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Gahyeon - Cuisine (1/2)

Relation : Gahyeon x Lectrice

Catégorie(s) : Smut

Tags : dom/sub, Gahyeon brat, lectrice brat tamer, fessées, sexe oral/cunnilingus, after care

Nombre de mots : 3194

Résumé : Gahyeon retrouve la lectrice chez elle à l'improviste. Et ses intentions luxurieuses sont très mal cachées lorsqu'elle déconcentre grossièrement la lectrice pendant qu'elle fait la cuisine. Ce caractère insolent de Gahyeon réveille l'instinct dominant de la lectrice...






On a sonné à ma porte. Lorsque j'ai entendu le bruit, je me suis arrêtée dans ma cuisine pour l'ouvrir. C'est alors que je l'ai vue : magnifique, superbe, époustouflante. La femme que j'aime. Lee Gahyeon. Quand mon regard a croisé le sien, un sourire instantané a étiré mes lèvres.

Sans lui dire quoi que ce soit, je l'ai laissée rentrer et elle a fermé la porte derrière elle. Elle a l'habitude de passer chez moi.

« Que me vaut l'honneur de ta présence ? lui ai-je demandé en retournant dans la cuisine.

- Simplement... envie de te voir. »

Elle s'est glissée derrière moi tandis qu'elle m'a répondu, et elle cala ses pas sur les miens.

« Tu prépares quoi ? m'interrogea-t-elle en me regardant couper les légumes que je venais de sortir du frigo.

- Mmh... Surprise. »

Je l'ai entendue faire la moue dans mon dos.

« Je veux savoir ! »

Elle s'est mise sur la pointe des pieds pour reposer son menton sur mon épaule.

« C'est pas juste. »

Je l'écoutais se plaindre tandis qu'elle a entouré brusquement ma taille de ses bras. Je profitais de son étreinte un instant avant de reprendre mes découpages. J'ai tendu mon visage légèrement vers le côté pour déposer un baiser sur ses cheveux.

« Tu sens bon, je lui avouai simplement.

- Pourquoi t'es si sérieuse aujourd'hui ? »

Je l'ai tout de même entendue sourire à côté de mon oreille.

« J'aime bien être près de toi. »

Au moment où elle a prononcé ces mots, elle a desserré son étreinte et a fait un pas en arrière pour déposer ses mains autour de mes hanches. Elle les caressait tendrement pour remonter jusqu'à mes côtes. J'ai frissonné. Elle continuait à remonter et a atteint mes seins qu'elle taquinait plus longtemps. Un soupir d'excitation s'est échappé discrètement de mes lèvres mais elle l'a perçu.

« Attention mon cœur, tu devrais te concentrer ou tu pourrais te blesser. »

J'ai posé le couteau sur la planche, consciente que si je restais aussi troublée, je pourrais vraiment finir par me couper. Alors, je l'ai laissée tendrement glisser ses mains sur mon corps. Ses doigts se sont attardés sur mes tétons qui se sont endurcis sous son contact. Ma respiration s'est faite plus forte.

« Gahyeon... » ai-je murmuré en fermant les yeux.

Elle a gloussé.

« Tu devrais continuer à cuisiner, a-t-elle commencé jusqu'à ce que sa voix ne soit plus qu'un souffle à peine audible. J'ai faim... »

Elle s'est approchée à nouveau de moi, en collant ses seins contre mon dos. Elle déposa timidement ses lèvres sur la peau sensible de mon cou.

« J'ai faim. »

Elle a répété ses propres mots pour appuyer ses propos. Elle ricana une fois encore, se mordant la lèvre inférieure. Ses doigts n'avaient pas lâché ma poitrine qu'elle n'avait cessé de toucher. Mon pouls s'accélérait de plus en plus et je sentais que cette histoire de cuisine serait vite derrière moi si elle continuait de me troubler. Chacune de mes expirations était plus bruyante que la précédente.

Je savais que je ne pourrais pas résister à ses caresses bien longtemps, alors, m'avouant vaincue, je me suis retournée soudainement et ai attrapé ses deux poignets. Je dirigeai ses pas pour plaquer le bas de son dos contre un rebord de plan de travail.

