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Gahyeon - Gaming

Relation : Gahyeon x Lectrice

Catégorie(s) : Smut

Tags : dom/sub, Gahyeon brat, lectrice brat tamer, degradation kink, praise kink, teasing, edging, sexe oral

Nombre de mots : 4447

Résumé : Gahyeon est trop concentrée sur son jeu vidéo pour accueillir la lectrice, qui compte bien lui faire regretter son comportement...












« Putain ! »

Ce fut la première chose que tu entendis en rentrant dans ton appartement. Curieuse de savoir ce qui mettait Gahyeon dans cet état, tu te dirigeas tout de suite vers la chambre. En poussant la porte, ton regard se posa sur ta petite amie, assise à la chaise du bureau, un casque sur les oreilles et les mains sur le clavier. Tu soupiras avec un sourire en constatant pourquoi elle était en train de s'énerver.

« Gahyeon... »

Tu appelas son nom avec un soupir amusé. Son regard dériva à peine de l'écran pour marmonner une réponse. Tu te positionnas derrière sa chaise pour avoir un aperçu du jeu vidéo auquel elle jouait sans réellement comprendre les enjeux, avant de reposer ton menton sur le haut de sa tête. Avec ta main, tu décalas son casque de l'une de ses oreilles avant de demander :

« Tu m'entends, au moins ? »

Elle hocha vaguement la tête :

« Oui, oui– Putain !!

- Et ça fait combien de temps que tu joues ?

- Sûrement très longtemps. Mais j'ai besoin de me concentrer, là. »

Tu pris ce qui semblait être un avertissement comme de l'insolence. Depuis quand était-elle permise de te parler ainsi ? Alors, avec un sourire en coin, tu pris l'initiative de lui donner exactement l'inverse.

Tu décalas ses cheveux pour rendre son cou libre d'accès. Puis, avec la volonté de la taquiner, tu embrassas lentement sa peau là où tu la savais sensible.

« Mmh, vraiment ? la défias-tu. Tu as peut-être besoin de te concentrer, mais moi j'ai besoin d'un accueil digne de ce nom. »

Tu mordillas sa peau et un gémissement de surprise lui échappa. Étonnamment, Gahyeon ne dit rien. Pourtant, tu la connaissais suffisamment pour la deviner en train de rougir.

« Mais vas-y, princesse, je t'en prie, concentre-toi. »

Son corps réagit presque imperceptiblement au surnom que tu lui avais donné. Avec l'une de tes mains, tu te mis à maintenir son cou contre ta bouche pour continuer à déposer de lents baisers.

Ses doigts sur le clavier se firent tremblants. L'effet que tu avais sur elle était plus grand que ce que tu avais imaginé, et ce n'en était qu'agréable. Tu glissas tes mains le long de ses bras en faisant plusieurs aller-retours.

Plus aucune vulgarité n'osait sortir de sa bouche, laissant place à de faibles geignements. Gahyeon avait été très vite affectée par ta stimulation. Toutefois, ce n'était pas assez pour toi, il était évident que tu en voulais plus. Tes mains s'aventurèrent cette fois-ci sur sa poitrine, où tu profitas de la courbe de ses seins à travers le haut blanc qu'elle portait.

Son corps s'agitait légèrement dès que tu la touchais. Ses réactions t'amusaient beaucoup. Et la voir ainsi te donnait envie de plus, de bien plus. Alors, tu n'attendis pas plus avant de t'accroupir pour aller sous le bureau. Ses yeux s'écarquillèrent lorsqu'elle vit ton visage entre ses jambes.

« Qu'est-ce que tu–, commença-t-elle.

- Arrête de me regarder, regarde ton écran, princesse. »

Un soupir s'échappa de ses lèvres entrouvertes alors que tu continuais ton discours :

« Concentre-toi, ma douce. Gagne cette partie pour moi, et j'envisagerai de te donner une récompense. »

Tu posas ton regard sur la jupe qu'elle portait, sur la jupe que tu n'avais pas envie qu'elle porte. Mais cela n'avait pas beaucoup d'importance, ce vêtement te permettait déjà énormément de choses, donc tu ne comptais pas t'en plaindre.

Ses jambes nues s'étaient complètement refermées lorsque tu te mis à les caresser.

« Écarte tes jambes, ma belle, » demandas-tu.

