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Lorsque j'ouvre les yeux, une douleur intense me déchire l'arrière du crâne. Un sifflement transperce mes tympans et la lumière beaucoup trop aveuglante brûle mes pupilles. Je referme aussitôt les paupières en priant pour que cette souffrance disparaisse et ne revienne jamais. Autour de moi, je sens la présence de plusieurs personnes. J'arrive à percevoir quelques exclamations, des étonnements, et surtout mon prénom. Des doigts palpent mon visage et mon pouls. Des bras me soulèvent et me transportent loin de tout ce brouhaha qui bourdonne dans mes oreilles et intensifie la douleur dans mon crâne.

Je ne saurais dire si quelques secondes sont passées, ou alors quelques minutes. Peut-être même des heures, voire une éternité. Quand j'ouvre de nouveau les yeux, et cette fois-ci, avec moins de souffrance, je distingue quelques figures familières. April et Finn, assis tous les deux sur des chaises à mes côtés. Leurs visages portent les traces d'une nuit sans sommeil creusées dans leurs cernes et une inquiétude palpable dessinée sur les rides de leur front. Avec un petit effort, je parviens à leur offrir un petit sourire de réconfort, qui m'arrache un gémissement de souffrance dû à la douleur persistante de mon crâne. April s'élance vers moi et prend ma tête entre ses mains. Des larmes scintillent au coin de ses yeux.

— Nous avons eu tellement peur pour toi, Jade ! s'exclame-t-elle d'une voix qui se brise aussitôt en un sanglot.

J'observe autour de moi. Un bureau trône dans un coin près d'une fenêtre, avec deux étagères disposées sur les côtés de la pièce. De la paperasse est étalée un peu partout sur une petite table basse, en face du canapé en cuir sur lequel je suis actuellement allongée. Cette pièce très peu personnelle me paraît inconnue.

— Où sommes-nous ? demandé-je en grimaçant sous l'effet du tiraillement douloureux derrière mon crâne.

Finn s'approche et me prend la main. Je vois dans son regard que malgré son inquiétude, il a tout de même pas mal de reproches à me faire. Rien que d'y penser, je vois déjà mon mal de tête s'intensifier.

— Nous sommes dans le bureau du directeur du night-club, me répond-il. Nous nous sommes tous inquiétés pour toi.

— Que s'est-il passé ?

Je leur pose cette question même si je me rappelle très bien ce qui s'est déroulé juste avant que je plonge dans l'inconscience.

Où est passé l'inconnu ? Que m'a-t-il fait ?

— Lorsque je t'ai vu partir je ne sais où avec ce jeune homme, j'ai su que je devais garder un œil sur toi, raconte Finn. Pendant environ une trentaine de minutes, j'ai observé la porte par laquelle vous êtes entrés, puis, c'est à ce moment que l'inconnu avec qui tu étais partie est ressorti. Il semblait tout à fait normal, mais tu n'étais pas avec lui. J'ai abandonné Heather, j'ai foncé vers le gars et je l'ai attrapé. Je pense qu'il a tout de suite su que je te connaissais car, aussitôt, il m'a dit que tu t'étais évanouie et qu'il allait chercher de l'aide.

— Tu l'as cru ?

— Evidemment que non. J'avais le pressentiment que quelque chose n'allait pas. Dans la précipitation pour aller te retrouver, je lui ai demandé de ne pas bouger et de m'attendre. C'était une énorme erreur puisque lorsque je suis revenu, il s'est volatilisé.

— Erreur de débutant, commenté-je.

Il fronce les sourcils.

— Nous ne sommes pas tous comme toi Jade.

— Je sais. Continue.

Depuis que je me suis mise à me plonger dans des livres traitant des affaires policières, j'ai développé mes connaissances en matière d'investigation, mais aussi mes capacités à analyser chaque élément qui constitue un évènement. J'essaie d'appliquer tout ce que j'ai appris de mes lectures dans mes écrits, mais aussi dans ma vie personnelle avec beaucoup de plaisir. Finn a tendance à me réprimander là-dessus, car selon lui, je cite : « Notre vie n'a pas autant de mystères et de méchants que dans un film ».

