Précédemment dans Dilemme! Que Faire?

Ponctuel qu'il est, Sidy ne prend jamais le risque d'arriver en retard à son nouveau emploi auprès de sa grande sœur, là où il a contribué une forte somme ainsi l'aidant à mettre à terme l'installation de l'entreprise en y investissant beaucoup de millions mais ce jour une fois arrivé dans les locaux il trouve le bureau de sa sœur ouvert chose qui ne s'est jamais passé subitement il entre dedans afin de savoir qu'est-ce que c'était mais gros fût sa surprise lorsqu'il y trouve Ndack entrain de larmoyer pour des problèmes personnels mais unis qu'ils sont ils en ont discuté calmement et il a bien conseillé sa sœur afin qu'elle ne commette pas des erreurs qu'elle pourrait regretter.
Pendant ce temps chez Ndélla c'était la panique avec Tonton Souleymane qui débarque de nulle part disant vouloir l'a donné en mariage à un cousin chose qu'elle a refusé en lui avouant clairement qu'elle avait déjà un homme qu'elle ne compte pas quitter.

*Olof Njay waxonn nakoo: neineu kossi beugg tei fonkk koo réik mou djapei leu doff*

PDV de L'auteur:

Mouha était devenu presque un autre homme, différent de celui qu'avait connu Ndack auparavant ce qui est en train de l'a perturbé sans cesse.

Ses doutes s'accroissent de plus en plus, il lui arrive des moments de penser qu'elle aurait mieux fait de ne pas accepter sa demande en mariage sitôt vu que maintenant celui qu'elle croyait être le bon, ne l'ai pas vraiment.

Pire qu'une personne qui était assise sur un œuf, elle sentait que tout ses rêves étaient comme sur le point de s'envoler sous son nez sans qu'elle soit capable de réagir.

Ndack faisait vraiment pitié, sa vie conjugale ne ressemblait plus à rien, alors que sur sa vie professionnelle elle n'arrêtait de se décarcasser afin de faire semblant.

C'était comme un moyen d'oubli de soi pour elle, qui l'évade dans le monde du travail chose qu'elle maîtrise plus que tout.

Elle avait réussi à mettre en place une boîte qui faisait bonne impression surtout avec une dirigeante aussi engagée qu'elle.

Différente des chefs d'entreprise qu'on a l'habitude de voir, elle est tout le temps sur le terrain en visionnant et parfois elle fait le travail elle-même.

Ses employés se sentent vraiment chanceux de l'avoir eu comme patron à son plus grand bonheur avec un Sidy trop impliqué comme bras droit.

À première vue on aurait dit un couple sans les connaître, ils ont réussi à installer une bonne entente accompagnée de rigueur au sein de l'entreprise.

Là, elle était sur le point d'aller à l'accueil afin de récupérer un dossier qu'elle devrait traiter mais son attention fût sur le champ attiré par la scène qui se jouait devant eux.

Elle n'était pas trop surprise, ses doutes étaient juste entrain de se clarifier même si elle aurait aimé avoir tord.

Mouha: Est-ce que tu sais que tu es là plus sexy de l'entreprise, waouh j'ignorais vraiment que ce genre de beauté existait, dit-il remuant sans cesse les lèvres.

La Secrétaire: Merci Monsieur Sakho c'est gentil de ta part, répond t-elle de façon provocante toute montrant ses cuisses.

Mouha: Oh non toi aussi tu peux m'appeler Mouha, on est des amis intimes non? questionne t-il en lui lançant un clin d'œil.

La Secrétaire: Wesh pourquoi pas?

Mouha: Tu sais ce qu'on va faire?

La Secrétaire: Dis-le moi, s'exclame t-elle de façon sensuelle.

Mouha: Tu vas me filer ton numéro en douce après on cause.

La Secrétaire: Est-ce que c'est sûr, je ne veux pas du tout être viré moi par la Boss, ta femme. Tu sais c'est tellement difficile de trouver du travail en plus j'ai trop besoin de ce job.

