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▫️Chapitre 2

💮 Jasmin 💮

À six heures tapante, le premier binôme diurne d'infirmiers arrive à la clinique.

Matthieu et Clara, je crois qu'ils fricottent un peu ensemble. Les deux ont la banane dès le matin, ils me saluent et je leur retourne l'attention depuis mon poste.
En temps normal je vais les rejoindre pour m'assurer qu'ils pénètrent les locaux en toute sécurité. Depuis quelques mois en revanche, je me contente de surveiller leurs arrières via le kiosque et les caméras, règles de distanciation sociale oblige.

Après l'arrivée du binôme, je prend les précautions nécessaires et abandonne le kiosque pour faire mon tour réglementaire, à l'intérieur de la clinique. Masque sur le nez, je m'assure qu'il n'y ai aucun intrus dans les couloirs, la buanderie, ainsi que la salle à manger. L'endroit accueille une centaine de patients, encore une fois il n'y a que peu d'incidents ici. Cette sérénité est ce que se paient les familles.
Il s'écoule environ trente minutes entre le moment de mon entrée et celui où je ressors.

De retour au kiosque, je m'empare du carnet de correspondance dans lequel je note les événements de la veille pour ma collègue.

''Rien à signaler'' sont les mots que j'y couche.

Diane et moi bossons en alternance, trois à quatre nuits dans la semaine. Si je suis de garde le lundi, mercredi, samedi et dimanche, elle assure les jours restants, et inversement.

J'écris un petit mot d'encouragement sur un post-it après mon message sur le cahier. J'ouvre ensuite un petit coffre-fort. La serrure est à combinaison, sur un disque à rotation avec des numéros et des traits, comme dans les vieux films d'espionnage. J'adore, même si des fois je me loupe d'un millimètre et finis par m'agacer.
Le trousseau de clés y est à présent enfermé, la seule que je garde est celle du kiosque. Avec Diane, nous avons chacun notre double.

Un coup de gel hydro alcoolique sur les mains et ça y est, je suis prêt à me barrer. Je sors tranquillement, ferme à double tour. Il est presque sept heures et la standardiste arrive à pas lents.

Perchée sur ses talons or, elle est vêtue d'une jolie robe jaune qui se marie à merveille avec ses cheveux bouclés et sa peau miel. Elle revêt un trench léger blanc à imprimés multicolores.

Alia m'adresse un sourire avenant, agrémenté d'un clin d'œil et d'un petit signe de main.
À distance responsable, j'y réponds par un hochement de tête et un sourire poli en lui souhaitant une bonne journée.

Quand j'ai commencé à bosser ici, il y a presque cinq ans, Alia a un peu tenté de flirter. Je me suis débarrassé d'elle en précisant que j'étais déjà pris. C'était un motif fallacieux, pas un mensonge. Elle n'est pas revenue à la charge depuis mais nos rapports sont cordiaux, c'est une jeune femme charmante et très agréable. En plus elle sent toujours bon.
En étant constamment autour des plantes à la maison, je suis assez sensible aux effluves et reconnais facilement les différentes senteurs florales. Il va de soi que j'aime les mecs qui sentent bon. Que ce soit un musc léger et fleuri, ou un boisé viril. Oui, un peu de sueur et de cambouis c'est sexy. Puer le bouc est un tue l'amour...

Je chope la clé de Séraphe dans ma poche et ouvre le compartiment sous le siège pour récupérer mes gants, que j'enfile. Puis vient le tour du casque. Pour l'instant la température est agréable, mais il fait très chaud assez tôt dans la matinée. Mes accessoires pour la moto sont donc en matière très respirante, comme le sympatex pour les gants.
Je vois des gens filer des pointes de 110-150km/h avec un simple t-shirt sur le dos. Perso je prône la sécurité avant tout. Je préfère avoir l'impression d'être dans un sauna quelque minutes, qu'avoir la peau rongée par l'asphalte en cas de chute.

