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Chapitre 76

Les réunions du service Enquête de l'Enclave ne sont pas les plus intéressantes. Surtout qu'à mon niveau de formation, je ne sers pas à grand chose. Je suis systématiquement recalée pour le moment à des taches administratives. Les employés de Vildred lui racontent tour à tour comment se sont passés leur missions de la semaine et moi, comme je n'ai à mon niveau aucune mission à accomplir, dois me contenter de retranscrire à l'ordinateur tout ce qu'ils disent. Peu intéressant comme tâche, c'est vrai. Mais, même si je commence à être de mieux en mieux entraînée, Vildred ne me délégue aucune mission, pour le moment. Je suis toujours autant son assistante. Alors, c'est quand même intéressant, mais parfois, j'ai l'impression que les membres de l'Enclave ne me voit pas comme une Surnaturelle.

Je continue machinalement à taper sur mon clavier, prenant en note le compte rendu d'un des employés quand deux coups fermes frappent à la porte avant que cette dernière s'ouvre.

Isaac fait son entrée. Une entrée toujours autant charismatique. Tout le monde se redresse et lève la tête vers lui.

Vildred hausse un sourcil, ne s'étant pas attendu à se faire interrompre par son supérieur.

— Mesdames, Messieurs, bonjour.

— Isaac. Que puis-je pour toi ? Renchérit le Chasseur.

— J'aurais besoin de Mademoiselle Prior.

Oh avec plaisir.

— Tu veux me prendre ma scribe ? Ça va poser problème, sifflote le Chasseur en posant ses yeux violets inexpressifs sur moi.

— Laisse, je m'en occupe, s'interpose Laura, assise à côté de moi, en récupérant mon ordinateur.

Isaac me fait signe de me lever. Je récupère ma veste et m'exécute. Je contourne la grande table, sous le regard silencieux de tous les Surnaturels qui ne me quittent pas une seule seconde des yeux et passe enfin le pas de la porte. Isaac referme d'un geste vif cette dernière et au moment où celle-ci claque, je laisse enfin apparaître le sentiment d'enthousiasme, que je ressentais, sur mon visage.

— Enfin un peu de changements dans ma journée ! Je m'exclame.

Isaac ne perds pas une seconde. Il garde un air sérieux et professionnel et engage une marche rapide.

— Tu as des affaires à prendre ?

— Non.

J'ai du mal à suivre le pas. Isaac arpente le long couloir de l'Enclave sans comprendre où il m'emmène.

— Parfait, alors on y va.

— Pardon ? On va où ?

Isaac laisse un petit silence entrecouper la conversation tout en continuant de marcher d'un bon pas, que j'ai vraiment du mal à suivre.

— Chez la famille de Jonas.

Mon sang fait un tour dans mes veines suite à cette annonce.

— Attends, quoi...? Je m'exclame, incrédule.

J'ai véritablement raté un épisode.

— Un merci aurait suffit, réplique-t-il, sans émotion dans la voix, visiblement concentré sur son plan qui ne m'a pas encore dévoilé.

Mon rythme cardiaque se met alors à s'accélérer.

J'accélère mon pas pour me retrouver à son niveau et guetter des expressions faciales.

— Attends, je ne comprends pas...Tu as localisé Jonas ?

Isaac exécute un bref mouvement latéral de tête.

— Pas lui. Mais sa tante oui. Avec les registres des décès, j'ai fait des recherches sur sa mère, Sofia Williams. La seule famille qui lui reste à la Nouvelle Orléans est une certaine Sœur. Rose Williams. Elle vit dans un appartement du Faubourg Marigny. On ne sait pas grand chose sur elle, elle se fait très discrète. Elle est veuve, vit seule et illustre des livres pour se faire de l'argent.

Ça fait beaucoup d'informations d'un coup. J'en ai le souffle coupé. Je m'arrête alors brusquement pour intérioriser tout ce qu'il vient de me dire.

