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Précédemment dans Dilemme! Que Faire?
Ainsi que la plupart du temps toute la famille était dans la cour de la maison entrain de boire du thé préparé par Kader. Ils riaient aux blagues pourries de celui-ci tout en discutant de tout et de rien quand un moment que Maman Astou a demandé quand à son mari quand est-ce il allait chez sa future belle-fille pour demander sa main et Mouha en a profité pour lui annoncer la nouvelle comme quoi; il allait déménager dans une appartement avec sa femme.
Comme il le redoutait sa mère n'a pas bien pris la nouvelle et tout à coup ça a gâché l'ambiance. C'est dans cette situation que Maman Soukeyna et Aïcha les trouvèrent silencieux mais elles ont réussi à remettre l'ambiance lorsqu'elles ont su que Mouha avait l'intention d'épouser une femme d'ici des jours. Cheikh de son côté pensait qu'il allait s'en sortir aussi facilement voulant piéger Tonton Birame mais malheureusement pour lui, son oncle avait fini par comprendre son petit manège et du coup il y'a eu retournement de situation.
Il a été mis KO avant que son oncle n'abuse de lui encore une fois.
*Niit boh yaroo dara doulaa djom sih adouna, seu biss bou reuyy nieup niolakoy yeiné teiksi beugkoo téwei.*
PDV de L'auteur:
Ça fait maintenant deux jours qu'on lui a informé que le père de son futur beau-fils viendrai lui rendre visite afin qu'ils discutent concernant leurs enfants.
C'était enfin le jour qu'il allait fixé une date afin de léger sa seule et unique fille à une autre famille, si ça ne dépendait que de lui Ndack n'allait jamais l'a quittée vu le genre de relation qu'ils entretiennent.
Hélas, une fille est toujours appelée à quitter la maison familiale pour en rejoindre une autre tôt ou tard, ce qu'il a compris.
Il était très heureux en voyant la tête qu'affichait la prunelle de ses yeux Ndack, très emballée à l'idée de se marier bientôt avec l'homme de sa vie.
Pour ne pas risquer de les faire attendre, pour cette journée il n'a pas voulu aller au bureau et a annulé tout ses meeting.
Père Malick était élégamment habillé comme d'habitude en attendant ses invités et pendant ce temps il suivait les informations dans le salon.
Et ces derniers n'ont pas tardé à faire apparition et comme il se doit, c'est avec un sourire énorme qu'il s'est levé pour aller les accueillir.
Il y'avait trois vieux hommes comme lui mais il a vite reconnu Père Saliou sachant qu'il est sur une chaise roulante, il s'est directement dirigé vers lui avec le sourire.
Père Saliou: Assalamou-Aleykoum Kilifeu, naka ngeinn deiff? prononce t-il content d'avoir rencontré le père de la gentille Ndack.
(Bonjour Monsieur Seck, comment allez-vous ?).
Père Malick: Maleykoum Salam niogi sii djam bou baxx al-hamdoulillah, yeiksih leinn akk djam.
(Bonjour Monsieur Sakho, nous allons tous bien par la grâce de Dieu).
Père Saliou: Diereudjeuf sii teirtou bi, niogilayy contannéi bou weirr.
(Merci beaucoup pour l'accueil, on est content de toi).
Père Malick: Baa sonnoleinn sih yonn bi?
(J'espère que vous ne vous êtes pas trop fatigué sur la route en venant).
Père Saliou: Deitt sonnou niou sih yonn bi, fih mom nakari woul xamm.
(Non même pas heureusement qu'ici n'est trop difficile à connaître).
Père Malick: Aythia yeiksih leinn sih birr, reprend t-il en les invitant d'entrer dans le salon tout en se portant volontaire pour pousser le chaise de Père Saliou.
(Allez veuillez entrer à l'intérieur).
L'accueil fut vraiment chaleureux et Père Saliou se disait intérieurement que tout allait bien se passer vu la façon dont le père de Ndack s'est comporté avec eux.
Ils étaient tous content du fait que l'ambiance se passait à merveille, ils ne pouvaient pas mieux espéré.
Une fois dans le salon ils furent bien installés par le chef de la famille tout en discutant comme des vieilles connaissances en faisant les présentations.
Père Malick: Surtout mettez-vous à l'aise, faites comme chez vous.
Père Saliou: Merci beaucoup monsieur Seck c'est gentil venant de ta part.
Père Malick: Ne me remerciez pas c'est normal, on peut se tutoyer, appellez-moi Malick.
Père Saliou: D'accord, je suis venu accompagné de très bons amis. Permets-moi de te présenter L'imam de notre quartier Ibrahim Faye et Alioune Ndiaye un très proche voisin, on habite ensemble depuis plus de 10ans.
Père Malick: Enchanté de faire votre connaissance je suis heureux de vous recevoir chez moi, c'est vraiment un honneur bienvenus encore.
Les choses allaient de bon train quand d'un coup Ndack fit son apparition pour servir des rafraîchissements aux invités.
Ndack: Assalamou-Aleykoum Tonton Saliou tu m'avais beaucoup manqué, fit-elle en se dirigeant vers pour la prendre dans ses bras pour un long câlin.
Père Saliou: Ahh ça c'est ma fille bien aimée tu m'avais beaucoup plus manqué comment tu vas bien?
Ndack: Oui je vais bien al-hamdoulillah et toi ça va, tes pieds ne font plus mal j'espère?
Père Saliou: Ne t'inquiètes pas je vais très bien, je n'ai plus mal du tout par la grâce de Dieu.
Ndack: Al-hamdoulillah yalla neu santt yagg. Maman Astou et les jumelles vont bien aussi j'espère?
Père Saliou: Oui elles vont à merveille, merci de demander après elles.
Ndack: Salut Tontons comment allez-vous? s'addresse t-elle à l'imam et Tonton Ndiaye.
