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~39~

Sira s'était évanouie ne supportant plus l'intensité des contractions.

Tariq et sa mère avaient paniqué en la voyant s'écrouler au sol. Tariq accourut la seconde suivante vers elle; il lui toucha le cou pour prendre son pouls.

- Ouf ! Elle s'est juste évanouie maman.

Tariq la porta rapidement dans ses bras en sortant précipitamment pendant que sa mère prenait le sac de Sira et ses clefs de voiture.

En sortant de la chambre; ils tombèrent sur le chef de famille qui revenait de sa promenade en compagnie de ses petits-enfants. Ces derniers se mirent à pleurer et à paniquer en voyant leur mère inerte dans les bras de leur oncle.

- Garde les enfants nous allons à la clinique. Je t'appelle pour te tenir au courant.

N'attendant pas la réponse de son mari, elle suivit son fils dehors.

Elle ensuite dévérouilla la voiture et Tariq allongea Sira sur la banquette arrière lui posant la tête sur ses cuisses ...

La voiture démarra aussitôt.

Sira avait repris connaissance en chemin et ses contractions étaient assez espacées à leur arrivée à la clinique.

Dès qu'ils furent garés, Sira fut rapidement prise en charge par l'équipe médicale et par l'obstétricienne qui la suivait.

Elle fut installée dans une chambre et après sage-femme procéda à un examen pour déterminer la dilatation du col.

Pendant ce temps Tariq lui était dans le couloir, les cris de douleur de Sira résonnaient encore dans sa tête.

Il avait mal de l'imaginer souffrant toute seule dans cette chambre sans la présence de son frère.

Il continua d'arpenter le couloir de long en large s'en voulant de plus en plus d'être l'auteur de la disparition de son frère et de tous les malheurs de sa famille.

- Tout est de ma faute songea-t-il avec tristesse.

Au fil des mois qui s'étaient écoulés; sa culpabilité avait diminué et il avait appris à vivre avec ses erreurs mais aujourd'hui prenant conscience que Sira allait donner naissance à son bébé sans la présence de son frère à ses côtés avaient fait ressurgir toute la culpabilité qu'il avait ressenti cette fameuse nuit.

Il avait cette impression d'avoir privé à Sira et à Tassem de profiter pleinement des joies et des petits désagréments de la grossesse.

Il souffrait autant voir plus que son frère.

Il souffrait de s'être séparé de sa naine chérie; il souffrait d'avoir perdu la seule personne qu'il aimait et qui l'avait jamais aimé sincèrement.

Il se souvint amèrement des dernières paroles que Khadija lui avait dit ... Elle lui avait balançait qu'elle était tombée amoureuse d'un démon en pensant que c'était un ange; elle avait ajoutait qu'elle regrettait de l'avoir connu. Elle l'avait quitté par la suite et elle avait démissionné de son travail. Elle avait disparu et Tariq ne savait pas où la cherchait.

Il payait les conséquences de ses actes et de la pire des manières.

Il souffla comme pour évacuer loin de lui cette douleur qui lui comprimait le cœur à chaque battement ...

Dans la chambre; Annabella faisait de son mieux pour aider Sira à oublier la douleur provoquée par ses contractions. Sira n'avait pas voulu que la sage-femme lui fasse une péridurale; elle ne voulait prendre aucun risque pour son bébé et même si elle souffrait atrocement; elle se disait qu'elle allait supporter pour son bébé.

Sira avait la sensation de recevoir des coups de couteaux en plein cœur à chaque contraction ... Ses contractions s'étaient rapprochées et après une autre vérification de la dilatation du col; la sage-femme jugea qu'il était temps que l'on l'amène en salle d'accouchement.

Deux infirmières amenèrent Sira jusqu'à la salle d'accouchement suivie de près par l'obstétricienne.

Une fois sur la table d'accouchement, elle commença à paniquer quand l'obstétricienn se plaça entre ses jambes.

