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Chapitre 28

Isaac est passé déposer au laboratoire des échantillons d'ADN dont le mien. Les résultats ne devraient pas tarder.

Pourtant, je n'y pense pas du tout. Mon esprit est focalisé sur l'entrevue avec Violette Holbrook, et chacun de ses mots résonnent encore dans ma tête.

Je suis assise sur le canapé du salon, le regard complètement hagard. Je n'ai pas dit un mot depuis qu'on est rentré, et Isaac s'aperçoit rapidement que quelque chose ne va pas. Il s'assoit à côté de moi et m'accorde un regard que je jugerais un peu compatissant.

— Comment tu te sens?

Sa voix est plutôt douce, et m'encourage à lui répondre.

— Vidée. Complètement.

Je ne réponds en réalité pas grand chose. Mais, les émotions logées dans mon regard en disent bien plus sur mon état actuel.

— Ça ne s'est pas passé comme tu l'imaginais, déduit le jeune homme.

Ma vision devient floue. Je continue de fixer le vide devant moi.

— Elle n'a eu aucune tendresse pour moi. Elle ne semblait même pas heureuse de me voir...Comment une mère peut-être autant détachée de son enfant, Isaac? Je m'exclame alors, partagée entre l'impuissance, l'indignation et un immense sentiment mélancolique de déception.

Mes mains se mettent alors à trembler.

— Toutes les femmes ne feront pas des bonnes mères. La tienne a choisi l'argent plutôt qu'une famille. C'est son choix, mais ça ne fait pas de toi quelqu'un de fautif.

— Tu sais, c'est bête mais malgré que tu m'aies dit de ne pas m'attendre à grand chose, je gardais l'espoir que de me voir lui fasse naître en elle des sentiments.

— Je pense que c'est comme ça que n'importe quel enfant aurait réagi réplique calmement Isaac.

— Le pire dans tout ça c'était que j'étais prête à accepter qu'elle m'ait eu pour l'argent. J'étais prête à lui pardonner si elle me l'avait demandé. Qu'est-ce que j'ai pu être naïve et stupide.

Une larme s'écoule sur ma joue. Je déteste pleurer devant les autres, mais je n'arrive plus à contenir mes émotions. J'essuie furtivement cette unique larme et me lève subitement.

Dans l'entrée qui est ouverte sur le salon, trône une photo encadrée de mon père et moi à ma remise des diplômes. Je la saisis et pose mes yeux sur elle.

— Il savait pendant tout ce temps la vérité et il ne m'a rien dit. Il m'a caché son existence, la raison de ma naissance, mon identité.

Soudain un sentiment brûlant de rage enflamme mes entrailles.

Un sentiment inquiétant que je n'avais jamais ressenti jusque-là.

D'un geste brutal, je frappe le cadre contre le bois du meuble sur lequel il était posé. Il s'éclate alors dans mes mains, m'entaillant la main.

Une rage s'empare de moi.

— Il a passé mon adolescence a me traiter de menteuse alors que c'est lui qui m'avait menti sur des choses si importante! Je hurle alors.

Je continue de frapper avec violence le cadre jusqu'à que tous le verre soit brisé. Ma main devient alors rouge sang à mesure que les morceaux de la vitre transpercent ma main. Le feu ardent qui s'est emparé de moi semble vouloir tout détruire sur son passage. Je me laisse embraser par ses bras.

Je ne sens même plus la douleur physique tellement celle intérieure me consume. Je ressens tellement de colère contre mon père, contre tout ce qui m'a fait subir, contre tout ce qui m'a caché et que j'ignore encore très probablement. 

L'intégralité du cadre détruit et gisant sur le sol, je balaye dans un élan de folie l'intégralité de la surface du meuble de mes mains en sang pour virer tous les objets qui étaient posés dessus.

