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▫️Chapitre 9

🦐 Dombré et ouassous 🦐

L'attention de tout le monde est retenue par un petit cri aigu. Il ne l'est cependant pas assez pour supposer qu'il provienne des filles. Je parierai donc que ce sont elles, qui le causent.

— Hé, il se passe quoi, là ? je demande en levant le nez de mon téléphone.

Les voix des enfants se superposent depuis la chambre dans un râle-râle* incompréhensible. Celle de Cécilia détourne momentanément mes yeux du couloir.

— Tes deux brutes doivent encore malmener mon fils, lance-t-elle calmement.

Le petit regard de biais que me concède la fausse blonde, tout en engloutissant son énième tomate cerise, laisse à deviner qu'elle ne bougera pas de la table où elle est installée avec notre aînée.

Je pousse un soupir et me lève à contrecœur. Il faut toujours que ces gosses se chamaillent quand je suis posé bien confortablement dans mon canapé. Et puis, oui, faire l'arbitre c'est aussi toujours pour ma pomme.

Mes sœurs continuent leur parlotte tranquille. Quant à ma mère... Ben on ne tire jamais rien d'elle durant ses feuilletons de l'après-midi, mis à part des remontrances si les bruits liés à nos pauvres existences couvrent ceux de la télévision.

Par vengeance, je fourre rapidement l'index dans l'oreille de Céci sur mon passage. Elle rouspète et me flanque une tape. J'en ris bêtement tandis que Caroline lève les yeux au ciel, sans doute ennuyée par mon - soi-disant - immaturité. Quelle rabat-joie... En passant derrière le fauteuil relaxant de Nana, je me penche et dépose un baiser sur sa tempe. Elle me tapote distraitement la main pour me retourner un peu d'affection et j'esquisse un sourire niais.

Alala, cette Nana.

La quittant, j'ai vite fait d'arriver au couloir reliant le salon aux autres pièces. La porte de mon ancienne chambre se trouve juste après celle des toilettes. Elle reste ouverte quand les petits y jouent, j'entre donc dans la même foulée. Les trois, sachant que j'arrivais, sont assit sur le lit comme les plus innocentes âmes qui soient. Je sais pertinemment que deux minutes plus tôt, ils étaient pleine querelle. Les couvrant d'un regard sérieux, je demande directement :

— Qu'est-ce que vous avez fait à Jill ?

— On jouait ! se défendent les jumelles, ce qui ne paraît pas au goût de Jillian.

— Didine m'a, elle m'a attrapé fort le bras ! explique-t-il en saisissant à nouveau son bras pour illustrer la chose. Et puis, Adé, elle m'a forcé à me mettre les genoux par terre...

— Et en quel honneur, les filles ?

— On jouait juste à Maliskouss... marmonne Adélaïde.

— À quoi ?

Je suis largué.

— Maliskouss. La super espion coccinelle, me dit sa sœur.

— Et... Et Lili, il a dit qu'il faisait le voleur.

— C'est vrai ! Et Maliskouss, c'est comme ça qu'elle arrête les voleurs pour sauver la ville.

Dieu du ciel, viens-moi en aide...

Pris de cours, je me gratte le front l'espace d'un instant. Je crois qu'elles parlent du dessin animé Malicious. Avec ces deux là, même les programmes pour enfants se transforment visiblement en émission de catch.

— Mes abeilles... je souffle en me rapprochant du lit, face auquel je m'accroupis en reposant les poignets sur mes genoux. Vous pouvez jouer, mais ce n'est pas gentil du tout de faire mal aux autres.

Je prends le soin de les regarder tour à tour pour éviter de donner l'impression de blâmer l'une plus que l'autre.

— Mais... commence Amandine.

— C'était un méchant, termine son double.

— Non. C'était et c'est toujours votre cousin Jillian, à qui vous allez d'ailleurs demander pardon et faire un bisou de la réconciliation.

