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Précédemment dans Dilemme ! Que Faire ?

Puisque c'était le début de la soirée et que toute la famille était réunie, ils en ont profité pour jouer au scrabble mais comme d'habitude Père Malick était imbattable. Sidy et Clauvice avaient fini par arrêter vu qu'ils ne faisaient pas grand chose sauf Ndack qui se débrouillait bien. En un moment donné Tata Kathy les a rejoints avec le repas sans oublier le thé de Tonton Birame, c'est dans cette situation que les a retrouvé Cheikh. Ils jouaient et riaient quand plus tard ils ont commencé à parler de leur mère et les enfants voulaient savoir comment Père Malick avait fait pour lui faire sa demande en mariage et il les a dit beaucoup de choses sur sa défunte épouse. C'était un vrai moment d'émotion, les enfants disaient à quel point elle leur manquait mais après ceci Ndack et Sidy avaient dit à leur père qu'ils allaient invité leurs amoureux(e) pour déjeuner pendant le week-end.

*Neik goor bou baxx ngir seu ndjabott akaa amm solo wayéi tanal leinn yayy djou baxx bouleinn dih téik sii yonn tei mattko seuk djarneu bayih xeil*

PDV de Ndella:

Je me demande bien ce qui est mieux entre prendre les transports en commun et marcher.

Ça fait deux heures de temps que j'ai quitté l'université et c'est maintenant que j'arrive dans mon quartier. En plus avant d'avoir le bus j'ai patienté une trentaine de minutes à l'arrêt.

Vraiment je sens que je vais finir par craquer, personne ne peut vivre dans ces conditions s'en est trop, même rentré chez soi tranquille on ne le peut.

Je regarde encore ma montre et je vois qu'il était 17:39, hormis celà j'ai une faim de loup, je n'ai pratiquement rien avalé depuis ce matin, c'est quelle vie ça?

Je n'ai jamais été devant quelqu'un pour lui exposer mes problèmes afin qu'il m'aide et même si je le voulais je n'ai personne à qui me confier.

À part ma mère je ne connais pas grand monde sauf la famille de mon père et ils vivent dans une autre région loin de Dakar.

C'est très dur de notre côté pour qu'on s'en sorte surtout quand on y rajoute le fait que je sois toujours étudiante, mes deux sœurs n'ont pas eu la chance de fréquenter l'école des blancs jusqu'à un certain moment.

L'une est coiffeuse dans un salon du coin, l'autre est couturière, je suis la petite dernière. Ce qui me fait le plus mal est que ma mère vieillit de plus en plus et j'aurai au moins aimé réussir pour lui régler tous ses soucis.

J'ai mal lorsque je la vois se décarcasser à son âge pour subvenir aux besoins de la maison alors que je sais qu'elle en est incapable.

J'espère que ça finira bientôt, personne ne peut continuer ainsi, surtout lorsque qu'on n'a personne sur qui compter.

Je marchais doucement en allant chez moi sans oubliee de saluer les gens que je croisais comme à mon habitude. C'est vrai que j'habite dans la banlieue et qu'on est pauvre mais on vit heureux dans l'harmonie et le plus important est qu'on s'entraide qu'importe la situation.

À un moment j'avais comme l'impression d'entendre mon nom et plus que je marchais plus celà devenait fort et une fois que je me suis retournée j'ai vu Kader et Badou venant vers moi.

J'ai trop de problèmes personnels que je peine même à sortir de chez moi, ça fait presque une semaine que je n'ai pas vu Kader alors qu'il habite à deux pas de là où j'habite.

Moi: Hey les mecs comment allez-vous ? Ça fait un bail.

Kader: Oui vu que tu m'as laissé alors qu'on habite chacun près de l'autre. La dernière fois qu'on s'est vu c'est moi qui suis venu chez toi, tu m'as complètement laissé.

