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chapitre 19

PDV Jeffrey

Rien n'allait. Non, vraiment rien du tout. D'abord avec cette fille qui venait d'arriver, et qui avait réussit à mettre Alésia dans une telle colère, deux fois. Et madame Thian qui va même la voir à l'infirmerie... On pourrait dire que c'est normal d'aller voir quelq'un qui vient de se faire tabasser, encore plus quand cette personne débarque et finit par se battre le jour de son arrivée. Mais c'est madame Thian... Elle n'a jamais prêté grande attention à ce genre de choses... Enfin, elle n'a jamais été voir elle-même un enfant blessé... Mais alors si en plus elle parait heureuse... Bon sang... Rien ne va. Non, vraiment rien.

La porte s'ouvrit, et je me redressai aussitôt par réflexe. Mes yeux se dirigèrent aussitôt vers la personnes qui quittait la pièce: Maxwell. Je m'approchai de lui rapidement, gardant le dos droit. 

-Tu as autorisation de monter seul?

-Hein? Heu... Je sais pas...

-Ne bouge pas. 

Maxwell paraissait agité, mais pourtant, il avait un petit sourire aux lèvres. Un petit sourire comme si, après une journée difficile, il venait d'entendre la première bonne nouvelle de la journée. Mais que s'était-il passé dans ce bureau? Comment Maxwell, ce garçon si craintif, pouvait paraitre soulagé après avoir eu une discution avec madame Thian? 

Il opina à mon ordre et je refis demi-tour rapidement, ouvrant les portes pour entrer dans le bureau de la psychologue du centre. Elle était là, à regarder son écran en souriant. Mais que regardait-elle? Pourquoi paraissait-elle si heureuse?

-Madame Thian?

-Mh?

Elle tourna son regard sur moi, ne changeant rien d'autre à sa position. Je me raclai la gorge avant de prendre un ton professionnel, couvrant l'agitation qui m'habitait après cette soirée. Elle ne devait pas percevoir ce que je ressentait. Non, surtout pas. Si j'éveillais les soupsons maintenant, comment je pourrais aider ces jeunes? 

-Le patient numéro 157 doit-il être accompagné pour remonter à sa chambre?

Elle me scruta un instant, et plissa les yeux, l'air de réfléchir à ma question. Mince. Et quoi maintenant? Ma question ne devait pas être si étrange... Depuis la révolte, les résidents ne peuvent pas se déplacer après le couvre-feu, et quand bien-même ils le doivent, ils ne peuvent pas se déplacer seul... Alors quoi? Pourquoi me regarder ainsi? Mal à l'aise, je me raclai à nouveau la gorge avant d'ajouter.

-Hum, le résident 149, paraissait un peu dans la lune... Je ne sais pas de quoi vous avez parlé, mais...

-Oh? Mh, bien, raccompagne le. Mh, même s'il parait dans la lune, je ne pense pas que ce soit mauvais.

-Ah bon? Alors... Votre conversation était plaisante?

-Mhh. Peut-être bien. Il ne pleure pas non?

-Hum, non.

-Bien, alors il n'y a pas à trop s'inquiéter. 

-Heu, bien. Bonne nuit madame... 

Sans un mot de plus, elle ramena son regard sur ce qui l'intéresssait tant, et je refermai la porte derrière moi. J'aurais voulu en apprendre plus, mais je ne pouvais pas poser la question directement à madame Thian. Bien-sûr que non. Mais Maxwell... Oui, je pouvais lui demander à lui. Je me dépêchai de le rejoindre, lui qui n'avait pas bougé d'un pas depuis que je lui avais dit d'attendre, et lui fit signe d'avancer. Il se mit à marcher dans le plus grands des silences.

Il me semblait que nous avancions bien trop rapidement, et je n'avais même pas encore posé la moindre question. Heureusement, dans les escaliers, il n'y avait pas de caméra. Nous montions à son étage, et rapidement je gravis la marche d'avance qu'il avait sur moi et chuchotai tout bas pour qu'il puisse m'entendre.