Le sentiment de colère et de haine que je ressens à ce moment là est indescriptible. Il me déchire de l'intérieur, il me brûle l'estomac, la trachée, et menace de tout détruire à l'extérieur. Je jette tout par terre dans une folie débordante, s'écrasant massivement sur le sol et se brisant pour les objets décoratifs fragiles.

Je suis incontrôlable, hors de moi, comme si un démon avec pris possession de mon corps. Si mon père avait été en face de moi à ce moment là, j'aurais pu le tuer, tellement la haine que je ressens à son égard est puissante.

Isaac se lève subitement, se précipite vers moi et me saisit très fort par les poignets pour me stopper dans mon élan et m'immobiliser, avant que j'aille trop loin.

Je tente de me débattre, toujours prise par ma crise de folie débordante.

— Lâche-moi! Je lui hurle, en tentant de lui donner des coups, dirigeant malgré moi ma colère contre lui.

Isaac plante son regard ambré dans mes yeux et me secoue brusquement par les poignets dans le but de me faire revenir à la raison.

— Stop, Linda! Ça suffit! S'exclame-t-il si fermement qu'un grand frisson me glace soudainement.

Ma tête met à tourner. Je me calme subitement et reviens enfin à moi. Le ton de sa voix est si tranchant et se regard perçant qu'ils parviennent à eux deux à avoir un effet sédatif sur mon état.

Je reste alors stoïque, le regard hagard, dans un silence de mort qui résonne enfin après des secondes bercée par un infernal boucan que j'ai moi-même causé.

Ma vision devient floue et je mets à trembler.

Isaac desserre progressivement son emprise sur mes poignets en sang, car entaillés par de gros morceau de verre, et finis par me les lâcher quelques secondes après.

Je fixe alors mes paumes acharnée, ce qui me fait ressentir un dégoût soudain.

Un immense sentiment de tristesse m'envahît alors.

Je ne sais pas ce qui m'arrive, aujourd'hui. Je n'ai jamais ressenti ça, je n'ai jamais été autant excessive. Je comprends que ma colère a dépassé les limites.

Je fonds alors en larme, et emprisonne pudiquement mes yeux de mes deux mains.

Toute la pression redescend alors. Ma colère laisse place à un sentiment de déception et détresse immense. Une partie de moi êtes honteuse de mon comportement que je peine à ce moment là à expliquer.

Je sens la main d'Isaac se poser doucement sur le haut de mon bras, au niveau de mon épaule. Il me fait m'asseoir sur le canapé et s'absente quelques instants avant de revenir avec des bandages et un antiseptique qu'il a sûrement trouvé dans la salle de bain.

Il s'accroupit à mon niveau et ouvre ma main en mettant en évidence ma paume décharnée. Il essuie ma main à l'aide d'une serviette propre qu'il a au préalable mouillé et me retire les morceaux de verres à la pince à épilée qu'il a préalablement désinfectée.

— Tu dois me prendre pour une folle, je lâche alors, un peu plus calmée.

Isaac ne détache pas ses yeux de mes plaies, et ne semble pas vraiment réagir.

— Oh, j'en ai vu des choses dans ma vie, encore plus impressionnantes que ça.

C'est étrange d'entendre ça de lui, d'entendre cette tolérance que je n'avais jamais perçu chez lui jusque-là. Mais, ça me fait du bien de l'avoir près de moi. C'est bien lui qui a réussi à me calmer.

— Je ne sais même pas ce qu'il s'est passé...Je souffle alors, honteuse.

— J'ai moi-même été déjà trop loin dans mes pertes de contrôle quand j'étais jeune. Quand on est en colère et dévasté, c'est souvent une manière d'extérioriser la douleur. Une chance que j'ai été là pour t'arrêter avant que tu ailles trop loin.

Je me crispe à mesure qu'il retire les morceaux de verres incrustés dans la peau.

Isaac lève les yeux vers moi et esquisse un léger sourire amusé.

— ... Les Surnaturels n'utilisent pas d'anesthésie pour soigner leur blessure, tu sais, réplique-t-il sur un ton légèrement sarcastique.