Moi: S'il-te-plaît ne dis pas ça, je sais que tu as raison sur toute la ligne mais ces derniers temps je suis débordée surtout avec mes examens qui s'annoncent je n'ai même pas le temps pour ma propre personne. Je ne te laisserai jamais toi aussi en plus ton père me manque beaucoup j'espère qu'il va bien?

Kader: Si tu le dis, oui ça va al-hamdoulillah il va bien.

Moi: Salut Badou ça va?

Badou: Coucou Ndella, oui ça va. D'où viens-tu à cette heure? Ne me dit pas de la "Chine Populaire", émit-il en riant.

Kader: Tu n'es jamais sérieux toi c'est quoi ces bêtises encore? Notre université s'appelle Cheikh Anta Diop de Dakar au cas où tu l'aurais oublié mais pas "Chine Populaire" comme tu le surnommes.

Badou: Waa pardon je me tais, fit-il en continuant de sourire.

Ndella: C'est pour tes conneries que tu ne me plais pas, le fait d'étudier dans les universités privées ne te donne pas le droit de te moquer de nous. Et mon cher sache que c'est grâce à la "Chine Populaire" que tu arrives à bien apprendre tes cours car tes professeurs qui sont dans le privé sont des ressortissants de notre université et c'est grâce à l'université Cheikh Anta Diop de Dakar qu'ils ont pu acquérir du savoir afin de le transmettre à d'autres donc au lieu de te moquer tu dois nous rendre hommage et si tu ne me crois pas va demander à tes professeurs si j'ai tord où pas.

Kader: Xaléi boussi yarawoul réik dinga deig lou neik, fils tu es silencieux dèi, se moque t-il de son pote.

Ndélla: Allez Kader bye et n'oublie pas de dire à ton père que je passerai inch'Allah.

Walahi Badou m'énerve comme pas possible, un vrai taré ce mec, juste parce qu'il a des parents riches il se croit tout permis.

Pourtant ses parents sont trop adorables surtout son père Tonton Ndiaye sans oublier ses frères. Dans sa famille il est le seul à être comme ça, genre hautain, audacieux et surtout impoli.

Au fond il est quelqu'un de bien mais juste qu'il adore se montrer supérieur aux autres, je me demande comment Kader peut-il le supporter pendant des heures car moi je ne peux vraiment pas.

J'avoue aussi qu'il est beau comme un Dieu grec et c'est normal vu qu'il a une mère marocaine mais ce n'est pas une raison pour tout se permettre.

Mais moi Ndella on ne va jamais se moquer de moi et que je croise les bras sans réagir, non tout sauf ça.

Il n'a fait qu'augmenter ma fatigue et ma faim. Bon je ferai mieux de tracer ma route ce Badou n'en vaut vraiment pas la peine.

Une fois devant la maison je vois la table de légumes de ma mère sans surveillance alors que d'habitude à cette heure elle aurait déjà rangé la table.

Comme la curieuse que je suis, automatiquement je suis entré dans la maison mais je la trouve désordonnée, sans dessus dessous.

Et une fois dans le salon j'y trouve tout le monde mais l'air trop calme à mon goût alors que d'habitude il y'avait de l'ambiance dans la maison.

Moi: Salut tout le monde, qu'est-ce qu'il y'a? Pourquoi êtes-vous tous silencieux?

(Silence absolu)

Moi: Yaye Boye répondez s'il-vous-plaît vous me faites peur là, qu'est-ce qui ne va pas?

Khadija: C'est Aïcha quelqu'un a voulu la violer aujourd'hui? dit ma grande sœur.

Moi: Quoi? Aïcha comment tu vas maintenant et qui voulait abuser de toi? Enh dis-moi.

Khadija: J'étais au salon quand Maman ma appelé pour me dire ce qui c'était passé.

Moi: Mais maman pourquoi tu ne m'as pas appelé, j'aurai voulu être là pour elle.

Maman Soukeyna: Regarde d'abord ton téléphone, je t'ai appelé maintes fois et ça ne sonnait même pas.