Une fois équipé, j'enjambe ma merveille et pousse la clé dans le contact avant de la tourner. Elle se met à rugir vaillamment. Ses vibrations se diffusent en agréables vagues entre mes cuisses, et descendent jusqu'à mes pieds. Ceux-ci se décollent un à un du sol tandis que j'accélère, et on est partis. Je roule au pas jusqu'à quitter le parking désert, puis une fois dans la rue principale, j'ouvre les gaz.

Le sifflement du vent s'intensifie à mesure que je gagne en vitesse, sans néanmoins devenir une gêne. Séraphe me donne des ailes. Je suis accro à l'adrénaline et à cette sensation de liberté, le temps d'un trajet.

Le Fleuve Bleu se situe dans un cul de sac, bien à l'écart de la ville de Saint-François. Donc d'ici à rejoindre celle-ci, je m'en donne à cœur joie !

Une fois dans la circulation matinale, mon humeur se veut moins joviale. Je slalome entre les voitures lorsque c'est possible, c'est toujours ça de pris...

Après une vingtaine de minutes, j'arrive dans notre trou perdu des Grands-Fonds, Sainte-Anne. Je ralentis et roule jusqu'aux murets vert pomme, bordant le portail électrique fièrement debout derrière un panneau qui indique 'Le Jardin de Nana'.

J'ouvre le zip de mon blouson et fourre la main dans ma poche. Je la sors en pressant le bouton ouverture du portail et entre lentement. La maison, de style traditionnel antillais, blanche aux jointures et au toit vert, se dessine devant moi à mesure que je m'enfonce dans l'allée en gravillons.

J'ai à peine mis pied à terre, qu'1m68 de fougue débordante pousse la barrière de la véranda. Les trois marches carrelées de l'escalier sont vite descendues et cette force de la nature vient à mon encontre.

— Chris ! Devine qui essayait de me voler, hier soir !

Oui, bonjour maman... Je coupe tranquillement le contact et lève la tête vers elle.

— On ira plus vite si tu me le dit, ma voix est un peu étouffée par la visière mais Nana m'entend parfaitement.

— Tu te rappelles, ton Tonton Norbert ?

— Ouais... C'était lui ton brigand nocturne ?

— Non. Et puis je t'ai déjà dit de ne pas me répondre « Ouais », garde ça pour tes petits camarades.

Je soupire discrètement en enlevant mon casque puis mes gants. Ma mère me reprend encore parfois sur mon langage comme si j'étais un gosse... Elle pose les mains sur ses hanches sans être dérangée par mon rituel d'arrivée.

— C'était son fils mécréant là : Ricardo, celui qu'il a eut avec sa deuxième maîtresse.

— Ah, oui. Je vois.

Oncle Norbert - côté paternel - collectionne encore les femmes, malgré son âge avancé et le fait qu'il soit marié depuis une bonne trentaine d'années. Ce petit là n'a que dix sept ans.

Ma jambe passe en arrière par-dessus mon siège et je descends de ma bécane. Nana emboîte mes pas, tandis que je pousse Séraphe jusqu'au garage annexe. La phrase qui suit me donne une sueur froide.

— Et bien après avoir raccroché avec toi, j'ai entendu des voix derrière la maison. J'ai pris mon coutelas* et je suis sortie !

— Maman... on avait dit que t'appellerai les flics, si nécessaire.

J'ai droit à un tchip* magistral et des sourcils froncés, montrant son désaccord. Ma main se balade nerveusement sur mes cheveux coupés court à l'idée de ce qui aurait pu lui arriver. Ma daronne va me donner des mèches grises avant l'heure... C'est certain.

Devant mon air dépité, elle présente sa ligne de défense avec une grande ferveur.

— Ils auraient mis trop de temps à venir. Tu sais bien que la police ne se dépêche jamais s'il n'y a pas effusion de sang... En tout cas, quand je suis arrivée dehors en criant aux intrus de quitter ma propriété s'ils ne voulaient pas finir en pièce, ils ont vite détalé. Ils étaient trois, imagines toi que ce bon à rien de Ricardo s'est retourné pour rire dans sa fuite. Mais je lui ai dit hein ! An di'y an kriyé papa'y pou mandé'y si sé kon sa i lévé'y !
[Je lui ai dit, que j'allais appeler son père pour lui demander si c'est ainsi qu'il l'a élevé !]

