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Il repensa au visage penné du rouge puis fit simplement demi-tour, adressant un vague signe de main à Fumikage en signe d'aurevoir. Il aurait bien le temps de réfléchir à ça chez lui ?
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Pdv : Omniscient
Trois jours étaient passé depuis sa petite visite chez son ancien camarade de classe. Trois jours de pure routine, d'ennui et de question.
Il avait le lendemain ajouté sur son cellulaire le numéro du noiraud, entre l'axile de vieillard de sa génitrice et M. Yuzu, son patron. Trois numéros ni plus ni moins, les autres un peu moins important avaient simplement été étiqueté au-dessus de son téléphone fixe ou avaient tout simplement été appris par cœur. Pourtant il restait un numéro dont il ne savait pas quoi faire.
Assis dans son petit fauteuil il laissait trainer dans le vide ses iris smaragdins. La pénombre de la pièce lui faisait mal aux yeux mais il ne s'arrêta pas pour autant. Sa tête était penchée en arrière, rendant par moment sa respiration difficile mais pas douloureuse, juste assez pour qu'il n'ait pas une raison suffisante de changer de position. Il triturait sans cesse le vieux morceau de papier jaunit, faisant doucement disparaitre quelques parties des chiffres dans les plis.
Cette homme, Bakugo, il était accusé de meurtre et une plainte c'était rajouté à son sort, en soit, en cas d'échec ou de mensonge de sa part il y avait beaucoup à perdre, beaucoup trop. Il avait un travail, une routine, ses horloges, et de temps en temps sa génitrice. Il avait ses patients qui ne savaient pas lire, M. Tanaka qui se pavanait toujours dans les couloirs de l'hôpital à la recherche de quelqu'un avec qui parler, sa place de tram crasseuse mais qu'il arrivait étrangement à aimer lorsqu'il était fatigué puis il y avait les souvenirs.
Il en avait tellement qu'il ne pourrait même plus les compter, des bons et des moins pire, des joyeux et d'autre moins, des douloureux, des infames.
Il s'arrêta lorsqu'il se rendit compte qu'il était plus en train de se dégouter de cette vie que de se rassurer à la garder. Ce numéro, c'était un peu une porte de secours ou milieux du long couloir de sa vie. Une minuscule porte à moitié rouillé et camouflé qu'il voulait tant ignorer, sans succès. En vérité il en avait peur, bien plus que tout au monde. Toute sa vie avait été droite, tracé, calculé, millimétré à l'avance et rien n'était jamais venue entraver cet engrenage si bien huilé. Rien sauf cette porte. Elle était l'insécurité, la nouveauté, synonyme de la fin de cette routine infernale.
Il en était attiré mais en même temps toute ses valeurs qu'on lui avait inculquées, rabâché, imprimé l'empêché de céder. C'était sa "mère" qui avait toujours fait ça. Il ne l'avait jamais spécialement aimé mais ne l'avait jamais non plus détesté, en fait c'était simplement sa génitrice, son enseignante, sa tutrice, sa prison ; mais pas sa mère. Une mère aurait été quelqu'un qui l'aurait soutenu, aimé, chéri, lui aurait appris l'amour la joie et l'empathie. Elle aurait su faire face à l'absence paternel sans non plus le remplacer. L'aurait aidé à se construire et faire ses choix, elle lui aurait dit de suivre ses passions et ses envies. Elle aurait dû être son journal intime, sa première fane, sa supportrice, sa figure maternel, l'épaule sur laquelle pleurer, le corp à câliner, sa raison de vivre. C'était ça une mère celons lui.
La sienne n'avait fait de lui que ce qu'elle n'avait jamais pu être. Elle voyait en son fils la vie qu'elle aurait toujours voulu avoir, le réduisant en l'état d'un simple pantin vivant une vie autre que la sienne avec des souvenirs autre que les siens. Elle ne lui avait montré qu'un seul chemin : le sien alors comme elle bien des années plus tôt il était devenu réceptacle. Puis avant même qu'elle ne le sache elle perdit la raison, trop de souvenirs, de sentiments négatifs et de peurs l'avaient rendue instable. Il ne lui restait plus rien à part ce couloir déjà tracé alors il l'avait simplement suivi, continuant de faire ce qu'on lui avait toujours demander de faire car désormais seule chose qu'il savait faire ; Obéir.