Elles s'exécutent volontiers sans râler, je me relève et-

Way... mes os se font vieux. Ou je manque d'exercice... Je pose la main sur ma hanche pour passer la douleur.

— Bien ! Maintenant, jouez gentiment. Ok ?

Hochements de tête de leur part. Badabim, badaboom, situation réglée par Toto. Une petite caresse dans les cheveux de mon neveu, deux baisers pour les princesses et hop, je suis parti.

De retour au salon, je me lâche à nouveau dans mon canapé et saisis mon portable.

— C'était quoi, le drame de la minute ? s'enquiert Cécilia.

— Ton fils s'est fait mettre à l'amende par mes petites. Elles jouaient aux agents secrets.

— Ces gamines sont vraiment des diablesses en herbe déguisés en petit ange, ricane-t-elle sans se montrer plus inquiète que ça.

Les gosses chahutent, se bousculent, parfois se blessent... Ce sont des gosses quoi.

— La pomme ne tombe jamais loin de l'arbre... se sent obligé d'ajouter notre aînée.

Elle me toise même légèrement. Une grande comique, quand elle le veut. Je rétorque alors avec une certaine défiance.

— Ça... C'est la jalousie qui parle, Caro.

— Pft, t'es resté un gamin. De quoi je suis censée être jalouse, au juste ?

timoun'a, asé ! intervient une Nana agacée, qui ne se détourne pour autant pas de sa série. Zot ka anpéché mwen tann sa télé'a ka di...
[Les enfants, assez ! Vous m'empêchez d'entendre ce que dit la télé...]

Je retiens un léger rire. À la maison, l'heure des feuilletons c'est sacré. Mes sœurs et moi retournons donc à nos petites occupations. Elles sur la tablette que je leur prête généreusement, moi sur mon téléphone.

Bien qu'on soit tous en contact permanent, on se réunit comme ça au moins une fois dans la semaine, histoire d'être ensemble, même si on n'a pas forcément grand-chose à se dire.

Son feuilleton terminé, ma mère se lève et va se chercher quelque chose à se mettre sous la dent. Ça me rappelle qu'il est bientôt 16h, ça va être le moment du goûter.
Nana laisse échapper un long soupir en s'installant à la table auprès des filles, avec son orange et son couteau, puis lance de but en blanc :

— Je pense inviter Cyril à manger, ce week-end.

Tiens, ça faisait longtemps qu'elle n'avait pas parlé de lui. Genre, facile trois jours... Pour savoir si Nana s’adresse à nous, ou à moi spécifiquement, il me faut lever la tête et la regarder. Elle a choisit la chaise la plus proche de ma position et se tient de profil. Il semble donc que ce soit la deuxième option, mais l’information met quelques secondes à prendre un sens dans mon esprit.

Elle veut l’inviter en quel honneur ?

Je n’ai pas le temps de l’interroger, que Caroline interrompt sa discussion avec Cécilia.

— Cyril le charpentier ? s’anime-t-elle.

— Il est menuisier, à la base, corrige Céci.

Il est plutôt ébéniste, mais passons.

, misié sé on makomè notwaw, s'indigne presque Caroline. Maman, je ne pense pas que ce soit une bonne idée de se mélanger à lui. Je veux dire, pour les travaux, je veux bien. Mais-
[Ouais, mais le mec est un pédé notoire.]

— Il est contagieux ? je m’agace légèrement en me redressant dans mon siège, peu enclin à laisser passer pareille ignominie.

Caro roule des yeux, ma mère ignore volontairement ce qu’elle vient de dire.

— Il se montre patient, très présent et encore plus professionnel pour la réparation de la pépinière. Sans compter que c'est un gentil garçon.

Malheureusement, les hostilités sont lancées avec ma sœur. Nous ne faisons plus attention à la bienveillance de notre génitrice.

— Tes filles seront là, ce week-end. Tu ne devrais pas laisser ce genre de personne à proximité des petites. On ne sait jamais ce qui peut se passer.