La réaction de son corps fut instantanée, et Gahyeon te donna un accès presque direct à son centre.

« C'est bien. »

Tu utilisais tes mots autant que tes mains pour la distraire, et tu savais bien que les deux faisaient leur effet. Tu le voyais à son regard qui tremblait, à ses joues qui rougissaient, et à son silence inhabituel. Gahyeon appréciait être insolente et se montrer désobéissante. La voir ainsi muette était un spectacle inédit et irrésistible.

« Tu es adorable quand tu rougis comme ça, princesse. »

Tu glissais tes mains à l'intérieur de ses cuisses, te rapprochant de plus en plus. Une culotte te séparait encore d'elle, mais elle n'était pas un réel obstacle pour toi. Elle l'était, par contre, peut-être, pour le désir de Gahyeon qui montait en elle et qui lui faisait inconsciemment agiter ses hanches contre toi.

« Tu me déconcentres, arrête. »

Gahyeon avait enfin parlé. Ton sourire s'agrandit.

« Oh, vraiment ? C'est vraiment ce que tu veux ? J'arrête, alors. »

Quelques secondes de silence suivirent avant qu'elle ne conteste :

« Non...

- “Non” quoi ? Utilise tes mots, princesse.

- Ne t'arrête pas, unnie. S'il te plaît. Continue.

- Je sais que tu aimes ça, ma douce. Tu es à moi, après tout. »

Elle ne put empêcher un gémissement de sortir de sa bouche, et tu continuais à caresser sa peau tandis qu'elle n'arrêtait pas de se tortiller.

« Shhh, doucement, je sais, doucement. »

Elle pleurnichait presque quand tu laissais des baisers sur sa peau sans t'avancer.

« Tu aurais dû prendre soin de moi lorsque je suis rentrée, pas l'inverse. Mais te voir autant affectée par ce que je te dis et ce que je te fais... C'est tellement sexy. »

Tu massais ses cuisses, profitant simplement de son corps que tu adorais tant. Enfin, tu relevas sa jupe entièrement et passas ton pouce sur sa culotte.

En relevant ton regard, tu remarquas que Gahyeon avait déplacé son casque autour de son cou. Adorable. La façon dont elle se dévouait silencieusement à toi était adorable. L'avais-tu suffisamment taquinée ou devais-tu encore continuer ? Tu voulais toi-même enfin la prendre en bouche mais la torturer était nécessaire. Tant pis, tu pouvais te le permettre, tu en avais envie après tout.

Gahyeon serait punie pour son comportement plus tard.

À genoux entre ses jambes, tu t'avançais d'autant plus de son centre avant de faire glisser sa culotte le long de ses jambes jusqu'à ses chevilles. Tu souris en voyant comme ses lèvres brillaient déjà, témoin de son excitation. Tu fis glisser ton index le long de celles-ci pour profiter de sa chaleur qui contrastait avec l'air frais qui venait de la faire frissonner.

« Si belle et si mouillée pour moi. »

Enfin, tu l'embrassas. Tu la goûtas. Sa saveur sur ta langue, ses jambes autour de ta tête, ses gémissements. Tout cela t'appartenait.

Tu entendais plus ses soupirs que ses doigts sur le clavier mais tu savais qu'elle tentait quand même de rester au moins un peu concentrée sur le jeu. Évidemment, tu ne lui rendais pas la tâche facile lorsque tu stimulais ainsi sa zone la plus sensible tout en l'excitant avec tes mots.

C'était un réel plaisir pour toi de la prendre en bouche ainsi, de la sentir et de la goûter entièrement. Tu faisais passer ça comme un moyen de l'allumer, mais cela devait lui plaire autant qu'à toi. Ses jambes qui ne faisaient que de se tortiller et ses hanches qui commençaient à créer un rythme contre ta bouche en étaient des preuves. L'avoir complètement à ta merci te faisait te sentir puissante.

Son corps était très réceptif à ta stimulation. Peut-être même bien plus que ce que tu voulais initialement. Alors, lorsque tu eus à nouveau en tête ton objectif de la taquiner pendant qu'elle jouait, tu ralentis les mouvements de ta langue avant de complètement reculer ton visage de son centre dégoulinant.

Ses jambes se mirent à bouger et Gahyeon geignit. Son corps demandait plus, il ne voulait pas que tu t'arrêtes. Un sourire en coin se dessina sur tes lèvres en la voyant et l'entendant si désespérée.