Sa main tremblait légèrement. Un blanc s'en suivit, bien trop silencieux, bien trop oppressent mais étonnement euphorique. Il avait choisi.
_"Oui bonjour, Kirishima Eijiro à l'appareille, je vous écoute ?"
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Ce matin la lorsqu'Eijiro avait décroché son téléphone entre deux bouché de son sandwich il s'était attendu à tout, vraiment à tout, il avait repensé à son loyer, ses factures, sa voiture peut-être mal garée ou bien encore à une plainte d'un hôpital quelconque - ce qui ne l'aurais d'ailleurs pas vraiment étonné- mais non, rien de tout ça. Une voix incertaine lui avait répondu, douce mais légèrement tremblante ; elle toussotait légèrement et lâchée quelques onomatopées, comme si en soit-elle ne savait pas réellement quoi dire. Fondamentalement le rouge était persuadé d'avoir déjà entendu cette voix quelque part portant il était incapable d'en déterminer le lieu exact.
_C'est au sujet de Bakugo.
La voix avait repris une certaine assurance lorsqu'elle avait dit ces mots il le cerveau du rouge fit le reste du travail, cette voix douce mais plate et légèrement triste celons lui.
_M. Midoriya ?
Ce simple appel lui avait était aussi étrange que porteur d'espoir, lui qui cherchait depuis des semaines voir des moins une solution peu importe le prix avait enfin une chance aussi mince soit-elle d'arranger la situation.
C'était aussi à cause, ou plutôt grâce à cet appel qu'il était là, à huit heures du matin dans les beaux quartiers de la capital à chercher parmi les maisons, pardon, les domaines, laquelle était celles du réceptacle. Jamais il n'avait pu voir une si belle représentation de l'écart de richesse d'une même ville. Il n'était pas forcement pauvre mais dans la moyenne, par contre les personnes propriétaires de ses maisons étaient bien d'un tout autre monde que le sien.
Il remit son sac à dos correctement puis vérifia son cellulaire, à la suite de son appel le vert lui avait fourni ses coordonnés, prétextant ne pas aimer sortir et lui avait aussi fait promettre de ne pas divulguer son adresse à qui que ce soit sous peine de voir sa pseudo chance d'aider son ami s'envoler.
Il la trouva finalement à l'écarts, juste à côté d'un petit bois. Elle était plus petite que les autres mais sa simplicité ne camouflé en rien son luxe, bien au contraire. Ici pas de grand jardin entouré de murs de béton mais de simples barreaux de fer faisant - soit - la taille de plusieurs hommes mais laissant tout de même entrevoir l'intérieure un peu délaissé des jardins. Les plantes manquaient d'entretien mais pas assez pour qu'on puisse les considérer comme étant à l'abandons, cela donnait au tout le style des jardin anglais qui contrasté étrangement avec l'image du jeune réceptacle. Le rouge sourit à cette pensé toute en traversant le portail qui c'était ouvert devant lui.
Les murs de la maison étaient d'un très léger beige crème et certaine parti notamment près du jardin était recouverte de brique de marbre. C'était bien trop luxueux et luxurieux et ne semblais encore une fois pas du tout correspondre à l'image de justesse que le jeune Midoriya trainait derrière lui. Aucune chaleur n'en émané et on pouvait croire que la bâtisse existée dans le seul but de rivaliser avec toute les autres. Le rouge regrettait déjà son petit appartement chaleureux au possible et ou jamais une semaine ne passait sans que quelqu'un vienne squatter son canapé.