— C'est bon, fous-toi de moi, je réponds en levant les yeux au ciel.

Le loup-garou fixe le sol dans l'entrée recouvert de débris.

— Et bien, vu le carnage que tu viens de faire, il faut croire que tes petits muscles ne sont pas si frêles que ça, renchérit-il en posant la pince à épiler et en désinfectant la plaie, à nouveau vierge de tout débris.

— Je ne suis pas sure de pouvoir regarder de nouveau mon père dans les yeux après avoir appris tout ça...Je lâche alors.

Isaac enroule alors adroitement ma main dans un morceau de bandage. Il semble concentré, minutieux, précautionneux. Ça m'attendrît un peu de le voir faire en sorte de me faire le moins de mal possible.

Il n'est peut-être pas si terrible que ça, finalement...

— Je comprends. Je ne suis pas sûr que j'aurais réagi plus calmement si j'avais vécu ce que tu viens d'apprendre.

— Ah oui?

— La famille, c'est souvent la chose la plus compliquée, y compris pour moi. Je sais que tu as écouté la conversation avec Mikael quand on était au Village, finit-il par répondre calmement, le regard toujours rivés sur le bandage qu'il termine consciencieusement.

Me cœur se serre alors dans ma poitrine. Je m'en veux de nouveau pour ça et ressens même à ce moment-là un honte de ma curiosité.

Je laisse quelques secondes embarrassantes s'écouler avant de répondre.

— Désolée...Je n'aurais pas dû me mêler des histoires qui ne me concernaient pas, je finis alors par m'excuser.

Je le lui dois bien, après tout.

Isaac hausse les épaules, pose le reste du bandage sur la table basse du salon, et se lève pour s'assoir sur le canapé, à côté de moi.

— Contrairement à toi, j'ai eu des parents aimants et qui ont toujours voulu le meilleur pour moi. Mais, je n'ai pas été à la hauteur, et la honte me coupe aujourd'hui progressivement d'eux, se livre-t-il alors.

Je suis étonné qu'il me parle de ses parents. Je comprends que c'est une façon adroite de sa part de partager ma peine en racontant la sienne.

— C'est à propos de l'Enclave? Je demande alors.

Isaac opine de la tête et continue son récit.

— Être loup-garou est une chose extrêmement lourde à porter. Tu sais que tu peux causer la mort des autres sans le vouloir. Notre malédiction nous rend inconscients une nuit par mois, nous obligeant à nous transformer en des meurtriers sanguinaires, sans que l'on puisse se contrôler. En réalité, je ressens beaucoup de culpabilité pour ce que les nôtres ont pu faire. Je sais que l'Enclave haït les loups-garous pour les massacres qu'ils ont commis dans le passé, mais, je sais aussi que les loups-garous ne sont pas de mauvaises personnes. Ils sont juste impuissants face à leurs pulsions, face à leur malédiction. En grandissant, j'ai voulu réconcilier nos meutes avec le reste du monde Surnaturel. C'est pour ça que j'ai intégré l'Enclave. Je voulais protéger les terrestres de nos pulsions, mais aussi protéger les loups du jugement et de la haine du reste du monde Surnaturel pas toujours fondé. En rejoignant l'Enclave, j'avais l'espoir d'une médiation entre les deux camps. Je voulais encadrer les règles pour permettre aux deux de prospérer.

Je vois dans ses yeux la lueur d'une idéalisation touchante mais qui se noient progressivement dans une onde d'impuissance et de déception.

Je lui adresse alors un sourire compatissant.

— C'est noble de ta part...

Une lueur triste se diffuse pourtant dans le regard d'Isaac. Il fronce les sourcils et poursuit calmement son récit.