« Pourquoi tu t'arrêtes ? demanda-t-elle d'une voix frustrée, presque agacée.

- J'étais juste là pour t'embêter. Pourquoi je devrais rester si tu m'as ignoré quand je suis rentrée ?

- Nan ! Je suis désolée ! S'il te plaît, continue, unnie ! »

Ses yeux avaient définitivement quitté l'écran et leur éclat luxurieux cherchait ton regard. Elle mordillait sa lèvre inférieure, l'air dans le besoin.
Tu te levas, toujours entre ses jambes, pour la regarder de haut et entourer sa joue avec ta main.

« Adorable. »

Un nouveau gémissement de frustration quitta ses lèvres closes.

« Concentre-toi sur ton jeu, princesse. C'est pas comme ça que tu gagneras.

- J'ai déjà perdu depuis longtemps, » déclara Gahyeon d'un simple souffle.

Peut-être faisait-elle réellement référence au jeu auquel elle jouait, ou bien était-ce aussi implicitement pour parler du fait qu'elle avait très vite succombé à tes gestes taquins.

« On en reparlera après manger, mh ? Je vais préparer le dîner, je te laisse continuer à jouer. On aura une conversation après ça. »

Tu avais assise Gahyeon sur le lit alors que tu faisais des allers-retours dans la chambre, réfléchissant à la suite.

« Tu as conscience que tu mérites d'être punie ? »

Elle chercha ton regard, se demandant quel genre de réponse tu attendais d'elle. Tu t'arrêtas de marcher et croisas les bras contre ta poitrine.

« Tu ne veux pas empirer ton cas en me faisant me répéter, n'est-ce pas ?

- O-Oui, je le sais, unnie. »

Sa réponse fut cette fois immédiate, car elle eut le réflexe de parler quand le ton de ta voix devint plus dur.

« Bien, dis-tu avant que ton sourire ne s'agrandisse. Ton t-shirt. Enlève-le. »

Elle avait l'habitude de cela, mais se montrait vulnérable pour toi. Tu l'avais largement endurcie, mais Gahyeon savait comment se montrer pour que le spectacle te plaise. Quand elle se leva, tu pris sa place sur le lit. Et, alors, elle appliqua tes mots. Ce t-shirt blanc qui prenait la forme de ses seins se retrouva vite sur le sol. Tu mordis ta lèvre en voyant sa poitrine en partie se dévoiler.

Tu lui fis signe de s'approcher avec ta main. Feignant peut-être la timidité qui faisait fuir son regard, elle marcha lentement avant de s'accrocher à ta nuque. Son bras était tendu alors qu'elle restait debout devant toi. Tes mains caressèrent le contour de son corps, et tu décidas de t'occuper du reste : tes doigts firent glisser sa jupe le long de ses cuisses que tu adorais. Gahyeon se retrouvait finalement, et délicieusement, dans son ensemble rose qu'elle portait. Était-elle toujours vêtue de sous-vêtements aussi sophistiqués ? Tu te sentais fière de lui avoir acheté autant de lingerie, car cela te permettait de faire l'heureuse découverte qu'elle s'en habillait très souvent, et tu pouvais tomber sur son corps mis en valeur même lorsque vous improvisiez.

« Recule-toi, princesse. Montre à ton unnie comment tu es belle. »

Gahyeon lâcha lentement ta nuque et se mit à tourner pour te laisser profiter. La confiance qu'elle avait prise en elle au cours du temps te rendait de plus en plus dingue. C'était d'ailleurs surtout l'effet que son corps te faisait qui l'encourageait à s'exhiber pour toi, car elle était souvent prise d'insécurités et venait à douter de sa beauté. Pourtant, peu importe quand tu la voyais, Gahyeon était sublime. Alors, tu profitas de ce spectacle privé, enfin sans vêtements ni écran.

« Gahyeon, tu es magnifique. »

Ses courbes et sa peau claire étaient maintenant à ta portée, et rien ne pourrait t'empêcher de la toucher.

« Là. »

Tu claquas des doigts avant de pointer tes cuisses et Gahyeon comprit ce que cela signifiait. Ne portant plus que ses sous-vêtements, elle vint se loger sur tes cuisses, les avant-bras sur le lit et le dos courbé. Elle te regardait avec ses yeux désespérés que tu lui connaissais si bien.