« Tu veux jouer, Gahyeon ? »

J'ai calé une de mes mains au-dessus de ses fesses pour la maintenir près de moi. Mon regard était intense et j'ai fini par plaquer ma bouche sur la sienne. Nos langues se sont rencontrées rapidement et se sont lancées dans une danse effrénée. La chaleur monta d'un cran dans la pièce et j'ai enfin pu relâcher la tension que mon amante m'avait fait emmagasiner jusqu'alors.

Quand l'air est devenu nécessaire, nous avons brisé notre baiser. Un grand sourire narquois illuminait son visage, témoin de sa victoire. Pourtant, je la regardais, sérieuse.

« Tu oses me déconcentrer ? »

Mon regard intense resta attaché au sien. Ses lèvres se sont entrouvertes à la recherche d'une réponse tandis que je l'ai vue rougir.

« C'est toi qui es trop sensible, c'est pas de ma faute. »

Fière de sa réplique, elle a repris son sourire. Un sourire si charmant qui pouvait même sembler innocent.

« Je te trouve bien insolente ce soir, Gahyeon.

- Et qu'est-ce que tu vas y faire, hein ? »

J'ai fait glisser ma main libre sur le dessus de sa tête pour coincer une mèche de ses courts cheveux noirs derrière son oreille. Je me suis permise de la regarder, simplement, le temps d'un instant, avant de reprendre la parole :

« Tu te doutes bien que je vais devoir te punir, n'est-ce pas ? »

Bien qu'elle soit immobile, un frisson a fait légèrement trembler son corps sous ma main.

« Tu l'as bien cherché. Tu as osé me déranger alors que je cuisinais. »

Je me suis servie de ma main collée dans son dos pour retourner Gahyeon avec force. Grâce à mon geste, elle se trouvait maintenant dos à moi.

« Penche-toi. »

Elle a écouté mes mots et m'a obéi. Elle s'est courbée sur le plan de travail, a posé ses deux mains à plat dessus, et a approché son visage de celui-ci en l'écrasant presque sur la surface. Gahyeon s'est retrouvée donc quasi en angle droit, avec ses fesses libres d'accès.

Commençant gentiment, j'ai descendu doucement mes mains, en partant de son dos, jusqu'à être entièrement en dessous. Je bénéficiais de ma position pour admirer la vision de son fessier. Je continuais mes caresses pour en faire le tour, délicatement et avec gourmandise. Étonnamment, j'ai entendu un ricanement s'échapper des lèvres de ma petite amie.

Face à son geste insolent, j'ai levé un sourcil.

« Tu te moques de moi ? »

Elle tourna sa tête vers moi et se mord la lèvre, étirée par un large sourire.

« Non... »

Même si elle venait de dire ça, ses yeux me criaient le contraire.

Alors, plus tôt que je l'imaginais, ma main claqua sur sa fesse. Un léger cri de surprise s'est fait entendre. Cette fois-ci, c'était à mon tour de rire. Entre deux caresses, j'ai reproduit mon geste, en giflant un peu plus fort sa peau à travers ses vêtements.

« Quelle vilaine fille... »

Je me suis délectée de chacun de ses soupirs passionnés qui chatouillaient mes oreilles. Mes claques s'enchaînaient tandis que son visage rougit et que son corps me paraissait s'impatienter et désirer plus.

« J'adore t'entendre crier pour moi, mon ange.

- Je- »

Sa voix s'est perdue dans un nouveau gémissement.

« Touche-moi plus, m'a-t-elle soudain demandé.

- Je veux t'entendre me supplier, Gahyeon. »

En premier lieu, elle a semblé hésitante. Pourtant, elle désirait vraiment que j'explore davantage son corps. Alors, elle a adhéré à ma réclamation.

« S'il te plaît... Touche-moi...

- Encore. Dis-moi à quel point tu le veux.

- Je t'en prie, j'en ai vraiment besoin, touche-moi, s'il te plaît. Je veux te sentir sur tout mon corps. Je veux que ta langue m'effleure la peau. Je te veux à l'intérieur de moi. »

Satisfaite de sa réponse et me sentant victorieuse, je l'ai embrassée avec un grand sourire.