Imam Faye: Niogii sii djam bou baxx al-hamdoulillah.
(Ça va bien par la grâce du seigneur).
Tonton Ndiaye: Je ne savais pas que mon neveu était un si bon choisisseur, mashallah tu es ravissante et bien éduquée.
Ndack: Merci Tonton Ndiaye c'est gentil, Mouha m'a beaucoup parlé de toi, rajoute t-elle avant de servir les jus et laisser les hommes discutaient entre eux.
Père Saliou: Vraiment Malick j'ai comme l'impression de te reconnaître mais je ne sais plus d'où, depuis tout à l'heure je cherche dans ma tête mais je ne sais plus.
Père Malick: Ahh bon c'est fort possible mais peut-être c'est à la télévision, je suis souvent invité dans quelques émissions vu que je suis l'entrepreneuriat.
Père Saliou: Oui peut-être que c'est à la télévision, bon merci encore pour l'accueil c'était chaleureux mais si nous sommes là c'est pour parler d'union, je voudrais vraiment te confisquer à vie ta magnifique fille si possible, termine t-il en riant.
Père Malick: Tu veux vraiment me voler ma seule chère fille, c'est pas gentil ça mais bon je n'ai pas trop le choix.
Père Saliou: Ça fait des années que je connais votre fille et qu'elle fréquente mon fils mais je ne pourrai espéré mieux qu'elle pour belle-fille et ce qui m'a le plus marqué chez Ndack en est son éducation et sa gentillesse sans mesure. Personnellement je l'aime bien, elle respecte tout le monde sans exception. J'ai toujours adoré les femmes innovantes et intelligentes car elles peuvent tenir une discussion intéressante en te parlant des choses utiles pour le bien commun et elle en fait partie. À chaque fois qu'elle vient à la maison j'ai le cœur joyeux à l'idée d'échanger avec elle, les qualités qui sont en elle je ne pourrai les citer tous mais je sais que mon fils est dingue amoureux de ta fille, ce serait un honneur pour toute ma famille de l'a recevoir chez nous. Ndack me respecte d'une façon qui ne cesse de m'épater de plus elle ne cesse de prendre mes nouvelles en me considérant comme un père, je n'arrêterai de remercier le Tout Puissant de l'avoir mis sur notre route.
Père Malick: Ahh Serigne bi Sakho je te remercie pour les paroles concernant ma fille, waxx dji raféitt neu mashallah.
Comme l'avait dit Ndack tu es un homme de sagesse, al-hamdoulillah que tu aies remarqué qu'elle a de bonnes qualités car j'en sais quelque chose, ce n'est pas parcequ'elle est ma fille ou quelque chose comme ça mais elle fait ma plus grande fierté sur terre donc tu sais que ça sera très difficile de ma part de me séparer d'elle vu à quel point on s'aime et qu'on est complice. Si ça ne dépendait que de moi elle n'allait jamais quitté la maison mais bon je n'y peut rien à part vous l'a confier et j'espère que vous en prendrez bien soin.
Père Saliou: Sur ce côté ne te fais de soucis, on prendra bien soin d'elle inch'Allah.
Père Malick: Konn bokk imam dink naléinn sama beinn bou djigueinn bi.
(Dans ce cas Imam je vous confie à tous ma seule fille).
Imam Faye: Gorgui Seck boul amm beinn xeil niarr sisseu dom dji ndaxtei bou sobei yalla Saliou dineuko topato bou baxx, raxssi doli Mouhamed nitt kou baxx tei djoulitéi leu, amneu yarr amneu teiginn téiksii waxtou douko raww leip si djaka dji leukoy feik mashallah.
(Monsieur Seck ne te fais pas de soucis concernant ta fille parceque s'il plaît à Dieu Saliou et sa famille prendront bien soin d'elle, de plus Mouhamed est une bonne personne très religieuse. Il est bien éduqué et à chaque moment il est à la mosquée, il ne rate jamais une seule prière vraiment).
Tonton Ndiaye: Comme l'a déjà dit notre Imam sache que ta fille est entre de bonnes mains, si j'étais à ta place je n'aurais pas à m'inquiéter. Juste prions que tout se passe à merveille.
Père Malick: Franchement j'ai l'esprit plus serein maintenant et al-hamdoulillah qu'un bon pratiquant musulman veut prendre ma fille comme épouse, inch'Allah je vous donnerai sa main sans rien vous demander en retour même pas le premier cadeau et je suis catégorique la dessus. Vous avez fixé une date avant de venir?
Père Saliou: Non pas encore, nous voulons discuté de nos enfants et autres.
Père Malick: On est mardi aujourd'hui, samedi prochain inch'Allah je vous donnerai sa main.
Père Saliou: Dans quatre jours c'est pas un peu proche, et s'ils veulent plus de temps.
Père Malick: En faisant quelques choses de bien il ne faut pas trainer avant que malheur s'y abatte, n'est-ce pas?
Imam Faye: Kilifeu deug nileu wara doxaléi.
(Voilà comment doit se comporter un vrai chef de famille).
Père Saliou: Mashallah contann nagnou bou weirr saxx.
(On est vraiment trop content).
Père Malick: Sama wareiff dong laa deiff, deug leu Ndack sama dome leu wayei momoumako tei lih mom xamonn nanni dineu meuseu nieuw loumou yag yag ndax tarou djigueinn moy seuy.
(Je ne fais que mon devoir de père, c'est vrai que Ndack est ma fille mais elle ne m'appartient pas en plus je savais que tôt où tard ça allait arriver vu que la vraie beauté d'une femme se trouve aux côtés de son mari en gérant son ménage).