— Mes parents ne l'ont jamais compris. Ils se sont sentis trahis par mon départ et je les comprends. L'Enclave s'est montrée à ses débuts très autoritaire et restreignante envers nous. C'est elle qui a ordonné les loups de vivent en dehors de la ville, et une poignée de ces membres, les plus extrémistes, ont été ceux qui ont causé l'incendie du Village de la meute de Bella, après un massacre que leurs loups avaient causé sur les terrestres de La Nouvelle Orléans. Aujourd'hui, l'Enclave n'est plus du tout extrême, et tend même à se montrer conciliante. Mais, il reste toujours une haine banalisée à l'égard des loups et de ce qu'ils ont pu faire auparavant. J'ai voulu l'intégrer pour faire changer les choses, pour leur faire voir un nouveau visage des loups-garous qu'ils ont longtemps vus comme des meurtriers sanguinaires, comme des animaux sans cœur et sans âme. Cependant, j'ai compris que j'avais été un peu trop idéaliste: on ne change pas les mentalités comme ça. En tout cas, pas aussi vite. Pour mes parents, me voir devenir un de leur membre était comme une trahison, même si je le faisais pour une bonne intention. Mais, pourtant, ce que je voulais, c'était juste que tout le monde s'entende et qu'on trouve tous ensemble une solution pour prospérer durablement de la meilleure façon, sans que certains soient exclus de la société.

Je ressens alors toute sa peine. Je trouve son histoire si triste, en réalité.

Je vois dans ses yeux la douleur qu'il ressent alors. C'est la douleur d'une perte, et ça me déchire le cœur.

Je reste à fixer son regard, ses yeux ambrés, qui je me rends compte sont très beaux, et semble diffuser tellement d'émotions quand on s'y attarde.

— Tu ne parles plus à tes parents depuis? Je murmure, touchée.

— Mes parents ne m'ont jamais fermé leurs portes. Je continue d'être leur héritier et je sais qu'ils veulent que je revienne les voir régulièrement, parce que malgré tout je reste leur fils et qu'ils m'aiment. Mais, j'ai bien trop honte pour revenir chez eux, et voir ma propre déception à mon égard qui loge dans mes yeux miens se refléter à l'intérieur des leurs.

—  C'est si dommage...D'après ce que tu me dis, tes parents continuent de te soutenir malgré ta décision de les quitter. Tu ne devrais pas avoir honte, et je pense que c'est ce qu'ils voudraient aussi.

— Je sais qu'il ne me voit pas aussi durement que je me vois, mais je n'arrive pas à dépasser ça. Toi, tu es déçue de tes parents et je comprends entièrement la douleur que tu peux ressentir. Mais, pour mon cas, c'est moi qui ait déçu mes parents, alors qu'ils ont été toujours là pour moi. Toi tu peux garder la tête haute parce que tu es la victime de ton histoire. Moi, je suis celui qui a tout gâché.

Je ne répond pas alors face à ça. Je ne le contredis parce que je comprends ce qu'il me dit, et que je sais que de le faire n'est pas ce qu'il attend de moi à ce moment là. Il a surtout besoin qu'une personne neutre à tout ça l'écoute se confier sans jugement.

C'est toujours très particulier pour un homme de se confier. Généralement, leur éducation leur apprends à refouler tous leurs affects, à faire face, et c'est un acte noble et brave de leur part, mais ce sont des êtres vivants comme nous. Parfois, parler fait du bien. Il ne s'est sûrement pas beaucoup confié sur ça.

Soudain, le bruit d'une notification soudaine nous tire de notre discussion. Isaac vient de recevoir un message.

Il déverrouille son téléphone et ouvre un fichier PDF qui lui vient d'être envoyé.

— C'est le labo, m'annonce-t-il en laissant ses yeux fixés sur l'écran.

— Alors? Je demande le cœur battant.

Isaac mets quelques secondes avant de me répondre, le temps de lire grossièrement le document.

— Le test de parentalité est positif pour les deux. Tu es bien leur fille biologique, finit-il par m'annoncer.

Je hoche alors la tête.