Ses larmes jaillirent automatiquement et la peur ainsi que la douleur l'empêchaient de réfléchir correctement.

- Sira tu vas pousser très fort à trois ... Un ... Deux ... Trois ...

Sira était comme paralysée et sourde ...

Elle tenta de faire ce que l'obstrecienne avait demandé mais elle en était incapable.

Les instructions de la spécialiste étaient tombées dans l'oreille d'une sourde.

- SI TU NE POUSSES PAS TU VAS ÉTOUFFER TON BÉBÉ.

Elle était terrifiée et même si elle n'était pas à son premier accouchement; elle avait besoin d'être rassurée et l'obstétricienne qui lui criait dessus n'arrangeait en rien la situation.

- FAIS L'EFFORT DE POUSSER SI TU VEUX QUE TON BÉBÉ VIVE.

Sira continua de pleurer pendant que la spécialiste lui demandait de pousser.

- Je ... veux ... Tassem laissa-t-elle échapper d'une voix enrouée. Je ... veux ... Tassem.

Elle répéta la phrase encore en pleurant faisant ainsi augmenter son rythme cardiaque ainsi que sa tension artérielle.

- QUE QUELQU'UN AILLE VITE ME CHERCHER CE TASSEM POUR QU'IL LA RASSURE SINON ELLE RISQUE DE TUER SON BÉBÉ DANS LES MINUTES QUI VIENNENT.

Comme un appel au ciel, le vœux de la specialiste fut exhaussé.

Tassem entra dans la salle d'accouchement ému jusqu'aux larmes.

Son avion avait atterri à Dakar il y a exactement deux mois de cela mais il n'avait pas trouvé la force et le courage nécessaires pour retrouver sa femme et sa famille.

Il était resté beaucoup trop longtemps loin d'eux et il avait peur d'être rejeté par Sira ... Quand cette dernière était sortie de la voiture de Badou; c'était lui la personne qui l'observait en cachette et toutes les autres fois où Sira avait eu cette impression d'être suivie.

La voir de loin lui avait fait ressentir une foule d'émotions qu'il avait peiné à contrôler.

La savoir enceinte jusqu'au cou lui avait fait prendre conscience de l'erreur monumentale qu'il avait commis en disparaissant sans laisser de ses nouvelles.

Mais l'heure n'était pas au regret, il fallait qu'il se reprenne et qu'il fasse sentir sa présence à Sira ...

Il y allait de la vie de leur enfant.

- Amore ! Je ... Je suis là !

II lui prit la main la serrant fortement contre la sienne.

Une chaleur et une sensation familières leur avaient pris tous les deux se propageant dans toutes les parties restantes de leurs corps.

- Tas ... Tassem ... C'est ... bien ... toi ?

Il l'embrassa longuement comme pour lui confirmer qu'il était à ses côtés et après il lui demanda calmement et avec une voix remplie d'amour et de tendresse de suivre les instructions et Sira s'exécuta sans réticence.

La force dont elle avait besoin était à présent au près d'elle et toute peur, toute douleur, toute angoisse s'était évaporée laissant place au courage.

Après plusieurs poussées de la part de Sira et sous les encouragements pleins d'amour
de Tassem; elle donna enfin naissance à son bébé avec et toujours sa main dans celle de Tassem.

- Félicitations Sira ! Vous avez une magnifique petite fille. Si le papa veut bien venir couper le cordon.

Les mains tremblantes et les yeux embués de larmes, il coupa ce lien qui avait lié la mère et l'enfant durant neuf mois tout en créant un autre qui allait duré toute la vie.

L'obstétricienne posa ensuite le bébé sur la poitrine de la Sira pour qu'il puisse suivre le rythme des battements du cœur de sa maman.

Petit à petit leurs deux rythmes cardiaques s'étaient synchronisés.

Se rendant compte que sa fille ne pleurait pas, Sira commença à paniquer demandant pourquoi sa fille ne réagissait pas comme c'était le cas pour Khalil.