Je vais vous faire une confidence, vous savez on a tôt perdu sa mère et ça a été un choc pour nous tous donc j'étais obligé d'être plus présent dans leurs à tous ce qui était difficile avec mon travail mais par chance je m'en sortais bien, je crois que c'est ce qui nous a plus rapproché. Tu sais je l'ai aime tous énormément car ils représentent ma raison de vivre de plus on a toujours vécu ensemble pendant toute notre vie. Je vous le demande de bien prendre soin de ma princesse, je l'aime plus que tout au monde, je vois en elle sa maman. L'amour qu'elle dégageait, sa bonne humeur, sa gentillesse infaillible sans oublier sa beauté angélique.
J'aurai tellement voulu que Samira assiste à cette journée n'empêche qu'une chose est sûre, elle est fière de sa fille.
Père Saliou: Samira, c'est le nom de sa mère?
Père Malick: Oui c'est elle sa mère, ma défunte épouse. Sur la photo juste derrière toi c'est elle.
Sans plus attendre il s'est retourné la tête pour voir la photo mais fut automatiquement figé n'en croyant pas à ses yeux.
Il se rappelait de ce jour où ils étaient heureux à l'idée d'aller à cette événement qu'elle avait l'habitude de voir qu'à la télévision chaque année.
Il se rappelait de la clarté de son visage pendant ce jour lorsqu'ils étaient arrivés au destination sachant qu'ils allaient passés une belle et inoubliable journée, c'était vers les années 80 plus précisément le 04/04/1886.
Père Malick: Euhh Saliou ça va? Tu es comme absenté là, tu l'as connaissais?
Père Saliou: Ramatoulaye Samira Kane, je l'a connaissais très bien, même plus que qui au monde je dirais. Cette photo je m'en rappelle comme si c'était juste hier, c'est moi même qui l'avait prise. C'était pendant le jour de notre indépendance en 1886 c'était sa première fois qu'elle allait regarder la défilé, la belle époque.
Père Malick: Comment ça, vous entretenez quel relation. Désolé mais moi je ne me rappelle pas de toi du tout alors que Samira et moi se connaissaient depuis l'adolescence.
Père Saliou: Bien-sûr que si tu m'as juste oublier, c'est pourquoi lorsque je t'ai vu je me suis vite rappelé de ton visage mais je ne savais plus d'où. C'est Abdoul Aziz Malick Seck ton nom complet non?
Père Malick: Mais comment est-ce possible que tu connaisses tout ceci de moi alors que je ne rappelle pas de toi, Saliou Sakho ça ne me dit rien.
Père Saliou: À l'époque on m'appelait Zale-SS, c'était moi le meilleur ami de Samira. Je me rappelle même qu'un jour on s'était battu à la plage car tu m'avais pris pour quelqu'un qui l'a draguait, se rappelle t-il en souriant.
Père Malick: Zale-SS tu dis, bien-sûr que je me rappelle très bien même le jour du plage, woow que le temps est injuste on est devenu vieux maintenant. Je me rappelle des moments passés ensemble et que tu prenais toujours sa défense afin de l'a protéger envers et contre tous.
Mais pourquoi à un moment on t'avait tous perdu de vue juste comme ça tel un éclair, elle t'avait cherché partout mais c'était en vain, personne n'avait plus de tes nouvelles et elle en a beaucoup souffert tu sais, elle tenait trop à toi.
Père Saliou: J'imagine et j'en suis sincèrement désolé, tu sais une fois j'étais dans l'armée on m'avait affecté à Tamba et là j'étais obligé d'y aller sur le champ sans que je n'eus le temps de dire au revoir à tout le monde et c'est quinze ans plus tard que je suis revenu définitivement à Dakar vu que je n'avais la mobilité de mes jambes par accident n'empêche que j'ai recherché partout Samira sans succès, en plus y'avait pas des téléphones comme maintenant.
Père Malick: C'est vraiment un miracle que tu sois encore fois devant moi, je n'espérais pas te revoir encore une fois pour le reste de ma vie.
Père Saliou: Qui aurait cru que mon fils allait tombé amoureux de la fille de Samira, dans une vie qui n'est pas encore terminée tout pourrait s'y produire vraiment. Tu sais très bien que Ndack est ma fille donc moi-même j'y veillerai personnellement à ce qu'elle sera toujours heureuse avec mon fils inch'Allah.
Père Malick: Je sais que tu prendras bien soin de notre fille, je te fais entièrement confiance.
Père Saliou: Je sais que je ne pourrai pas rattraper le temps perdu mais je veux tout savoir, j'ai beaucoup de questions pour toi. Vous avez eu combien d'enfants ensemble? sourit-il.
Père Malick: Par la grâce de Dieu on a eu quatre beau enfants, trois garçons et une fille, lui rend t-il le sourire.
Père Saliou: Ça ne me surprend pas du tout, c'était le nombre qu'elle avait toujours voulu.
Ainsi une discussion d'amis perdus depuis longtemps fit née...
Samedi; Le Jour du Mariage de Ndack et Mouha:
Comme le disait Martin Grey l'amour n'est jamais contrainte, il est joie, liberté et force. C'est l'amour qui tue l'angoisse, là où l'amour manque naissent l'angoisse et l'ennui!
L'amour est emportement! L'amour est enthousiasme! L'amour est risque!
L'amour est synonyme de générosité, prodigalité et beaucoup d'échange!
Qui donne beaucoup reçoit beaucoup car, en fin de compte, nous possédons ce que nous donnons!
Aimer n'est pas mutiler l'autre, le dominer, mais l'accompagner dans sa course, l'aider, savoir accepter l'autre tel qu'il est, être joyeux du bonheur qu'il trouve!
L'aimer dans sa totalité pour ce qu'il est, laideur et beauté, défauts de même que qualités!
Voici les conditions de l'amour, de l'entente, car il est vertu d'indulgence, de pardon et de respect de l'autre.