— Au moins on est sûr, maintenant, je déclare.

En réalité, je suis un peu déçue de mes résultats. Une partie de moi espérait toujours qu'ils ne soient pas mes parents.

Mais ça ne sert à rien de fermer les yeux sur la réalité. Maintenant que j'ai la certitude d'être leur fille et que je sais que mon père m'a menti sur ma mère, je peux avancer. Mais, ce ne sont malheureusement pas eux qui m'apporteront des réponses à mes questions identitaires.




***






|Point de vue omniscient|

Une sonnerie de téléphone retentit, en ce milieu d'après-midi pluvieux. De détenteur de l'appareil hausse un sourcil étonné: il n'attendait pas d'appel de la journée et le numéro qui s'affiche à l'écran n'est pas enregistré.

— Allô? Article-t-il, douteux.

— Zachary? Tonne une voix féminine.

A priori cette dernière ne lui est pas familière mais, quelque chose lui dit que la femme qui est à l'autre bout n'est pas non plus une totale inconnue.

— Qui est a l'appareil? Demande le lieutenant Prior, suspicieux, en s'adossant sur le dossier de l'immense et onéreux siège rembourré de son large bureau, en fronçant ses sourcils bruns.

— Violette Holbrook.

Zachary se redresse alors, et hausse un sourcil d'étonnement.

Il n'avait pas entendu ce nom depuis deux décennies.

— Ça fait longtemps, finit-il par articuler calmement, en plissant les yeux.

— Presque vingt ans.

—  Je ne m'attendais pas à cet appel.

— Tu m'as dit de te prévenir si ta fille, un jour, parvenait jusqu'à moi. C'est chose faite. Elle est venue me poser des questions aujourd'hui.

Le lieutenant Prior se raidit.

— Vraiment?

— Je lui ai dit que je ne savais rien à propos de toi. Après tout c'est vrai, je ne sais pas grand chose. Seulement, elle sait que je suis sa mère biologique. J'ignore comment elle a pu remonter jusqu'à moi.

Le policier fronce ses sourcils, concentré sur chaque mot que lui délivre son interlocutrice.

— Était-elle seule?

— Un jeune homme l'accompagnait.

— Un jeune homme? Tonne-t-il visiblement non content de cette annonce.

— Grand, brun, beau corps, plutôt mignon...Isaac, je crois...Le décrit Violette.

Le regard de Zachary s'assombrit alors. Il hoche doucement la tête, à la reconnaissance de ce prénom.

— Isaac Peterson.

— Vous vous connaissez? S'étonne Violette.

— Lui non. Mais moi, je connais quelques trucs sur lui.

— Elle a des bons goûts en tout cas pour ce qu'il concerne les hommes.

— Comment était habillée Linda? Demande alors subitement Zachary.

— Une veste en jean bleu clair et un pantalon noir près du corps et des bottines noir, de mémoire...Pourquoi tu me poses cette question?

Zachary met quelques secondes avant de répondre, gardant un calme mystérieux et inquiétant.

— Question de père intrusif, on va dire.

— Qu'est-ce qu'il se passe avec ta fille, Zachary? Questionne la mère porteuse.

Zachary commence déjà à échafauder un plan. Ses calculs vont vite, il sait qu'il n'a pas le droit à l'erreur. Il sait aussi qu'il connaît bien trop sa fille pour qu'elle lui échappe.

— La question n'est pas ce qu'il se passe, c'est ce qu'il va se passer. Elle se rebelle comme elle peut. Mais, plus pour longtemps. Je vais me charger de son cas quand je me serai chargé de ce type.

Zachary Prior a l'air sûr de lui. Il est déterminé à poursuivre le plan qu'il avait échafaudé jusque-là. Cependant, il semblerait que quelques obstacles se soient dressés malgré lui sur sa route. Le plan B allait devoir être activé. Une chose est sure: il ne manquera pas de moyens pour arriver à ses fins.

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