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Sira
Notre road trip à Tassem et moi a pris fin dans le centre ouest du pays.
Je venais de comprendre pourquoi mon mari tenait temps à ce qu'on termine notre voyage par cette région.
En fait il a gardé le meilleur de l'Italie pour la fin.
Je suis tombée amoureuse de cette région et surtout de Florence.
Avec Tassem, nous avons séjourné durant soixante-douze heures dans leur domaine familial de Florence, le berceau de la renaissance italienne. Durant ces trois jours, je pouvais sentir la tristesse de mon homme. Revenir chez lui l'avait ému à tel point qu'il avait versé de chaudes larmes lorsque nous sommes allés nous recueillir sur la tombe de sa grand-mère.
Tassem m'a ensuite fait visiter l'incontournable Tour de Pise et tous les autres musées de la région où j'ai aussi pu admirer les chef-œuvres de grands artistes tels que Giotto, Michel-Ange, Léonard de Vinci ...
J'avais tellement aimé la Florence que sur un coup de tête j'ai proposé à Tassem que l'on vienne y vivre pour qu'il soit ainsi plus apte à s'occuper du domaine et des vignes que sa grand-mère lui a laissé en héritage.
Il avait promis d'y réfléchir calmement une fois au Sénégal.
À chaque endroit visité lors de notre road trip nous avons pris des photos et vidéos pour une fois rentrée en faire un mini reportage.
Nature, calme et dolce vita (la belle vie) sont les mots qui décrivent bien cette partie de l'Italie.
Les paysages y sont extraordinaires, les villes peu citadines et l'histoire enrichissante.
Malheureusement toute chose ayant une fin, notre séjour tirait à sa fin.
Et pour cette dernière soirée en Italie, nous nous sommes mis sur notre trente-un et nous sommes sortis dinés en ville.
Notre soirée s'est merveilleusement bien passée tellement bien que nous avons décidé de la rallonger en faisant un dernier tour dans un petit bistro à quelques rues de la grande place de la ville.
Il y'avait une soirée karaoké qui s'y déroulait alors nous nous sommes installés dans un coin calme pour ne pas être dérangés et pouvoir nous moquer des mauvais chanteurs sans être pris.
On était dans notre petite bulle et plus rien ne comptait à part nous.
En voyant les gens chantaient, rire et s'amusaient, j'eus moi aussi l'envie de pousser la chansonnette.
- J'ai envie de chanter pour toi.
- Ay Sira boumeu tekk gathiei (Ne me met pas la honte !). Je sais que tu m'aimes à la folie et c'est largement suffisant. Tu n'as pas besoin de chanter pour moi.
- Je ne te demandais pas ton avis amore. Je te prévenais juste répondis-je en tirant ma langue.
Tassem laissa échapper un rire dont il était le seul à avoir le secret et je me levai avec prestance pour aller parler avec le gérant.
Coup de chance pour moi il comprenait assez bien français, je lui expliquais que je désirais chanter et il me demanda de choisir un artiste et un titre.
Il m'a fallu que quelques minutes de réflexion pour que j'opte pour la chanson À l'international de Tal. Cette chanson correspond parfaitement à tout ce que je désirai faire comprendre à Tassem.
Je n'ai pas peur de me ridiculiser du moment que Tassem sera heureux et je m'en fous du reste.
Lorsque je fus sur scène, Tassem me fit un clin d'œil et il se boucha les oreilles, je roulai des yeux en le tchippant discrètement et je fis signe au gérant pour lancer la musique.
« J'aimerais bien faire de grands voyages
Découvrir des pays sauvages
Tous ces trésors que l'on nous cache oh oh oh
Les mines d'or que les hommes s'arrachent
Savoir à quoi ressemble la Louisiane oh oh oh
Et traverser l'Amérique en décapotable oh »
Je descendis prudemment de la scène m'avançant vers Tassem tout en continuant à chanter.
« Mais toi tu m'emmènes je ne sais où
Tu me dis je t'aime un peu partout
Tu sais faire voyager mon cœur, à l'international
Toi tu me balades chaque jour
Tu es le plus beau des rendez-vous
Lorsque tu me dis que tu m'aimes, à l'international »
Arrivée à sa hauteur, il se leva de sa chaise pour venir se tenir en face de moi sourire nié coller aux lèvres. Ceci suffit pour me donner du courage et finir la chanson même si je chantai faux.