La spécialiste pinça doucement la cuisse de la petite pour la faire réagir et elle se mit à pousser des cris faisant sourire ses parents et ôtant par la même occasion toute l'angoisse qu'ils ressentaient.

Une infirmière demanda à Tassem de sortir pour que l'équipe médicale puisse continuer leur travail.

Après s'être nettoyé; Tassem retrouva son frère, sa sœur et sa mère dans le couloir pour leur annonçant que Sira avait donné naissance à leur fille.

Ils étaient émus et à tour de rôle; ils lui avaient pris dans leurs bras pour le féliciter.

La naissance de sa fille lui aura permis d'oublier pour l'instant sa rancœur envers sa mère et son frère ...

Une heures plus tard l'obstétricienne vint leurs annonçait que Sira était en salle de repos. Elle avait fait une hémorragie interne au moment de la délivrance ce qui a nécessité une opération et que tout s'était bien déroulé par la suite. Elle ajouta que Sira se réveillera le lendemain et qu'il n'y avait pas de quoi s'inquiéter.

Elle informa le père que sa fille était à la nursery et qu'elle avait besoin de son père le plus rapidement possible.

Toute l'euphorie du moment venait de retomber.

Tassem suivit une infirmière le cœur battant jusqu'à la nursery où il trouva sa fille qui était placée dans une couveuse. La petite dormait profondément.

Le pédiatre lui expliqua brièvement que sa fille avait un peu de mal à respirer et qu'elle avait de son père.

Tassem déboutanna sa chemise suite aux explications tout en prenant place sur une chaise.

Le pédiatre plaça le bébé sur le torse de son père et il surveilla ainsi sur le moniteur le rythme cardiaque du bébé qui peu à peu se régulariser.

Quatre heures plus tard, le rythme cardiaque du bébé s'étaient stabilisés et les résultats des examens devaient sortir demain matin.

Tassem avait extirpé tout l'air qu'il avait retenu; il avait espoir que sa petite fille aille mieux.

Il ne lui restait qu'à demander pardon à sa femme pour l'avoir abandonner lâchement durant des mois ...

























Lendemain matin ...






















Tassem

J'étais pris d'une peur subite quand je fus en face de la salle de repos.

Je ne savais pas quelle attitude adoptée ni quoi dire quand je serai en face de Sira.

Je ne savais non plus comment allait-elle réagir quand elle me verra.

Allait-elle m'en vouloir d'être parti ?

Allait-elle m'accueillir à bras ouverts ?

Allait-elle me pardonner d'avoir été lâche et égoïste ?

Les réactions de Sira étaient très imprévisibles. Quand elle se sent blesser; elle a tendance à se renfermer sur elle-même et j'ai fait plus que la blesser.

Des tonnes de questions avaient jailli dans mon esprit nourrissant le doute ... une multitude de doutes en moi.

Je posais ma main sur le loquet de la porte et je l'ouvris finalement ... doucement.

J'hésitais à m'avancer dans la chambre ...

Je m'avançais dans la chambre en traînant des pas. Arrivé au milieu de la pièce, je vis le berceau de notre fille posé à côté du lit où Sira dormait encore à poings fermés sûrement fatiguée par l'accouchement.

Je me mis alors à contempler ma fille couchée sur le dos; elle était magnifique ...

Elle avait tout hérité de moi. Tout ... De ma couleur de cheveux, à mon teint métissé en passant par mes yeux ... Elle était une mini-moi.

Un large sourire se dessina sur mes lèvres.

Contrairement à sa mère, elle ne dormait pas. Pour un nouveau-né elle s'adaptait plutôt bien à la lumière des lampes. Elle avait une tétine dans la bouche et elle portait une grenouillère rose assortis à son bonnet. Elle agitait ses petites mains et ses petits jambes dans tous les sens; elle me fixait également de ses yeux bleus si intensément et curieusement que j'en avais la chair de poule.

