On racontait que, par-delà les plaines et la montagne aux corbeaux,
Deux beaux saphirs en quarantaine, se languissaient de la compagne perdue, emenée par les eaux.

Meurtri par le chagrin, bercé par la douceur tiède d'un brandy,
Dans son esprit rouge carmin, tambourinait la chaleur d'une étreinte offerte par sa lady.

Envahi par le souvenir divin,
de son souffle,
de son visage à jamais inscrit,
D'une âme perdue, égarée en chemin, une âme voyageuse dans les songes de l'amant hardi.