Ah, elle est en rogne là. C'est compréhensible. Le petit sait, pour le jardin de Nana. Ce Ricardo n'est pas réputé pour son intégrité, dans notre cercle familial. À coup sûr c'était son c'était son idée... Quel genre de personne dévalise sa propre famille ? Ma mère non plus n'en revient pas.

Volé zéfé a moun, olié ou vrè si ou ka touvé on travay...
[Voler les biens des gens, au lieu de voir si tu trouves un travail...]

— Ils ont eu le temps de prendre quelque chose ?

— Non, Dieu merci. Je pense qu'ils n'ont pas su reconnaître l'herbe à pique... En plus, les plants sont bien au fond de la serre. Mais ils ont cassé deux de mes nouveaux pots de jasmin ! J'ai pu sauver les fleurs, ça va. Du coup, après en avoir replanté une partie, j'ai fais une tisane pour me calmer les nerfs.

— Ça a été efficace ? je ricane.

— Arrête de te moquer ! C'est sérieux.

Elle râle et j'écope d'une tape sur le bras, amortie par ma veste. Je fais tout de même mine d'en souffrir en exécutant une grimace.

Ma mère m'adresse un tendre sourire en me couvrant de son regard félin. Ces yeux bruns entourés d'un halo ambré, ma sœur aînée et moi les tenons de Nana.

Sa colère décroît à vue d'œil, mission réussie pour Toto. J'enlève mon blouson que je pose sur une table. On est samedi et je suis de repos ce week-end, je ferai une lessive plus tard.
Ma mère enroule son bras autour du mien et on marche lentement jusqu'à la porte intérieure du garage, qui mène direct à la cuisine.

— Je vais sécuriser ton jardin au plus vite M'man.

— Je sais fils, les livraisons et les achats que je t'impose accaparent beaucoup de ton temps en ce moment.

— Oui, mais t'inquiète. Ça vient en priorité. J'ai pas envie que tu joues encore à Machete* en pleine nuit.

Elle a un léger rire, me lâche, et reprend sur un autre sujet tandis que je vais me laver les mains dans l'évier. Flemme d'aller jusqu'à la salle de bain, en plus je n'ai pas encore ôté mes bottes.

— Ça a été, le travail ?

— Tranquille, comme d'hab.

— Bien. Tu veux une tisane avant d'aller dormir ?

— Je veux bien Nana d'amour. T'as déjà sorti les cabris ?

— Pas encore, je me suis concentrée sur l'inventaire dans la serre. Tu y vas ?

— D'acc.

Je l'attire dans une légère étreinte, son épaule se cale sous mon bras et mes lèvres se posent sur son front pour un bisou de remerciement. Je la lâche presque instantanément et elle sourit à nouveau, avant de commencer à s'affairer dans la cuisine.

Être le dernier de la famille et le seul mec n'est pas toujours facile. Quand mes sœurs sont là, je me sens parfois étouffer sous tant d'oestrogènes. D'un autre côté, ça fait aussi de moi le petit chouchou. Je n'en abuse pas mais ma mère est très attentionnée. Là, je sais que je vais avoir droit à mon petit dej en même temps que son thé relaxant. Étant survolté de nature j'évite la caféine, j'aime bien les infusions.

Mon corps légèrement endolori emprunte à nouveau la porte reliée au garage, au lieu de traverser la cuisine et le salon. Dans ce dernier une porte arrière amène à la cour, pour accéder rapidement à la pépinière. Seul un fou longerait le salon avec ses 'chaussures sales'. Le courroux de ma mère peut être impressionnant, malgré sa petite taille et sa stature potelée.

Je contourne du coup l'avant de la maison, passe devant la véranda, pour arriver devant l'éreintée.