Tu fis glisser ta main sur ses fesses, dont la courbe était magnifique lorsqu'elle était dans cette position. Tu savais apprécier cette vue-là : son corps était splendide. Ta main claqua enfin sur sa peau. Tu souris, satisfaite du son que la fessée créa, mais aussi de celui qui s'échappa de la bouche de Gahyeon. Tu claquas ses fesses encore. Et encore. Et encore. Sa peau habituellement si claire prenait finalement des teintes rosées.

Cette sensation de pouvoir était enivrante. Des gémissements remplissaient déjà la pièce et tu ne souhaitais pas t'arrêter.

Pourtant, ce n'était que le début.

Après de nombreuses claques, tu massais ses fesses, avec surtout l'envie de profiter de leur texture plutôt que d'apaiser la douleur.

« Quel beau cul... »

Tu laissais les mots s'échapper de tes lèvres sans y réfléchir.

« Dommage qu'il soit celui d'une fille aussi irrespectueuse, ajoutas-tu avec un ton plus dur. Va là-bas. »

Tu pointas la tête du lit avec ton index. Une fois qu'elle fut allongée, tu vins trouver dans un tiroir l'accessoire que tu cherchais. Tu avais sorti ses menottes préférées et tu savais qu'elle cachait son excitation en les voyant. Elle les aimait particulièrement car les bracelets en simili cuir rose, dont la taille pouvait être adaptée, ne la blessaient jamais grâce aux fausses fourrures à l'intérieur. Elles étaient confortables et leur couleur lui allait si bien.

Après quelques secondes à lui enfiler pour restreindre ses bras, tu lui indiquas :

« J'ai réfléchi et je crois que j'ai ma petite idée pour ce soir... Je te touche comme tu m'as demandé tout à l'heure, mais tu n'as pas le droit de jouir. Compris ?

- Oui, unnie.

- C'est bien. »

Pour le moment, Gahyeon ne contestait pas, mais tu connaissais trop bien le genre de comportement qu'elle pourrait adopter par la suite. Tu la voyais déjà te supplier et tu souris à cette pensée avant de redonner à son corps la totalité de ton attention.

Pour la première fois depuis que vous êtes entrées dans cette chambre, tu fis glisser ta main autour de son cou pour l'embrasser. Tu piègeas sa lèvre inférieure entre les tiennes et souris en l'attirant au maximum contre toi. Son corps ne tenait que par ta force, et il retomberait misérablement si tu venais à la lâcher. Sa réponse à ton baiser était déjà désordonnée et sa bouche s'ouvrait déjà à toi, te laissant accéder à sa langue qui ne demandait que la tienne.

Avec ta main autour de son cou, tu reculas son visage du tien pour lui glisser malicieusement :

« T'as déjà tellement besoin de moi...

- Oui... S'il te plaît, unnie. »

Son corps semblait déjà sur le point de se tortiller et sa réaction naturelle t'amusa. Tu ricanas.

« Ce n'est que le début, princesse, » lui dis-tu sérieusement.

Tu continuais à l'embrasser mais te mis à descendre : c'est sur son cou que tu déposais désormais tes lèvres. Tu y restas longtemps, prenais le temps d'y déposer diverses marques. Son souffle rapide comblait le silence autant que tes baisers humides sur sa peau.

Alors que tu t'approchais de sa poitrine après avoir recouvert ses épaules de nouveaux baisers, tu vis son regard sur toi. Son regard désespéré. Ses yeux hurlaient que Gahyeon avait besoin de toi. Alors, tu passas tes mains dans son dos pour décrocher son soutien-gorge, avant de l'envoyer là où il ne pourrait pas déranger. Quelle belle vue tu avais enfin.

Et, finalement, ta bouche s'enroula autour de l'un de ses tétons. Tu occupas son autre sein avec ta main, massant sa peau souple. Comme ils étaient parfaits pour toi, comme tu les aimais. Tu gémissais toi aussi, savourant sa poitrine. En levant les yeux, tu vis Gahyeon mordiller sa lèvre. Tu décidas de rester un plus long moment sur sa poitrine, comme il s'agissait de l'une des parties de son corps que tu préférais toucher, caresser, embrasser, marquer. Elle t'appartenait. Son corps t'appartenait. Ses seins t'appartenaient. Que pourrais-tu demander de plus ? Gahyeon était tout à toi.