Moi: Oh mince mon téléphone est éteint depuis ce matin, j'avais un problème de chargeur c'est pourquoi j'en ai acheté un en route. Il faut qu'on porte plainte ça ne va se passer comme ça.

Maman Soukeyna: Heureusement qu'on n'a pas violé ma fille et qu'elle est sortie de prison, c'est tout ce qui compte pour moi. Je ne veux plus entendre parler de ça.

Moi: Je n'ai pas bien entendu où tu as vraiment dit ça maman? Tu ne veux plus entendre parler de ça alors qu'on a failli violé ta fille aînée, non mais je rêve. De plus c'est elle la victime comment on a pu l'enfermer, Aïcha explique moi ce qui s'est réellement passé?

Aïcha: Petite sœur je ne sais plus dans quel pays on est, je ne veux plus rien de ma vie, rien je dis. Si seulement je pouvais disparaître et ne plus revenir ce serait génial, confesse t-elle avec des larmes aux yeux.

Moi: Ne dis pas ça s'il-te-plaît, n'oublie pas qu'on est là et tu ne seras jamais seule.

Aïcha: Les choses se sont passés tellement vite que moi-même je pense avoir oublié les faits je t'assure.

Moi: Juste calme toi et explique moi tout depuis le début, doucement et calmement. Allez essuie moi ces larmes, ne pleure pas je t'en prie tu es plus forte que ça.

Aïcha: Ce matin j'avais pris la décision de ne pas aller travailler vu que j'ai mes règles et pendant ces jours mon ventre ne me laisse jamais travaillé en paix. N'empêche j'ai fait les petites tâches de la ménagères pour que maman ne se fatigue pas mais à un moment donné je me tordais de douleur par la suite je suis retournée au lit pour me reposer. Une fois dans la chambre j'ai voulu brancher mon téléphone avant de m'allonger mais j'avais constaté qu'il n'y avait pas d'électricité. Quelques minutes plus tard Maman était venue dans la chambre pour me demander si je n'avais pas 2000frs à lui donner pour qu'elle achète le nécessaire pour le repas. J'ai donc vérifié ma pochette mais je n'avais que 300frs et c'est comme ça que je lui ai proposé de me laisser aller chez Bass mon patron pour voir s'il pouvez m'aider en me donnant une avance sur mon salaire du mois. Je voulais payer à la fois les frais pour le déjeuner, l'électricité et des médicaments pour soulager mes maux de ventre. Au début Maman avait refusé vu l'état dans lequel j'étais mais j'avais réussi à la convaincre de me laisser y aller. Par la suite je l'ai appelé pour l'expliquer mon besoin et il m'a demandé de venir chez lui, j'étais d'accord et je n'y voyais pas de mal vu que je connais son appartement en plus j'y allais souvent pour lui présenter des modèles où pour récupérer des commandes. Arrivée chez lui, je l'ai trouvé entrain de prendre sa douche et j'étais dans le salon attendant qu'il finisse. Mais chose faite il a commencé à se comporter bizarrement.

Moi: Bizarrement? Ça veut dire?

Aïcha: Il est venu s'asseoir près de moi et on discutait mais juste quelques instants après il a commencé à mettre ses mains sur mon épaule, chose qu'il n'a jamais fait de sa vie et moi qui le prenait pour un frère... elle s'arrête pour pleurer.

Moi: Pleure tant celà peut t'aider, sort ton amertume, c'est mieux de se libérer plutôt que de garder tout pour toi.

Khadija: Quand je repense au fait quue Bass ait essayé de lui faire ça je me dis que non. Il a toujours été gentil avec tout le monde ici en plus il était comme le frère qu'on a jamais eu car il ne cessait de nous donner des conseils.

Moi: Je n'arrête jamais de vous dire que "nitt dafa leundeum" on ne sait plus à qui faire confiance c'est pourquoi on doit toujours se méfier.

Khadija: Pour ça tu as totalement raison.

Moi: Après qu'il mette ses mains sur ton épaule qu'est-ce qui s'est passé?