Mouha: Premièrement tu fais fausse route l'entreprise c'est la mienne mais pas de ma femme, c'est juste que je l'a laisse jouer ce rôle parce que je préfère faire profil bas quoi.

La Secrétaire: Quoi, je pensais que c'était à ta femme? Et son frère dans tout ça.

Mouha: Tu veux rire? On est trois actionnaires même si je suis majoritaire.

La Secrétaire: Okay donne ton téléphone et je te file le numéro tout de suite.

Pendant tout ce temps Ndack était là à les écouter sans qu'ils ne l'a vois, vu qu'elle leur était de dos.

C'était juste le summum et dire qu'elle n'avait pas mal au cœur serait un grand mensonge.

Elle se sentait idiote et naïve à la fois, elle hésitait à attaquer la fille ou ignorer et faire comme si de rien n'était.

C'est sans doute sa plus grande déception depuis qu'elle est née, et le pire c'est au moment où elle a découvert qu'elle est enceinte d'une petite fille.

Elle n'a encore rien dit parcequ'elle n'a pas encore eu la chance de trouver le bon moment.

Mature qu'elle est, instinctivement elle se dirige vers eux et se comporter comme si elle n'avait rien entendu avant de dire:

Ndack: Mounass est-ce que tu pourrais me faire parvenir les dossiers qui ont été livrés ce matin pour moi venant de "Ly Consortium"? demande t-elle gentiment tout en ignorant son mari et ses dires.

La Secrétaire: Oui Madame tout de suite, répond t-elle en vérifiant.

Ndack: N'oublie pas de les envoyer un e-mail leur disant que j'ai bien reçu les documents.

La Secrétaire: Oui Madame, tout de suite même.
Les voici, fit-elle en lui remettant les dossiers demandés.

Ndack: Arrête les bavardages incessants et fait ton travail comme il faut, est-ce que je me suis bien fait comprendre?

La Secrétaire: Oui Madame.

Ndack: Bien! Monsieur Sakho veuillez me rejoindre dans mon bureau tout se suite, lance t-elle avant de leur tournée le talon.

Automatiquement elle se dirigea dans son bureau et Mouha derrière elle, le visage renfrogné.

Une fois dans la pièce elle ferma la porte à clé avant de lui demander:

Ndack: Mouha est-ce que tu peux m'expliquer ce qui vient de se passer là?

Mouha: Comme quoi? répond t-il de façon comme quelqu'un qui s'en fout royalement.

Ndack: Tu sais je suis peut-être trop amoureuse mais pas idiote et n'insulte pas mon intelligence Mouha, j'ai tout vu et entendu.

Mouha: Dans ce cas pourquoi poser autant de questions si tu sais tout ?

Ndack: T'as bien changé dis-donc, est-ce que tu es bien le Mouha que j'ai connu avant? Façon tu t'en tapes quoi?

Mouha: Oui c'est ça et que ce soit la première et la dernière fois que tu me ridiculises devant tes employés.

Ndack: Pourquoi pas tes employés tant qu'on y est comme que tu es le Boss dans l'ombre et l'actionnaire majoritaire sans que je sache. C'est pourquoi ces derniers jours tu n'arrêtais pas de me demander de te donner des actions dans l'entreprise, tu es tombé bien bas.

Mouha: De toute façon cette attitude ne me surprend pas de toi, une fois qu'il y'a de l'argent vous changez comme pas possible.

Ndack: Cher sieur permet moi de te rappeler que "pour chaque règle il y a exception" je suis née avec une cuillère en or dans la bouche figure-toi. J'ai été bien riche avant la naissance donc cet air de mari abandonné là, on ne me l'a joue pas. Depuis le début de notre relation tu n'avais rien mais malgré tout j'ai été là pendant les pires moments je te dis quand il n'y avait personne, ce qui veut dire que l'argent ne me changera jamais. Pourtant à l'entreprise de mon père j'avais pris le risque de t'engager alors que tu n'avais pas de qualification et ici c'est la même chose malgré le fait que tu as un poste et un bon salaire. Au début je t'avais donné 300.000f mais tu m'as dit que c'était petit alors que tu ne fais absolument rien ici ensuite j'ai accepté de te donner 500.000f avec une voiture et un bureau climatisé, et pourtant c'est moi qui entretiens toute ta famille sans un centime de ta part, même les études de Kader et des jumelles c'est moi qui gère.