J'en arrivais à me demander si elle me connaissait et si elle m'en voulait d'être resté aussi longtemps loin d'elles.

Mes larmes coulèrent automatiquement quand je la pris pour la deuxième fois dans mes bras ...

Elle était tellement minuscule dans mes mains que j'avais peur de la briser.

Ma fille !

Je tenais dans mes bras la chair de ma chair; le fruit de notre amour à Sira et à moi.

C'est de loin le plus beau cadeau que Sira m'ait faite.

J'avais encore du mal hier à me faire à cette idée.

Ma petite fille ! Mia figlia !

Je la berçais doucement en souriant encore et encore jusqu'à ce qu'elle s'endorme paisiblement dans mes bras.

Quelques plus tard; mes parents étaient venus voir ma fille et comme je m'y attendais; ils étaient tous conquis par la petite bouille toute mignonne de ma fille.

Ils sont restés quelques instants avant de me laisser seul avec elle et sa mère.

Pendant que sa mère dormait toujours, je faisais connaissance avec ma petite fille tout en lui donnant son biberon; elle s'était réveillée il y a quelques heures.

Je me surpenais à lui parler pendant qu'elle me fixait toujours si intensément.

Son regard avait quelque chose de profond ...

À chaque fois que ses iris bleus s'ancraient aux miens, j'avais cette sensation qu'elle me sondait le cœur et l'âme.

C'est certain qu'elle allait faire des ravages au près des garçons une fois adulte mais je m'assuserai qu'aucuns d'eux n'osent l'approcher.

Je m'en fais la promesse.

- Mon ... Mon ... bébé ... Je veux mon bébé.

Sira venait de se réveiller apparemment et j'étais statué sur place.

J'étais incapable de sortir le moindre mot.

Sira tourna sa tête vers moi en écarquillant des yeux.

- Tas ... Tassem ... C'est bien toi ? ... Je n'avais pas rêvé alors murmura-t-elle pour elle-même.

Je tressaillis lorsque des larmes jaillirent de ses magnifiques yeux noirs; une douleur me vrilla l'estomac.

Je réalisais alors à quel point ce que j'avais fait et ce que je lui avais infligé; était stupide, irréfléchi et puéril.

Partir n'était vraisemblablement pas la solution !

J'ai vraiment merdé !

Plus que merdé !

J'aurais dû venir la retrouver il y a trois mois, j'aurais dû revenir au près quand je suis revenu et non rester tapis dans l'ombre comme un le lâche que je suis à la surveiller et à épier tous ses mouvements comme si cela pouvait compenser tous ces mois d'absence.

En fait je m'en voulais atrocement d'être resté loin d'elle durant tous ces mois sans prendre de ses nouvelles ni de m'être inquiété pour elle et quand je suis revenu j'avais tout simolement peur qu'elle me rejette et qu'elle m'en veuille.

J'ai été égoïste sur ce coup là je l'admets.

J'espère que Sira aura la force nécessaire de me pardonner une fois sa colère évacuée.

J'ouvrais la bouche pour m'exprimer mais notre fille se mit subitement à pleurer.

Je me penchais au-dessus du berceau pour la prendre dans mes bras et la calmer.

Je sortis prévenir l'obstétricienne que ma femme s'était réveillée. Elle est venue aussitôt lui faire une consultation de routine et elle avait conclu aux bouts d'une demie-heure que Sira allait bien et que l'opération était une réussite.

Elle sortie suivie de l'infirmière me laissant avec ma petite famille.

- Donne-moi ma fille ! Tu n'as pas le droit de la toucher ! Tu n'as pas le droit de l'approcher Tassem ! Tu n'as aucun droit sur elle !

Elle commençait déjà à s'agiter alors je lui remis notre fille pour la calmer.

La petite se tut aussitôt dans les bras de Sira.

Je restais alors en retrait pendant qu'elle lui donnait le sein en souriant de toutes ses dents.