Aïcha: Évidemment je ne l'ai pas laissé faire malgré son insistance, il était comme obsédé. Je ne le reconnaissais plus et puisque j'étais faible physiquement il en a profité pour jeter sa serviette par terre et s'est rapidement mit sur moi en essayant d'ouvrir la barguette du jeans que je portais. J'étais incapable de crier car il avait une de ses mains sur ma bouche mais par la grâce de Dieu j'avais réussi à prendre la tasse de café posée sur la table et de l'ai frappé sur la tête avec. Vers là qu'il s'est vanoui sous mes yeux.
J'avais cru qu'il était mort et j'ai sur le champ paniquée pensant que je l'avais tué. Je l'ai donc secoué pour voir s'il était mort ou pas et c'est là qu'il avait bougé les doigts, lorsque je me suis rassurée qu'il était bien vivant je suis partie de justesse.

Khadija: C'est ce que tu n'aurais pas dû faire, au moins tu pouvais appeler une ambulance où la police.

Aïcha: Combien de fois dois-je te dire que j'étais sous le choc, par quoi est-ce-que tu entends à la fin? Dit-elle en criant.

Moi: Chuuuuuuut calme-toi, à la fin qu'est-ce qui s'est passé?

Aïcha: Je suis directement revenue à la maison, terrifiée à mort. C'est comme si ma vie venait d'atteindre sa fin, je me demandais s'il lui arrivait quelque chose ou qu'il meurt dans son appartement qu'est-ce qui allait m'arriver avec mon ventre qui ne facilitait rien en augmentant mon stress. C'est comme ça qu'une trentaine de minutes après des policiers sont venus me prendre et juste au moment où je leur ai demandé ce qui n'allait pas l'un d'entre eux m'a giflé avant de m'embarquer par la force devant tous les habitants du quartier comme si j'avais tué quelqu'un. Au moment d'entrer dans la voiture j'ai vu maman revenir de la boutique avec un sachet de riz.

Moi: Oh mon Dieu, le policier son rôle c'était de venir t'embarquer mais non te gifler, c'est un délit ça.

Khadija: Réveille-toi petite sœur il n'y a que l'argent et le pouvoir qui compte, si tu l'as on te traite bien mais si tu ne l'as pas tu es pire qu'un chien.

Maman Soukeyna: Après ça j'étais comme aveuglée, je refusais de croire que c'est ma fille qu'on malmenait devant tout le monde sans que je ne puisse faire quelque chose. Après ça je suis allée chez Alioune Ndiaye pour qu'il m'aide en m'accompagnant à la police.

Aïcha: Une fois à la police j'y ai trouvé Bass assis près du commissaire, la tête couverte d'un bandage. Ils étaient entrain de discuter en riant aux éclats comme si de rien n'était. Puis on m'a emmenée dans la salle interrogatoire mais là, au lieu de m'interroger ils m'accusaient comme si nous étions au tribunal. Ce qui m'a le plus fait mal dans tout ça c'est qu'à un moment j'avais besoin de serviette hygiénique pour mon et imagine, ils avaient refusé. Mes règles coulaient à flot devant des hommes, je n'ai jamais eu aussi honte. Lorsque j'ai dit qu'il avait essayé de me violer personne ne m'a cru disant que les choses se sont passés chez lui donc ça ne pouvait être un viol mais plutôt une violation de domicile. De ma part de surcroît.

Maman Soukeyna: C'est juste à cet instant que je suis arrivée à la police en compagnie d'Alioune Ndiaye. Le commissaire nous avait dit qu'Aïcha avait commis trois délits :Violation de domicile, Tentative de meurtres et Non assistance à une personne en danger.

Moi: Ce n'est que du bluffe car si ce n'était pas le cas il n'allait pas l'a laissé partir.

Aïcha: En fait le vérité en est que Bass est le cousin germain du commissaire. Et lorsque Tonton Ndiaye avait compris ça il lui a parlé en privé en lui demandant ce qu'il voulait afin qu'il retire sa plainte et qu'on enterre tout ce qui s'est passé. Et comme le porc qu'il est il avait demandé 300.000frs.