Mouha: Vous ne faites jamais quelques choses par gentillesse mais pour nous les rappeler et nous humilier comme tu viens de le faire.

Ndack: Si j'avais réellement pris la décision de t'humilier j'allais le faire devant tout le monde mais juste que c'est bon parfois de se rappeler.

Mouha: Parle-moi encore sur ce ton et je te montrerai qui est l'homme ici, c'est quoi ces manières.

Ndack: Tu dois te l'a posée toi-même Mouha. Ça fait combien de temps que tu n'as pas prié enh dis-moi? Tu n'as seulement changé vis-à-vis de moi mais sur toute les côtés je te signale. Je n'en peux plus de ce genre de scènes qui se passent sous mes yeux, surtout draguer devant moi et dans mon entreprise de surcroît. C'était à Sidy de faire ceci et qu'on lui parle puisque ce n'est pas approprié et on aurait compris vu qu'il est célibataire mais toi tu le fais devant tout le monde sans rien cacher.

Mouha: Merde à la fin, crit-il en le giflant tout en tombant par terre.
Ne me compare plus jamais à tes maudits frère.

Au collège de Cheikh pendant l'heure de pause:

Faisant son passe-temps favori il était dans le jardin en lisant "KARIM" de  Ousmane Socé pour la troisième fois, il ne s'en lasse pas.

Il adore la lecture et l'écriture c'est comme une thérapie pour lui, pour ne pas être jugé ni moqué, il noie sa douleur en lisant où se confier aux mots.

Il lit tout sans exception mais surtout les romans sénégalais, ce sont ses favoris et tous les auteurs sans exception mais "Ousmane Sembene" est son préféré.

Il ne sa fatigue jamais d'aller sur YouTube pour visionner des films, il rêve de réaliser de grand projets dans le futur.

Il était dans la même position quand son camarade de classe Sarah est venue le rejoindre avec deux milk-shake à la main.

Sarah: Qu'est-ce que tu lis encore, le grand révolutionnaire africain?

Cheikh: Non aujourd'hui j'ai changé d'auteur, je lis l'histoire de KARIM.

Sarah: Avec Mariéme je crois, c'est ça?

Cheikh: Tout à fait, j'adore la façon d'écrire de l'auteur c'est vraiment cool quoi.

Sarah: Oui j'avoue mais mon préféré c'est "Nana, la mulâtresse sénégalaise" j'adore Abdoulaye Sadji.

Cheikh: C'était un grand homme j'avoue même si mon écrivain reste le plus fort.

Sarah: Oui ça je te l'avoue.
Comment tu trouves le nouveau prof de math?

Cheikh: Il est bien pour l'instant, il essaie de se mettre dans le bain afin qu'on ne soit pas en retard sur le programme. Et toi?

Sarah: Beau et sexy avec son corps d'Apollon, je fonds déjà.

Cheikh: Quoi, hahahaa? Je te parle de choses plus sérieuses là, les études ça te dit quelque chose.

Sarah: Oui je sais mais le prof tamit keinn deimoul mou deiss on dirait qu'il est musclé partout.

Cheikh: Toi, juste une fille de 15 ans tu me parles de sexy et beauté, envers ton prof en plus.

Sarah: Hey laisse-moi les baskets ça ne tue pas du tout, quand on parle du loup.

Cheikh: Il ne manquerai plus que tu ailles le draguer après tout ce que tu as dit.

Sarah: Si seulement je le pouvais, il regarde par ici on dirait. Tu penses que je l'intéresse.