Il lâche un soupir désespéré avant de continuer. A ses côtés, j'aperçois April qui sèche ses larmes avec l'aide d'un mouchoir, et qui retient un sourire face à ma répartie. Depuis que nous connaissons Finn, nous adorons le taquiner, et lorsqu'il se met en rogne, cela n'a d'autre effet que de nous faire sourire.

— Au moment où je t'ai retrouvée, poursuit Finn, tu étais allongée sur le sol, gisant au milieu de déchets à l'odeur épouvantable.

— Ne m'en parle même pas de cette odeur répugnante...

— J'ai essayé de te ranimer en vain et je t'ai ramenée à l'intérieur, à notre table. Heather avait disparu elle aussi...

Je me fige. Un détail ne colle pas dans son histoire, ou alors il a été omis. Je l'interromps.

— Attends une seconde. En passant par la porte qui donne sur la réserve de déchets, tu n'as pas croisé de vigile ?

— Non. Il n'y avait personne.

— C'est étrange...

— Il y en avait un lorsque vous êtes passés par cette porte ?

J'acquiesce. Finn reste perplexe.

— Après tout, ce n'est qu'un détail, ajouté-je. Mais je t'avoue que le fait qu'il soit présent devant une porte qui mène aux poubelles m'a semblé assez étrange.

Un silence s'installe. L'angoisse comme à m'envahir de nouveau au moment où je me rends compte que beaucoup trop d'éléments indiquent qu'il s'est passé quelque chose de grave lorsque j'étais seule avec l'inconnu derrière le night-club. Malheureusement, je n'arrive pas à savoir de quoi il s'agit.

April, restée muette jusque-là, me prend tout à coup la main à son tour. Elle la sert fort entre ses doigts.

— Jade, je suis tellement désolée de t'avoir poussée à suivre cet homme... ça partait d'une bonne intention...

Je sers sa main en retour avec un sourire compréhensif.

— Ne t'en fais pas pour ça. Je t'en veux un tout petit peu, c'est vrai, même si je ne suis pas vraiment sure qu'il m'ait fait quelque chose... Ce type m'a vraiment paru louche.

— A ce propos, reprend Finn, tu as mal quelque part ? Tu es sure qu'il ne t'a rien fait ?

Je me relève avec difficulté sur le canapé. Une douleur aigue me traverse le crâne. Je grimace de douleur.

— L'arrière de ma tête me fait terriblement mal, indiqué-je.

J'inspecte rapidement les autres parties de mon corps. Aucune trace de sang, aucun problème d'articulation, aucune autre douleur inhabituelle.

— Pour le reste, tout est normal.

Nous sommes interrompus par des pas derrière la porte du bureau, qui s'ouvre pour laisser passer un homme d'une quarantaine d'années. Il a l'allure élégante, et je devine qu'il doit être le directeur du night-club. Grand, en pleine forme et d'un charme conservé, il s'avance vers moi, l'air inquiet.

— Bon Dieu, vous êtes réveillée ! s'exclame-t-il lorsque je lui offre un sourire par pure politesse.

Il me jauge rapidement et passe une main sur mon front. J'ai presque l'impression d'être chez le médecin en train de me faire examiner par un professionnel en smoking.

— Vous vous sentez comment ? me demande-t-il.

— Assez bien. J'ai juste une douleur atroce à l'arrière du crâne.

— Je peux appeler un médecin pour vous si vous le souhaitez. Nous n'avons pas jugé cela nécessaire au début puisque nous n'avons pas perçu de...

— Non cela n'est pas nécessaire, le coupé-je avec un sourire. Merci beaucoup.

Puis, en me relevant totalement pour m'asseoir sur le canapé, j'ajoute :

— Je suis vraiment navrée des évènements. Je ne sais pas trop ce qui s'est passé. Je pense sincèrement que cela est dû à l'alcool.