Tu faisais glisser tes doigts sur ses seins, encore et encore. Ton pouce traçait des cercles sur son téton, tandis que ta langue caressait l'autre. Comment pourrais-tu un jour te lasser d'une telle perfection ?

Toutefois, les joues de plus en plus roses de Gahyeon rendaient cette chaleur de moins en moins contenable. Son corps te réclamait plus lorsqu'il se mettait à se tortiller. "Plus bas," semblait-il te dire.

Alors, tu suivais ses supplications silencieuses avec une grande lenteur. Tes lèvres voyagèrent donc sur la surface plate de son ventre, tandis que tu laissais déjà tes doigts se faufiler le long de ses hanches, sous sa culotte. Lorsque ta bouche atteint aussi ce dernier vêtement, tu l'évitas volontairement en reprenant tes baisers sur ses cuisses.

Tu voulais lui faire comprendre qu'elle méritait cette punition, alors elle allait devoir attendre. Ainsi était ce qu'elle devrait subir. Après l'avoir déjà beaucoup stimulée pendant qu'elle jouait sans lui permettre de jouir, tu la ferais attendre à nouveau. La toucher légèrement, avant de reculer. Et recommencer. Jusqu'à ce que son corps ne puisse plus.

Comment de temps allait durer cette torture ?

Tu souriais en embrassant l'intérieur de ses cuisses. Tu anticipais déjà la frustration qui ne la quitterait pas. Tu étais suffisamment lente et patiente pour pouvoir tenir ainsi un long moment. Et tu voulais la voir frustrée.

En voyant sa culotte, tu te demandais si Gahyeon était aussi trempée puisque tu ne cessais de la taquiner, ou bien parce qu'elle avait été sur le point d'avoir un orgasme plus tôt dans la soirée. Tu passais tes doigts à l'extérieur de celle-ci pour poursuivre, et tu la sentis frémir. Tes doigts faisaient de lents aller-retour là où était son clitoris. C'était déjà trop pour elle. Mais tu continuerais à ce rythme comme la plus délicieuse des punitions.

Ses yeux te suppliaient, mais aucun mot ne quittait ses lèvres. Son désespoir était évident mais elle ne communiquait rien. Avec tes doigts déjà humidifiés à travers le tissu, tu lui dis avec un sourire :

« Alors, princesse ? On s'impatiente ? Dis-moi ce que tu veux. »

Elle fit non de la tête. Tu étais étonnée. Tentait-elle de protéger sa fierté ? Pourtant, son corps parlait pour elle. Était-il donc vraiment utile d'accentuer ta lenteur en niant tes mots ?

« Tu n'auras rien dans ce cas, prévins-tu. Je pourrais t'abandonner ici, les mains attachées, sans presque aucun vêtement. C'est pas un problème pour moi, hein. »

Pour lui faire comprendre que ta menace était sérieuse, tu arrêtas de la toucher et elle se mit à pleurnicher immédiatement. Bien sûr, Gahyeon te désirait tellement.

« Alors ? repris-tu. Tu vas me parler, maintenant ? Sois polie avec ton unnie.

- Ne t'arrête pas.

- Demande plus poliment, salope.

- Non. »

Tu ris jaune. Se sentait-elle encore réellement en position de te confronter ? Tu avais pourtant été prête à lui donner ce plaisir qu'elle désirait tant, et elle décidait de continuer à mal agir malgré tout.

Tu attrapas brusquement sa mâchoire.

« Je sais que t'es tellement désespérée pour moi. Je sais que t'as besoin de moi, Gahyeon. Pourquoi lutter, mh ? »

Son regard essayait de te défier mais il trahissait son envie. Cela dit, tu étais vraiment surprise qu'elle puisse tenir aussi longtemps.

« Je vais rendre cette vilaine bouche bien plus utile. »

Avec ton pouce et ton index sur chacune de ses joues, tu appuyas sur sa peau pour que sa bouche jusque-là entrouverte par sa forte respiration se retrouve grande ouverte pour toi.

« Excuse-toi maintenant avant de le regretter. »

Gahyeon secoua la tête une nouvelle fois. Si tu ne tenais pas sa bouche ouverte ainsi, tu l'aurais sans doute surprise en train de sourire.

