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Il soupira, il était 18h 27.

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Pdv : Omniscient

Le jour c'était levé pourtant le garçon ne bougeait pas. Ses cheveux blonds s'était terni et sa peau c'était éclaircis à cause de son manque de soleil. Sa tenue n'était pas non plus à sa taille ; le bas trop petit lui arrivé à mi- mollet, son haut quant à lui lui faisait presque une tunique tant elle était grande et les manches lui arrivaient alors au coude. C'était encore plutôt calme à cette heure et pas grand monde était levé. Même si c'était le cas il savait que personne n'irait l'irriter après tout il était bien connu ici.

Numéro : N° 194407 

Nom Prénom : Bakugo Katsuki 

Crime : Meurtre

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Le vert n'était pas sorti de chez lui le lendemain, ni même le surlendemain. Après son appel avec la police la personne qu'il avait en ligne lui avait envoyé un médecin pour s'assurer qu'il aille bien et heureusement que ça avait été fait car non, ça n'allait pas.

Le médecin avait du tout d'abord le trainer jusqu'au salon lorsqu'il l'avait trouvé à a peine quelques mètres de la porte. Il avait ensuite nettoyé ses yeux et sa main ensanglanté avant de s'apercevoir avec horreur de l'état plus qu'inquiétant du poignet du jeune homme. Au final ce fut sur cette blessure qu'il passa le plus de temps, accompagné d'imperceptible gémissements de douleurs et de petits mouvements de recules.

Lorsqu'il fut enfin parti, Izuku l'était déjà lui aussi. Allongé dans son lit, le jeune homme ne cessait de repasser dans sa tête chaque mot, chaque expression, chaque mimique et plus il faisait ça, plus son ventre se tordait désagréablement. Il se retourna essayant de ne plus y penser tout en faisant attention à son poigné maintenant dans une attèle.

Il n'arrivait pas à dormir alors doucement il essayait de trier les souvenirs de ses patients du jour pourtant à chaque fois qu'il essayait de visualiser un quelconque souvenir il se voyait assis dans une petite fiat renversée sur la route entre Takahagi et Isohara, devant lui une BMW et à ses côtés une femme d'une trentaine d'années, le visage en sang et les jambes sectionnées. L'un de ses bras complètement disloqués pendait dans le vide.

Il se releva brusquement, enlevant la couverture de son bras valide avant de se ruer au-dessus des toilettes ou il finit par rendre son maigre déjeuné. Il toussota, la tête toujours un peu en avant alors qu'une larme solitaire roulait sur sa joue cadavérique. Ses jambes tremblaient, prises de soudains spasmes. Il savait ce qu'il était en train de lui arriver, il le savait et plus il y pensait plus il en avait peur.

Il se traina difficilement en dehors de la pièce, la respiration difficile, tirant son corp fatigué à un bras de temps à autre aidé par ses genoux grelotants. Devant lui se dressait un fauteuil et jamais il ne lui avait paru si grand. Il n'avait pas la force d'y monter aller il s'y adossa simplement et déplia ses jambes blanchâtres par à-coups, toujours violemment tiraillé par des courbatures naissantes.  

Il ferma les yeux, calmant au mieux sa respiration anarchique, devant lui, le noir devint lui-même plus sombre, peu à peu des sphères transparentes apparurent dans lesquelles on pouvait y voir des scènes s'y jouer en boucles. Certaines étaient longues d'autre d'à peine deux secondes, certaines étaient aussi grandes qu'un homme tandis que d'autre ne dépassaient pas la taille d'un œil. Certaines étaient groupé, attaché par un fil invisible les empêchant de se mélanger avec les autres. C'était des souvenirs.

Sur l'une il se voyait vieillarde, voyant le corp de sa fille sans vie au milieu de ses draps de lin et de coton, sur une autre il était un enfant de sept ans, son corp hâlé recouvert d'hématomes. Sur chacune d'entre elle il était quelqu'un de différent car ça n'avait jamais été lui.