-De quoi vous avez parlé?

-Oh, heu... De rien de très grave.

-Quoi? Mais, tu avais l'air bien stressé quand tu étais devant son bureau tout à l'heure.

-... Non ça va. Tout va bien.

Et il ne dit plus un mot. Plus le moindre son ne franchit ses lèvres jusqu'à ce qu'il entre dans sa chambre, en me saluant d'un signe de tête. Bon sang, même madame Thian avait été plus bavarde que lui...  Trainant les pieds dans le couloir, je me redirigeai vers les escaliers, quand mes pas s'arrêtèrent d'eux mêmes.

A cet endroit, ce sol lavé et encore mouillé...  C'est là, que Alésia s'est battu contre Nawel. Pourquoi? Mais oui! Je ne savais même pas pourquoi. Comme pour ce midi. J'avais entendu qu'elle s'était énervée contre cette nouvelle résidente... Mais pourquoi? Alésia... Cette enfant que j'avais vu dans tellement d'états... Mais elle avait toujours fait assez attention pour ne pas avoir de trop gros ennuis. Comme maintenant. Alors que s'était-il passé entre elles? Il n'y avait qu'une personne pour me le dire, pour tout m'expliquer. Nawel. C'était bien elle que je devais aller voir.

Je repris mon avancée, pour rapidement rejoindre l'infirmerie. Je ne devais pas la rater, il fallait qu'elle me parle, que je sache. Je courrai presque dans les couloirs et les quelques gardes que je croisais devaient me trouver étrange. Mais je trouverai une excuse. Oui, comme toujours. Après tout, je suis un supérieur, ils ne peuvent faie n'importe quoi contre moi. Je n'ai pas à m'inquiéter de paraitre un peu étrange... 

Arrivé à l'infirmerie, je m'arrêtai, histoire de reprendre mon souffle et de me calmer. Je devais paraitre plus calme, et réfléchir en avance à toutes les questions que je voulais poser. Inspiration... Expiration... Peu à peu je me calmais, et replaçai la casquette vissé sur mon crane. Au même moment, la porte s'ouvrit en grand, dévoilant le médecin quarantenaire, accompagné comme toujours de son air blasé accentué par ces cernes combres, et de sa grande blouse blanche de médecin. Si j'avais sursauté à cause de la surprise, lui s'était contenté de me fixer de son regard scrutateur et las. 

-Qu'est-ce tu fais ici gamin?

-Hum, je-

-Pff, m'en fous en fait. Bouge, j'ai besoin d'un café.

Aussitôt je me décalai sur le côté pour le laisser passer, et il enfourna ses mains dans ses poches, grommelant dans sa barbe des paroles incompréhensibles. Je regardais sa tête et ses cheveux noirs s'enfoncer entre ses épaules et poussais un nouveau soupir. Cet homme... Il n'avait pas l'air méchant, mais il était pourtant vraiment effrayant... Combien de jeunes n'avaient pas osé venir se faire soigner à cause de la crainte qu'inspirait cet homme? Je ne comptais plus.

Je rouvris la porte et la laissait se fermer derrière moi avant d'avancer dans l'infirmerie. Il n'y avait pas de bruit, et rien ne me permettait de savoir où était cette fille... 

-Hum... Nawel?

Pas de réponse. Avançant de quelques pas, j'ouvris un premier rideau, puis le refermai presque aussitôt n'ayant vu personne à l'intérieur.

- Nawel?

Toujours aucune réponse.

-Je voudrais te parler de la bagarre de tout à l'heure... 

-Pourquoi?

-Ah! Parce que, ça m'intrigue... Et j'aimerai comprendre ce qu'il s'est passé.

A nouveau j'ouvrais un rideau, mais personne n'était dans cet espace. Je tentais de me repérer grâce au son de la voix de cette jeune fille, mais je ne la trouvais pas.