— Je crois avoir assez de jugeote pour savoir qui est néfaste ou pas pour mes filles...

— Mais, pour commencer, de quoi tu parles Caro ? demande Cécilia, visiblement égarée par les propos de notre grande sœur.

— Ce type est pédé, s’exaspère cette dernière. Il ne devrait pas se retrouver avec des enfants.

— Je crois que tu confonds homosexualité et pédophile ma vielle, je lui fais remarquer avec le peu de calme qu’il me reste.

— Je sais parfaitem-

— Visiblement non. Puisque tu cloportes ces rumeurs ignares. La majorité des agressions sur mineurs sont perpétrées par des personnes s’identifiant hétéro.

É dèpi kitan ou vin défans a sé kalité moun lasa ? s'agace-t-elle, me fixant avec dureté.
[Et depuis quand t'es devenu la défense de ce genre de personnage ?]

C'est typiquement le genre de phrase qu’elle sort lorsqu’elle bute en touche…

An pa avoka a pon moun. las di maji si ou vlé pa moun rouprann vou asi'y... Et pour répondre à ta question, M’man, je pense que c’est une bonne idée.
[Je ne suis l'avocat de personne. Mais ne dis pas d’idioties si tu n’acceptes pas te faire reprendre dessus.]

— Non, pas du tout ! refuse Caroline. Je ne veux pas voir ce type ici, insiste-t-elle auprès de ma mère.

Cette dernière ne donne fort heureusement aucun crédit à son discours pathétique. Mais s'en est trop pour moi.

— Alors t'as qu'à pas te pointer. Parce que, pour sûr, il va venir, dis-je en me levant. Et ça pose problème à personne dans cette pièce... Alors il est peut-être temps de te remettre en question, ma grande.

Sans lui laisser le temps d'ajouter quoi que ce soit, j'appelle les enfants pour le goûter. Il va sans dire que les trois débarquent au salon dans la minute. Ils m'accompagnent ensuite à la cuisine, puis on va tous les quatre s'installer dehors avec nos paquets de BN. Rester à écouter les enfants et leurs anecdotes insouciantes va peut-être m'aider à diluer mon ressentiment.

Mais pour être honnête, là, j'en ai un peu marre de me manger indirectement ce genre de réflexions à la con.

🦐

Nana s'est chargée de l'invitation de Cyril, son frère Lauri, ainsi que celle d'Arold et Rosa. Son Lunor est aussi de la partie. Moi, j'ai rameuté Jean et Henri. En comptant mes sœurs et moi, nous sommes donc une dizaine à la maison en ce samedi midi ensoleillé.

Globalement, l'ambiance est conviviale. On boit, on discute tout en appréciant un petit fond musical, on ne va pas tarder à manger... et, oui, Caroline est présente.

Elle fait la soupe à la grimace à chaque fois que son regard sombre croise Cyril, qu'elle met d'ailleurs un point d'honneur à snober. Tout autant qu'avec moi, d'ailleurs. Faut dire qu'on ne se parle plus depuis la fois dernière... Pour ce que j'en ai à foutre, de toute façon. C'est maman que ça affecte le plus.

Heureusement, ma Céci est géniale. Elle prête main forte à notre mère, s'assure que Cyril et sa famille se sentent bien accueillis. En amont, elle a même essayé de raisonner sa sœur mais y'a rien à faire. Caro reste bête et aussi butée qu'une mule.
De mon côté, je manque autant de l'énergie que de la volonté nécessaire à me rabibocher avec elle. Au bout d'un moment, faut arrêter de ramper devant sa famille sous prétexte de vouloir préserver une cohésion des plus fallacieuses.

Toto, mèné on dot Heineken ba boug a'w, souplè, me lance Henri, en pleine discussion avec Lauri.
[Toto, ramène une autre bière à ton gars, s'il te plaît.]

Les deux parlent certainement pèche. Le frère de Cyril est dans le métier. Quant à Henri, lui et son frère sont passionnés de sorties pèche au harpon.