Izuku était là au milieu de cette infinité noire à observer d'un regard absent les milliers de bulles bougeant calmement. Il se releva doucement, comme s'il flottait, ses pieds touchaient à peine le sol pour qu'il fasse plusieurs mètres. Parfois lorsqu'il passait trop près de l'une d'entre elle il lui semblait entendre des murmures provenant de cette dernière puis ils s'effaçaient lorsqu'il s'éloignait. Il avançait doucement d'un pas gracile presque nuageux faisant bouger ses cheveux à ralentis comme s'il se trouvait dans l'eau sans vraiment y être.

Il s'arrêta finalement devant un mur. Un immense mur blanc qui semblait n'avoir aucune fin, ni à gauche ni à droite ni en haut. Juste un grand mur blanc sur lequel était gravé une gigantesque double porte. Il s'en approcha, posant sur la pierre glaciale sa main entouré d'un pensement. D'abord la pulpe de ses doigts reterrassèrent les lignes gravé puis sa paume vint s'ajouter. Son front vint s'appuyer et il ferma les yeux.

Le mur ne bougeât pas pendant quelques temps puis finalement il se mit à trembler, le réceptacle s'en écarta d'un pas, volant alors à quelques mètres de là. Doucement les gravures devinrent de plus en plus visibles abordant une couleur argentée puis un faisceau de lumière bien plus fort vient retracer les contours de la porte en un instant, éblouissant presque le vert.

De la poussière tomba sur le sol et dans un temps infini l'entrée s'ouvrit pour la première fois depuis bien longtemps. Les portes ne s'espacèrent que de trente centimètres tout au plus, tout du moins juste assez pour que le réceptacle puisse s'y glisser sans trop de problème. A peine les eût-il passés qu'un claquement sourd se fit entendre. Les portes c'étaient refermé.

L'endroit était sombre, pas la moindre lumière alors le garçon ne bougeât pas. Il resta immobile alors qu'au loin quelque chose commençait à apparaitre, semblable en tout point aux sphères d'avant au détaille que celles-ci étaient d'un magnifique vert. Ses souvenirs. Peu à peu toute les bulles firent leurs apparitions, comme si elles étaient jusqu'à la resté caché et que maintenant qu'elles savaient que le visiteur n'avait rien d'un inconnu, elles reprenaient leur train-train quotidien.

Pourtant deux dénotés des autres, elles étaient d'un bleu identique à celui des sphères par-delà les murs. 

C'était ses erreurs. 

Il s'avança prudemment vers elles évitant d'un simple mouvement de tête ou de bras les souvenirs en travers de son chemin pour finalement se stopper devant les deux intrues. Elles ne bougeaient pas, et l'une d'entre elle était bien plus grande que l'autre, faisant alors presque la taille du vert.

Il regarda dans la plus grande, l'attrapant faiblement puis ce fut comme si tout autour de lui disparaissait, comme s'il était littéralement aspiré. Il cligna des yeux rapidement et lorsqu'il les réouvra la quatrième fois, tout se confirma, tous ses doutes, toutes ses craintes, tout. Il était assis, Mme Herman à ses côtés. 

Il rouvrit les yeux en panique, la respiration erratique. Il posa sa main au niveau de son cœur avant de comprimer son sternum. Il était revenu à la réalité, délaissant son subconscient. Ça faisait longtemps qu'il n'avait plus passé ces portes, très longtemps, la dernière fois qu'il l'avait fait il avait découvert sa première erreur, le premier souvenir d'autrui qui avait réussis à s'immiscer en lui et maintenant c'était au tour du souvenir d'Herman de taper l'incruste ? Ce n'était pas une bonne chose, vraiment pas, cela voulait dire que ses remparts psychologiques n'étaient pas assez forts et cela le terrifié de ne rien pouvoir y faire.

Ce soir-là le jeune homme s'endormie sans rêve, Morphée n'était pas venu cette nuit-là ainsi que toutes celles qui suivirent.

