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1. Le contrat forcé

J'étais là à regarder ce machin volant dans les airs. Ce truc émanait une fumée bleutée qui empestait une odeur de fermenté et de vinaigre. L'odeur était... comment dire : bizarre. Je tenais encore fermement ma petite boîte en bois de style oriental dans la paume de ma main gauche. La fumée se propageait encore dans la pièce. Le petit vieux était par terre et il avait bien de la chance. Je ne sais pas si c'était à cause du bruit, de l'odeur ou de cette chose devant, mais ce papi était évanoui à deux mètres de moi. J'espérais qu'il n'était pas mort d'une crise cardiaque parce que n'importe qui le serait après avoir vu cette chose. J'étais trop tétanisé pour aller voir près du comptoir. La pièce était noire à cause du choc qui à exploser toutes les ampoules. Il était midi mais il faisait quasiment sombre dans la pièce. Pourquoi les antiquaires avaient tous une boutique isolée et jamais de grandes fenêtres pour la lumière ? On aurait dit un code déco standard à la con. Soudain, une aspiration foudroyante alla en direction de la chose. La fumée se dissipa, peu à peu. La pièce moins chargée en émanation montrait plus clairement cette chose volante venu tout droit d'un film d'horreur. Ce n'était pas possible, en tout cas, jusqu'à maintenant, qu'une telle chose existe. Je dirais même que les films et les images des êtres nocturnes étaient plus séduisantes que celle qui se présentait devant moi. Pourquoi ne pouvais-je pas faire comme le vieux et m'évanouir aussi, oublié tout ça et me réveiller dans mon lit ?! Une goutte de sueur perla sur mon front et arriva jusqu'à mon sweat bleu. Je regardais avec effroi cette chose en lévitation à un mètre dans les airs. Cette entité faisant à première vu deux mètres, ressemblant à une limace géante écaillée grisâtre avec deux, trois, quatre bras et des mains crochus. Le visage était fripé et il n'avait pas de nez. En vrai, je vous jure que ça foutait la pétoche. On aurait dit que la peau pelait comme après un coups de soleil. Des ouvertures sur tout le corps d'outre-tombe qui semblait siffler des bruits de cris et de lamentations. L'horreur.

" Bordel c'est quoi ce machin ?! " pensai-je

Ce truc me regardait de ces yeux écarquillés et perçant d'un bleu saphir et esquissa un sourire féroce avec des canines aiguisées. La fumée émanait encore de cette chose. Après quelques secondes ou quelques minutes, qu'en savais-je puisque les secondes étaient des minutes et des minutes des heures dans mon état, cette chose bougea ce qui ressembla être ces lèvres. Un son mystique ou extra-terrestre sortit de sa bouche.

Un son étrange qui ressemblait à une langue étrange.

Je sentais que cette chose voulait communiquer, j'en étais sûr, car elle ne faisait que me scruter du regard. Après un moment de réalisation, j'ai pris mes jambes à mon coup en direction de la première porte à ma porter. Je glissa subitement sur le parquet. J'étais juste à un mètre de la porte. La boîte tomba de ma main et l'entité échappa un bruit stridant.

" Merde, ce n'est pas le moment, merde, merde...sortir " pensai-je

Je me releva et agrippa la poignée de porte priant pour qu'elle soit ouverte et que je puisse m'en échapper. Je ne voulais pas finir comme dans tous ces films d'horreur. Mais, la poignée était fermée. Mon coeur battit fort.

Déboussolé, j'ai crié à l'intérieur de la boutique en vain. En regardant par la vitrine de la porte, je vis que la rue était pratiquement vide. Aucun passant s'est aperçu de mon appel de détresse : toujours droit devant, aucun contact des yeux, écouteurs ou téléphone à l'oreille ou en main. 

- À l'aide, criai-je

Soudain, un courant électrique foudroya la poignée de porte. Je lâcha ma main qui tenait la poignée. 

- Aïe

Puis, mon corps soulevé par une puissance surnaturelle fonça droit sur l'étagère latérale de la boutique d'antiquité. J'eu un peu mal sur la réception.

- Ouch, fais chié, grommelai-je

Je posa ma main sur mon front afin de limiter mon étourdissement. Mes courts cheveux bruns étaient en pagaille. J'étais tellement confus que je m'assis en tailleur dans les débris.

- Oh putain qu'est-ce qui se passe ?! m'exclamais-je toujours confus

- Tu me casses les pieds, répondit la chose

La peur s'intensifia :

- Tu... Tu..., bafouillai-je

- Oui je parle crétin, critiqua la chose

- Mais... Mais, répétai-je

- Oh pitié passons les " t'es quoi ? C'est un rêve Gabriel réveille toi ! " Parce que ce n'est pas le cas... Ne me coupe pas : sinon je fourre une cacahuète dans ta bouche et je sais que ta gueule va pas supporter ça... Oui je connais ton nom et d'autres choses, puisque ça fait une semaine que cette connerie de merde ne finis pas et ça commence à me lasser... J'aurai bien aimé oublier mais t'es apparemment mon contractant destiné, en gros mon légitime client... Une fumerie ce bordel... Bon t'as tout pigé ? reprocha la chose

- Je...

- T'évanouis pas parce que tu vas pas quitter cette réalité Gabriel

- Ok...mais

- Mais quoi ? tu vas pas commencer à me couper les mots putain, se fâcha le monstre

- Peux pas...

- Peux pas quoi, bordel ?!

- Démoon, murmurais-je avant de m'évanouir

- Démon ?! moi, s'étonna la chose

Le silence s'installa.