« J'ai des projets tout plein la tête
Des valises qui sont toujours prêtes oh yeah
Et ma guitare pour te chanter oh oh oh
Que l'essentiel est à mes côtés oh oh oh
Je me promène dans tes yeux, dans tous nos moments merveilleux oh oh oh
Tu es l'unique continent qui me rend heureuse oh »
Je dansai avec lui sans me soucier des clients....
« Mais toi tu m'emmènes je ne sais où
Tu me dis je t'aime un peu partout
Tu sais faire voyager mon cœur, à l'international
Toi tu me balades chaque jour
Tu es le plus beau des rendez-vous
Lorsque tu me dis que tu m'aimes, à l'international »
Je me retournai pour lui faire face et sur ce dernier couplet je donnai tout...
« Hey yo, uh
One, two, break it, two, one time for your mind
This is how we do it, don't stop the feeling
The mood is right baby boy, don't break it
You know I like the stars, damn I like the way you do it
Smile for me 'cause your smile is so beautiful
Talk to me, the way you talk to me's so beautiful
Dance for me 'cause your body, body, body
Yeah baby baby, is so unbelievable »
« Mais toi tu m'emmènes je ne sais où
Tu me dis je t'aime un peu partout
Tu sais faire voyager mon cœur, à l'international
Toi tu me balades chaque jour
Tu es le plus beau des rendez-vous
Lorsque tu me dis que tu m'aimes, à l'international
Mais toi tu m'emmènes je ne sais où
Tu me dis je t'aime un peu partout
Tu sais faire voyager mon cœur, à l'international
Toi tu me balades chaque jour
Tu es le plus beau des rendez-vous
Lorsque tu me dis que tu m'aimes, à l'international»
Avant même que la musique ne s'arrête, monsieur bondit sur mes lèvres m'embrassant à m'en faire la tête durant un temps où était suspendu. Mon corps se liquéfia sous lui et j'en devenais toute chose.
- Je t'aime à l'international Sira. Rentrons vite pour que je te le prouve de la plus merveilleuse des manières.
J'attrapai rapidement mon sac pendant que Tassem posait des billets sur la table.
Nous sommes sortis du bistro en mode flash.
Nous savions tous les deux ce qui nous attendait et nous avions hâte de faire parler nos corps.
Dès que nous sommes entrés dans la chambre, Tassem m'a plaqué contre la porte en l'en refermant...
Khadija
- Tu feras une mère formidable.
Je fermai la porte de la chambre des jumeaux et je fis ainsi face à Tariq qui se tenait en face moi sourire charmeur aux lèvres.
- Tu penses ?
- Oui ! Les quadruplés t'adorent et ils te prennent même pour leur mère. Grâce à toi, ils ne sentent même pas l'absence de leurs parents alors oui tu feras une mère plus que formidable.
Mes pensées se sont autamiquement dirigées vers mon bébé, mon fils parti trop tôt ... J'offris un triste sourire à Tariq en allant me blottir dans ses bras.
Je suis tombée enceinte alors que je prenais la pilule. Bon j'avoue que Tariq et moi avions une vie sexuelle plus qu'active et il m'arrivait d'oublier de la prendre.
J'étais surprise par la nouvelle mais en même temps tellement heureuse de finalement porter un enfant conçu par amour.
Tariq aussi était heureux de devenir père et nous attendions ce bébé avec impatience sauf que j'ai eu des complications dès le premier trimestre qui ont conduit mon gynéco à me mettre en arrêt de travail malheureusement j'avais minimisé les choses. Résultat des comptes, mon bébé est mort-né en venant au monde et je m'en suis énormément voulu d'avoir été aussi têtue.
À chaque fois que l'image de mon bébé me revenait en mémoire, je ne pouvais m'empêcher de culpabiliser et de pleurer à chaudes larmes.
Les gens me disaient que c'est Dieu qui l'avait voulu ainsi et que mon bébé est retourné près de son créateur. Mais moi, je n'arrivais pas à prendre et à accepter les choses de ce point de vue car dans ma tête j'avais moi-même provoqué cette situation.
