Rappel pour la partie précédente:

En allant à l'université, une femme avait tachée le pantalon de Sidy avec ses poissons et ce dernier une fois au lieu prévu il s'est dirigé au toilette pour voir comment arranger celà. À l'amphi il avait du mal à trouver de la place pour lui mais heureusement que Ndélla, la fille dont il nourrit des sentiments pour elle avait pensée à lui en lui gardant une place ensuite il a proposée à cette dernière de déjeuner ensemble après les cours et profiter de la situation pour lui avouer son amour pour elle...À la maison après avoir pris le petit déjeuner ensemble Clauvice et son père se sont allés ensemble pour faire du sport, Ndack, la fille unique avait dit à son père qu'elle allait rendre visite à sa meilleure amie alors que c'est un prétexte pour aller voir son amant Mouha laissant Tata Kathy et le petit Cheikh seuls à la maison...Pendant la fin du partie y'avait un homme qui profitait du fils cadet de la famille en le violant, l'homme dont son identité est toujours inconnu.
(Pour le résumé j'espère que je m'en suis sorti).

Bonne Lecture !

*Adouna meunn nalaa téik sii ayy djaféi djaféi yoh meussoul wonn yakarni dingako dound...motaxx wolof neinà adouna dafa teureudi tei dound gou djéuxagoul lou neik xathie neussi*

PDV de Ndack:

Après le petit-déjeuner je n'ai pas attendue grand chose avant de prendre mon sac et filée chez Mouha comme je l'avais prévu.

Aujourd'hui je refuse de m'allonger sur un lit sans savoir qu'est-ce qui ne va pas avec lui car je commence bien à m'inquiéter là.

Notre relation n'est pas toute rose mais bon c'est la nôtre, peut-être c'est dû par le fait que je fais partie d'une famille riche qui le pose problème mais bon, moi celà ne me pose guère de problème.

Avec le temps on a rencontré pas mal des soucis de couple comme la plupart mais on l'est a tous surmonté.

Au début j'étais pas trop engagée et lui de même, mais je pense qu'il a réussi à me convaincre à lui faire confiance.

Il est un bon garçon, du genre toujours prêt à aider son prochain même s'il ne gagne pas beaucoup de plus il gère dignement sa vie sans l'aide de personne.

Il s'est toujours débrouiller tout seul en étant le fils aîné d'une modeste famille avec un Père handicap pendant des dizaines d'années, ce dernier était militaire et pendant une guerre il avait perdu l'équilibre de ses jambes et depuis lors Mouha se tue sans cesse pour faire vivre sa famille.

Surtout lorsque tu as une mère analphabète sans profession plus deux sœurs et un frère à prendre soin au dos.

C'est ce qui explique pourquoi il a quitté l'école très tôt mais malgré tout ça il fait tout pour que ses petits frères finissent leurs études comme qu'il n'a pas eu cette chance, de pouvoir devenir quelqu'un.

Je l'aime tout simplement mon Mouha, il respecte la femme et fait partie des hommes qui sont contre la violence.

Il ne lève même pas la main sur un enfant, juste un bon musulman éduqué comme il se doit, et ce qui me plaît le plus chez lui en est qu'il est un Mouride Sadikh.

Lorsque je ne me sens pas bien ou que je suis fâchée au lieu d'essayer de m'acheter des cadeaux comme le font beaucoup, lui au contraire il me récite les Khassida de Cheikh Ahmadou Bamba et moi je préfère ces Khassida qu'aux cadeaux.

Il me comble tout simplement, je ne rêve qu'il me fasse le demande en mariage juste.

Dès fois je me dis que je dois faire le premier pas mais comme vous le savez au Sénégal c'est mal vu pour une femme de dire ce qu'il ressente et celà ne facilite rien en ma faveur.

De plus je ne veux pas que les gens pensent que je lui montre que je suis plus friquée que lui alors que ce n'est pas celà.