Moi: Non mais je rêve, 300.000frd où va-t-on trouvé tout cet argent?

Aïcha: Ne t'inquiètes pas Tonton Ndiaye lui a déjà donné l'intégralité de la somme.

Qu'est-ce que je vous avais dit de la gentillesse de Tonton Ndiaye? Il est comme un ange cet homme, dommage que son fils Badou ne soit pas comme lui.

Moi: Mais ce n'est pas normal qu'il lui donne tout cet argent contre ta liberté car tu n'es qu'une victime dans l'histoire. C'était à ce psychopathe de Bass de souffrir pour ce qu'il a fait pas le contraire.

Khadija: Tu sais Bass n'a commis qu'un seul crime qui est une tentative de viol alors qu'Aïcha en a trois sur le dos.

Moi: Mais on sait tous que c'est faux, ce n'est pas vrai ça, m'énervais-je.

Khadija: Mieux vaut garder ton énergie, on sait que ce n'est pas vrai mais qu'est-ce que tu peux des mensonges de la police étant donné qu'ils sont plus fort nous. Heureusement que Tonton Ndiaye était là pour tout régler à l'amiable sinon ce serait le désastre total. Avant de partir il a aussi donné 50.000f à Maman.

Moi: Un homme comme lui n'existe plus dans ce monde, on lui doit beaucoup vraiment.
Mais Aïcha ne me dis pas que tu comptes laissé tomber?

Aïcha: Je ne compte pas me souvenir de ça, je ne veux qu'une chose, oublier et ne plus en reparler. Là il me faut dormir, dit-elle en allant dans la chambre.

Khadija: Attends je vais t'accompagner réplique t-elle en la suivant.

Moi: Maman comment te sens-tu maintenant ça va?

Maman Soukeyna: Je ne veux que mourrir j'en ai marre de vivre, j'en ai marre de tout. Je me demande pourquoi votre père m'a laissée seule, j'aurai tellement aimé être à sa place.

Moi: Astahfourllah Maman toubal lingua wax, j'accepte que c'est dure mais ce n'est pas une raison de vouloir mourrir. Ceux qui n'ont pas de toit, ceux qui ont perdu leurs parents, ceux qui sont dans les prisons injustement est-ce qu'on est mieux qu'eux? Estime toi heureuse que tu aies trois grandes filles qui t'aiment énormément et qui ne te laisseront jamais tomber. Où est la femme qui n'arrêtait jamais de me dire que la vie est ainsi faite et qu'il fallait vivre en gardant la tête haute, ce qu'importe la situation et ne jamais désespéré parce que le Tout Puissant est toujours avec nous. J'aimerais tellement retrouver cette femme, on est plus fort que ça et on va tout surmonté inch'Allah. Aïcha a besoin de nous aujourd'hui plus que jamais, ça ira inch'Allah.

Maman Soukeyna: Tu ne comprends pas Ndella, je suis fatiguée. Tu ignores toujours ce que c'est d'être une mère incapable de protéger ses enfants, faible devant tout danger qui peut guetter ta famille. J'espère juste que vous n'aurez pas à vivre tout ça, j'espère que vous aurez la chance d'avoir une vie plus épanouie que la mienne.

Ndélla: On comprends parfaitement Maman mais ne t'inflige pas cette peine s'il-te-plaît, contre vents et marées on sera toujours là et plus que soudé, comme d'habitude. Ne redis plus jamais ça, on t'aime Maman.

Maman Soukeyna: Je vous aime aussi, allez va te reposer le temps que je vous prépare quelque chose à manger.

Ndélla: Ok je vais aller voir comment ça va avec Aïcha.

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Vos avis s'il-vous-plaît.

Ce qui est arrivé à Aïcha, vous en pensez quoi ?

Toujours la pauvreté au rendez-vous, la vraie faiblesse que peut ressentir une personne.

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