Note mentale : intervenir dessus dans la journée.

Ricardo et ses petits copains ont forcé la porte, peut-être bien au pied de biche. Sales enflures... Maintenant je n'ai plus trop le choix, je vais aussi commencer mes recherches pour le retapage total de la serre.

Mon inspection est brève, mes pas me portent ensuite quelques mètres plus loin. En marchant je constate qu'il y a peu de nuages ce matin, une belle journée s'annonce.

Sur ma route, j'esquive les poules qui s'aglutinent autour de moi en quaquettant comme des folles. Persuadées que je viens les nourrir.
Ma mère gâte trop ces bestioles. On ne les bouffera même pas en plus. Le seul profit qu'on en tire sont les œufs qu'elles pondent un peu partout. Je ramasserai ceux que je croise sur le chemin du retour.

Les petites bestioles à corne se mettent aussi à brailler et remuer de la queue en se poussant les unes les autres, dès elles me voient.

— Doucement les ventres sur pattes, vous allez tous sortir.

L'enclos fait de tôle, de bois et d'un peu de grillage, mesure environ sept mètres sur cinq. J'ouvre la porte et tout ce beau monde se rue à l'extérieur, pressé de vaquer à son broutage.
Le domaine est assez vaste, et protégé par des murs hauts. Par-dessus lesquels les gens assez déterminés peuvent sauter, oui, mais nos bêtes vagabondent librement. Ces six là dorment dans l'enclos le soir, à cause des chiens qui arrivent quelques fois à entrer par on ne sait quel miracle. Il y a deux femelles, l'une a deux petits, l'autre un seul, et un mâle.

Mes filles ont supplié Nana de garder deux des chevreaux, nommés Vanille et Cannelle par leurs soins. Pour ne pas créer de jalousie Jillian, le fils de Cécilia - ma sœur cadette - a hérité du troisième petit : Buzz, bien que ce soit une femelle. Et ouais, ouais, Buzz comme dans Buzz l'Éclaire. Jillian a 10ans, il n'a pas été chercher bien loin son inspiration. Les trois marmots sont gaga de leurs animaux mais ça ne fait que quelques mois, c'est un des seuls loisirs qu'il leur reste. Je me demande si, ou combien de temps, leur intérêt va durer.

Alors que je me dirige à nouveau vers la maison, j'aperçois une oie arriver.

Mince, Maman n'a pas pensé à me dire que ces furies étaient dehors ! Les deux oies de ma mère me haïssent... Enfin je crois qu'elles détestent tout le monde, sauf leur propriétaire. Elles se prennent pour des chiens de garde en plus ! À courser les gens... Elles entrent aussi dans un enclos le soir. C'est dommage qu'elles n'aient pas pu s'occuper du cas de nos voleurs amateurs, la nuit dernière.

Je rigole tout seul et chope un bout de bois sur mon passage. Personne ne va se faire latter, je vais m'en servir pour garder le suppôt de Satan à l'écart, s'il décide de me foncer dessus.

J'arrive à l'escalier adjacent au mur de la véranda et le monte, il mène à mon appart. Il est équipé pour la location saisonnière, ça fait un bail qu'on n'en fait plus. Un coup de clé, j'ouvre la porte et entre. Enlève péniblement mes bottes de sécurité et enfile mes chaussons. Le reste de mes vêtements me quitte dès que je passe la porte de la salle de bain. J'y prend une douche bien chaude, m'étire un peu, m'habille d'un short et d'un t-shirt de pub après coup, puis je redescends rejoindre ma mère.

J'ai oublié de ramasser les œufs, ce sera pour plus tard...

Comme prédit, ma tisane fumante est accompagnée d'un petit déjeuner léger. Je mange en discutant des actualités avec ma reine. Son téléphone sonne au bout de dix minutes. Elle prend l'appel, virevolte nonchalamment jusqu'à sa chambre, et en sort avec un foulard noué autour de ses cheveux. Je suis rapidement informé qu'elle s'en va avec son mec.