C'est en étant dans les nuages que j'ai conduis ma voiture en pensant toute sorte de scénario dans ma tête.

Et s'il s'était marié entre-temps et qu'il ne voulait pas me blesser c'est pourquoi qu'il n'a pas fait signe de vie pendant toutes ces jours?

Non, comment je peux penser celà. Le Mouha que je connaisse ne me ferait jamais ce genre de choses, j'en mettrai ma main coupé.

Des minutes plus tard j'étais garée devant chez lui, subitement j'ai vu Kader son petit frère en venant avec un petit sachet de pharmacie à la main.

Sans rien plus attendre je suis descendue du voiture pour l'intercepter avant d'entrer dans la maison.

Moi: Hey mon petit mari, on dirait que tu as trouvé une petite minette parceque tu m'as grave laissé ces temps-là.

Kader: Wow quel surprise je ne m'attendais pas à te voir, oui tu as raison ça fait un bail, me réponds t'il en me faisant la bise.

Moi: Je constate que mon petit mari ne m'aime plus. Sinon comment ça va j'espère tu vas bien?

Kader: Oui je vais bien al-hamdoulillah santt yallah bou baxx et toi ça va j'espère?

Moi: Ça irait lorsque je saurais pourquoi je suis restée des jours sans les nouvelles de ton frère? dis-je en attendant une réponse de sa part.

Kader: Heu tu sais, entre d'abord après on en parle içi il fait chaud... allez vient je t'en prie, me répond t-il en essayant d'éviter ma question.

Sans rien plus ajouter je l'ai suivi en entrant dans la maison mais comme toujours je trouve le chef de la famille dans son fauteuil roulant en nourrissant ses moutons en les parlant comme s'ils étaient des humains.

En plus je le trouve la plupart du temps entrain de prendre soin d'eux avec amour, un vrai grand homme.

Il m'était de dos mais lorsque j'ai dit Assalamou-Aleykoum, il s'est subitement tourné vers moi en me servant son plus grand sourire comme d'habitude.

Père Saliou: Ah ça c'est ma fille à moi, Maleykoum-Salam comment ça va, j'espère que tu vas à merveille?

Moi: Oui Tonton je vais à merveille al-hamdoulillah et toi j'imagine que oui vu que tu es entrain de prendre soin tes meilleurs compagnons, lui répondis-je en souriant.

Père Saliou: Oui tu as raison, je suis toujours avec eux, mes meilleurs potes.

Kader: Papa, à t'entendre parler on dirait un jeune homme de mon âge.

Père Saliou: Qu'est-ce que tu crois fiston, je suis toujours jeune et n'oublie pas beau et frais.

Kader: Quoi? Pour un vieux comme toi, ne me fait pas rire.

Tata Astou: Et moi je suis Miss Angleterre, dit la mère de Mouha en sortant de sa chambre.

Kader: Il ne manquait plus que ça, xawma kagn ngeinn dih nangou seinn magétt.
(Je me demande quand est-ce allez vous accepter votre vieillesse?)

Moi je me contentais de sourire face à leur pièce de théâtre vraiment ils sont trop adorables ces gens.

Malgré la pauvreté dont ils font face ils sont heureux comme jamais, ont dirait ça ne les empêche pas de vivre pleinement et profiter de la vie.

De vrais brave ces gens là, des cas pareils y'en a pleins mais on ne les entend jamais se plaindre de quoi ce que soit.

Niit kou nioul rawatineu domou sunu gaal keinn eupeuko djom.
(Une personne de couleur noire surtout un sénégalais, quelqu'un de plus digne et respectable n'existe pas)

Après ça s'en est suivi des salamalecs avec Tata Astou, je suis restée presque cinq minutes en discutant avec eux avant de demander Mouha et ils m'ont dit avec tristesse qu'il était dans sa chambre, ce qui a le plus augmenté la peur.