— Yes, I*. Et toi, je reprends à l'attention de l'aîné Grégoire, tu veux que je te ramène une autre boisson ?

— Non, j'ai ce qu'il faut. Merci, dit-il en exhibant son panaché.

J'opine et me dirige vers la glacière.

Lauri n'est pas si insupportable que le laissait penser Cyril, je trouve qu'ils se ressemblent beaucoup. Autant physiquement que niveau caractère ; les deux semblent serviables et intransigeants, à leurs propres manières. Mais peut-être que l'un et l'autre parvient difficilement à s'entendre à cause d'histoires de famille. Nana m'a appris que les deux sont en fait demi-frères, via leur père. Les mères rivales se détestaient, apparemment. Pour autant, le père Grégoire a tenu à ce que son fils aîné connaisse et côtoie le cadet après la fin de son premier mariage. Ils ont donc grandit ensemble par intermittence, ce qui sonne déjà bien complexe. Et merde... Y'a plus de bières dans la glacière. Après un soupir de frustration, je quitte le chapiteau installé devant la maison pour regagner cette dernière. Je rejoins la cuisine en passant par la porte du garage et sursaute légèrement en tombant sur l'invité d'honneur.

— Hey.

— Salut, bel inconnu, lance-t-il, taquin.

Son ton badin me dérobe un sourire. On a un peu blablaté avec les autres, mais pas en tête-à-tête. Lançant un bref regard vers le salon pour m'assurer que la voie soit libre de tout intrus, j'avance tranquillement jusqu'à Cyril. Tout beau dans son polo Lacoste blanc et son jeans bleu, ses cheveux lisses tirés en arrière, il se tient debout non loin du plan de travail. Je m'y appuie afin d'entamer la discussion.

— Tu cherches quelque chose ?

— Des glaçons, répond-il en reculant d'un pas ou deux pour restaurer un peu d'espace entre nous. Mais ça y est, je les ai trouvé. Et toi donc... Un butin particulier en vue ?

Voilà une belle ouverture, dans laquelle je me vois obligé de m'engouffrer !

— Je dirais que oui et je dirais aussi que je viens de le trouver.

Depuis plusieurs jours, je tente d'imaginer une approche, ou juste le bon moment pour entamer mon petit rentre dedans. Plus on avance ensemble sur la rénovation de la serre, plus idée d'être à nouveau avec cet homme inaccessible me titille.

Paraissant surpris, Cyril m'offre un sourcil levé au lieu de l'intérêt auquel je me serais attendu.

— Je ne suis pas sûr de te suivre, lance-t-il doucement.

— Je crois que tu as très bien compris mon sous-entendu, dis-je, armé de mon sourire enchanteur.

La magie n'a pourtant pas l'air d'opérer.

— Cela va de soi, rétorque mon vis-à-vis. Ça ne signifie pas que comprenne où tu veux en venir. Je pensais que le sujet avait été clarifié dès le début.

Merde. Je vais devoir ramer on dirait. Mais tranquille, c'est dans mes cordes.

— Oui, à propos de ça... C'est vrai que j'ai un peu flippé quand j'ai réalisé dans quelle situation on allait se retrouver. Mais je ne te connaissais pas encore. Et, maintenant que les travaux sont presque finis...

— Les choses ne sont pas aussi simplistes que tu sembles le penser, Christopher.

Son ton est très calme, mais sa remarque acide.

— La fin des travaux n'y changera rien du tout. Je ne suis peut-être pas du genre à crier mes aventures sur tous les toits, mais je ne suis pas non plus celui à mentir ou me cacher. Alors-

— Je comprends. Je comprends ça, Cyril, et je te demanderai jamais de mentir pour me couvrir. Sauf que, comme tu l'as dit, ni toi ni moi n'avons à mettre qui que ce soit au courant de nos fréquentations. On pourrait très bien reprendre les choses où on les avait laissés, sans prises de tête.