En arrivant je n'ai pas capté qu'elle était en tenue de ville. Son débardeur orange en tissus aérien tombe sur une jupe en jean bleue, arrivant à hauteur de genoux. Son sac sur l'épaule, elle trace en direction de la porte et enfile ses godasses. Je la taquine, pour la forme.

— T'as pris ton masque ?

— Tout un paquet, au cas ou Lunor ait encore oublié le sien. Oh, et Toto, il y a des modifications dans liste des commandes en livraisons pour aujourd'hui. Vérifie bien le cahier.

— Oui, M'man.

— Et si je ne suis pas encore rentrée, ferme bien derrière toi en partant.

Mais... Je jure que des fois, elle me prend encore pour un gamin.

— Lunor t'attends maman, bisous.

Consciente que je la chasse gentiment, son index menaçant s'agite dans ma direction.

— Ne crois pas que j'ignore ce que tu fais là. Mais je te laisse tranquille, à plus tard chéri.

— À plus.

Je rigole légèrement et elle passe le pas de la porte, assez amusée elle aussi.

Lunor a la soixantaine, c'est quelqu'un de drôle et assez sympathique. Leur couple coule des jours heureux depuis près de quatre ans déjà. Ils ont tous les deux été mariés avant, ont de grands enfants de ces unions. Maintenant ils sont ensemble et se voient régulièrement mais vivent chacun de leur côté. Ça semble leur convenir parfaitement. Tant que ma mère est heureuse, je suis heureux. Peu m'importe comment elle choisit de vivre sa relation. Caroline, notre aîné, est loin de voir les choses du même œil. Elle trouve qu'une telle distance démontre un manque d'implication d'un des partis...

Je le dis d'emblée, Caro et moi on s'entend difficilement. Elle épluche la vie de tout le monde et a son mot à dire sur tout et n'importe quoi, spécialement quand ça ne la regarde absolument pas. Ici on appelle les gens curieux et médisants comme elle des makos et makrelles. Ce genre d'attitude me casse les pieds.

Passons... Je suis trop fatigué pour m'énerver contre elle, surtout quand elle n'est même pas là.

Mon petit dej terminé, je débarrasse la vaisselle utilisée et lave le tout avant de regagner ma chambre. Là-bas, j'attrape mon téléphone que j'avais laissé sur la table de chevet et règle une alarme.
Les livraisons commencent à partir de onze heures pour que j'ai le temps de me reposer un minimum. Ça m'offre environ trois heures de sommeil, avec lesquelles je suis tout de même fonctionnel. Pour une condition optimale, j'ai besoin de dormir cinq heures. Six, tout au plus. Au delà, je suis naze et un peu à la ramasse.

Ceci fait, je me pieute en ignorant les notifications sur mon tel. J'ai entrevu quelques messages Tinder, ça peut attendre plus tard... Je parle avec quelques types mais rien de concret depuis deux mois.

Un bâillement me décroche presque la mâchoire et je me tourne sur le flanc pour être dans ma position de dodo préférée.

💮

*un coutelas : une machette.

*un tchip (communication non-verbale) : bruit fait avec la bouche pour marquer son exaspération (désolée, je ne sais pas trop comment le définir autrement ^.^')

*Machete (mexicain) : film un peu sanglant de l'année 2010, avec Danny Trejo (El Machete). Il se venge de personnes ayant voulu le faire tomber pour un assassinat, son arme de prédilection est une machette.

À noter, la machette est un outil très utilisé aux Antilles. Que ce soit pour le jardinage, couper les noix de coco, la canne à sucre, ou menacer ses semblables... (pas cool, je sais).

Oh, et je fais un peu de mot à mot pour la traduction des phrases entières en créole dans le texte. C'est pour que vous voyez à peu près les similitudes de syntaxe.

Vous n'imaginez pas à quel point ça me fait plaisir de pouvoir présenter ma langue secondaire dans mon histoire !

À bientôt pour la suite.

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