Cheikh: Pour ça il suffit d'aller lui demander sinon tu me laisses lire tranquille.

Sarah: T'es trop sérieux toi, un peu d'eau dans ton vin. Je m'en vais moi.

Cheikh: Wesh c'est ça, barre-toi.

Il s'est mis à relire une fois qu'il fût seul en profitant de la nature et sa beauté.

C'était vraiment calme et paisible, pas trop de bruit en plus, juste l'endroit idéal pour être tranquille.

Il était concentré dans ce qu'il faisait qu'il n'avait même pas entendu son professeur de mathématique l'appelait.

Mr Ly: Hey Cheikh tu es bien concentré là, sourit-il.

Cheikh: Heu Monsieur désolé je ne vous ai pas entendu.

Mr Ly: Oui j'ai vu ça, tu peux me tutoyer. Tu lis qui?

Cheikh: Un roman de Ousmane Socé.

Mr Ly: Donc tu aimes lire?

Cheikh: Oui j'adore, je suis un passionné.

Mr Ly: C'est bien ça je lis mais pas beaucoup.

Cheikh: Tu devrais, ça aide sur beaucoup de choses.

Mr Ly: Oui tu as sûrement raison. J'ai vérifié vos bulletins de notes et j'ai remarqué que tu es bien dans toutes les matières sauf math même si tu arrives à juste avoir la moyenne.

Cheikh: Pourtant je fais beaucoup d'efforts mais c'est toujours un 10 ou un 11 que je récolte.

Mr Ly: Pourtant je pourrais bien t'aider.

Cheikh: Je ne voudrais pas te déranger vraiment, je ferai plus d'efforts c'est promis.

Mr Ly: Non ce n'est pas du tout un problème pour moi, tu prends mon numéro et je te ferai des cours particuliers chez moi.

Cheikh: Chez vous?

Mr Ly: Je le dis juste parce-que ce serait plus facile pour moi de ne pas me déplacer mais si tu veux aussi on se donne rendez-vous à l'école.

Cheikh: Non ça ne me pose pas de problème, je demandais juste.

Mr Ly: Okay je te laisse continuer ta lecture maintenant.

Des heures plus tard à l'appartement de Kadia:

Kadia: Quoi, ne me dit pas que tu l'as laissé te gifler, quel con celui-là.

Ndack: J'en ai marre Kadia, je suis fatiguée d'être ignoré par mon homme. Imagine qu'il drague mes employés en se faisant passer pour le directeur de l'entreprise.

Kadia: Avec tout le caractère et maturité dont je te connais tu laisses un homme te malmenée comme ça, on aurait dit que tu dépends de lui.

Ndack: Kadia je suis plus que perdue c'est pourquoi je suis là, j'ignore quelle route prendre et quoi faire pour le moment. On est ensemble depuis des années je te signale et il ne m'a jamais montré ce visage donc je ne peux pas prendre de décision hâtive.

Kadia: Est-ce que lui au moins il a pensé à toutes ces années, on dirait qu'il s'en tape. Je te rappelle qu'on est dans un pays de droit où l'ère de violenter une femme est dépassé, il faut demander le divorce, on ne sait pas ce qu'il pourrait faire demain ou après-demain.

Ndack: Mais toi est-ce que tu t'entends parler? Juste à quelques mois de mariage et tu me suggère le divorce. Le jour de mon mariage ma Maman Kathy ne m'avait pas conseillé de demander le divorce une fois qu'il y'aura des problèmes mais plutôt de supporter.

Kadia: Haa donc supporte ma chère mais si c'était moi je serai partie et surtout que tu es enceinte de lui. Le sait-il maintenant?

Ndack: Non pas encore je n'ai toujours pas eu l'occasion de lui annoncer.

Chez les Seck:
Clauvice:

Me voilà encore enfermé dans ma chambre depuis, je ne sais plus combien de temps. Je ne sors presque plus, si ce n'est pour prier.