Le directeur me sourit.

— Faites beaucoup plus attention la prochaine fois. Si vous avez besoin de quoi que ce soit, n'hésitez pas à me contacter.

Il tire une carte professionnelle de son costume et me la tend. Je le remercie, puis me lève pour prendre congé avec mes amis.

Lorsque nous sortons enfin du bâtiment, le jour commence doucement à se lever. Une lueur rosée illumine délicatement le ciel, étirant paresseusement les premiers rayons du soleil. Une brise d'air matinal nous rafraichit, emportant avec elle, le temps d'un instant, nos inquiétudes sur cette soirée. Je frissonne. Finn se rapproche et pose sa veste sur mes épaules. Je le remercie d'un sourire, qui se dissipe rapidement sous l'effet de la douleur de mon crâne. J'essaie tant bien que mal de ne pas me plaindre ni de montrer ma souffrance. Je déteste me montrer faible devant d'autres personnes, et en particulier devant mes proches. Nous avançons lentement vers le parking lorsque j'aperçois la grille menaçante de l'arrière du bâtiment. Je me fige.

— Les gars... je ne comprends vraiment pas..., balbutié-je.

April et Finn se retournent pour m'interroger du regard. Leurs figures sont terrassées par la fatigue, ils ont une mine épouvantable. Je sais très bien que nous avons tous besoin de repos, et pourtant, je n'ai pas envie de m'en aller sans avoir de réponses à mes questions. Rien n'est normal dans tout ce qui s'est déroulé cette nuit-là.

— Comment cela se fait-il que j'aie perdu conscience alors que je tiens habituellement très bien l'alcool ?

— Il y a surement une première fois à tout, répond Finn, exténué.

Il sait que je peux rester des heures là, au beau milieu du parking, à me poser les innombrables questions qui me traversent l'esprit et à essayer de remettre les pièces du puzzle en place.

— J'ai pourtant moins bu que d'habitude, ajouté-je pour le persuader qu'il y a bien quelque chose d'anormal dans cette histoire.

Ma meilleure amie se rapproche et m'entoure les épaules de son bras pour me conduire vers la voiture de Finn. Tout comme lui, elle a juste envie que je me taise et que nous rentrons chez nous pour aller nous coucher.

— Comme tu l'as dit tout à l'heure, intervient-elle, c'était surement dû à tout ce qu'on a bu. Même si, je te l'accorde, tu tiens très bien l'alcool.

— Ce n'est pas logique... Et puis, que me voulait ce gars ? Comment se fait-il qu'il se soit volatilisé juste après ? Il m'a surement fait quelque chose... mais quoi ?

Finn ouvre la portière côté passager pour laisser April me faire entrer. Avant de démarrer, mon meilleur ami me jette un regard à travers le rétroviseur :

— Pour l'instant, Jade, excuse-nous, mais nous n'avons vraiment plus envie d'y repenser. Nous avons vraiment besoin de repos, et toi aussi d'ailleurs. Nous sommes tous épuisés. Et puis, si tu veux mon avis, je pense qu'il vaudrait mieux que tu gardes toutes tes réflexions pour demain. Lorsque nous serons en pleine forme, nous essaierons de trouver un sens à toute cette situation.

— Peut-être faudrait-il aussi qu'on l'emmène chez le médecin ? suggère April. Je m'inquiète vraiment pour son crâne.

— Je vais mieux maintenant ! répliqué-je, même si la douleur persiste encore un tout petit peu. Vous avez raison, rentrons chez nous et oublions cette histoire pour l'instant.

Une tristesse dans le regard, mon meilleur ami finit par démarrer et s'engage sur la route.

Plus tard, lorsque April et moi arrivons dans le studio que nous partageons toutes les deux sur le campus de UCLA, je me débarrasse rapidement de mes vêtements pour me plonger sous le jet d'eau chaude de la douche. De son côté, April ne tarde pas à rejoindre sa chambre. Elle est vraiment épuisée... Avant de rejoindre mon lit à mon tour, j'avale deux comprimés pour mes maux de tête et sombre, sans tarder, dans un sommeil profond et réparateur.