A peine eut-il le temps de frapper un deuxième coup à la porte qu'elle s'ouvrit, ne laissant apparaitre que le dos svelte du jeune vert d'ores et déjà en train de repartir. Kirishima entra rapidement et suivi le vert à travers la maison. De dos, le jeune home lui paraissait encore plus fragile qu'il avait pu le penser et ses vêtements ajustés à son corp renforçaient cette idée. Si sur son lieu de travail, sa grande blouse blanche ne laissait que peu voir ses formes, il en était bien autrement pour ses tenues normales. Il portait une fine chemise noire épousant parfaitement son corp sans non plus le coller rentré dans son pantalon à carreau accentuant sa taille un peu trop fine. La seule chose contrastant avec le couleur monochrome de ses vêtements et de ses cheveux n'était autre que sa peau blafarde et le bandage de l'une de ses mains.
Il avait tout du cliché du riche, il ne paraissait pas forcément très sportif mais été très fin, très froid, trop parfait en apparence. Le rouge faisait sûrement pâle figure à côté ; ses mains abordaient naturellement une teinte plus foncée. Elles étaient rêches et il avait pris la mauvaise habitude de ronger ses ongles. Ses cheveux était un peu trop long et déjà ses racines noires se montraient, il ne prenait pas soin de sa peau et elle était bien loin de celle lisse et douce du réceptacle. Ses vêtements aussi dénotaient, il s'insultât mentalement d'avoir pu penser que c'était une bonne idée de venir en jogging, T-shirt et simple veste bien trop coloré pour la demeure austère.
Pourtant plus il marchait, plus cette austérité disparaissait -dans la mesure du possible évidemment- et ce sentiment de mal-être en avait fort heureusement été atténué. Ils entrèrent finalement dans un vieux salon rempli de bibliothèque, de tapis et de bibelots. Un grand piano avait posé valise dans un des coins.
_Je me suis dit que tu serais sûrement plus à l'aise ici, honnêtement c'est la pièce la plus chaleureuse de toute la maison alors j'espère qu'elle te conviendra. Avait-il dit d'un ton détaché tout en prenant place sur l'un des fauteuils qui entouré une petite table de verre.
En effet le style soudainement chaleureux et ancien contrasté plus qu'on ne puisse le dire avec le reste de la maison volontairement moderne.
_C'est parfait, merci beaucoup. Avait-il dit en le rejoignant sur l'assise adjacente.
_Bon, parlons du sujet principale, tu as amené ce que je t'ai demandé ?
Le rouge sorti plusieurs pochette de son sac, toutes étaient remplis de fiches et autre document en tout genre. Izuku regarda la table se faire progressivement recouvrir de photo de gens et ou de bâtiment, de schéma, de texte manuscrit ou imprimé, de post-it et autre support. Il se rappela bien de cette phrase qu'il lui avait adressé au téléphone : "amène tout ce que tu as au sujet de cette affaire." mais jamais il n'aurait pu penser que le rouge avait réussi à rassembler autant d'information. Dans un certain sens ça le rassuré, en soit plus il avait d'éléments plus il était à même d'accepter ou de refuser en toute connaissance de cause.
De son côté le jeune vert c'était lui aussi renseigné sur les risques qu'il encourait si jamais ils perdaient le procès et malgré son statut de réceptacle au mieux il irait en prison pour complicité au pire il serait lui aussi exécuté pour tentative d'atteinte à la justice - bien que ce choix soit très peu probable au vu de sa profession rarissime et de son statut très élevé au sein de cette même société de réceptacle -. D'ailleurs il en valait de même pour le rouge, sauf que lui n'avait pas cette pseudo immunité qu'Izuku avait.
_Tu peux me résumer tout ce que tu sais ? Bien sûr je lirai tout en détaille mais ce sera déjà plus simple si je connais une version des faits.
Il prit deux ou trois fiches puis commença finalement à parler.