Tata Kathy: Haa toi aussi arrête ce que tu fais, ça fait deux jours que tu passes toute la journée dans ta chambre comme si ça n'allait pas avec quelqu'un dans la maison. Regarde-toi, tu ne ressembles plus à rien, même manger tu refuses de le faire alors que ce n'est pas une solution, qu'importe ce qui se passe dans ta vie ce n'est pas ainsi qu'on résout les problèmes.

Clauvice: Maman en fait je ne sais plus quoi faire, je suis perdu et j'ai peur aussi, j'ai vraiment peur.

Tata Kathy: Peur de quoi mon bébé?

Clauvice: Maman l'autre jour à la clinique Hiram nous avait fait savoir qu'il restait moins de trente jours à Ndéye Aïda et tu sais ça fait vingt-quatre jours aujourd'hui alors qu'elle ma formellement interdite d'aller chez elle. Je veux au moins l'a revoir une fois, juste une dernière fois.

Tata Kathy: Hey dis Astahfourllah. Hiram n'est qu'un docteur il dit juste ce qu'il voit mais n'oublie pas que c'est Dieu qui tue Qu'est-ce qui ne te dis pas qu'Il ne fera pas un miracle?

Clauvice: J'aurai tellement aimé, yalla nalaa yalla deigg wayy.

Tata Kathy: Boul découragé jamais juste garde espoir.

Avant que je ne pus répliquer mon téléphone s'est mis à sonner affichant ainsi le nom de Maty, la grande sœur de Ndéye Aïda.

Tout de suite j'ai eu le sang chaud, qu'est-ce qu'il peut bien se passer, et si c'était???

Non je refuse d'y penser, ne sachant plus quoi faire j'ai décroché sur le champ en faisant haut-parleur.

Maty: Allô Clauvice.

Clauvice: Oui Maty ça va?

Maty: Oui ça va bien et de ton côté? Tu te portes à merveille j'espère?

Clauvice: On fait aller, qu'est-ce qu'il y'a, elle ne va pas bien c'est ça?

Maty: C'est compliqué mais bon ça va, pourquoi tu as arrêté de m'appeler pour prendre de ses nouvelles?

Clauvice: Tu sais c'est toujours avec toi dont je parle, sachant qu'elle ne veut plus de moi, j'ai préféré m'abstenir.

Maty: Je te le demande pour l'amour de Dieu, au moins appelle même si elle ne te parle pas. Tu sais chaque jour elle me demande si tu as appelé pour prendre de ses nouvelles et si seulement tu voyais la luminosité qu'affichait son visage quand je lui réponds oui, que tu as appelé. Parcontre elle est malheureuse depuis que tu n'appelles pas, au moins juste appelle même si elle ne te parle pas.

Clauvice: D'accord pas de problème, j'y veillerai.

Maty: Merci beaucoup Clauvice, c'est aimable de ta part.

Clauvice: Ce n'est rien.

Maty: Je suis désolé, bye, dit-elle avant de couper.

Sur le champ je me suis donc dit que Ndéye Aïda pensait à moi.

Tata Kathy: Qu'est-ce que je te disais? Elle ne t'a pas du tout oublié, peut-être juste qu'elle ne veut pas que tu l'a vois souffrir.
Selon moi elle t'aime mais qu'elle veut t'épargner de souffrir de la voir souffrir.

Clauvice: Oui peut-être que c'est ça, dit-il tristement.

Tata Kathy: Comme te l'a demandé sa sœur juste appelle chaque jour pour son plaisir.

Clauvice: D'accord je le ferai inch'Allah, merci pour ton soutien inconditionnel Maman.

Tata Kathy: C'est mon rôle de mère, je le fais avec plaisir.

Pendant ce temps chez Ndélla:

Tonton Souleymane: Ma fille je veux juste ton bien c'est pourquoi je te suggère mon fils, mon frère t'a donné le nom de notre mère parcequ'il t'aimait.

Ndélla: Il nous aimait tous, si c'est mon bien que tu veux donc sache que j'aime quelqu'un d'autre et j'ai l'intention de finir ma vie à ses côtés.