Nouveau sourire de ma part pour faire passer la pilule. Cyril a un léger rire, je ne suis pourtant pas très sûr de marquer des points.

— Tu as visiblement l'art et la manière de détourner les choses pour qu'elles apparaissent différentes.

— Mais je ne cherche pas à t'embobiner.

Sauf si ça marche...

— Très bien, lâche Cyril, car tu ne parviendrais à rien de cette façon.

— Ok... Mais, tu ne peux pas nier qu'il est bien dommage qu'on ne puisse plus s'amuser ensemble.

Une remarque un brin prétentieuse. Mais je sais qu'au moins, sur ce point là, nous sommes sur la même longueur d'onde. Si je réalise parfaitement rester bloqué dessus parce que je n'ai plus rencontré personne par la suite, il est sans conteste que la nuit qu'on a passé était hautement agréable.

Cyril incline la tête sur le côté, ses iris bruns plantés mes orbes ambrées. Une bataille des mœurs semble transparaître dans ses yeux.

Mon cœur bat à mille à l'heure, j'ai l'impression de n'avoir jamais connu ça. Cette excitation mêlée de crainte... Il pourrait m'envoyer bouler pour la énième fois, ou simplement changer d'avis et m'accorder ce que je veux. L'incertitude me rend tout chose, mais je m'efforce de garder contenance.

Ses lèvres s'entrouvrent une première fois, puis il se ravise. De quoi me frustrer l'espace d'un instant. Il finit par se décider, et sa voix sereine reprend par dessus la douce musique des îles.

— Je suis d'accord pour qu'on se revoit, à l'occasion.

Et le grand gagnant est... Toto !

Autant battre le fer tant qu'il est chaud.

— Demain, ça te dit ? Je pourrais passer chez toi après avoir déposé les filles chez leur mère.

— Pourquoi pas, accepte-t-il nonchalamment. Je te le confirmerai dans la journée de demain.

Le petit sourire espiègle qu'il m'adresse me pousse bizarrement à me demander qui joue avec qui, à présent.

Serait-il capable de me poser un lapin par simple plaisir ? Son côté assez détaché me ferait dire oui. Mais dans le même temps, je ne pense pas que ce soit son genre. Ou... Je me trompe peut-être ?

— Bon, reprend-il, je vais retourner rejoindre Rosa et Nadine, avant qu'elles ne se demandent où je suis passé. Ce serait fâcheux.

— À qui le dis-tu, je ricane doucement et il opine sans rien ajouter d'autre qu'un de ces sourires criminels.

Après quoi, Cyril quitte la cuisine et je me tourne vers le frigo pour attraper deux bières. Il franchit à peine la porte, qu'Henri entre en trombe.

Tu parles d'un timing !

— Eh, frère. Qu'est-ce tu fous ? râle-t-il. T'es parti la fabriquer, ou quoi, cette Heineken ?

— Toi et ta grosse tête... Vous avez pas vu qu'y en avait plus dans la glacière ?

— Si, mais quand même, abuse pas mon gars. J'ai soif moi.

— Tiens, essuie tes larmes.

Je le charrie en lui collant la bouteille contre le buste. Il ricane et la prend, avant de me récupérer le décapsuleur des mains.

— Merci. Aller, viens. Tes sœurs ont commencé à servir le petit dombré* et ouassous. Je veux pas être en retard pour le manger.

🦐

Râle-râle (créolisme, je suppose) : brouhaha où les voix se superposent.

Yes, I (anglais) : Oui, je. Pour nous, ça signifie ''Ok/D'accord''. Je ne sais pas du tout pourquoi, c'est une expression utilisée généralement par les mecs alors bon...

Dombré : petites boules faites à partir d'une pâte (farine et eau) puis mijotées dans une cocotte avec les accompagnements voulus. En Guadeloupe, souvent des poids rouges/ou lentilles et du lard. Ma mère a une variante avec des crevettes (ou ouassous).

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