Je voulais de l'action ? Je suis servie.

Isaac se retourne vers moi et lève un sourcil, m'analysant de son regard affûté légèrement orgueilleux.

— Un problème, Prior ?

Je souffle un petit coup et me remets en marche, avant de lui accorder un regard de gratitude.

— Non, aucun. Je te remercie d'avoir fait ces recherches. C'était...rapide.

— On n'a plus beaucoup de temps. Les jours s'écoulent rapidement, sans qu'on n'ai aucune piste solide sur rien. Celle-ci semble être la plus prometteuse qu'on ait eu depuis le début. On ne devrait pas perdre de temps.

— Mais, on y va...maintenant ? Ça ne pose pas de problème qu'on quitte comme ça nos postes ?

Isaac me lance un regard rempli d'assurance, suivi d'un petit sourire, qui me fait légèrement frissonner.

— L'avantage quand on est en haut de la hiérarchie, c'est qu'on fixe soi-même les règles.

Je détourne mon regard et souris à mon tour, toute excitée par cette virée soudaine.

Qu'est-ce que j'aime cette situation.

— Eh bien, je suis à votre disposition, Monsieur le Directeur.

On passe alors par le parking, et on récupère une voiture de fonction de l'Enclave. Nous voilà déjà partis pour Marigny.

— Quel est le plan ?

— Le plan ?

— Tu as toujours un plan.

— Honnêtement ? On devrait jouer la carte de la sincérité. Tu te présentes, on lui dit naïvement qu'on est au courant que Jonas est vivant, on lui demande si elle peut nous renseigner et on observe sa réaction.

Je pince les lèvres, dubitative. Je ne sais pas si décliner ma véritable identité ira en ma faveur.

— Tu crois ?

— T'as une meilleure idée, Prior ?

Je hausse les épaules et fixe le bout de la route songeuse.

— En fait, je fais que de repenser à ce que Monica m'a dit.

— Sur Jonas ?

J'acquiesce d'un léger hochement de tête, le regard perdu dans mes pensées.

— Elle m'a mise en garde contre lui. Elle m'a dit que l'énergie qu'elle ressentait était mauvaise.

— Mmmh. Tu as peur d'être déçue, comprends alors calmement Isaac.

Ses mots sont justes.

Mais, Isaac est plus optimiste que moi, sur ce coup là, contrairement à d'habitude.

— Les retrouvailles avec ma mère biologique étaient déjà décevantes. Parfois, je me dis que les gens qui ne sont pas avec nous, ne le sont pas pour une bonne raison. Parce qu'ils n'en ont pas envie, je déclare.

Le loup-garou hausse les épaules.

— Pas toujours. Peut-être que certains ignorent juste notre existence.

Je me tourne vers lui et lui accorde un regard perplexe.

— Tu penses que Jonas ne sait pas que j'existe ?

Le loup-garou pince les lèvres et exécute un petit mouvement de tête d'indécision.

— Difficile à dire. Mais, si tu ne tentes pas, tu ne le sauras jamais. Si tu ne te présentes pas sous ta vraie identité, Rose te prendra pour une étrangère. Et si elle te prend pour une étrangère, elle ne te donnera pas d'informations sur Jonas, dans le cas où elle sait ce qui est arrivé.

Son raisonnement n'est pas mauvais. Isaac a plus d'expérience que moi, son avis est toujours bon à prendre.

Je finis par acquiescer.

— Tu as sans doute raison...

Isaac pose l'une de se main sur mon épaule, d'une façon douce et rassurante.

— Hey, Linda. Je serai là avec toi, de toute façon.

Je lui adresse un hochement de tête de remerciement.

Il y a bien une chose sur laquelle je ne doute pas, ce sont les intentions d'Isaac. Je lui fais confiance, et c'est l'essentiel.

On arrive enfin à l'adresse indiquée par le GPS.