Tonton Souleymane: Donc envoie-le chez moi afin qu'il me parle de ses intentions, je ne vais lui donner que deux semaines, lance t-il avant de se lever.

Sidy: Assalamou-Aleykoum tout le monde, dit-il en entrant au moment où l'oncle de sa copine allait partir.

Mère Soukeyna: Heureusement que tu es venu au bon moment, prenez place.

Tonton Souleymane: Maleykoum Salam qui es-tu?

Ndélla: C'est lui mon amoureux dont je te parlais tout à l'heure, Sidy voici mon oncle paternel.

Sidy: Bonsoir Tonton, je m'appelle Mame Sidy Seck et je suis content de faire enfin votre connaissance.

Tonton Souleymane: Pas besoin de discours, est-ce que tu aimes ma nièce?

Sidy: Oui Tonton je l'aime énormément même.

Tonton Souleymane: Est-ce que tu comptes en faire ton épouse?

Sidy: Oui je compte bien le faire inch'Allah.

Tonton Souleymane: Dans ce cas qu'est-ce que tu attends pour le faire?

Sidy: Comme elle le sait je viens tout juste d'être stable professionnellement, j'attends juste d'être plus indépendant et réaliser quelques projets puis l'a mariée. Ne vous inquiétez pas vous avez ma parole.

Tonton Souleymane: J'en ai pas besoin, des actes plutôt. Je te donne deux semaines pas plus sinon je l'a marierai à mon fils.

Maman Soukeyna: Hey toi Souleymane il faut connaître ses limites, le fait que tu sois leurs oncle ne te donne pas le droit de faire comme si ma fille était un marchandise en donnant un délai où un truc de ce genre.

Sidy: Heu Maman s'il-vous-plaît je ne veux pas vous causée de problème.

Maman Soukeyna: Non Sidy il faut que je lui dise mes quatre vérités, vous êtes encore jeune prenez le temps de vous connaître et marchez à votre rythme.

Tonton Souleymane: Je me demande bien quelle genre de mère es-tu? Toi Sidy si ma fille t'intéresse vraiment je t'attends chez moi pendant les deux semaines sinon tu perdras.

Sidy: D'accord je vous ai entendu.

Tonton Souleymane: À bon entendeur salut, dit-il en partant suivi de Maman Soukeyna derrière lui en le maudissant.

Ndélla: Oh si seulement la honte pouvait tuer, je suis vraiment désolé bébé.

Sidy: Non ne t'inquiètes surtout pas je gère, dit-il calme.

Ndélla: Tu sais ne prend pas les dires de mon oncle au sérieux.

Sidy: Tu as bien entendu ce qu'il a dit, que si je ne réagis pas il te marie à quelqu'un d'autre et vraiment je ne pourrai supporter.

Ndélla: Je te jure que ce n'est pas un deal que j'ai manigancé walahi, il est venu juste comme ça avec l'idée de mariage en tête barki yalla.

Sidy: Hey détend toi je te crois, je ne vois qu'il seule solution.

Ndélla: Laquelle?

Sidy: Demander ta main et qu'on se marie le plus rapidement possible.

Ndélla: Est-ce que t'es sûr? Je ne veux pas que tu te sentes obligé.

Sidy: Non pas du tout, de toute façon c'est ce que je souhaite donc il n'a fait que me faciliter la tâche.

Ndélla: Mais toi qui t'a informé pour mon oncle?

Sidy: C'est Khadija qui m'a envoyé un message et je ne peux décrire la peur que j'ai ressentie.

Ndélla: Je suis vraiment désolée, j'ai honte.

Sidy: Et moi qui rêvais d'un demande en mariage grandiose digne d'un film Hollywood.

Ndélla: Chaque rêve ne peut être réalisé, sourit-elle.

Sidy: Veux-tu bien m'épouser Ndélla?

Ndélla: Oui, je le veux Mame Sidy.

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À BIENTÔT

C'était l'avant dernière partie.