Aujourd'hui Mouhamed Sakho et Ndack Seck allaient marqué leur territoire à jamais, le jour à partir duquel ils allaient se promettre amour, fidélité et respect sans oublier à devoir vivre ensemble pour toujours.
Ainsi qu'ils le voulaient c'était un simple mariage juste avec des amis intimes et la famille, le décor était simple mais jolie.
La maison des Seck était bondé de monde, même les membres de famille qui sont à Saint Louis se sont déplacés pour assister à la grande jour de la fille la plus respectueuse de la famille.
Même les deux épouses de Tonton Birame ont fait le déplacement pour leur nièces.
Ses badiénes (tantes paternelle) était aux as lorsqu'elles ont été au courant de la bonne nouvelle et voulaient tous venir à Dakar sachant à quel point Ndack les aime.
Ses frères sont plus que heureux, depuis ce matin ils ne se sont pas reposés tout en étant sur l'organisation afin que tout soit parfait.
Ils étaient un peu triste à l'idée de se séparer de leurs unique sœur surtout le petit Cheikh qui le considérait comme une petite maman.
Ils étaient tous habillés en Bazin Blanc de même que leur père se préparant pour aller à la mosquée car il faisait presque dix sept heures.
Au même moment la reine du jour venait tout juste de rentrer du salon dans une tenue divine avec un maquillage soft lui donnant une beauté inégale.
Elle était avec Kadia et quelques cousines qui étaient les hôtesse même Ndélla et Ndéye Aïda était de la partie, elle n'arrêtait pas de sourire montrant ainsi sa belle dentition.
Pour sa tenue Tata Kathy s'était portée volontaire afin de faire d'elle une princesse, franchement elle a réussie son coup.
Une fois dans le quartier la voiture commença à klaxonner signalant ainsi la venue de la mariée suscitant une curiosité aux invités qui tous voulaient voir la reine du jour.
Automatiquement qu'elle soit descendue de la voiture, les griots l'attaquérent en lui chantant ses éloges.
Badiéne Ndack: Laylalaa djeik neu tarou neu mashallah sama domm dji, seu biss ni rek leu meunneu meil sama Seck ndanann bi, sama Garmin bih. Yafii geunn djoud sama taw bou djigueinn bi, teinga seu tank, tei nga seu lamign teiksi seu waxx bariwoul baparei meiloni khalei you djigueinn you tayy yi wawaw am 20 ans rek djeul appartement difeu deiff loula saff ak lomotif boudoul djeix. Seu bayy Santt naleu geureum naleu, seu tanta Kathy tamit Santt naleu geureum naleu. Seu seuyy bi lingassi beugg yalla nalako yalla defal tei mayy leu ndjabott bou barkéil si barkéip Seydina Mouhamed (psl), Mala waxx lih sama domm bi dagoul bamou neixx laa may seu Badiéne tei yow lafii neikal, dit-elle à sa nièce en lui faisant pleuré et lui arrosée des billets de dix mille francs.
Boul djoy néné touti yow djarawlak rkk ngay deig, yafii deif Lou baxx motaxx seu biss bi meilni, seu djikoy yaye beip mingi si yow, foh toll deil waxx amine, yeigal sih birr balagnouy takk, mashallah sollou bi raféitt neu trop, termine t-elle en lui prenant dans ses bras.
C'était vraiment émouvant d'entendre sa tante paternelle et homonyme lui dire tout ses biens, surtout devant tout le monde.
Elle était inconsolable après les éloges récité pour elle, Kadia essayait de lui essuyer les larmes pour que le maquillage ne déborde pas.
Subitement Tata Kathy l'a conduite dans sa chambre afin qu'elle s'assoie sur le lit avant qu'on ne scelle le mariage et pendant ce temps on lui a donné un chapelet pour qu'elle fasse des wirds.
Les filles l'a prenait en photo tandis qu'elle faisait son wirds en silence, c'est ainsi que continuait l'ambiance juste une vingtaine de minutes plus tard quand son téléphone à vibrer signalant un message de Mouha.
Mouha: Je ne voulais pas trop te faire perdre ton temps, nous n'avons plus 20 ans, et je ne vais plus attendre encore un jour pour te prouver tout mon amour! Parce que l'amour est plus fort que tout, j'aimerais être près de toi en tout instant, aincre les plus grands tourments, et rester avec toi, vivre l'amour fou. Je ne sais comment te dire alors je préfère l'écrire. Au fond de moi, tu restes la personne que j'aime depuis toujours, celle qui vaincra avec moi toutes les tempêtes, qui restera près de moi jusqu'à la fin des temps et m'aimera plus que tout au monde. En trois mots, je t'aime Madame Sakho ma femme.
Toi que j'attendais depuis toujours, te voilà désormais mienne, je t'ai enfin trouvé. Mon âme soeur, celle qui m'accompagnera à tout jamais dans les méandres de l'amour. Tu resteras à mes côtés quoi qu'il arrive, quoi qu'il advienne dans ma vie. Mame Ndack Seck, prends ma main et je t'en prie, ne la lâche jamais plus. Serre-la contre toi jusqu'à ce que tu n'en puisses plus. Aime-moi comme si ce jour était le dernier. Aime-moi chaque seconde, chaque minute, chaque heure que Dieu fait. Tu seras à jamais le plus grand amour que je connaîtrais. Quand tu es près de moi, je ne contrôle plus mes sentiments. Ta voix si douce, ta peau si lisse, tes yeux si beaux...Tout en toi me fait frémir de bonheur, mais aussi de douleur de ne pas t'avoir près de moi tout le temps. Alors je ne me cache plus et te l'avoue : je t'ai aimé, je t'aime, et je t'aimerai pour l'éternité Madame Ma Femme.
Comme bloqué depuis des lustres, là ses larmes ont commencé à perler sur sa joue rendant inquiète son amie qui était près d'elle.