Par chance, la porte de l'immeuble est déjà ouverte. Pas besoin de code ni de clé. On s'introduit alors directement à l'intérieur. Je fixe les longs escaliers d'un regard affûté.

— Quel étage ?

Pas de réponse.

Je comprends qu'il ne sait pas plus que moi où elle loge.

Au même instant, une vieille dame sort d'un des appartements du pallier. Isaac s'avance alors vers elle et la salue.

— Excusez-moi, on cherche l'appartement de Rose Williams. Pourriez-vous nous renseigner ?

— Troisième étage à gauche. Vous êtes des chanceux si elle vous ouvre la porte, grommelle alors la vieille dame avant de refermer la sienne.

Isaac n'a même pas eu le temps de la remercier. Il me fait signe de monter les escaliers, et une fois arrivé au troisième, on s'arrête devant la porte à gauche. Il sonne.

Une fois.

Deux fois.

Sans réponse.

A la troisième, la porte s'entrouvre brusquement, et laisse apparaître un tout petit espace, alors qu'une chaîne de sécurité empêche de l'ouvrir plus.

Le visage d'une femme d'environ quarante cinq ans apparaît dans le mince encadrement.

— Qui êtes-vous ? Que voulez-vous ? Demande-t-elle sèchement, en nous adressant un regard rempli de méfiance.

Isaac prend alors la direction de la conversation. Je décide de rester pour le moment un peu en retrait, et de tout observer.

— Nous cherchons Rose Williams.

— C'est moi.

— Nous voulons juste discuter. La jeune fille avec moi est la fille de Zachary Prior. Elle aimerait vous poser quelques questions sur son frère. Jonas Prior. Il me semble que vous étiez la sœur de sa mère.

Une onde de haine se noie subitement dans ses yeux bruns.

— Je n'ai rien à dire aux enfants de Zachary Prior.

Elle s'apprête à refermer la porte, quand Isaac coince son bras dans l'encadrement pour l'en empêcher.

— Si ça peut vous rassurer, cette demoiselle s'est enfuie de chez lui. Ils ne sont pas en bon terme. Elle cherche juste à mieux connaître la famille de son grand-frère, et je pense que vous pouvez l'aider.

Le visage de la femme se fige alors, avant de se radoucir progressivement. Pendant quelques secondes, elle hésite, puis finit par enlever le loquet.

— Entrez.

On fait alors un pas dans son appartement. On débarque dans un salon assez grands, plutôt en bazars avec des dessins et des peintures un peu partout.

— On vous remercie pour votre confiance, Madame Williams, renchérit Isaac.

Rose nous fait signe d'avancer un peu plus dans le salon.

— C'est un peu le bazar. Je n'ai pas eu le temps de ranger, veuillez m'en excuser.

— Aucun problème, je déclare alors.

La femme débarrasse alors la table de la salle à manger et nous fait signe de nous asseoir.

— Ma méfiance n'était pas contre vous. Les gens de confiance se font rares ici, finit-elle par déclarer.

Elle revient alors avec des tasses de thé.

— Vous vivez seule ? Demande alors Isaac en observant l'appartement du regard.

— Depuis la mort de mon compagnon, il y a une vingtaine d'année oui.

Elle nous serre puis s'assoit.

Je porte alors attention à elle. Sa peau est mate, ses yeux bruns et ses cheveux sont noirs et lisses. Elle ressemble à la femme qui était sur l'acte du décès. Ce qui est normal, étant donné qu'elle était sa sœur.

— Vous n'avez pas l'air d'avoir eu une vie facile, relève Isaac, avec une pointe de compassion dans la voix.

— Vous faites référence à ma petite sœur ? Sofia est décédée, il y a une vingtaine d'année. Vingt trois ans pour être exacte. Comme son fils.

— Jonas.

Rose hoche la tête.

— Un loup-garou les a assassiné.

