une de ses mains jusqu'à mes cuisses. Jusqu'à l'intérieur de mes cuisses...
« Ta peau est si douce... »
Je continuais à me demander si l'endroit était réellement approprié pour quelque chose d'aussi intime mais peu m'importait. L'anticipation quant au plaisir qu'allait me donner Handong dépassait ma raison.
« Est-ce que tu es encore capable de rester silencieuse si... »
Ses doigts ont atteint ma culotte en continuant à errer. Je ne lâchais pas notre reflet du regard : je la voyais sourire. Sans s'en cacher, elle caressait avec deux de ses doigts la partie la plus sensible de mon corps tandis que ses dents ont coincé le lobe de mon oreille pour le mordiller gentiment. Putain...
Je la détestais presque pour m'avoir contrainte à ne faire aucun bruit. Malgré mes tentatives, ma respiration devenait très bruyante.
« J'adore cette robe mais j'avoue que je préférerais te l'enlever, si tu permets, » m'a-t-elle signalé.
C'était la première fois que je pouvais voir à quoi je ressemblais dans un tel contexte et mes yeux reflétaient tellement à quel point je la voulais. J'ai hoché la tête, puis, sans attendre, Handong a descendu la fermeture éclair qu'elle avait levé à peine quelques minutes auparavant.
Elle ne prenait même pas le temps d'être douce, et s'est à peine préoccupée de remettre la robe sur son cintre qu'elle était déjà revenue me toucher. Elle avait repris la même position, collant sa poitrine à mon dos et replaçant une main entre mes jambes. Cette fois-ci, je ne portais que mes sous-vêtements et elle n'a pas hésité à passer même sous le tissu.
Naturellement, je n'étais pas forcément bruyante, mais devoir rester complètement silencieuse me semblait très difficile. Pourtant, je n'avais pas le choix, et Handong se délectait de me voir autant galérer.
« Mohh, pauvre chaton, » s'est-elle moquée.
Au même moment où elle a ricané, elle a décidé d'insérer d'un coup son majeur et son annulaire à l'intérieur de moi. Sous la surprise, je suis presque sûre d'avoir laissé un bruit s'échapper de mes lèvres alors Handong m'a rappelé à l'ordre.
« Chhhht. Je t'ai demandé de rester silencieuse, a-t-elle murmuré à mon oreille. Si tu continues à faire du bruit, je devrais arrêter. »
Un de ses sourcils s'est levé, appuyant son sourire. J'étais absolument soumise à elle et ne pouvais faire autre chose que de lui obéir. Et bordel que c'était excitant.
Je me suis efforcée à nous regarder, nous admirer grâce au miroir. Je l'ai vue replonger dans mon cou, se remettre à déguster ma peau. Handong en prenait soin à sa manière, ce qui signifiait pas de la plus douce des façons. Elle l'embrassait, la caressait avec sa langue, la coinçait entre ses dents. Je savais qu'une marque y resterait.
Pourtant, les sensations sur mon cou semblaient presque dérisoires comparées à celles qu'elle me créait avec ses doigts.
D'une volonté instable, je tentais vaguement de freiner mes gémissements. Alors, mettant ses menaces à exécution, Handong a ralenti ses gestes. Son regard s'est attaché au mien.
« Je t'ai dit de te taire, chaton. »
Avec un soupir frustré, j'ai essayé de la convaincre de reprendre ses mouvements rapides et puissants. Finalement, elle a changé la position dans laquelle on était pour plaquer mon dos contre le miroir. La fraîcheur de la surface m'a faite frissonner, autant qu'à cause de la brutalité du geste. Bien sûr, ça ne m'empêchait pas du tout d'adorer ce qu'elle me faisait.
Ses doigts se sont à nouveau retrouvés profondément à l'intérieur de moi très soudainement. Elle négligeait complètement ses actions, agissait rudement ; mais c'était parfaitement ce qui me plaisait. J'aimais que Handong me traite comme une pauvre chose, inférieure et désespérée. J'adorais sa domination.
Pour dissimuler mes soupirs satisfaits les plus discrets jusqu'à mes gémissements les plus bruyants, elle a capturé mes lèvres. Elle m'embrassait passionnément et mes bruits se retrouvaient dans sa bouche, les étouffant. Ma langue effleurait la sienne distraitement. J'étais incapable de me concentrer sur les mouvements de ma bouche, tandis que je m'approchais du point le plus haut de mon excitation.
Je m'accrochais à elle, ne tenais presque plus debout. Mes jambes tremblaient tellement que j'aurais pu tomber. Mais Handong l'avait remarqué et a entouré ma taille avec son deuxième bras. Quant aux miens, je les ai enroulé autour de son cou, comme si je pouvais encore plus la rapprocher de moi. Elle me tenait fermement et sa force était un facteur supplémentaire à mon excitation.
« Alors, princesse ? On tient plus debout ? »
Je ne lui ai rien répondu, préférant prendre possession de sa bouche une nouvelle fois. Je soupirais bruyamment, respirais très fort. Ses impulsions se faisaient de plus en plus puissantes et je pouvais imaginer comment son bras devait fatiguer. Mes mains erraient dans le haut de son dos, se tenaient à son haut, s'enfonçaient dans sa peau.
Et le moment est finalement arrivé. Ma respiration s'est bloquée. Je me suis séparée de ses lèvres. J'ai lâché un gémissement. J'ai laissé mes bras tomber. J'ai posé ma tête contre le miroir.
Mes pensées étaient brumeuses et je ne disais rien. Handong a fini par prendre la parole :
« C'est bien, chaton. »
Elle m'a embrassé. C'était tendre. J'ai glissé mes mains sur ses joues et elle a entouré ma taille de ses deux bras. Nos deux corps étaient collés.
J'aurais voulu que ce moment dure plus longtemps mais elle m'a coupé de mes pensées :
« Rhabille-toi, chaton. On y va. »
Puis, d'un ton espiègle, elle a ajouté :
« Tu penses que quelqu'un s'est rendu compte du temps qu'on a passé ici ? »
Avec un clin d'œil, elle est sortie de la cabine pour me laisser me vêtir tranquillement.
Bạn đang đọc truyện trên: Truyen247.Pro