Mouha avait trouvé les mots adéquat pour la touchée et ça a marché, elle ne cesse de remercier le tout puissant de l'avoir mis sur sa route.
Elle ne pouvait espéré mieux, c'est avec un bonheur inouï qu'elle essuya ses larmes qui étaient sur le point de gâcher son maquillage et juste en ce moment son téléphone s'est mis à sonner.
En voyant le numéro qui affichait instinctivement un petit sourire se dessina sur son radieux visage.
Ndack: Allô sama borom keur, sama Kilifeu, sama sangue bih.
Mouha: Ma Femme, al-hamdoulillah tu es enfin Madame Sakho.
Ndack: Ce dont j'ai toujours voulu depuis des années, être tienne.
Mouha: La date d'aujourd'hui restera gravée pour toujours dans ma tête, la plus belle journée de toute ma vie, je n'arrive toujours pas à y croire.
Ndack: Je suis plus que comblé Mouhamed Sakho, merci au fond du cœur d'avoir fait de moi ta femme.
Mouha: Djeureudjeuf sih leip linga deiff ndax mann soxna sii yow mann malay santt téiksii geureum leu, gisnani que sonaloma sih dara raxssi doli ladjo Dara tei djamono dji gnou toll lolou dfaa djaféi nga giskoo wayei yow taxnga maa geumnii toubab bi waxneu deug: dans chaque règles il y'a exception.
Daniouy faral dih waxx nann al-djana djigueinn bouy seuy mingi sih soufou tankk borom keureum wayei xamalni sama xol seidd neu thi yow. Soxna sii damalay nianal yalla mou samm leu arr leu boléissi mousseul leu thi sheytanéi, péxeiy nonn ak lou bonn: JE T'AIME NDACK SECK, dit-il avant de raccrocher.
(Merci au rond du cœur pour tout ce dont tu as fait pour moi, c'est moi qui te remercierai sans cesse. J'ai constaté que tu ne m'as fatigué en rien et que tu ne m'as rien demandé chose qui est très rare de voir à l'instant dans le monde où nous vivons, c'est grâce à toi que je crois à cette populaire phrase du blanc: Dans chaque règles il y'a exception.
On a tendance à dire que la paradis d'une femme mariée se trouve sous les pieds de son mari, en ce qui te concerne sache que je suis satisfait de toi. Ma femme, je prie le bon Dieu qu'Il te garde et t'éloigne du mauvais œil mais surtout des idées d'un ennemi).
C'est un sourire qu'elle réagi se demandant qu'est-ce qu'elle a fait de bien pour avoir mérité un homme comme son Mouha.
Avant qu'elle ne puisse faire ou dire quelque chose ses cousines se sont mises sur elle avec des prières et félicitations en à plus finir mettant une bonne ambiance dans la chambre.
Comme réponse elle leur répondait par des amine et merci avec un coeur joyeux, des secondes plus tard Tata Kathy est entrée dans la chambre se dirigeant vers elle pour l'a prendre dans ses bras.
Ndack: Maman je suis enfin Madame Mouhamed Sakho, contann naa trop.
Tata Kathy: Félicitations ma chérie, félicitations ma fille, je ne sais même pas quoi, dit-elle avec des larmes aux yeux.
Tout ce que je sais en est que Mouha a la plus extraordinaire des femmes, il a en sa possession une femme formidable que beaucoup n'auront pas la chance d'avoir. Je ne le dis pas parce-que tu es là non, mais parceque je te connais mieux que tout le monde. Depuis toute petite tu ne m'as jamais appelé Tata, c'est toujours Maman que j'ai toujours entendu de votre part à tous alors que vous pouviez me rejeter comme on a l'habitude de le voir mais non au lieu de tout ça tu m'as toujours vu comme une Maman, chose qui m'a trop touchée. On dirait même des copines tellement qu'on est complice et walahi tu vas beaucoup trop me manquer mais bon c'est la vie d'une femme. Qu'Allah SWT t'assiste tout au long de ta vie, continue sur cette lancée n'accepte jamais qu'on te change.
Ndack: Tout ça c'est grâce à toi vu que tu ne nous a jamais maltraité depuis que tu es dans la maison, tu nous as tous aimé, choyé, bien-traité et mis sur le bon chemin et ça je ne l'oublierai jamais. Je veux juste que tu me promets une chose Maman.
Tata Kathy: Tout ce que tu veux ma charmante fille.
Ndack: Je sais que tu le feras mais s'il-te-plaît veille plus sur Cheikh, tu sais il est encore un enfant même s'il se croît grand, il a toujours besoin d'attention et d'oreille attentif.
Tata Kathy: Je comprends ton inquiétude et je le promets inch'Allah que je veillerai plus sur lui.
Ndack: Merci pour tout vraiment.
Tata Kathy: Je t'en prie, les hommes sont de retour du mosquée, descend pour les saluer.
Sur le champ elle fait comme dit en descendant accompagné de ses hôtesses pour saluer les hommes et une fois en bas, les hommes se sont mises à lui féliciter avec des prières et c'était ainsi pendant une certaine minutes jusqu'à ce qu'elle soit devant le premier homme de sa vie, son référence.
Ndack: Mon papa, prononce t-elle avant de se jeter sur lui.
Père Malick: Je ne veux surtout pas voir des larmes sur ton joli visage, mashallah tu es vraiment belle. Si seulement je pouvais te garder avec moi toute la vie j'allais le faire mais hélas je ne peux car tu es appelée à nous quitter. Depuis que tu es née tu n'as jamais fait des choses qui m'ont fait regretté ton existence non, au contraire tu ne cesses de me rendre fier comme toujours. Je peux juré que ta mère est aussi fière de toi et qu'elle prie pour toi où qu'elle soit. Un jour comme celui-ci c'est ce que j'ai toujours voulu pour toi, tu sais lorsque Samira nous a quitté je m'étais promis que personne de mes quatre enfants ne sera une mauvaise personne et que j'allais me tuer pour votre éducation et avenir; et lorsque je vous vois je me dit que j'ai réussi le but que je m'étais fixé depuis votre enfance.