Et je déprimais entraînant Tariq aussi dans ma petite phase de folie.
Durant cette période, nous ne dormions pratiquement pas. On avait l'impression d'être sans vie et à chaque fois que nos yeux se posaient sur la photo prise dans la salle d'accouchement nous fondions tous les deux en larmes tant la douleur était insupportable.
Puis vint la période où Tariq a pris sur lui pour se relever me forçant à sortir de ma bulle. Nous avions fait un énorme travail sur nous et nous avons appris à vivre avec cette souffrance.
Je dois dire qu'on a profité de cette période sombre de notre vie pour nous rapprocher de notre créateur et plus nous rapprocher.
Tassem, Sira et notre famille ont été aussi très présents pour nous aider à aller mieux et celui qui a réussi à redonner le sourire à travers toute cette tristesse c'est Quassim Junior, l'homonyme de mon mari.
Ce petit bout de chou a su à lui seul ramener le bonheur dans notre foyer et j'adorais prendre soin de lui vue qu'il est un enfant facile.
Je peux dire aujourd'hui que je suis passée au-dessus de ma souffrance sauf que le deuil d'un enfant est l'épreuve la plus dure qu'il soit.
Pas un jour ne passe sans que je pense à mon bébé, à sa peau douce et ce manque est une torture de chaque instant.
Mais j'ai appris à vivre avec.
- Deekha bayil dioye yi nakk han (arrête de pleurer).
- Je ne peux m'en empêcher poussin.
- Wa viens !
Il me tira jusque dans la chambre où il prit place sur le lit et il me fit assoir sur ses genoux.
La seconde d'après il m'essuya les joues avec son pouce me faisant sourire.
- Je sais que c'est dure pour toi mais tu dois savoir que notre fils est dans un endroit où il y heureux et surtout bien entouré. C'est Dieu qui nous l'a donné, il l'a repris et nous nous devons d'accepter sa volonté aussi dure que cela puisse être. Nous aurons bientôt d'autres enfants et même s'ils ne pourront jamais remplacer celui que nous avons perdu, ils seront là avec nous et nous les aimerons hum.
- Tu as raison amore dis-je en essuyant mes larmes.
Je me levai de ses genoux et je partis dans la salle de bain. J'ouvris l'un des placards de rangement. J'y pris ce que j'étais venue chercher et je ressortis de là trouvant Tariq toujours dans la même position.
Je m'avançai jusqu'à sa hauteur et je lui tendis le test de grossesse.
- J'ai fait ce test hier et il est positif. J'ai hésité à t'en parler parce que j'avais peur de perdre une nouvelle fois ce bébé mais avec tout ce que tu viens de me dire, j'ai compris qu'il ne servait à rien d'avoir peur. Il me faut juste faire confiance à Dieu et nous aurons ce bébé inchaAllah.
Sans que je m'y attende Tariq m'a porté dans ses bras me faisant tournoyer dans les airs m'arrachant des rires aux éclats et des larmes de joie.
Il me posa au sol et m'embrassa à m'en faire perdre le souffle.
- Je t'aime Deekha ! Et ce bébé va naître en bonne santé inchaAllah si Dieu le veut et il le voudra bébé mine ... Oh que je suis heureux ! J'espère que tu l'es ?
- Evidemment !
Tariq m'a encore embrassé puis il m'a tiré jusqu'au lit où il s'est couché et m'a serré fort dans ses bras.
Je suis restée dans cette position attendant qu'il s'endorme pour me libérer de son étreinte et aller prendre une douche.
Lorsque j'eus fini, je m'habillai d'un peignoir et je mis sur le balcon admirant la vue et profitant du calme de la nuit pour réfléchir et me vider un peu l'esprit.
Je ne sais pas exactement combien de temps je suis restée debout sur ce balcon mais il me semble que cela devait être une ou deux heures.
J'allai rejoindre Tariq lorsqu'il vint se placer derrière moi et posa ses grandes mains sur le garde-corps de sorte que mon dos soit collé à son torse. Je tournai ma tête pour lui sourire et il me le rendit.
Il me serra encore plus à lui me collant ainsi à son bas ventre, je cambrai alors mes fesses pour me frotter à lui en souriant.