« Sale pute, tu lui lanças avant de te rapprocher de son visage pour cracher dans sa bouche. Je sais que tu adores ça, ma douce. Arrête de faire semblant ou tu finiras par devoir me supplier, c'est compris ? Maintenant, avale. Tu es à moi. Assume-le. »

Ses yeux restèrent accrochés aux tiens pendant quelques secondes supplémentaires où elle laissa un silence s'installer. Alors, tu ajoutas :

« Tu sais que tu le veux. Montre-moi comme tu peux utiliser tes manières, princesse. Sois sage pour moi, je sais que tu peux le faire. Je sais que tu veux me faire plaisir plus que tout. »

Le regard finalement fuyant, et les joues rougissant de timidité, elle avala.

« C'est bien, je savais que tu pouvais le faire, je suis fière de toi. Tu as quelque chose à me dire, peut-être ? »

Tu laissas ta main glisser autour de son cou.

« Réponds-moi, princesse, tu peux le faire. »

Elle mordit sa lèvre, honteuse. Honteuse d'avoir mal agi, ou honteuse de briser sa fierté, tu ne pouvais pas vraiment savoir.

« Je suis désolée, unnie. J'ai mal agi et je sais que j'aurais pas dû. J'aurais dû te respecter, je sais que je suis à toi. Je suis désolée.

- Ohhh, voilà quand tu veux, ma princesse. C'est bien. »

Tu te penchas pour l'embrasser.

« Je suis fière de toi. Maintenant, Gahyeonie, dis-moi ce que tu veux.

- S'il te plaît... Je veux ta langue.

- S'il te plaît quoi ? tu demandas avec un peu de fermeté.

- S'il te plaît, unnie. J'ai besoin de ta langue.

- Bien sûr, princesse. Si poliment demandé. Tu vois, c'était pas si difficile. »

Tu replongeas alors entre ses cuisses. Tu te mis tout de suite à faire glisser sa culotte le long de ses jambes pour t'en débarrasser. Gahyeon devait comprendre les bénéfices qu'il y avait à bien se comporter. À peine tu caressais ses cuisses que ses jambes s'écartaient déjà pour toi. Tu voyais désormais enfin comment son centre brillait tant il était trempé. Ta bouche se posa rapidement sur son jus qui était sur le point de couler sur les draps. Peu importe comment Gahyeon décidait d'agir avec toi, tu étais, hors de tout jeu, incroyablement fière et heureuse de pouvoir être celle qui lui donne autant de plaisir. Son corps était magnifique, ses gémissements adorables, son goût sur ta langue délicieux. Gahyeon t'appartenait.

Tu plaças tes bras sous ses cuisses pour la maintenir et commenças déjà à accélérer. Avec la pause que tu avais faite pour la remettre à sa place, tu ne voulais pas que son excitation ne redescende trop. Tu te délectais donc de chaque goutte qui trempait ses lèvres grâce à des baisers négligés et des coups de langue répétitifs. Tu prenais aussi soin de concentrer une grande partie de ton attention sur son clitoris, évidemment. Son corps se tortillait déjà. Tu lui avais repoussé son orgasme des tas de fois déjà, mais tu ne voulais pas que ça s'arrête maintenant.

Alors, quand Gahyeon fit comprendre qu'elle était proche par des gémissements de plus en plus forts et répétés, tu t'arrêtas. Elle se mit à geindre. Quelle torture. Mais c'était loin d'être fini.

« Je sais que tu as compris ton erreur, Gahyeonie. Mais tu sais bien que tu dois être punie, n'est-ce pas ?

- Oui, unnie, » admit-elle malgré elle, le souffle coupé.

Tu savais qu'elle avait bien pris conscience de sa faute, et qu'elle agirait comme une bonne fille pendant un moment. Cela dit, la soirée ne venait que de commencer. Le plaisir que tu voulais donner à Gahyeon était plusieurs crans au-dessus de ce qu'elle était en train de ressentir. Peut-être sortirais-tu d'autres accessoires au cours de la nuit. En tout cas, tu avais assez d'énergie pour durer longtemps, et te promis que ce serait une soirée qui la marquerait, et peut-être littéralement.