-Dis, dans quel espace tu es?

-Le quatrième.

Je tournai dès lors les yeux vers la rangée de rideaux et me rapprochai de celui qu'elle m'indiquait .

-Je peux entrer?

-Ouais...

Aussitôt je tirai le rideau pour découvrir la fille allongée dans un lit, les draps remontés jusqu'à son cou. Elle plantait son regard dans le mien et finit par hausser les sourcils.

-Ah, j'te reconnais.

-Ah bon?

-Ouais, t'avais essayé d'arrêter l'autre timbrée là...

-Hum... Oui... 

Je me raclais la gorge à son appellation de Alésia. C'est vrai qu'elle n'était pas facile... Et qu'elle avait un sacré tempérament... Et qu'elle n'hésitait pas à le faire sentir quand elle n'appréciait pas quelqu'un... Mais de là à dire qu'elle était timbrée... C'était assez excessif. Mais bon, après tout... Elles n'avaient pas commencé du bon pied toutes les deux... 

-Du coup, je voulais te demander... Qu'est-ce qu'il s'est passé? Ce midi et ce soir?

Elle m'observa un moment et finis par hausser les épaules.

-Mhh, bah ce midi... J'ai juste été sociable, comme je débarque, et qu'elle était seule, je me suis dit que je pouvais tenter une approche. Mais elle était super malpolie, donc j'ai été claire avec elle. Elle s'est énervée. Et ce soir, bah j'suis pas une gamine non plus, donc j'ai voulu calmer les choses, mais l'autre elle est trop perchée dans son monde. Trop d'impolitesse en une personne! Et voilà c'est tout.

-Quoi? Mais... Mais non, elle n'est pas du genre à se battre comme ça... 

-Bah si. Je la connais pas mais ça donne pas envie. Je sais faire la part des choses mais c'est bon hein, c'est elle qui est en tord. 

J'aurais voulu continuer à parler. En apprendre plus, poser plus de questions... Mais Nawel s'était fermée à la discussion, et la porte claquant me signala le retour de l'infirmier. Je ne pouvais pas rester à présent. Résigné, je lui souhaitai un bon rétablissement avant de la laisser, et avançai pour quitter l'infirmerie, sous le regard scrutateur du quarantenaire au cheveux de jais. 

[...]

La relève approche... Et je suis toujours autant agité... Je n'en sais toujours pas plus sur ce qu'il s'est passé... Enfin j'ai pu parler avec presque tout le monde... Maxwell qui restait muet comme une tombe, Nawel encore bien sur les nerfs... Mais impossible de voir Alésia évidemment... Il ne manquait plus que Tim. Tim, le grand rouquin. Oui, depuis le temps, il devait me dépasser maintenant... Il était si grand et fin, que je l'avais vu dans l'attroupement formé par la bagarre. Je l'avais vu, dans la marée humaine, resté figé, l'air livide en assistant à ce combat de bêtes. Pourquoi n'avait-il pas agit? A quoi avait-il pensé? Je n'en avais pas la moindre idée. Seul lui savait. Bon sang... Pourquoi toute ma soirée se passait ainsi? Courir après des gens pour apprendre des choses qu'eux seuls savaient et refusaient de dire? Il fallait espérer que je puisse parler avec Tim avant la relève. Et surtout... Qu'il accepte de me parler... 

Montant les marches, je m'arrêtai à son étage et me dirigeai vers sa chambre. Comment expliquer que j'aille voir un résident après le couvre-feu? Je pourrais expliquer ça... En disant que j'enquêtais pour savoir s'il savait que Alésia comptait s'en prendre à un pauvre nouvelle...  Oui, avec un si gros mensonge... ça pourrait passer... Je soupirai en relevant les yeux, n'aimant vraiment pas cette excuse... Mais je ne m'attendais pas à ce que mes yeux rencontre cette grande silhouette fine et élancée, trainant au milieu du couloir. Tim. Que faisait-il là? Il ne devrait pas quitter sa chambre. Et encore moins seul. Mais c'était ma chance! Rapidement, je l'interpellais, reprenant mon air professionnel, la façade froide et assuré.