- On risque de nous voir dis-je pour l'arrêter quand ses mains se sont mises à tirer sur la ceinture de mon peignoir.
- Il est trois heures du matin amore. Aucune chance que l'on voit ! Et entre nous c'est quand même très excitant de baiser sur le balcon, tu ne trouves pas ?
Sans me retourner, je tirai finalement sur ma ceinture lui laissant le feu vert.
Avec agilité, ses mains se mirent à me caresser doucement me faisant frissonner et onduler des hanches. A chaque passage de ses doigts sur mon corps, je poussai des plaintes sourdes car j'avais peur que mes beaux-parents nous surprennent.
Tariq grossissait au fil des minutes et se rendant surement compte que j'étais apte à le recevoir, il m'embrassant dans le cou en m'écartant avec agilité les jambes et il se glissa lentement en moi.
J'agrippai dès lors le garde-corps du balcon quand il mit plus d'hardiesse dans ses coups de butoir. Là je me retenais plus ! Je gémissais fort très fort même.
Si on me demandait à cet instant mon prénom, je ne saurai répondre tellement mon cerveau n'arrivait plus à coordonner les informations qu'il reçoit.
C'est toujours aussi intense et palpitant de faire l'amour avec Tariq.
Repus de plaisir, nous sommes allés nous dormir plus heureux que jamais.
Tassem
Je veux terminer la soirée en beauté avec ma femme et quoi de mieux qu'une bonne séance de baise avec la femme que j'aime.
Depuis nous sommes mariés, j'ai toujours été doux en lui faisant l'amour mais ce soir j'ai envie d'explorer d'autres cieux, de lui montrer une autre facette de ma personne celle de l'homme qui sait bien baiser, celui qui sait comment bien défoncer la chatte de sa femme.
Et pour se faire je dois aider Sira à manifester cet instinct animal enfoui en elle.
Je tenais toujours Sira contre la porte de notre suite, j'approchai mes lèvres vers son oreille et je lui léchai son lobe avant de susurrer des paroles crues qui sont censés la faire mouiller sans que je la touche.
Je passai mon bras dans son dos, je le posai juste au-dessus de ses grosses fesses et je la ramenai encore un peu plus à moi.
Je lui pris les lèvres avec fougue, je les lui suçai avec hardiesse... Je m'appliquai à lui faire perdre la tête tout en essayant de garder une part de lucidité.
Je quittai sa bouche pour faire descendre les bretelles de sa robe avec mes dents et je lui mordillai l'épaule doucement.
Je stoppai mes gestes et je la fixai intensément.
Il faut savoir transmettre ses émotions avec un simple regard.
Et là, je voulais que Sira comprenne tout le désire qu'elle m'inspire et tout le grand amour que je lui porte.
- Tu n'imagines même pas combien j'ai envie de te baiser fort ce soir ...
- Qu'est-ce que tu attends pour t'y appliquer ?
Sira prit les devants, se mit à m'embrasser et j'en profitai pour la déshabiller rapidement, j'ai déchiré sa robe et ses sous-vêtements qui m'ont coûté une fortune à Milan tellement j'avais hâte de l'avoir nu dans mes bras.
Me rendant coup pour coup, elle déchira ma chemise me faisant rire aux éclats.
Putain ... Quelle fougue !
Lorsque nous nous retrouvions complétement nus, je nous déplaçai vers la table placée dans le petit salon aménagé dans la chambre.
Je me plaçai entre ses jambes ouvertes tel un gynéco en plein observation. En professionnel de la baise que je suis ; je commençai à lui bouffer ses lèvres. J'aspirai toute sa chatte dans ma bouche ensuite je lui fis un cunnilingus d'enfer la faisant mouillée et crier sans se retenir.
Je me relevai quand elle eut son premier orgasme et je la ramenai à moi de telle sorte que mon membre soit dans la direction de sa fente dégoulinante de cyprine.
- Bae, prend ma queue et enfile-la dans ta chatte !
Demande faite ... Demande exécutée !
D'un coup sec je la pénétrai et je marquai un temps d'arrêt pour fermer les yeux et bien reprendre mon souffle avant de commencer à onduler des hanches. Je refis le même mouvement en marquant toujours un temps d'arrêt. Ce petit arrêt pouvait la rendre complètement folle alors je m'amusai à précipiter sa folie.