« C'est bien. »

Toutefois, je me suis approchée de son oreille et lui ai murmuré sensuellement :

« Mais tu ne le mérites pas. »

Elle lâcha un hoquet de surprise. Je l'ai sentie sur le point de protester, mais elle n'a rien dit. Ses joues étaient rouges. Peut-être en partie d'embarras.

« Tu as eu ce que tu méritais, tu m'as trop provoquée. »

Je me suis donc reculée de son corps même s'il était aussi difficile pour moi de me retenir. Je tenais à la faire attendre, à la taquiner.

« Si tu en as vraiment envie... Attends-moi dans ma chambre. Par contre, ça devrait encore me prendre du temps.

- Quoi ?

- Tu ne peux que te blâmer toi-même. Si tu n'avais pas été aussi impatiente, l'attente ne serait pas aussi longue. Attends-moi sur le lit et déshabille-toi, je te rejoindrai.

- Dans combien de temps ? »

En guise de réponse, je lui ai simplement fait signe de partir.

« Allez, dépêche-toi. On mangera après. »

Après un dernier regard suppliant dans ma direction avec l'espoir que je change d'avis, elle s'est enfin dirigée hors de la cuisine. Maintenant qu'elle s'était éloignée, il m'était plus facile de reprendre mes esprits.

Pendant les minutes suivantes, j'ai tenté de penser un maximum à mon activité en essayant d'ignorer les images d'elle qui repassaient en boucle dans ma tête. Après avoir préparé un plat dont la cuisson attendrait la fin du brasier allumé entre Gahyeon et moi, j'avais enfin fini.

Je me suis lavée les mains en anticipant ce que j'allais trouver en rejoignant ma chambre. La porte était grande ouverte et me laissait apercevoir le corps presque nu, en sous-vêtements, de la femme la plus belle que je n'avais jamais vue.

Elle s'était allongée sur le ventre et ses coudes pliés appuyés sur le lit lui permettaient de reposer sa tête sur la paume de mes mains. Nos regards se sont croisés et un sourire vicieux est né sur mes lèvres.

« Tu vois que t'en es capable, je suis fière de toi. »

Mes pas m'ont faite rentrer dans la chambre et m'ont rapprochée du lit. Je me suis accroupie pour mettre mon visage à la hauteur du sien, puis, sans plus attendre, je venais cueillir ses lèvres avec passion. Une flamme se créa dans le bas de mon ventre tandis qu'une de mes mains, posée sur sa nuque, tira sa tête vers moi pour détruire le moindre écart qui pourrait nous éloigner. En effet, à ce moment-là, j'avais la volonté claire de rester collée à elle et de ne surtout pas m'en séparer.

Déjà bien trop désireuse, j'ai facilité la tâche de mon amoureuse en retirant mon haut pour le jeter par terre. Je suis montée sur le lit pour la rejoindre et j'ai poussé naturellement son corps pour que le mien se retrouve au-dessus d'elle.

La voir ainsi, soumise à moi, à ma merci, était tellement excitant. J'ai pincé ma lèvre entre mes dents, anticipant la suite. L'écrasant presque, je l'ai embrassée à nouveau jusqu'à ne plus avoir de souffle. Nous nous sommes contentées de longs baisers pendant de nombreuses minutes.

Haletante, j'ai déposé mes lèvres sur son cou, en tentant de reprendre mon souffle. J'ai aussi de temps en temps mordillé sa peau en la tirant vers moi. Je suis restée beaucoup de temps sur cette zone de son corps, ou en tout cas suffisamment pour lui laisser la trace d'un suçon. Bien qu'elle sache ce que j'étais en train de faire, elle n'a pas protesté, acceptant de laisser un signe de mon appartenance.

J'ai senti ses mains entourer mon dos nu. Alors, pour l'en empêcher, j'ai brutalement attrapé ses poignets pour les maintenir plus loin, lui bloquant l'accès à mon corps.

« Tu ne touches pas. Je ne t'ai pas autorisée. »

Elle m'a obéi sans rien ajouter même si elle aurait adoré pouvoir riposter. Elle savait que, en effet, si elle m'avait contredit, elle n'aurait pas ce qu'elle désirait.