*

Deux jours plus tard, après la fin des cours de la journée, je me prépare pour mon prochain service en tant que chef de rang. Je suis surexcitée à l'idée d'occuper de nouvelles fonctions. D'une main, j'ajuste mon chemisier blanc afin qu'il s'accorde parfaitement avec ma jupe droite. Nouveau poste, nouvelle tenue ! 

Au moment où je me regarde dans le miroir des vestiaires du restaurant, je me remémore instantanément mon week-end. Le lendemain de la soirée du vendredi, après avoir repris des forces, Finn est venu nous rendre une petite visite pour évaluer mon état. Je me sentais beaucoup mieux, mon crâne ne me faisait pratiquement plus mal et, après inspection sous la douche, je n'avais rien remarqué d'anormal sur mon corps. Pendant ce que je dirais, être une bonne heure, nous avons, tous les trois, discuté et surtout, beaucoup réfléchi à la situation. A vrai dire, cela nous a mené nulle part, à part faire affluer de nouvelles questions. Plusieurs grandes interrogations restent jusqu'à présent sans réponses : qui est l'inconnu ? Pourquoi m'a-t-il emmené à l'arrière du night-club ? Comment cela se fait-il que j'aie si peu tenu l'alcool ce soir-là ? Que faisait un vigile près de la réserve à poubelles ? Est-il de mèche avec l'inconnu ? Si oui, que me voulaient-ils ?

Désemparée, je souris tristement à mon reflet dans la glace. Même si je raffole des énigmes, il faudrait peut-être que je passe à autre chose comme me l'ont conseillé mes amis. Je devrais déjà commencer par être heureuse de n'avoir rien subi : aucun mal, aucun vol. Oublier. Voilà ce que je devrais faire. Oublier cette histoire louche, incompréhensible, sans queue ni tête. Après tout, je n'ai aucune raison de mener ma propre enquête là-dessus. Cela me mènerait peut-être quelque part mais ne me servirait pas à grand-chose. Pour l'instant, seules comptent mes nouvelles fonctions. Un sourire beaucoup plus joyeux se forme sur mes lèvres. Je suis prête.

Au moment où je sors des vestiaires, je tombe sur Florence, une française arrivée bien avant moi et qui occupe le poste de barmaid. Elle me sourit.

— Salut Jade ! Je viens de croiser Anders qui te cherchait. Il aimerait te voir dans son bureau.

Perplexe, je la remercie pour l'information et me dirige vers le bureau du maître d'hôtel.

Debout devant son imprimante, Anders sort quelques photocopies. Lorsqu'il se retourne, je lui affiche un grand sourire.

— Bonsoir Anders ! Tu voulais me voir ?

Il me salue en retour et m'invite à m'asseoir.

— J'espère que tu as passé un bon week-end.

Des flashs de la soirée de vendredi soir traversent rapidement mon esprit. Je ne dois plus penser à ça. Aujourd'hui, je ne dois penser qu'au travail. Rien que ça. Si je divague vers mes souvenirs, je risque de ne pas pouvoir assurer mon premier service en tant que chef de rang.

— Oui, c'était super, je réponds.

— Tant mieux. (Il feuillette quelques fiches et m'en tend une.) Aujourd'hui, tu vas avoir l'opportunité d'encadrer un de nos nouveaux arrivants : Nicholas Golding, jeune homme de vingt-huit ans, diplômé d'un master en business et management. Il n'a aucune expérience en restauration, mais possède d'excellentes aptitudes à la vente. Pour l'instant, il est en semaine de test. Tu t'occuperas de lui pendant sa période d'essai et tu nous présenteras un compte-rendu à la fin.

Face à ma mine défaite par la nouvelle, Anders tente de me rassurer avec un sourire compatissant.

— Je sais que beaucoup d'entre nous détestent prendre en charge les nouveaux. Dis-toi simplement qu'il faut bien que chacun y passe, et à partir d'aujourd'hui, c'est ton tour.