Pris de pitié pour Sira, je la fis mienne avec force et rapidité tout en gardant un peu de douceur dans mes gestes car je ne voulais aucunement la blesser juste lui donner du plaisir. Je la pilonnai sans retenue pour qu'elle ressente ma queue bien tendue au fond de sa fente.
Sira criait à chacun de mes mouvements et moi aussi d'ailleurs je disais des paroles qui n'avaient aucun sens tant ce qu'on faisait ; était bon.
Passées de longues minutes, Sira poussa un dernier cri en jouissant fortement et longuement.
Pas le temps de lui laisser reprendre son souffle ni ses esprits que je la fis descendre de la table pour la retourner avec hâte et je la pris en levrette.
Ce soir, il était question de libérer la bête qui sommeillait en moi...
Alors leppaye gaw ! Alors tout se fera avec rapidité !
Na affaires yi free rekk, di dougg di gueine...
Tout en tenant Sira par le bassin, je m'appliquai à aller et à venir en elle en poussant de longs râles de plaisir. Elle couinait, laissait échapper des paroles incompréhensibles.
- Tu me sens ? Si oui alors mio cuore wine for me ... Please twerk for me amour.
Demandai-je en continuant à la culbuter sans retenue.
- Oh ... putain ! Tassem ! J'adore !
- Lepp si ioe leu bae !
- Hum ... Ferme-la maintenant et baise-moi !
Je ne pus m'empêcher d'éclater de rire quelques instants avant de reprendre mon travail.
Un dernier coup de rein et je rejoignis Sira dans le monde de la jouissance.
Je respirai fortement tant j'avais fourni beaucoup d'effort.
J'étais encore dur en me retirant d'elle alors j'allais vers le mini-frigo. Il est temps que je mette en application la nouvelle astuce que j'ai découvert il y'a peu. J'ouvris le mini-frigo et j'y pris une bouteille d'eau et un pot. Quand je revins près Sira, je versai l'eau dans le pot et j'y trempai ma queue toujours tendue en attendant que la fraicheur de l'eau face son effet et rapidement je reprenais ma place tout au fond de la chatte de Sira. Cette sensation de fraîcheur s'empara de nous et elle suffit pour nous revigorer tout en nous donnant un plaisir inouï.
Une claque sur chaque fesse, je mettais encore plus d'ardeur et de sauvagerie dans mes pénétrations ... L'eau et les traces de nos jouissances précédentes faisaient en sorte que mes entrées et sorties sont encore plus fluides et ses fesses qui claquaient sur mes cuisses à chacun de mes mouvements me faisaient perdre la tête ....
Plusieurs minutes passées, un orgasme hyper fulgurant se fit sentir en nous...
J'étais fatigué mais je trouvai quand même la force pour porter Sira jusqu'à la salle de bain où je lui fis prendre une douche après je la fis coucher sur le lit.
Elle s'est endormie sans préambule...
Après je me suis directement allé prendre un bain purificateur et je suis revenu me coucher à ses côtés ...
Le sommeil n'a pas tardé à venir.
Nous avons tous les deux dormi comme si nous avions avalés une boîte entière de somnifères.
Nous étions tellement fatigués par notre petit moment que nous avons raté notre vol ...
Lorsque nous nous sommes réveillés nous rendant compte qu'il était treize heures alors que notre vol était pour dix heures, nous nous sommes regardés pour ensuite éclater tous les deux de rire durant de longues minutes.
Nous venions à l'évidence de faire un remake du célèbre film « Maman j'ai raté l'avion » en « J'ai raté l'avion après une nuit torride ».
Et ce n'est que le lendemain que nous avons enfin quitté l'Italie...
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Encore une autre partie ... Alors khana li moye dragon
bouye direkou 😂😂😂😂
Damani Deekha lidalone yaya dallouleu 💃👏👏 Deekha lidalone yaya dallouleu 😂😂😂😂
Boumeu keine wakh nakk dama yokkou hum 😉😎 ... Kham ngueine koumeu yakk
Bon vos avis svp !
Grazie mille et douce nuit à tous xoxo 😍😘😍...
06/10/2019 Deekha 15 amore de Tariq
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