Donc, après avoir fait une pause de quelques dizaines de secondes à lentement embrasser l'intérieur de ses cuisses, tu repris la dégustation de ses lèvres et de son jus, et elle se remit à gémir de la même manière assez vite. Cependant, tu cessas tes gestes lorsqu'elle fut trop proche à nouveau. Gahyeon aurait pu pleurer tant c'était frustrant. Ses hanches chassaient ta bouche qui s'éloignait à chaque fois.

« Unnie... »

Sa voix n'était qu'un pleurnichement. Un adorable geignement. Elle était frustrée, désespérée. Elle avait besoin de cet orgasme.

« Ne t'inquiète pas, princesse, ça viendra. Je te libèrerai bientôt, c'est promis. »

Tu repris très lentement, faisais des cercles autour de son clitoris en l'évitant volontairement. Tu limitais sa satisfaction, mais ces stimulations étaient, à ce point, largement suffisantes pour que son corps qui s'agitait rende le métal de ses menottes aussi bruyant que ses gémissements. Il était dur de la prendre en bouche correctement lorsque Gahyeon se tortillait ainsi. Mais son corps était torturé. Tellement torturé. Tellement frustré. Tu souris en embrassant son clitoris.

Tu adorais la torturer.

Mais, malgré tout, tu voulais lui donner ce qu'elle voulait. Et tu lui avais promis bientôt. Tu pouvais deviner comme sa tête devait tourner. Ses cheveux étaient complètement désordonnés et venaient parfois se coller à son front luisant, ses yeux restaient fermés la plupart du temps quand elle décidait de ne pas te regarder, et ses joues avaient rarement été aussi rouges.

Son corps était brûlant.

« Unnie ! »

Son corps et sa voix te suppliaient. L'entièreté de son être désirait cet orgasme autant qu'elle en avait besoin. Alors, finalement, tu te décidas :

« Vas-y, Gahyeonie, tu peux y aller. Jouis pour moi, jouis pour ton unnie. »

Gahyeon n'avait pas besoin de plus.

Sa respiration se coupa avant qu'un puissant cri ne quitte sa bouche grande ouverte. Ses yeux fermement clos n'étaient plus visibles tant sa tête avait basculé en arrière. Elle avait été frustrée à un point tel que son orgasme bouscula son corps entier. Ses jambes se mirent à trembler entre tes bras. Son adorable voix créait des gémissements délicieux. Quel bonheur tu ressentais à la combler ainsi.

« Je suis fière de toi, Gahyeonie. Tu as été tellement bonne pour moi, princesse. Tu as mérité cet orgasme, ma belle. »

L'intensité du choc qui avait traversé son corps était si élevée qu'elle eut besoin de temps pour s'en remettre. Tu caressais tendrement sa cuisse en attendant que ses pensées deviennent claires à nouveau, et que sa respiration se stabilise.

« Merci, unnie. »

Et elle était même capable d'être reconnaissante, maintenant. Tu eus un sourire. Tu lui apprenais bien les choses.

« Bien sûr, mon ange. Tu l'as mérité. Tu as été exemplaire, finalement. Sage et polie, comme ton unnie t'avais demandé. C'est bien. Tu es ma fille parfaite. Je suis fière de toi. »

Pour lui partager ta fierté, tu déposas des millions de baisers sur son ventre, entre ses seins, jusqu'à atteindre son visage. Alors, tu l'embrassas. Sa langue caressa la tienne et elle gémit en constatant comme son goût sur toi était fort. Tu étais restée si longtemps entre ses jambes qu'elle en était enivrée rien qu'en t'embrassant.

Après avoir brisé le baiser, tu vins caresser gentiment sa joue et ses cheveux, puis déposas tes lèvres sur son front brûlant et luisant.

« Tu sais que c'est pas du tout fini, j'espère ? »

Ses grands yeux confus trouvèrent les tiens.

« Ça ne fait que commencer, Gahyeonie. Je ne te laisserai pas jusqu'à ce que ton corps soit incapable de ressentir le moindre plaisir, tu comprends ? »

Elle tenta de cacher son sourire, mais tu insistas :

« Tu comprends ?

- Oui, unnie. »

Et tu la complimentas une dernière fois avant de te remettre à embrasser ses belles lèvres avec passion.












03.07

J'espère que je pourrais être à nouveau active, mais je serai en réalité assez occupée pendant les vacances. Malgré tout, je n'abandonne pas, je continue et continuerai à écrire.
Alors... À bientôt

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