Que les années passent vite, je me rappelle toujours du jour de ta naissance comme si c'était aujourd'hui, je ne cesserai de te le répéter, tu es ma fierté princesse.
Je suis le plus heureux des pères sache aussi que tu es superbe en mariée, tu seras une superbe épouse et je l'espère, bientôt une superbe maman. Cultive ton bonheur chaque jour, et quoi qu'il arrive je serai là pout toi.
La seule chose qui m'aide à ne plus être triste en est qu'enfin je vais pouvoir bien m'allonger sur le sofa tout seul pour bien regarder la télévision sans avoir à le partager avec toi, blague t-il afin de faire rire à sa fille.
Ndack: Papaaaa, grogne t-elle en riant. Moi parcontre ça va me manquer.
Père Malick: Mame Ndack Seck yalla nala yalla samm tei defal leu djam ak xeiweul si seuy bi, je t'aime plus que tout au monde ma fille.
Ndack: Merci Papa.
Après avoir prononcé ces mots elle a pris son père dans ses bras avant de lui souffler un merci et là ses frères ont commencé à réciter des Khassaïdes devant tout l'assemblée.
Elle était surprise en leur voyant faire ceci pour elle surtout Cheikh qui dirigeait le récital dans leurs beaux grand boubou.
Ndack n'y croyait toujours pas, elle était là à les admirer comme un amoureux de l'art devant un tableau joliment peinturé.
Plus qu'ils récitaient le poème de Cheikhoul Khadim et plus une sorte d'énergie indescriptible se montrait en eux rendant plus heureuse la mariée.
Ceci a duré cinq minutes environ avant que tous ses trois frères ne l'a prends dans leurs bras.
Ndack: Je vous aime énormément les garçons, vous allez aussi me manquer.
Cheikh: Heureux ménage à notre petite Maman de valeur, tu es splendide mais tu vas me manquer, dit-il essayant de ne pas craquer.
Ndack: Ngir yalla ak yonnénte bi boul djoyy sinon je ne pourrai pas me contrôler, je veux tout voir sauf te voir triste, viens là dans mes bras.
Cheikh: Boudéi mbax bignouy waxx sii souniou yaye boy bi amneu xamal nii Doh giss loula titeul sisseu adouna, pleure t-il en sortant du salon.
Sidy: Je ne peut dire tout ce que j'ai sur le cœur, toi-même tu sais que je me suis beaucoup habitué à toi et vraiment je me demande comment serait une journée sans toi. Je sais que tu es la sœur que tout frère espère avoir et comme papa a l'habitude de le dire tu n'es pas juste sa fierté à lui seul mais notre fierté à tous. La plupart de nos temps on les a passés en chamailleries mais n'empêche que l'amour j'ai pour toi est plus immense que l'océan Atlantique, je te souhaite tout le bonheur du monde la meilleure des sœurs, termine t-il en lui faisant la bise.
Clauvice: Mame Ndack Seck, qui eut dit qu'on se retrouverait un jour à ton mariage? Quand je pense à toi, la première image qui me vient n'est pas franchement celle d'une personne très responsable, blague t-il en faisant rire l'assemblée. Est-ce que tu te rappelles du jour où tu imitais spiderman en sautillant partout te croyant professionnelle jusqu'à ce que tu tombe tu table à manger en te cassant la jambe, termine t-il en riant aux éclats sans oublier de contaminer sa soeur. Je plains Mouha vraiment, c'est cette personne qu'il vient juste d'épouser! J'ai préféré attendre que le mariage soit scellé pour évoquer ce souvenir avec vous tous, on ne sait jamais! Je me rappelle aussi ce jour où je fêtais mes 13ans et que tu m'as donné une poupée barbie comme cadeau, rajoute t-il en riant avec sa sœur. On ne peut pas dire que tu m'ais beaucoup manqué quand tu partais en colonie de vacances avec tes camarades de classe et que j'avais la console pour moi tout seul! On ne peut pas dire non plus que tu m'ais manqué quand tu es parti à l'université et que j'ai récupéré ta grande chambre! Mais maintenant que tu nous quittes « pour de vrai », bon, c'est vrai, je dois avouer que la maison va sembler vide sans toi. Et finalement, avoir un partenaire pour jouer à la console, aller courir le samedi, se raconter les soirées, manger la pizza du dimanche, ça n'a pas de prix surtout c'est avec une sœur comment toi. Je te préviens d'ailleurs, je risque de venir plus d'une fois squatter votre canapé chez votre mari. Je vous souhaite plein de bonheur et je vous conseille d'éviter de me donner les clés de chez vous sinon je risque de m'y déménager.
Je peux dire que j'ai toujours été ton meilleur ami vu le degré de notre complicité mais sache que le bonheur te suivra partout où tu iras car tu le mérites plus que tout au monde, moi Clauvice Seck je t'aime fort plus que tout. Je n'aurai plus quelque-un qui pour m'appeler "mon bébé" tout au long de la journée.
Ndack: Allez vient là mon petit sorcièr, moi aussi je t'aime mon frère.
Vers 01h du matin:
N
uit de noce:
Point de vue externe:
Ndack venait de rejoindre sa domicile conjugale accompagnée de sa mère et tros de ses tantes.
Elles furent accueillies par dame belle-mère et ses deux belles-sœurs les jumelles, dans une belle ambiance accompagnée tantôt par des rires tantôt par des larmes mais des larmes assez particulieres car témoignent de ce bonheur inouï que ressentent les deux familles après quelques minutes de discussion et d'échange de paroles émouvants la famille de Ndack décidèrent de prendre congé.