- Le salaud, jura la chose

¤

Après un moment, je me réveilla. À première vue, j'étais dans la boutique de l'antiquaire de la 5ème rue. Je me leva par terre en tenant fermement ma petite boîte. Je ne comprenais pas pourquoi j'étais par terre et me souvenu de la chose, énorme, effrayante. Mais en jetant un regard à gauche et à droite, la pièce était normale rien de cassé, rien. Par contre je vis sur une chaise haute près du comptoir, une fille en position tailleur. Elle avait environ quinze ans à première vue, avec de longs cheveux bruns et d'énormes yeux bleus envoûtant. Elle avait des yeux de dessin animé extraordinaire. Ces longs cheveux bruns étaient attachés en queue de cheval. Elle portait un sweat a zip rose, un haut bleu, un jean bleu et des baskets rose. Je me demandais sérieusement si j'avais raté des épisodes. Il n'y avait personne d'autre dans la salle. Elle était peut-être de la famille de l'antiquaire, étant donné l'aisance avec laquelle elle s'était installée dans la boutique. Je me leva, essuyant mon jean avec mes mains, je m'avançai vers le comptoir un peu gêné mais aussi extrêmement confus. Je regardais la fille qui n'arrêtait pas de me fixer depuis mon réveil. Ces yeux était d'un bleu enchanteur: même les miens n'était pas aussi profond. Avec mon coude droit apposé sur le comptoir j'ai passé ma main gauche derrière mon cou, très embarrassé et avant même qu'un mot ne passe par ma bouche pour demander ce qui m'étais arrivé, elle lança :

- Tu me trouves à ton goût ?

Étonné par la question, mais ne voulant pas montrer mon attirance pour la fille pour ne pas me faire passer par un relou, car j'avais déjà vingt ans, j'ai répondu :

- Tu es une très belle jeune fille

En espérant qu'elle ne prendrait pas la perche et ne commencerai pas à flirter avec moi, elle enchaîna :

- Je ne te fais pas peur comme ça?!

Dérouté par la question j'ai rétorqué :

- Non pourquoi...

" J'espère ne pas être tomber sur une complexée ou une timbrée " pensais-je en mon fond intérieur

Un peu embarrassé je commençais à sonner sur la sonnette du comptoir puis attendis.

- Bon c'est très bien, esquissa un sourire la jeune fille

- Très bien ?! interrogeai-je

- Bon Gabriel arrêtons le cinéma

- Comment...

- Ton nom et blabla bla... Cette fois-ci tu vas pas t'évanouir

- Mais de quoi tu parles ?!

- Tu te poses pas la question : comment tu t'es réveillé par terre ?

C'était une question qui brûlait les lèvres de Gabriel depuis un moment déjà.

- Oui, répondais-je

- Bon écoute pétasse tu es ma destinée... En faisant court : je suis un génie et t'es mon client

- Oh, attention toi... On ne se connaît pas là

- Moi génie et toi Gabriel, ça fait un moment qu'on se côtoie

- Ouais c'est ça, riais-je

" C'est une folle celle-là " pensai-je en tapotant plus longuement la sonnette

- J'ai jamais vu quelqu'un de buté comme ça

- Oui alors t'es un génie ?!

- Génie, djinn, fée : de nombreux intitulés pour le même taff. J'exauce les voeux en gros

- C'est ça...

- Je vais faire simple pour économiser du temps. Tu t'appelles Gabriel, tu es sagittaire, tu as une chieuse de sœur Mélodie de douze ans, une putain de maman sexy de trente-neuf ans et tu piaules encore dans sa maison, allergie aux cacahuètes, tu casses les couilles de tous avec ta guitare, deux chieurs d'amis Jordan et Leo quelque chose...mais je vais pas continuer plus loin sinon ça va faire glauque

- Putain t'es quoi toi, répondais-je

- Moi pétasse ?! ton pire cauchemar si tu ne veux pas m'écouter, lança en rictus la fille

Pris au dépourvu je trouva rapidement une explication plausible et répondis :

- Oh je sais, c'est la caméra cachée ? riais-je en tournant la tête de droite à gauche

- Ok ça commence à me casser les couilles, fais un vœu

J'ai levé mes bras au ciel sûr et certain qu'une caméra cachée filmait tout et que la fille simulait des jurons très déplaisants. J'ai ensuite lancé :

- Attend

- Ouais prend ton temps ça fait déjà une semaine que ça dure mais ça fait trop longtemps pour moi déjà, ironisa la fille

- Une semaine ? questionnai-je

- Est-ce que ça t'intrigue ?

- Ouais, je souhaiterais savoir ce qui s'est passé il y a une semaine ! demandai-je

- C'est un souhait ?!

- Oui, répondis-je fermement à la jeune fille

- En respectant notre contrat c'est : l'acceptation du génie et des conséquences des souhaits, un contrat nous lie ma pétasse

- Oui, mais arrête un peu les injures même pour une blague c'est lourd

- Ta gueule, tu vas retrouver ta mémoire perdue ma destinée, tu l'acceptes pleinement, n'est-ce pas ?!

- Oui pleinement

À ces mots la jeune fille claqua ces doigts et ma mémoire revînt. Mon corps frissonna.

- Bordel qu'est-ce qui se passe ?! m'inquiétai-je

Un flou d'image de la semaine passée m'a envahi. J'étais perdu mais aussi retrouvé. Elle empoigna mon t-shirt blanc avec un sourire narquois.

- Alors pétasse, maintenant je suis ton génie... Heureux ?! ricana-t-elle

[Histoire actualisée]

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