Je sens qu'Isaac se crispe un peu à coté de moi. Si elle apprend qu'il en est un, il est possible qu'elle nous mette à la porte.

— Nous vous présentons nos plus sincères excuses, déclare-t-il.

La femme se redresse alors, rompt le contact physique et se resserre du thé.

— Je suis désolé mais je ne pourrais rien vous dire sur Jonas Prior. Il n'a vécu qu'une seule année avant de...

Rose ne finit pas sa phrase. Une onde d'émotion se noie alors dans ses beaux yeux bruns. Elle semble encore touchée par ce tragique accident.

— Ne vous êtes vous pas demandé s'il y avait une chance pour qu'il soit encore vivant ? Demande alors Isaac.

Rose lève les yeux vers le jeune homme. Elle fronce les sourcils et secoue la tête.

Il a peut-être été un peu direct. J'ai l'impression qu'elle est de nouveau sur la défensive, alors qu'elle s'était adoucie jusqu'alors.

— Pourquoi dites-vous ça ? J'ai son acte de décès. C'est même moi qui ai dû attester de leur identité en la confirmant au médecin légiste. Croyez-moi, je les ai vu morts. Pour moi, il est impossible qu'il soit encore vivant.

— Excusez-moi pour cette question directe, mais...

Rose coupe sèchement Isaac.

— L'espoir fait vivre, C'est vrai. Mais, Jonas est mort il y a plus de vingt ans. Ne vous imaginez pas le connaître un jour, Mademoiselle Prior. Cela vous rendra malheureuse. Je sais de quoi je parle, souffle-t-elle le regard noirs et les yeux humides.

— Quelle espèce était-il ? Jonas, je demande alors.

— A un an, on ne pouvait pas le déceler. Ma sœur et moi descendions d'une lignée de sorcière. Il y avait de grande chance pour qu'il ait ses pouvoirs. Mais, nous ne le saurons jamais.

— Zachary Prior, avait-il lui aussi des pouvoirs ? Je questionne.

Rose fronce ses sourcils, incline légèrement sa tête sur le côté et me dévisage d'un regard méfiant.

— Vous ne connaissez donc pas votre père, pour me poser une telle question ?

Je secoue la tête.

— Pas vraiment. Il m'a caché l'existence du Surnaturel pendant vingt ans. Je ne pense pas que me révéler une telle chose faisait partie de ses souhaits.

Isaac poursuit ensuite.

— Il s'est avéré que Mademoiselle Prior est en possession de certaines caractéristiques typiques des Surnaturels, comme l'invulnérabilité face à l'hypnose. Nous n'arrivons pas à déterminer de quelle espèce elle est comme aucun de ses facultés ne se sont manifestées pour le moment. Nous espérions en savoir plus sur elle en vous posant des questions sur son frère. On sait qu'une part importante de génétique concerne ce sujet.

Rose m'accorde un regard assuré.

— Votre père est un humain. Il n'y a aucun doute. Il hait le monde du Surnaturel. Si vous êtes Surnaturelle, vous n'êtes pas de la même espèce que Jonas. Vous devez tenir cela de votre mère.

Je secoue la tête.

— Ma mère est aussi une humaine.

Rose hausse les épaules.

— Et bien, vous devez faire partie des humains qui naissent avec un don surnaturel. Estimez-vous heureuse, réplique-t-elle, sans émotion dans la voix.

Je me tourne alors vers Isaac.

— C'est possible ?

— Oui, ça l'est. Même si c'est rare. On a aujourd'hui encore du mal à expliquer l'origine des facultés surnaturelles, m'explique-t-il.

— Je ne peux pas vous aider plus que ça. Désolée.

Je sens que Rose cherche à abréger la conversation. On l'embête sûrement avec nos questions. Elle a enterré son mari, sa sœur et son neveu. Revenir sur ces questions doit être douloureux. En tout cas, ça me fait de la peine. Je n'ai plus envie de l'importuner.