-  Hé!

Il s'arrêta et prit un temps avant de se retourner. Il me regardait, comme s'il cherchait à se souvenir de qui je pouvais bien être. Bon sang, il n'allait pas bien. En me voyant là, à cet instant, après ce qui s'était passé avec Alésia... Il m'aurait regardé avec toute la haine du monde, et aurait sûrement menacé de me tuer. Non, quelque chose du genre mais pas de me tuer... Je ne souffrirai pas autant qu'il le voudrait.

-Qu'est-ce que tu fais là? Pourquoi t'es pas dans ta chambre?

Toujours pas la moindre réponse. Il me regardait juste, l'air absent.

-Allez, à ta chambre.

Je pointais du menton le bout du couloir, et sans un mot, il se remit à avancer. Trainant les pieds comme un cadavre ambulant. Il avançait lentement. Très lentement. J'en profitai pour me rapprochai, et gardant le regard rivé sur le bout du couloir, je lui parlai tout bas.

-Tim... 

Il tourna légèrement la tête vers moi. Oui, j'avais raison. A présent, il me dépassait de quelques centimètres. Au moins un front je dirais. 

-Tout à l'heure... Qu'est-ce qui t'es arrivé?

Je perçus le mouvement de sa pomme d'Adam après qu'il eut déglutit. 

-... Rien...

Sa voix était rauque, enrouée, fatiguée... Rien qui lui ressemblait. Non, vraiment. Une telle expression, ça n'allait pas une personne comme Tim.

-Tu sais autant que moi que c'est faux... Je voudrais comprendre, qu'est-ce qui t'es arrivé? On aurait dit que tu assistais à un meurtre... C'est vrai qu'il y avait pas mal de sang... Mais d'habitude, t'es pas du genre à craindre le sang. Non?

Il ne répondit pas tout de suite, mais pour la première fois, je percevais une lueur vive dans son regard jusque là terne et perdu. Pour la première fois, je sentais qu'il réagissait réellement, à mes mots, à ma présence.

-... J'vois pas pourquoi j'te parlerais... 

-Parce que à mon niveau, je peux aider Alésia. Et je sais que peu importe à quel point vous vous prenez la tête tous les deux, toi aussi tu voudras toujours l'aider. 

Cette fois, il réagit.  Sans aucun doute, peu à peu, la flamme ardente qui animait Tim d'habitude se ravivait. 

- Tu veux aider? Toi? Et tu crois qu'elle accepterait de recevoir ton aide?

Une mine peinée sur le visage, je laissai échapper un léger soupire. Oui... Je savais bien qu'elle me détestait. Qu'elle me haïssait même. Peut-être autant que madame Thian, ou même plus. Mais... J'ai promis. J'ai promis à mon cher petit-frère, et à moi-même. Mais ils n'ont pas à savoir. 

-Non sûrement pas... Mais je ne crois pas qu'elle accepterait non plus de restait très longtemps en bas... 

Il me toisait à présent d'un œil, où je pouvais peu à peu voir le dégout se mêlant à la colère déformer ses traits. 

-Pff... J'espère au moins que tu sais, que quoi que tu fasses, rien ne rattrapera jamais ce que tu as fait. Même la mort ne pourrait pas racheter ton crime.

Evidemment. Je le savais très bien, et même mieux que personne. Et je ne voulais pas chercher à être pardonné, je ne le méritais pas, et je ne pouvais pas oser espérer être pardonné. Mais, ces enfants... Je ne pouvais pas les laisser ainsi et me morfondre pour l'éternité, en me haïssant après ce que j'avais fait. Je n'avais pas le temps pour ça. A chaque instant, au moins une vie était en danger. 