Je suis très lentement descendue jusqu'à ses seins, la faisant volontairement bien trop languir. C'était à ce moment qu'elle payait donc pour son insolence. J'ai finalement abandonné la prise de ses poignets pour venir jouer avec sa poitrine. Mes pouces ont décrit des cercles sur ses tétons à travers l'un des derniers tissus qui lui restait. Ils se sont par conséquent endurcis et Gahyeon n'a pas pu retenir le gémissement qui s'est échappé de sa bouche.

J'ai souri en l'embrassant une ultime fois avant de me concentrer à nouveau entièrement sur son corps. J'ai décroché son soutien-gorge en rejoignant mes mains sous son dos. J'ai fait glisser le tissu le long de ses bras et je lui ai fait rejoindre les autres vêtements. Après cela, je pouvais enfin l'admirer en entier.

Mes lèvres ont cette fois-ci entouré l'un de ses tétons, que je m'appliquais à tantôt lécher et tantôt mordiller tandis que le deuxième se faisait taquiner par mes doigts. Je me suis permise de laisser un deuxième suçon sur son corps, mais, cette fois, c'était sur sa poitrine.

J'ai repris ma descente en constellant l'entièreté de son magnifique ventre de nombreux baisers. Mon unique volonté était de lui faire comprendre à quel point je l'aimais, puisque chaque seconde qui passait me rendait encore plus amoureuse de cette femme. Alors, ici, tout près de sa peau, j'ai soufflé son nom, sans être sûre qu'elle m'ait entendue car elle était bien trop concentrée sur l'excitation qui faisait bouillir son corps.

Mes mains s'étaient dorénavant retrouvées autour de ses hanches, et ma bouche avait suivi. Je m'étais rapprochée de la zone la plus sensible de son corps d'une lenteur extrême. J'embrassais simplement le haut de ses cuisses et savourais chaque parcelle de sa peau douce et ardente. Doucement, je fais glisser un doigt le long du dernier tissu qui la recouvre. Et, à travers sa culotte, je sens toute son humidité, qui, à ce moment, m'a paru peut-être excessive...

« Gahyeon... Tu t'es touchée ? »

Elle n'a rien répondu, même lorsque j'étais retournée à sa hauteur pour la regarder dans les yeux. Ma petite amie avait même détourné les yeux et regardait ailleurs. A ce moment-là, j'avais compris qu'elle n'avait pas été aussi sage que je le croyais pendant que je l'avais laissée seule...

« Ohh... Mais tu as vraiment décidé d'être irrespectueuse, ce soir. Je ne pense pas que tu mérites quoi que ce soit, finalement... »

J'ai remonté le haut de son corps pour l'asseoir sur le lit puis je me suis assise à califourchon sur ses cuisses. J'ai entouré son visage avec l'une de mes mains, prenant presque brutalement ses joues brulantes entre mes doigts.

« Quelle fille insolente. Tu veux que je te laisse comme ça ? Je pourrais partir, maintenant que je sais que tu as trahi ma confiance.

- N-non... Surtout pas... a-t-elle réussi à chuchoter entre deux lourdes respirations.

- Tu sais ce que tu vas devoir faire maintenant, n'est-ce pas ? lui ai-je demandé avec un grand sourire. Je t'ai déjà punie tout à l'heure, tu penses que je devrais recommencer ?

- Non... a-t-elle protesté timidement en fuyant mon regard.

- Quelle vilaine fille... Qu'est-ce que je vais pouvoir faire de toi ? T'as des idées ? Dis-moi.

- C-Continue...

- Je ne t'ai pas entendue, Gahyeon.

- S'il te plaît, continue ! »

Plutôt satisfaite, je lui ai accordé un baiser sur la joue. Mais ses mots ne me semblaient pas suffisants.

« Ce n'est pas assez. Supplie-moi jusqu'à ce que ça me suffise.

- S'il te plaît... Continue... Continue ! »

Comme elle n'avait pas décidé de parler plus, je l'ai fixée avec des yeux sérieux pour l'encourager. Avant de reprendre la parole, elle a encore fui le contact visuel bien que je l'avais forcé.