Après quelques conseils destinés à Ndack, elles se retirairent laissant cette dernière en larmes, la mère de Mouha: Maman Astou n'a pas manquée de l'a prendre dans ses bras pour la réconforter chose qu'elle réussie.
Quelques minutes après le départ des parents de Ndack, Mouha fit son apparition, vêtu de façon décontracté il rejoint sa mère, Ndack, Noura et Nadoura qui étaient au pas de la porte.
Sourire aux lèvres il se dirige vers sa femme qui depuis tout à l'heure avait la tête baissée.
Sentant la main de son mari caressée sa joue gauche elle leva les yeux qui se fesait percevoir a travers la voile qu'elle avait sur la tête.
Ils se fixairent un bon moment et furent interrompues par Kader qui ne rate jamais une occasion pour se vanner d'eux.
Kader: Mbeuguélou indouh ngey am fofou.
(Un amour comme dans les séries indous c'est ce qu'on a là).
Ce qui les fits rire et mit fin a leurs échanges de regards interminables. Soudain Maman Astou prit parole et leur dit:
Maman Astou: Bon il fait nuit et y'a un moment important qui vous attend donc je vous conseille d'aller vous préparés sur ce je vous souhaite une excellente nuit et un conseil Ndack s'il te plait je veux pas me réveillée la nuit par des cris nak d'accord? soit forte nak, sourit-elle.
Ce qui la fit rire, Mouha lui s'est contentée de l'a prendre dans ses bras en soufflant un petit.
Mouha: Te voilà maintenant Madame Sakho! dit-il avec son plus beau sourireavant de se détacher d'elle et le tient la main pour rejoindre leur chambre
Point de vue de Ndack:
Je ne savais pas comment me comporter vis à vis de lui , je me sentais très timide .Je n'osais même plus le regarder dans les yeux.
J'étais partagée entre la peur de passer le cap et l'envie de devenir sienne. J'étais stressée à mort.
Kadia m'a toujours parlé de cette fameuse douleur que les filles ressentaient durant leur première fois. Je savais que Mouha allait être doux avec moi, je n'avais aucune raison de m'en faire.
N'empêche une petite voix dans ma tête n'arrête pas de me souffler << tay req laleu yallah done khar >>.
Je secoue la tête pour ne plus penser à tout cela et me promis de profiter de cette soirée jusqu'au dernier moment qu'importe ce qui arrivera car cette nuit est une étape très importante de notre vie à deux.
Assise sur le lit , on parla de tout et de rien pendant un long moment. Je ne sais comment mais l'ambiance est devenue vite électrique.
Non...il est hors de question qu'on le fasse sans ablution ou plutôt sans faire la prière suregatoire une force inhumain , je le repousse et lui dit
Moi: Habibi non s'il te plait avant de passer a l'acte j'aimerais tout d'abord qu'on fasse cette prière suregatoire comme nous l'avait recommandé le prophète Aleyhi salatoi wa'salam
Mouha :D'accord princesse j'ai failli l'oublier, fit-il en se levant.
Il se dirige vers une pièce et revient quelques minutes après. Et je vois qu'il a fait ses ablutions normalement je fit de même et le rejoignit quelques minutes après je me dirige vers une des valises que j'avais amenée. Je l'ouvre et prend mon jelaba et en ressort un autre que j'avais acheter pour Mouha.
Je le lui tend et lui dit
Moi: Habibi met ça s'il te plait et commençons la prière
J'entre dans la salle de bain pour me changer et mettre le jelaba et le rejoignit sur la natte de prière.
Cette prière se fesait avec juste deux raakas et d'après certains études il est rapporté que
Le Prophète a recommandé que le nouveau
marié prenne entre ses doigts les cheveux du
front de son épouse et adresse l'invocation
suivante à Dieu : "O Dieu, je Te demande le bien
qu'il y a en elle et le bien de son être comme Tu
l'as créé. Et je cherche refuge en Toi contre le
mal qu'il peut y avoir et le mal de son être
comme Tu l'as créé." (Cette invocation signifie
que nous demandons à Dieu de nous accorder le
bien qu'il a placé en toute personne, et de nous
préserver par exemple des petits défauts que
toute personne possède.) Mais
Des Compagnons du Prophète tels que Abû
Dharr, Hudhayfa, et Ibn Mas'ûd, ont également
recommandé que les nouveaux mariés, lorsqu'ils
se retrouvent entre eux, fassent une prière (salât)
de deux cycles (rak'as), puis qu'ils invoquent
(du'â) Dieu en Lui demandant de leur accorder
Sa bénédiction.
De plus, Ibn Mas'ûd a recommandé de faire cette
invocation après la prière des deux cycles : "O
Dieu, accorde-moi ta bénédiction à propos de
mon épouse et accorde-lui ta bénédiction à mon
propos. O Dieu, garde-nous unis tant que tu nous
unis dans le bien, et sépare-nous si tu nous
sépares pour le bien."
Après avoir fait cette priere et les duas nous avons un peu discuter et nous nous sommes aussi faites des promesses pour faciliter l'entente entre nous.
Après m'être changée, je suis venue me coucher près de mon amour. J'avais tout de même gardé mon soutien-gorge, ma culotte et une robe de nuit.
Je ne savais pas trop ce qui allait se passer. En revanche, je voulais être toute à lui. Il a vu mon trouble et s'est comporté en vrai gentleman.
Il m'a embrassée longuement et chastement avant de m'aider à retirer ma robe de nuit, puis mon soutif. Il s'est émerveillé en voyant pour la première fois mes seins totalement libres. Il les léchait, il mordillait mes aréoles qui sont devenues minuscules et dures.
J'étais déjà dans un autre monde alors que rien ne s'était encore passé.
J'étais bien, je me sentais flotter et je commençais à oublier la crainte de cette première pénétration. Il s'est mis à me caresser les cuisses et le ventre en s'approchant de plus en plus de mon intimité.