_Alors pour commencer, Katsuki travaillait pour la société de textile de Jepla, il était directeur de la sous-section d'import-export coréen, pour faire simple il s'occuper de gérer les transactions entre les deux pays aidé de son assistant le sous-directeur de la sous-section M. Sato et de son équivalent coréen bien sûr, la plupart de temps il devait gérer la paperasse dans son bureau ou assister à des réunions. Les fois où il devait quitter son secteur était rare mais il le faisait quand même pour se rendre dans la branche principale de l'entreprise pour faire signer des documents importants au PDG - ou tout du moins ceux qui devait être signé en main propre- mais là encore c'était rare. Il avait l'habitude de s'y rendre au moins une fois par mois à peu près.
_Toute les branche de l'entreprise ne sont pas regroupé dans un même complexe ?
_Non ça aurait vraiment était trop grand, si tu veux elle est plus ou moins divisé en trois partis ; les usines de production, ou sont donc fabriqué les tissus, les usines de manufacture ou la partie des tissus qui n'es pas mis en vente comme tel sont travaillé, cousus et découpé pour créer des vêtements ou revêtements, et pour finir il y à la partie principale qui s'occupe de la paperasse, de la communication, etc. Les usines ne sont pas en ville mais dans les banlieues alentours.
_Mais s'il s'occupait des papiers il n'était pas dans le bâtiment principal de l'entreprise ?
_Non comme il s'occupait d'un autre pays il était dans une sorte de branche secondaire en gros les principaux revenues de l'entreprise sont dans la vente directement à l'intérieure du pays alors toutes les sous-sections d'import-export étranger sont dans un autre bâtiment.
_D'accord, et au sujet de l'incident, qu'as-tu ?
_Une jeune femme du nom de Hiroko Hinata a été retrouvé morte le Jeudi 7 Juillet à 9h 51 dans la salle B4 du neuvième étages. C'était la secrétaire du directeur. L'autopsie a révélé qu'elle a subi des strangulations avant que sont corp ne soit totalement traumatisé, on parle de ventre éventré, de tétons arrachés, de coup et blessures violentes ou encore d'os cassés. Elle est morte d'une hémorragie.
Le vert réfléchissait rapidement, ce genre de blessure était plus qu'intentionnel, elle était pour faire souffrir, ce n'était pas là un simple acte de défense ou un accident mais bien dans le but de tuer.
_Quel est le rapport avec M. Bakugo ?
_Il a était découvert sur les lieux du crime les mains sur le corp de la victime, d'après son témoignage il l'aurait simplement retourné pour voir si elle était encore en vie car quand il est rentrés dans la salle elle était entouré de sang.
Le vert l'arrêta la, ayant la base de l'évènement.
_Avant de te dire si j'accepte j'aimerais te poser une question.
Le rouge jusqu'à la occupé à trier les documents releva la tête sans pouvoir s'empêcher de déglutir. Il hocha la tête signe qui insista le vert à continuer.
_Pourquoi tu veux le sauver ? Enfin au-delà du fait que ce soit ton ami je veux dire ? Au vu du nombre de recherche que tu as fait cela doit bien faire des mois que tu travailles dessus alors je me doute que tu as déjà forcement du tomber sur les risques que tu encourais pas vrai ? Pourquoi même en sachant que tu peux toi aussi mourir tu continues, je comprends vraiment pas ..
Un silence pesant s'installa durant lequel le vert n'avait pour rien au monde décroché ses perles émeraude du rouge, cette question lui tournait dans la tête de puis un moment, pourquoi risquer sa vie pour - soit - un ami mais qui avait potentiellement tué quelqu'un et qui était maintenant condamné à mort.
_Il ne l'a pas tué ... Sa voix avait à peine était plus forte qu'un murmure, comme un souffle désespéré qui était par miracle parvenue au oreille du réceptacle.
_Comment peux-tu en être certain ? Il arrive parfois au gens de ne plus du tout se contrôler et de perdre totalement la notion du bien et du mal. Je suis le mieux placé pour te dire ça vu le nombre d'exemple que j'ai.