« Je... J'ai vraiment besoin que tu continues à me toucher, je t'en supplie. Si j'ai fait ça... Si j'ai fait ça c'est parce que j'avais vraiment envie de toi et je pouvais pas m'en empêcher même si je sais que j'aurais pas du le faire sans ton autorisation... Je m'excuse mais maintenant j'aimerais vraiment que tu continues à me toucher, que tu reprennes ce que tu as arrêté, que tu me fasses du bien... »

Elle a soupiré avant de reprendre :

« Je veux que ce soit toi qui me donnes un orgasme, car le plaisir que tu me donnes est meilleur que ce que j'ai pu faire en t'attendant... Je t'en supplie. »

Après tout son discours, je ne pouvais plus me contrôler et j'ai repris violemment possession de sa bouche. Puis, mes lèvres se sont approchées de son oreille et un souffle s'en est échappé :

« Tu me rends dingue, Gahyeon. »

Sans hésiter plus longtemps, et me disant que je l'avais faite bien trop endurer et attendre, je l'ai faite s'allonger à nouveau et me suis mise sur mes genoux pour m'approcher de ses cuisses comme tout à l'heure. Contrairement à quelques minutes plus tôt, j'étais plus agressive avec son corps, reflétant toute l'attente et l'excitation accumulées.

J'ai déposé un doux baiser là où elle était le plus humide à travers sa culotte avant de la faire glisser le long de ses cuisses et de la laisser près de ses genoux. Je maintenais alors son bassin avec mes mains tandis que ma langue s'aventura sur son clitoris. Je pouvais enfin déguster toute l'humidité produite depuis des dizaines de minutes, depuis qu'elle est entrée dans mon appartement, ou bien peut-être même avant.

Un gémissement qui sortait de sa bouche brisa le silence et je souriais en continuant de la savourer.

Je suis restée ainsi pendant plusieurs minutes, à lécher ses lèvres, à sucer son clitoris, et à écouter ses bruits de satisfaction. De temps en temps, je ralentissais le rythme ou bien je l'accélérais. Ma tête entre ses jambes, j'avais même fermé les yeux pour bénéficier de toutes les sensations qui m'étaient offerte.

Puis, je l'ai entendu crier mon nom, et, avant qu'elle puisse me prévenir de quoi que ce soit, son corps s'arqua sous mes mains. Il s'est mis à trembler alors je me suis presque arrêtée dans mes mouvements. Seules mes mains qui la maintenaient fermement l'empêchaient de bouger.

Il se passa quelques secondes pour que Gahyeon se remette de l'orgasme qu'elle avait eu et redevienne lucide. Son esprit avait l'air ailleurs et sa respiration ne s'était pas vraiment calmée.

Je me suis allongée près d'elle et j'ai attrapé sa main pour entrelacer nos doigts. J'adore ces moments où je peux prendre soin d'elle, lui donner du plaisir. Je souriais bêtement à ses côtés mais je crois qu'elle ne l'a pas vu. Elle s'est légèrement relevée et nous nous sommes reculées pour s'adosser contre le mur. J'ai passé mon bras au dessus de ses épaules et sa tête s'est naturellement posée au creux de mon cou. Je caressais tendrement son bras et des mots ont quitté ma bouche sans que j'y réfléchisse :

« Je t'aime, Gahyeon. »

Je l'ai entendue sourire, là, tout près de mon corps, et c'était probablement l'une des meilleures sensations. Les papillons se battaient dans mon ventre, et me réchauffaient de l'intérieur. J'étais simplement heureuse.

J'ai posé mon menton au dessus de son crâne et nous sommes restées collées l'une à l'autre de nombreuses minutes avant que je brise le silence :

« T'as toujours faim, Gahyeon ?

- J'ai super faim !

- Alors allons-y. »

Je me suis levée et je l'ai traînée derrière moi. Elle a pris un instant pour remettre quelques vêtements pour se donner une contenance et nous sommes retournées dans la cuisine avec la promesse qu'elle me rendrait la pareille un peu plus tard dans la soirée.











22.10.22

J'y crois pas que j'ai finalement fait ça...

Comment ça va, vous ?

J'avoue que je suis un peu embarrassée de publier ça et de le rendre publique mais j'imagine que ça peut toujours être sympa

Cette histoire est vraiment la toute première sexuelle que j'ai écrite, qui date sûrement du début de l'été

Une partie 2 sera publiée peut-être bientôt

J'attends absolument vos avis et votre éventuel soutien !!

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