Je me lève alors, pour faire comprendre à Isaac qu'on devrait la laisser.

Isaac s'exécute enfin. Il fait quelques pas dans l'appartement, observe méticuleusement les bibelots du salon avant de s'arrêter devant la cheminée. Une photo encadrée y est posée. Sur cette dernière se trouve un petit garçon. Trois-quatre ans, je dirais.

Isaac fixe la photo quelques secondes avant de poser ses yeux sur la femme.

— Quelqu'un de votre famille ? Demande-t-il.

Rose se fige. Son visage semble se fermer, mais, elle reste cependant totalement impassible.

— Non. C'est mon filleul. Le fils d'une amie.

Isaac hoche silencieusement la tête et enfile son blouson en cuir, me faisant signe de se diriger vers la sortie.

— Merci pour votre accueil, Madame Miller. Nous vous souhaitons une très bonne continuation.

— De même, réplique Rose.

Je n'ai même pas le temps de lui dire au revoir qu'elle referme directement la porte après notre passage.

On descend les trois étages et nous voilà dehors.

Finalement, cette rencontre ne nous aura rien appris. Mais, je ne suis pas forcément déçue. C'est ainsi.

— Bon, eh bien, visiblement elle ne savait rien, je déclare.

— Oh, que si. Bien au contraire.

Je me tourne vers Isaac, incrédule.

— Quoi ?

— Tu n'as pas encore l'œil pour ce genre de chose, mais, elle cachait véritablement quelque chose, réplique-t-il mystérieusement sûr de lui.

Je lève un sourcil.

— C'est l'impression que ça t'a donné ?

— Je suis prêt à parier que le petit garçon qui était sur sa photo n'était pas son filleul. Il n'y a plus qu'à faire des recherches sur lui.

Je me mets alors en travers du chemin d'Isaac pour l'interrompre.

— Attends, Isaac. Tout cela va trop loin.

Il se fige, plante ses yeux dans les miens et cherche à déceler mes pensées en analysant mon regard.

— Tu n'as plus envie de continuer ?

— J'ai vu le regard de cette femme. Elle était anéantie par le chagrin. On devrait laisser sa famille tranquille. Lui faire revivre ces événements, c'était une mauvaise idée notre sa part.

— Donc, tu n'as plus envie de savoir ce qui est arrivé à ton frère ?

— Pas comme ça. Et puis, Monica m'a clairement conseillée de m'éloigner de tout ça. Je ne le sens pas Isaac. J'ai un très mauvais pressentiment. Il faut que je passe à autre chose.

— Tu veux que j'arrête les recherches sur Jonas ?

— Je pense qu'on a déjà eu certaine réponse. Il était sorcier par sa mère et mon père est un humain. Mes pouvoirs ne sont pas héréditaires. On peut chercher autre part.

Isaac finit par hocher la tête, se montrant compréhensif à ma demande.

— Ok. C'est ta décision, et je la respecterai. Je veux juste m'assurer que toi, tu ne le regretteras pas.

— Si Jonas veut me trouver, il me trouvera. De toute évidence, si elle est de mèche avec lui, c'est qu'il ne veut pas me rencontrer. Parfois, il ne faut pas forcer le destin.

— D'accord. Je clôture le dossier. Par respect, je n'irai pas trouver les informations seuls. C'est ton frère, ton histoire, ta vie.

Je hoche la tête, reconnaissante de sa réponse.

Je ne peux pas ignorer le très mauvais pressentiment que je ressens depuis la mise en garde de Monica. J'ai peur pour moi en réalité. J'ai déjà assez de problèmes comme ça. Et puis, j'ai envie de faire confiance au destin. Si je dois rencontrer Jonas, il me le mettra sur ma route.

Je décide de suivre le conseil de Monica et de clore ce sujet. Sans regret en apparence. Mais, il faut que je passe à autre chose. Le chemin est encore long pour comprendre ce que je suis, et mon lien avec Bella.

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