Automatiquement je me suis dirigée dans sa chambre mais je l'ai trouvé allongé torse nu, les yeux fermés et mouillé de sueur.

Là j'ai paniquée car il était dans un état pitoyable, rien qu'en le voyant on sait qu'il souffre mais il essaie de ne rien laisser apparaître.

Sans rien attendre attendre je me suis mis à lui essuyer le front.

Moi: Mon amour réveille-toi c'est moi, tu m'entends...oh mon Dieu tu brûles de fièvre.

Mouha: Bébé c'est bien toi? Tu m'as tellement manqué, me dit-il avec le peu de force qui lui reste en souriant.

Moi: Qu'est-ce qui t'es arrivé et pourquoi tu ne m'as rien dit pendant tout ce temps.

Mouha: Non ce n'est pas la peine de t'inquiéter mercredi passé au chantier où on m'avait engagé et par imprudence je suis tombé du deuxième étage mais ça va maintenant détresse rien de grave, tu ne vois pas que je vais mieux là.

Moi: Oh mon Dieu je ne peux pas croire ça, quatre jours que tu es cloué au lit et ce n'est que maintenant que je suis au courant. Tu es trop loin d'aller mieux, es-tu aller à l'hôpital au moins?

Mouha: Oui ne t'inquiètes pas, je suis déjà aller à l'hôpital.

Moi: Maintenant tu me mens? Dans ce cas où est l'ordonnance?

Mouha: Tu t'inquiètes pour rien là, tu vas bien?

Moi: Je sais que tu n'es pas allé à l'hôpital, tu fermes toujours les yeux avant de mentir. Et là dans cette chambre celui qui ne va pas bien visiblement c'est toi, dis-je en me levant du lit.

Mouha: Mais où tu vas comme ça?

Moi: Aller cherché de l'aide pour que je t'amène à l'hôpital comme que tu n'aimes pas ta propre personne car moi au moins je t'aime.

Mouha: Non attends........

Moi: Non tu toi écoutes, lui répondis-je en le voyant essayer de m'en dissuader.

Qu'est-ce que je vous disais que tout à l'heure? Il ne parle jamais de ses soucis même s'il est en phase finale.

Maintenant c'est à moi de lever le petit doigt comme que j'ai tout su, après notre discussion je suis sortie de la chambre pour aller parlé à son père.

Moi: Mais Tonton, Mouha est très malade et on ne peut pas se permettre de le laisser comme ça sans aller à l'hôpital.

Père Saliou: Oui ma fille je sais et je peux te juré que ça ne me plaît pas de voir mon fils allongé entrain de souffrir sans faire aucun effort.

Moi: Oui je sais mais au centre de santé là-bas au moins ils prennent bien soin de loin avec les médicaments qu'il faut.

Père Saliou: Mais avec quel argent ma fille? Toi même tu sais que c'est lui qui subvient à nos besoins içi et lorsqu'il tombe malade où va-t-on trouvé l'argent? J'aurai aimé que ça se passe d'une autre manière mais pas comme ça, depuis avant hier j'essaie de vendre mes mouton pour soigner mon fils et nourrir ma famille mais en vain comme si j'étais la poisse en personne. Tu sais avec ma maigre pension d'ancien militaire je n'arrive même pas à payer tout nos dettes, je n'arrive pas à trouver une autre solution et tu sais bien que je ne peux pas vendre ma maison, c'est tout ce qui me reste pour mes enfants. Regarde la cuisine juste derrière toi, ça fait deux jours qu'on n'a pas pris le repas mais regarde nos visages et dis-moi est-ce qu'on a l'air des gens qui n'ont pas mangé? me demande plus avec le plus grand des sourires.

Moi: Non, dis-je en essuyant mes larmes qui menacent de tomber.