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Un coup retentit, puis en autre. Bientôt la vielle porte fut martelé de coup plus ou moins violent. Tous provenaient de la même personne, M. Midoriya. Il était neuf heures pile et l'hôte de la maison qui allait l'accueillir ne fut aucunement surpris de le voir arriver à bonne heure, après tout, tout le monde savait que le jeune Midoriya était une véritable horloge à lui tout seul ; quand ils étaient encore à l'université, le vert avait raté une entrevue avec le directeur, pour toute explication il lui avait reproché ses quatre minutes sept de retard. C'était devenue une histoire plutôt connue maintenant et certain se demandaient même comment il avait pu être au courant de son temps de retard s'il était déjà parti. Mais bon c'était Midoriya, c'était à lui seule une grande énigme. 

Fumikage lui ouvra rapidement la porte, craignant que cette dernière ne cède sous les coups de son invité visiblement de mauvaise humeur. Il n'avait pas vraiment changé depuis la fin de leurs études, quoiqu'il eût un peu grandi. Ses traits c'étaient aussi affiné par contre il avait pas mal maigri, rien d'inquiétant mais il se souvenait d'une personne qui faisait attention à lui, pas un jour ne passé sans qu'il ne se ramène avec un bento ou chaque aliment avaient été pesé et réfléchit pour qu'avec le reste le repas soit équilibré. Mis à part ça il avait juste l'air fatigué, son teint cadavérique et ses cernes ne trompaient personne.

Il se décala, le laissant entrer après avoir échangé un bref hochement de tête. Ils vinrent tout de suite s'installé dans les fauteuils bordant la terrasse. L'hôte avait bien vu son invité boiter alors il ne lui avait pas proposé d'aller discuter quelque par en ville, de toute façon le ciel c'était couvert. Il alla chercher de quoi boire et revint rapidement s'installer en face du vert, attendant patiemment la raison de sa venue.

_Bon quel bon vent t'amène ?

Le vert le regarda légèrement surpris, il ne l'avait pas vu revenir.

_Juste passé un petit bonjour à un ancien camarade de classe, pourquoi ? Je n'avais pas le droit ? Son ton était presque sarcastique pourtant l'hôte ne l'avait pas mal pris sachant que ce n'était sûrement pas volontaire.

_Pas à moi Midoriya, pas à moi. On sait très bien que tu ne visites plus personne depuis bien longtemps, l'as-tu d'ailleurs déjà fait ?

Le vert ne répondit pas et préféra prendre une nouvelle gorgée de son café tout en détournant le regard vers la baie vitrée d'où il pouvait voir des oiseaux se disputer un vers. Sa main tremblait manquant de renverser le liquide à plusieurs reprises et même aidé par la seconde, il lui était difficile de soulever le faible poids du récipient. L'hôte soupira.

_Ecoute, l'hôpital m'a appelé il y a quelques jours et sache que j'ai eu vent de ce qu'il s'est passé, ce Eijiro Kirishima .. Izuku retourna rapidement sa tête en direction de l'ancien réceptacle .. il est aussi venu me voir, je suis resté en contact avec certains autres réceptacles et apparemment il a fait le tour de pas mal de villes et il est allé voir tous les réceptacles qui s'y trouvaient. Mais je crois que personne n'a accepté en même temps vu sa demande ça ne m'étonne pas beaucoup. Tu imagines toi si tu devais al-

_Je t'arrière tout de suite je ne sais même pas de quoi il s'agit, en fait je l'ai viré avant qu'il ne m'explique, j'allais prendre du retard sinon..

Le noiraud sourit, il s'y attendait.  

_Eh bien pour faire simple, il a besoin qu'un réceptacle aille voir dans la mémoire d'un de ses amis pour qu'il puisse prouver quelque chose.

_Tu peux être un peu moins clair ? Ironisa le vert.