D'un côté j'avais envie de lui demander comment elle se sentait après l'accouchement et son opération; d'un autre je ne voulais plus la contrarier et donc je choisis l'option la plus raisonnable à savoir me taire et observer.

Je profiter que Sira soit concentrée sur notre fille pour prendre discrètement une photo d'elles.

Plusieurs minutes passèrent et je restais toujours assis sur la chaise en face d'elles sans pour autant parler.

Sira non plus ne parlait !

J'étais devenu invisible à ses yeux.

J'aurai préféré mille fois qu'elle m'insulte ou qu'elle me crie dessus que ce silence dans lequel elle s'est tue.

Mes parents, Nadine et Tariq étaient encore passés pour voir Sira et lui avaient apporté à manger.

Je faisais un énorme effort face aux deux traites même si le cœur n'y était pas ... Je faisais cet effort pour ma femme qui discutait joyeusement et riait même avec eux sans m'accorder le moindre regard ni la moindre parole même quand ma mère lui avait demandé si elle m'avait vu, elle avait juste changé de sujet me laissant encore plus en colère et frustré que je ne l'étais déjà.

Elle avait également adopté le même comportement devant les membres de sa famille qui eux aussi surpris que Nadine de me voir.

Je crois que ma petite disparition avait inquiété bien plus de monde que je ne l'aurai pensé.

J'étais à bout de nerfs et contrarié au fil des heures qui se sont écoulées.

Je voulais prendre ma fille dans mes bras mais sa mère m'en avait empêché même quand une infirmière était venue l'aider à rejoindre la toilette.

D'après elle je n'avais pas le droit de toucher ni d'approcher "sa fille".

Je n'avais pas polémiqué parce que j'avais tort et que c'était moi qui avais occassioné cette situation n'empêche que je me sentais mal d'être ainsi privé de ma petite fille et de l'habitude de sa mère.

Lasse de m'adresser à un mur; je suis sortie prendre l'air attendant que Sira s'endorme pour que je puisse revenir tranquillement dans la chambre.

Mes pas m'ont conduit dans le jardin de la clinique.

J'y ai trouvé Tariq, il s'est levé dès qu'il m'a aperçu.

J'étais partagé entre la haine et la pitié.

Je ne savais plus comment me comporter avec lui ...

Nous étions tous les deux génés.

Et pourtant peu avant cette nuit nous nous étions rapprochés et notre relation s'était nettement améliorée.

J'avais su trouver en lui un grand-frère, le grand-frère que je n'avais jamais eu durant ses trente dernières années et il m'arrivait de m'en vouloir de n'avoir jamais fait l'effort pour le comprendre et lui tenir une conversation sans disputes.

Je m'en voulais tout simplement de lui avoir privé de l'amour de notre mère. Je m'étais promis de tout faire pour ne plus créer de disputes entre nous ...

Que l'on continue tout simplement d'être des frères l'un pour l'autre et lui .... il m'avait blessé de la pire des manières oubliant que j'étais son propre petit frère.

Je m'assieds finalement à côté de lui pendant qu'il se prenait la tête dans ses mains.

Nous ne parlions pas !

Qu'allions-nous nous dire dans de pareilles circonstances ?

On profitait alors du calme, de ce silence confortable et des gazouillis des oiseaux.

Ainsi; on resta durant une heure sans nous adresser la parole.

- Je suis désolé Tassem.

- Je ne suis pas encore prêt à tenir cette conversation avec toi. Laisse-moi juste profiter du calme !

Il n'insista pas et c'était tant mieux !

Malgré tous ces mois passés loin de lui je n'arrive toujours à digérer sa trahison.

Quelques heures passèrent et je me levais sans un mot pour lui rejoignant ma petite famille tout en espérant que ma femme ait retrouvé son calme ...















*

Hello 😇

Alors le retour de Tassem ?

Souhaitez à la mini Tassem bienvenue !

Laissez vos avis 🙇

Merci 😍

29/04/2019 Deekha 15

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