Sans me laisser le temps de répondre, il extirpe une feuille d'un bloc-notes et ajoute :

— Cette semaine donc, tu occuperas ton poste de chef de rang en tachant d'accomplir ta mission : apprendre les bases de la restauration à Nicholas et l'évaluer. Tu te chargeras également du rang cinq avec ton équipe dont nous en parlerons plus tard pendant le briefing. Tout est bon pour toi ?

Je m'efforce de ne pas lâcher un soupir déconcerté face à l'ampleur du travail qui m'attend. Je ne m'attendais clairement pas à avoir autant de responsabilités lors de ma première semaine.

— Nicholas occupera quel poste exactement ? demandé-je.

— Il sera runner. Il fera la liaison entre la cuisine et la salle pour le port et le débarrassage des plats. Il s'occupera également de toutes les tâches de nettoyage avec les autres runners.

— J'ai une autre question...

— Je t'écoute.

— Pourquoi c'est moi qui devrais m'occuper de lui et non un runner ? Ce serait beaucoup plus pratique..., remarqué-je.

Un sourire espiègle apparaît sur les lèvres de Anders.

— Justement, je voulais y en venir. Tu seras toi aussi en semaine de test.

Mon cœur rate un bond dans ma poitrine. Il ne manquait plus que ça.

— Pardon ?

— Tu as très bien entendu. Monsieur Carlton et moi-même avions convenu que nous te mettrons à l'épreuve pour voir si tu mérites vraiment ce poste.

Mon ego en prend un coup. Si je mérite vraiment ce poste ? Ils pensent donc tous les deux que je ne suis peut-être pas à la hauteur ? Mon cœur se serre et mon moral chute à zéro.

— Tu fais un excellent travail, je te l'accorde. Nous le pensons tous, sincèrement, tente de me rassurer Anders. Cependant, nous souhaitons vraiment évaluer ta capacité à gérer plusieurs tâches à la fois et à manager une de nos nouvelles recrues. Heureusement pour toi, la candidature de Nicholas est tombée au bon moment !

Je baisse les yeux sur la fiche que je tiens dans ma main. La photo en noir et blanc du nouveau runner affiche la tête d'un jeune homme séduisant qui sourit à la caméra. Une fossette apparaît dans le creux de sa joue droite. Je craque toujours pour ce genre de fossettes. Il est plutôt pas mal et a l'air sympa. Malgré le désespoir que je ressens à l'instant, une partie de moi s'enthousiasme à l'idée d'encadrer un beau spécimen.

— Une dernière question..., dis-je.

Anders joint ses mains sur la table en m'observant. J'ai l'impression qu'il essaie de m'analyser à travers son regard qui devient beaucoup trop sérieux à mon goût. Mon évaluation a-t-elle déjà commencé ?

— Si je rate la semaine test, que m'arrivera-t-il ?

Le maître d'hôtel affiche un sourire amusé. J'ai presque l'impression qu'il prend du plaisir à me torturer.

— Tu retrouveras ton poste de serveuse, me répond-il. Mais seulement la moitié du temps !

Je fronce les sourcils.

— C'est-à-dire ?

— Tu resteras chef de rang, sauf que tu feras souvent une rotation avec le poste de serveuse. Ta rémunération restera donc celle que tu gagnes d'habitude. Prends-le comme une phase de transition : tu as les moyens d'aller plus loin sans être vraiment prête.

— Très bien, soufflé-je.

Concluant notre entrevue, Anders se lève et me raccompagne à la porte de son bureau en m'annonçant que Nicholas Golding m'attend déjà dans l'office du restaurant.

***

PETITE NOTE DE L'AUTEUR : 

Comment auriez-vous réagi à la place de Jade ? Avez-vous hâte de rencontrer Nicholas ? Dîtes-moi dans les commentaires ! N'oubliez pas d'y laisser votre avis sur le chapitre également ! :) Des bisous ! 

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