_Son ami est accusé d'avoir tué quelqu'un, il veut qu'on l'aide à le disculper il marqua une pause mais bon, j'ai eu son dossier entre les mains et je sais pas trop quoi en penser, apparemment c'est le patron de l'entreprise dans laquelle il travaillait qui l'aurait trouvé, un couteau ensanglanté à la main, à côtés du corp d'une femme. Mais après c'est compliqué de faire un choix, si on refuse il y a de forte chance qu'il se fasse exécuter mais si on accepte et qu'il a menti on risque la même peine que lui pour collaboration. Pour rien arranger le patron a porté plainte contre lui et c'est plus le genre plein aux as qui n'hésite pas à sacrifier les autres pour son propre bien que celui qui vient t'aider lorsque t'as trop de boulot.

Pas un mot ne fut échangé pendant quelques minutes, chacun bien trop occupé à réfléchir de son côté.

_Comment il s'appelle ?

_Qui ? s'exclama le noiraud bien trop rapidement sorti de ses pensées.

_L'ami, comment il s'appelle.

_Bakugo si je me souviens bien. Il ne semblait pas sûr de lui pourtant il reconfirma sa réponse à peine deux secondes après accompagné d'un léger hochement de tête.

Le vert ne fit qu'hocher la tête, il ne savait même pas la réelle raison de cette demande mais sa curiosité lui jouait des tours. Avec les récents évènements il avait rapidement oublié l'histoire du rougeâtre et il ne c'était concentrait que sur son erreur, réfléchissant à tous les moyens possible pour la réparer, pourtant aucun n'existé vraiment.

_A quoi tu penses ? T'as l'air perdu ? souriait-il.

Izuku hésita, il ne c'était jamais confié à quelqu'un. Jusqu'à là il n'en avait jamais vraiment ressenti la nécessité.

_Je ... Il y a quelques jours il y a eu un petit problème avec un de mes anciens patients ... avait-il dit d'une voix cassée, faible.

L'hôte perdit son rictus, jamais au grand jamais il n'avait ne serait-ce qu'imaginé que Midoriya Izuku, alias la personne la plus professionnel, perfectionniste et sûr de lui se confirait à lui. Pourtant il ne fit aucune remarque, il connaissait très bien la fierté de son interlocuteur et il savait que s'il lui parlait de ses faiblesses c'était que ça n'allait vraiment pas.

_Il voulait récupérer ses souvenirs..

_Tu lui as dit non j'espère ? avait-il d'une voix soudainement paniquée.

_Evidement, je ne suis pas suicidaire non plus, mais il n'a rien voulu entendre il .. il m'a coursé longtemps, très longtemps..

_Attend t'es pas sérieux ?

_C-C'est pas ça le pire ... je .. ses souvenirs, je n'sais même pas comment c'est possible mais ... ils ont fusionné avec les miens. Je ... Il posa sa tasse sur la table avant de prendre sa tête dans ses mains. J'ai fait une erreur, une très grosse erreur.

Le noiraud n'en croyait pas ses oreilles. Une erreur. Izuku Midoriya avait fait une erreur. Tout réceptacle, même novice, savait à quel point il était difficile de séparer ses souvenirs de ceux des autres pourtant le vert avait toujours semblé être totalement alaise avec ça. Jamais il n'avait rechigné et avait toujours mené à bien les exercices pratiques. Il ne se l'avouerait sûrement jamais mais au fond, l'hôte avait toujours un peu admiré et envié le vert. Il le voyait comme une sorte de modèle de professionnalisme alors le voir aujourd'hui au milieu de son salon au bord d'une crise de nerf et totalement à bout de force le marqué bien plus qu'il n'aurait pensé. Après tout il ne c'était jamais parlé -ou du moins très peu- en dehors du cadre professionnel pourtant c'était une sorte de façade de perfection qui était en train de s'effondrer sous ses yeux.

Pour la première fois il réalisa que Midoriya avait des sentiments. Qu'il était tout aussi humain que lui.

_T-tu en a parlé avec la clinique ?