_Je- ... Il soupira, son corp c'était tendu au possible alors dans un espoir de le détendre il vint s'appuyer contre le dossier de son assise. Katsuki est mon meilleur ami. Pour être honnête avec toi, c'est un mec qui passe son temps à se plaindre et râler tout le temps, il à un caractère de merde et à un égo de la taille d'une planète il eu un petit rire triste mais quand on apprend à le connaitre c'est vraiment quelqu'un de bien. Il est toujours la quand on est en galère même quand on l'appelle pas, il a un sens de l'humour un peu pété mais quand on s'y habitue on en rit plus qu'autre chose, il abandonne jamais quand il se donne un objectif. Parfois il disparait pendant une semaine et réapparait du jour au lendemain comme si c'était normal en nous disant qu'il c'était juste barré. C'était un peu l'allégorie de la liberté, l'archétype de la fidélité amicale. Il était toujours là pour nous tout en étant libre comme l'air.
Ses parents le laissaient faire ce qu'il voulait alors il arrivait des fois quand ont étaient encore au lycée qu'à la fin des cours il passe me prendre avec ça p'tite voiture en ferraille à moitié flingué et qu'on parte juste le plus loin possible, ont savaient pas vraiment ou mais ont roulaient juste profitant de l'air frais des campagnes et des montagnes qu'ont traversaient il refit une pause un peu plus longue. Nostalgique et peiné comme s'il était à deux doigts de craquer. Pour moi Katsuki c'est pas juste mon ami, c'est mon frère.
Le vert l'observa en silence. Son frère de cœur donc .. c'était inconnue pour le jeune homme et pour la première fois il ressentit une sorte de jalousie, d'envie infondé. Lui qui n'avait connu que la solitude devait faire face à cette réalité, celle ou les personnes de son âge étaient entouré de personne là pour les soutenir en cas de problème ou juste de passer un bon moment ensemble. Il regardait cette réalité bien loin de la luxueuse froideur de son enfance ou les seules épaules sur lesquelles il avait pu pleurer avait été les siennes, ou la simple évocation du mot liberté représentait à lui seule un idéale maintenant inatteignable.
Car oui, l'autre raison pour laquelle Izuku était jaloux c'est qu'il ne pouvait maintenant plus que regarder de loin cette lueur de liberté que jamais il ne pourrait plus atteindre. Même s'il l'avait voulu il ne pouvait pas reprendre de nouveau départ, c'était trop tard. Comme le tabac qui peu à peu noircissait les poumons, les souvenirs entachaient à jamais son âme et même s'il les avait mis à part de ses propres sentiments et souvenirs il savait que ce n'était pas éternel. Un jour arriverait où cette barrière cédera et ou il sera plongé dans les ténèbres de la folie, accablé par des souvenirs venant le hanter nuit et jours sans relâche jusqu'à ne laisser de lui que l'image de son corp détruit par la peur.
Il en avait peur et ne pouvait rien y faire car une chose que savait bien le réceptacle c'était qu'il n'en avait plus pour très longtemps. Plus il approchait de cette liberté plus la durée de vie de sa santé mentale diminué car plus il ressentait des émotions, alors plus elles étaient exposées, en dehors de ses murs qu'il avait bâti, se même mur qui l'empêchait d'atteindre ce sentiment de plénitude tant convoité. Et les souvenirs parasites se trouvaient eux aussi en dehors des murs, n'hésitant pour rien au monde pour rentrer par les brèches de sa barrière venant alors le corrompre.
Cette soudaine jalousie en était la preuve concrète, de même pour ses quelques moments de joie, de peur, de tristesse ou tout simplement pour sa deuxième erreur, les souvenirs de Herman.
_Je vois ..
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Bon chapitre remplie d'information, on commence à avancer dans l'intrigue.
Si vous avez eu des problèmes de compréhension n'hésitez pas à m'en faire part, ça me permettra de changer ce qui n'est pas bien dit ou de vous l'expliquer ^^
Bref j'espéré que vous l'avez aimé, perso c'était cool à écrire.
Je vous dis à pluuus !!
Heno
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