Père Saliou: Un jour Kader aussi avait décidé de laisser tomber les études pour aller travaillé et pouvoir amener quelque chose à la maison comme son grand frère pour que ça soit plus facile du côté de Mouha mais ce jour là je n'avais jamais vu mon fils aussi furieux. Il ne veut pas que son frère subisse ce qu'il a subi et comme que Kader est très têtu il avait déjà pris sa décision d'après ses dires mais Mouha s'était défoulé sur lui comme pas possible afin de lui donner une leçon malgré le fait qu'il n'est pas violent, c'est mon fils mais j'ai un grand respect pour lui vraiment. Si c'était moi le détenteur du clé du paradis c'est à lui que je lui donnerai sûrement parceque j'en suis sûr tout le monde entrera tellement qu'il a la noblesse en lui. Surtout ne pleure pas, je ne t'ai pas dis tout ceci pour te faire pleurer. Je te montre juste comment la vie peut-être injuste parfois surtout lorsque tu es dans une situation compliquée comme la mienne et pourtant j'ai des cousins riches et qui peuvent me venir en aide mais ils ne feront jamais. Peut-être qu'ils attendent ma mort pour ensuite venir distribuer des billets de banque afin qu'on les croît des saints, ma mort peut-être car un vieux incapable de rien dans un fauteuil roulant comme moi on ne peut attendre de lui que la mort.

Tata Astou: Ne redis plus jamais ça, nous ta famille on a besoin de toi. On t'interdit de mourir, je t'interdis de mourir.

Franchement après je n'ai pas pu garder mes larmes pour moi tellement que ça m'a touchée, yallah réik moyy Buur.

Père Saliou: S'il-te-plaît ne pleure pas, j'aime pas voir les gens que j'aime pleurer.

Moi: Toi Kader tu as mon numéro non? Pourquoi tu ne m'as rien dit, tu aurais pu m'appeler, m'envoyer un texto ou juste me bipper.

Kader: C'est vrai que j'aurai pu te faire signe pour que tu nous viennes en aide mais on nous a éduqué à ne pas exposer nos soucis au inconnu en plus Mouha n'aurait pas apprécié.

Moi: Bien d'avoir dit les inconnus car moi je n'en suis pas une. Allez appele moi un de tes amis dans le quartier pour qu'il t'aide afin que vous faîtes entrer Mouha dans la voiture on va à l'hôpital.

Kader: Ok j'y vais tout de suite.

Moi: Tonton j'ai entendu tout ce que tu as dit et je te promets ça va vite terminé inch'Allah et pour la prochaine fois prévenez moi s'il-vous-plaît.

Père Saliou: Ne t'inquiètes pas ma fille, je te le promets.

Moi: Al-hamdoulillah attend que je vous donne ceci, dis-je en ouvrant mon sac à main.
Tenez, voici 30.000f, pour l'instant je n'ai pas de liquide sur moi mais demain inch'Allah je passerai et pour ce qui concerne Mouha je m'en occupe.

Père Saliou: Djeureudjeuf sama domm yallah nalako yallah fayy, samm leu tei arr leu sih leip louy thiatt akk balaa, Djeureudjeuf wayy.
(Merci ma fille que le Tout Puissant te paye tout ce que tu fais pour nous et qu'Il te protège du mauvais œil et de l'illicite, merci infiniment).

Moi: Je vais finir par être gênée, ne me remerciez surtout pas et merci aussi pour les prières.

Tata Astou je l'a voyais pleurer, ça peut se comprendre car c'est très difficile de vivre dans de conditions pareils, thiey adouna.

Maintenant il me restait de faire ce que je devais faire depuis longtemps, un instant plus tard Kader était là avec un jeune garçon de son âge pour prendre Mouha et l'amener dans ma voiture.

Une fois ceci terminé j'ai demandé à Kader de monter avec moi avant de prendre le route pour une clinique que je connaisse.

On dirait que Mouha avait fini par perdre connaissance car il ne bougeait plus ce qui augmenta notre peur.

Je roulais comme un malade, hâte d'arriver au clinique et qu'on prenne bien soin de lui.