_Tu es fou ? Tu as bien comme moi la réaction disproportionné qu'il ont eu pour une simple intrusion qui qui-plus-est n'était pas vraiment dangereuse alors s'ils apprennent que je me suis fait pourchasser par un taré qui voulait récupérer ses souvenirs je ne remettrais plus jamais les pieds là-bas.

Il était vrai que la réaction des dirigeants hospitaliers avait été plus qu'expéditif mais le cas de figure été diffèrent, là c'était quelqu'un qui lui en voulait qui le cherché pas un mec demandant de l'aide. Il soupira, passant une main dans son cheveux charbonneux avant de la laisser descendre sous l'un de ses yeux, tirant alors légèrement sur sa paupière inférieure.  

_T'en as parlé à quelqu'un autre ?

_J'ai appelé la police une fois chez moi mais rien, il c'était volatilisé. Même les caméras de surveillance n'ont rien pu trouver. Avait-il dit d'un ton las, fatigué.

_Merde..!

Izuku soupira à son tour et renversa sa tête contre le dossier bleuté du fauteuil en joignant sa main semi-valide à son attelle ce qui attira le regard de l'hôte. Doucement il se mis enfin à faire le rapprochement entre toutes les blessures de son interlocuteur et son histoire et il sentit en poids en plus s'abattre sur lui. Il savait qu'il n'avait aucune inquiétude à avoir pour sa propre sécurité mais voir son ancien camarade de classe dans un tel état de faiblesse lui était étrangement difficile dans le sens au la pression qui reposait sur les frêles épaules de vert semblais être sur le point de l'écraser.

_Repasse me voir quand tu auras du nouveau.

Le vert sembla surpris par cette soudaine prise de parole.

_Pardon ?

_Tu ne penses quand même pas que je vais te laisser tout seul dans tout ce bordel non ? Je sais que tu n'as pas pour habitude de socialiser mais je te force un peu la main à vrai dire. Et puis je connais déjà assez bien ton caractère intransigeant et apathique pour savoir que ça ne me dérangera pas les prunelles du vert brillaient d'incompréhension Je ne te demande pas des sortis ou des papotages de bonne figure, seulement de ne pas hésiter à venir me parler si quelque chose te tient à cœur ou si tu as des nouvelles à propos de cette histoire de souvenir ok ? 

Le vert ne fit qu'un faible mouvement d'approbation avant de se reconcentrer sur sa boisson désormais froide, excluant volontairement de son esprit toute question à propos de cette "socialisation" (?) imprévue.

 Le reste de l'entrevue se déroula dans le calme ou plutôt dans le silence et seul bruit des tasses tintant contre les soucoupes de porcelaines. Quelques mots avaient été échangé lorsqu'Izuku c'était doucement levé et l'hôte l'avait raccompagné au pas de la porte ou quelques gouttes gelées tombaient silencieusement des cieux.

_Midoriya !

L'interpelé se retourna vers le noiraud avant de constater que ce dernier tendait sa paume vers lui, tenant en son saint un petit bout de papier légèrement jaunit et écorné. Le vert s'en saisissais et lança un regard vers son hôte.

_Mon numéro, et celui de Kirishima, il me l'avait donné au cas ou alors je me suis dit que ça pouvait peut-être t'intéresser.

Le vert haussa mollement les épaules tout en fixant le papier entre ses doigts.

Il repensa au visage penné du rouge puis fit simplement demi-tour, adressant un vague signe de main à Fumikage en signe d'aurevoir. Il aurait bien le temps de réfléchir à ça chez lui ?

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Bonjour/bonsoir à tous, merci d'avoir lu ^^, petite précision : Fumikage est humain je rappelle que les altères n'existent pas et que le don d'Izuku et Fumikage est très rare mais n'est pas un altère, plus une sorte d'habilité.

Bref Fumikage est trop sous côté dans les fictions alors j'espère vous le faire apprécier un peu plus ^^'

A pluuus ^^

Heno  

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