J'ai laissé sa main passer sous l'élastique de mon slip et me fouiller la toison. Il s'est ensuite occupé de mes grandes lèvres et, quand elles se sont humidifiées et ouvertes, il est passé à mon clitoris, à mes petites lèvres. J'étais maintenant totalement détendue et trempée.
Par contre, quand il a retiré ma culotte, je suis redescendue sur terre. Il m'a embrassée en susurrant: « N'aie pas peur, .. » je craignais qu'il me fasse mal en me déflorant. De plus, je sentais contre mon corps sa verge tendue.
Elle me paraissait énorme, et ce n'était pas fait pour me rassurer. Nous avons discuté un moment et conclu qu'il valait mieux reporter au jour suivant la pénétration tant redoutée.
Il a quand même repris ses attouchements et m'a menée progressivement vers l'orgasme.
J'ai compris par la suite qu'il s'agissait seulement d'un « grand plaisir », semblable à ceux que je m'accordais le soir en me chatouillant le clito (PS: j'ai rien dit) plutôt que d'un orgasme réel et dévastateur.
Nous avons fini par nous endormir, enlacés.
Mais, le lendemain, Après la prière de fajr j'étais fermement décidée à devenir femme et à perdre ce maudit hymen.
Après la prière je me suis préparée, j'ai pris un bain chaud avec beaucoup de mousse. J'ai juste enfilé un slip en dentelle (le plus sexy que je possédais) ainsi qu'une jolie robe que j'ai gardée ouverte sur le devant.
Je me suis blottie contre lui, et nous avons commencé à nous embrasser, à nous toucher. Son érection m'a semblé encore plus immense que la veille, mais je voulais le faire, je voulais qu'il me prenne, je voulais le sentir en moi. Je me suis collée à lui et j'ai retiré le peu que je portais. Quand sa main est arrivée sur mon sexe, il s'est arrêté.
Mouha: Détend toi mon coeur...détend toi .Tu es toute crispé.
J'hoche la tête rapidement, impatiente qu'il me fasse plaisir.Je ne fus pas déçu car il continua son inspection, arrivé à l'entrée de mon jardin secret, il me jette un regard remplit de désir puis trace un sillon allant de mon nombril jusqu'à mon clitoris gonflé de désir.
Quand il commença à travailler avec sa langue je crus mourir de plaisir. Ma respiration était à présent saccadée et je ne pouvais plus retenir.
J'ai laissé échappé un "Annnnnhhhh" signe d'un long gémissements et cela l'a encore plus encouragé. Quelques secondes plus tard, je sentis un truc arriver et cela me secoua tellement fort que je me suis sentie partir....un orgasme puissant je vais dire.
Essoufflée et fatiguée par cet orgasme plus que merveilleux , je ferme instantanément mes jambes.
Mouha: Hun hun, me dit-il avec un sourire malicieux.
Ce n'est pas finit.
Oh non me dis je intérieurement est-ce possible de ressentir un truc aussi fort que celui que je viens tout juste de ressentir je risque de m'évanouir...Sans me laisser le temps de m'enfoncer dans mes réflexions, il se couche sur moi après avoir ouvert délicatement mes jambes.
Il me susurre des mots doux dans l'oreille sans doute pour me rassurer....je pense qu'il sent toujours mon stresse. J'étais pourtant plus détendue qu'hier.Il se lève un petit moment enlevé le dernier tissus qui était sur lui, c'est à dire son caleçon.
Quand mon regard se pose sur son engin je ne pus m'empêcher d'écarquiller les yeux.
Moi: Wouy sama ndeye tay lay deh, lih mom fann layy dougg lah beugg xam.
Comment un si grand truc peut-il entrer sur mon petit truc? J'essais de me lever mais il se couche rapidement sur moi.
Mouha: Hey je ne te ferais pas de mal, je te le promet me dit-il délicatement
Moi: Lolou waxou goor bou beugg niam leu, waxma léinénn.
Mais c'est trop grand, tu vas me blesser c'est sûr.
Mouha: Écoute...fais moi confiance et tout ira bien bébé.
Après un long moment j'acquiesce et le laisse faire.
Ni une, ni deux il me pénètre d'un coup sec. Je sentis une petite déchirure à l'intérieur de moi, c'était vraiment très désagréable.
Mes larmes n'ont pas été aussi rapide, je lui griffais le dos pour qu'il sorte de moi mais mon mari semblait ne pas vouloir le faire, j'eus envie de l'étranger.
Le plaisir que je ressentais quelques minutes avant n'a rien à voir avec ce que je ressens en ce moment.
Mouha: Ne pleures pas bébé, c'est bientôt fini...arrête de te débattre. Je sais que tu souffres mais essais de te calmer.
Moi: Mouhamed Sakho yangimay gagné, j'ai maaaal.
Il sort tout doucement de moi et me pénètre derechef. Ses vas et viens étaient lent, je sentais qu'il se retenait de toute ses forces et qu'il avait envie d'en faire plus.
J'admirais ses efforts même si je lui en voulait un peu et la douleur que je ressentais tantôt se dissipait petit à petit et le plaisir pris le dessus
Il ne tarda pas à jouir dans moi car je l'ai senti tremblé fortement avant qu'il ne sorte définitivement de moi, il me prit dans ses bras avant de m'embrasser longuement.
Il était heureux je le sentais, moi aussi j'étais contente de m'être préserver et de lui avoir offert ce que j'avais de plus cher en moi. Je suis à présent sa femme au vrai sens du mot.
Il se coucha près de moi et me susurra a l'oreille un petit "je t'aime princesse" suivis d'un long et doux baiser sur le front.
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Qu'en pensez-vous de cette très longue partie? Plus de 7600 mots que je vous ai concocté.
Sur ce je vous dis au revoir et à bientôt.
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