Heureusement qu'une fois au clinique des infirmières sont vite venues à notre secours avec leurs brancard en l'évacuant, Kader et moi se contentaient juste de courir derrière eux comme pas possible.

De plus ils nous ont demandé d'attendre quelques instants dehors, ce qu'on fit mais ça a pris beaucoup de temps et personnes n'est sorti nous informer de quoi ce que soit.

Comme des tarés on est resté plus de deux heures avant qu'ils sortent pour parler avec nous.

Moi: Dieu soit loué vous êtes enfin sorti, y'a rien de grave j'espère.

Kader: Docteur comment va mon frère, est-ce qu'il va bien maintenant?

Docteur: Ne vous inquiétez pas il s'en est sorti maintenant, la chute a été très grave mais heureusement que vous l'avez amené sinon il risquerait de perdre la vie mais bon maintenant tout est rentré dans l'ordre avec l'aide du tout puissant.

Moi: Est-ce qu'on peut le voir?

Docteur: Non il dort maintenant et il ne faut surtout pas qu'il soit dérangé.

Kader: Quand est-ce va t-il se réveiller?

Docteur: Probablement d'ici 7h ou 8h de temps, maintenant je vous laisse j'ai d'autres patients à voir.

Moi: Merci Docteur.

Kader: Al-hamdoulillah qu'il va bien maintenant, j'imagine pas si autre chose s'était passé.

Moi: Oui al-hamdoulillah mais toi Kader je suis très fâchée contre toi, avec la complicité qui existe entre nous tout ça s'est passé sans que tu m'en dises quelques choses.

Kader: Oui tu as raison j'aurai du t'appeler mais je m'en excuse ça ne se reproduira plus.

Moi: Ok pour la prochaine fois dis-moi tout qu'importe ce qui se passera.

Kader: C'est promis.

Moi: Maintenant il ne reste plus qu'à attendre qu'il se réveille.

Kader: Quoi? Non, moi je ne fais rien de spéciale je peux bien attendre qu'il se réveille. Toi tu as tout fait franchement.

Moi: Ça ne le pose pas de problème en plus c'est samedi aujourd'hui.

Kader: Raison de plus pour toi de rentrer et se reposer car avec ton travail tu n'as que le week-end profites-en.

Moi: C'est hors de question.

Kader: Tu sais ce qu'on va faire? Tu rentres et s'il se réveille je t'appelle, je te le jure.

Moi: Tu le promets?

Kader: C'est promis!

Moi: Allez j'attends ton appel donc.

Kader: Pas de soucis.

Moi: Ok j'ai déjà payé l'hôpital voici la facture, prends ces 10.000f pour vous acheter quelques choses à manger tu dois avoir faim. Allez bye je te laisse mon petit mari.

Kader: Ndack vraiment merci pour tout, merci beaucoup c'est gentil de ta part.

Moi: Nioko bokk, dis-je en lui tournant le dos.

Al-hamdoulillah maintenant que tout est fini par rentrer dans l'ordre, j'appellerai plus tard pour voir s'il est réveillé ou pas.

Vraiment dans la vie si tu n'as pas les moyens tu es dans la merde car ceux qui sont en pouvoir d'aider ne le font plus.

Ou bien ils attendent un évènement tragique et s'en profiter pour montrer leurs gentillesse sans mesure.

Yallah réik moniouy djapaléi.

Mais avant d'aller à la maison il faut que j'aille à l'université de Sidy pour le récupérer, il m'avait envoyé un message disant qu'il allait déjeuner avec une amie mais je vois que leur déjeuner doit être terminé à cette heure.

Comme que plus rien ne me retiens içi j'ai vite rejoint ma voiture avec d'aller récupérer mon petit frère.

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Qu'en pensez-vous de cette partie ?

Si les pauvres sont morts de dettes et qu'ils n'arrivent pas à se nourrir, selon vous quels mesures doit prendre l'état ?

La pauvreté, est-ce un crime?