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Ne pleurer pas senseï

L'homme qui me fait me sentir si vivant est venu me chercher alors que je mettait décidé d'arrêter de jouer avec la tête sans vie qui était dans ma main. Mais je ne lui en veut pas car je su a la lueur de son œil visible entre les doigt d'une de ses nombreuse et si belles mains détacher placer sur son visage que il m'avait préparer de quoi me soulager et qu'il était temps de rentrer.


FLASH BACK:

Le jeune homme au yeux vairon me fixait toujours et il n'était pas le seul. Tous les héros, du moins ceux qui avait réussi a se relever m'observait avec des regardes d'où se reflétait une pur terreur. Sous leur vu méduser, j'arrachais les dent du crane que je tenait. Lorsque je l'eus édenter totalement, je me mis a rire au éclat et de mes pieds je broyait jusqu'à poussière les quenottes du défunt. J'entendais les pleurs et les supplications des personnes m'observant faire mon petit jeu macabre. Je continuait de rire a gorge déployer en faisant sauter la tête dans mes mains comme si il s'agissait d'un ballon de plage. Je m'amusait tellement que je ne vit pas de suite qu'un des héros se rapprochait de moi, le corps couvert de son sang et de celui de ces camarade .

"- Tu déconne la le nerd, me dit il avec un sourire crisper sur le visage, c'est juste un putain de cauchemar, j'vais me réveiller...."

"- Ooo voyons pourquoi cauchemarderais tu, au contraire tu devrais adorer ce qui ce passe nan?"

Je le vis blêmir au possible, ses yeux me fixait tendit que je câlinait tel une peluche le crane édenter contre moi.

"- Voyons ,pourquoi fait tu cette tête, je croyait que tu haïssait les faibles, tu devrait donc te réjouir de la mort de ce garçon si inutile. Ne me dit pas que tu appréciait cette chose si ringarde. A moins que tu soit devenu toi même si faible que tu compatis a leur sorts." Mon sourire s'étira de manière perfide. 

Le héro explosif reculait alors que je me dirigeais d'un pas lent vers lui en tenant par les cheveux la tête de son camarde de classe. Le blond tendis son bras, le seul qu'il pouvait encore bouger, devant lui comme un avertissement pour m'obliger a ne plus m'approcher.

Mais avant que je ne puisse continuer mon avance vers ma prochaine victime, une voix ce fit entendre dans ce terrain de jeu sanglant qu'était l'usine ou nous étions tous.

"- Mon mignon petit lapin sanguinaire, je suis venu te chercher, tu t'es assez amuser pour aujourd'hui. Il faut rentrer a la maison maintenant, dépêche toi et ce jouet a ses propriétaires veut tu."

Je me retournit pour voir un corps sortir d'un portail noir comme la nuit. L'homme me fixa de son œil visible a travers les doigts d'une de ses nombreuse mains et je vit tellement de chose dans se regard que je savait que je serai combler cette nuit. Que ce soit de douleur comme de plaisir.

Je jeta un dernier coup d'œil multiple personnes figer dans la peur et la douleur qui était disperser dans les quatre coin du bâtiment puis je me dirigis vers un corps en particulier. Je m'accroupis devant la personne choisi qui se tendit immédiatement mais ne bougea pas d'un poil. En même temps ce n'est pas comme s'il pouvait bloquer par les gravas dans une position assise qui devait être relativement désagréable. Je deposit alors très délicatement, comme une petite chose précieuse, la boite crânienne du nain faible et déclara dans le creux de l'oreille de la personne :

"- Je suis sur que les parents de cette malheureuse victime aprécirons que vous leur annoncier comment, de votre incompétence et de votre faiblesse, vous n'ayez rien pu faire pour protéger leur enfant alors que cela était votre devoir. Mais ne pleurer donc pas comme ça voyons ce n'est pas digne d'un si grand professeur comme vous. Il ne vous en voudrons pas car après tout votre travaille est de faire de ces ados des héro et c'est ainsi que leur fils est mort. Allons arrêter de pleurer ainsi vous me faite de la peine Aizawa sensei."

Je deposit un tendre baisé sur le front de mon ancien professeur puis me relevit et parti rejoindre l'homme qui m'attendais et qui ne m'avais pas quitté des yeux durant mon discret discours. Arriver devant lui je me tournit une dernière fois pour admirer mon œuvre tout en sentant les bras de l'homme derrière moi m'enlacer et nous disparime ainsi tout les deux en reculant d'un pas dans le portail.





( L'image en media est la dernière chose que verront les héros qu'il verront )

Prochain chapitre comprenant un lemon  tres mmmm special

bisous

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