-Je sais... Je le sais très bien Tim... Rien ne pourrait me racheter... Mais ça ne veut pas dire que je ne peux rien faire pour vous. Alors? Pourquoi tu es resté figé? Tu avais peur? Ou tu ne savais pas comment les séparer?

-Non. Je n'avais pas peur. Et même Maxwell aurait pu les séparer... En se prenant des coups, mais même lui aurait pu.

-Alors... Est-ce que ça t'a rappelé quelque chose?

Il tressaillit et serra la mâchoire. Du coin de l'œil je pouvais le voir se tendre, se raidir comme un arc. Ses poings étaient tenus tellement serrés, qu'ils en tremblaient. C'était donc sûrement ça, je devais avoir raison. Ce n'est pas étonnant après tout... Tim, il était là depuis près de 3 ans au centre, il approchait de ses 18 ans, il avaient perdus bon nombre d'amis ici... Et ça ne s'arrêtait pas. Il avait vu des choses qui empêcheraient de dormir là-plupart, il avait vécu ce que personne n'aurait voulu vivre. Son corps et son âme en était resté marqué, des traces indélébiles pour lui rappeler toutes ces horreurs. 

-...

Il n'avait pas besoin de répondre, parce que je comprenais. Je devinais sur ses traits tendus que j'avais touché juste.

-... Alésia n'est pas du genre à se battre. Surtout en savant ce qu'elle risque. Elle n'aime pas prendre des risques.

-Faux. Elle n'aime pas en prendre pour n'importe qui.

-Quand tu dis n'importe qui... Tu penses à Daniel?

Il s'arrêta de marcher net, et bifurqua vers moi. Cette fois, plus rien ne cachait la haine, le dégout, l'hostilité qu'il éprouvait envers moi. 

-Ne prononce pas son nom. 

-Désolé...

A nouveau je vis ses poings trembler et ses jointures devenir blanches à cause de la force avec laquelle il contractait ses muscles.

-Mais, j'ai raison... Alésia... Il n'y avait que Daniel pour elle. Elle aurait tout fait pour lui. Et c'est ce qu'elle a fait...

-Ouais, et ça a pas été suffisant... A cause de toi. D'un putain d'enfoiré de traitre. A cause de toi... Ils n'ont même pas pu vivre leur histoire... 

-Hein? Comment ça leur histoire? Ils sortaient ensemble pourtant.

Il ricana et me toisa de son regard rempli de rancœur .

-Non. Ils ne sortaient pas ensemble. Ils ne s'étaient même jamais dit "je t'aime".

Face à mon incompréhension à sa révélation, Tim ricana de nouveau en se passant la main à travers ses cheveux roux.

-T'as bien entendu, y avait rien eu, nada, que dalle! Daniel... Il disait qu'il voulait faire les choses "bien" et donc tout lui dire une fois qu'on aurait quitté le centre.

Non... Impossible... Tous les deux... Ils ne s'étaient jamais dit ce qu'ils ressentaient l'un pour l'autre? Alors que c'était si évident? Daniel... Je le savais vieux jeu et romantique... Mais pourquoi avoir voulu attendre... 

-... Et toi? Tu as dit à Naëlle ce que tu ressentais?

-... J'te le redis, ça te regarde pas.

Tim se remit à marcher, sûrement pressé de retrouver sa chambre qui n'était plus qu'à quelques mètres à présent.

-Tim. Je sais que mes mots n'ont plus aucune valeur... Mais je te le promet. J'aiderai... 

Il ne répondit pas. Avait-il entendu? Avais-je parlé trop bas? Je n'en savais rien. Je savais juste, que je voulais tenir ma promesse. Ma promesse faite à mon défunt frère, et à présent renouveler à Tim. Je les aiderai, qu'importe ce qu'il en coûtera. 

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