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La fameuse partie avec les "biscuits chinois" 😉😏

Bonne lecture !











Tariq Al Quassim

Je me suis réveillé ce matin avec ce sentiment d'optimisme que les gens normaux ressentent probablement tous les matins au réveil.

Sauf que moi, je n'étais pas coutumier du fait.

C'était tellement agréable que j'ai traîné au lit deux heures de plus qu'à mon habitude.

Juste comme ça, pour le plaisir.

Depuis que je sortais avec la naine je me sentais revivre.

Cette heure-ci je devais être dans mon bureau à travailler depuis deux heures mais j'avais décidé de prendre ma journée à flâner chez moi et à profiter de ma nouvelle petite-amie.

Je me levais finalement du lit pour me doucher ensuite j'irai prendre mon petit-déjeuner en compagnie de ma Deekha.

Je passais au moins une demie-heure sous la douche ensuite j'entrepris de me raser la barbe et de m'épiler les sourcils avant de sortir.

J'étais très pointilleux sur mon visage ainsi que sur mon physique. Je prends tout simplement soin de moi.

Nous les italiens sommes ainsi. Nous aimons plaire et séduire. C'est ainsi !

Je sortis de ma chambre habillé et parfumé pour rejoindre ma bella dans la cuisine.

Je la trouvais dos tourné à la porte sûrement entrain de s'affairer sur le petit-déjeuner ou sur la vaisselle.

- Mia vita (ma vie) ! Si tu savais comme tu m'as manqué durant cette nuit.

J'avais passé mes bras autour de sa taille l'encerclant ainsi contre moi. J'enfouissais mon visage dans son cou humant à la fois son odeur naturelle mélangée à son shampooing fruité.

Cela avait le don de m'apaiser et de me rendre encore plus fou d'elle.

- Al Quassim fais-moi la faveur de te décoller de moi. Ngaye sathie plaisir ni et tu penses que c'est ta phrase pourrie la qui va t'aider.

J'ai souri sans pour autant me décoller de ce corps tout chaud et svelte qui réchauffait le mien.

- Ah bébé ioe tamitt ne t'ai-je pas manqué de la nuit ?

- Écoute Tariq ce n'est pas ainsi que je finirai dans ton lit avec toi au dessus de moi. Si tu as pris l'habitude de coucher avec toutes les bonnes qui ont eu travaillé pour ta famille sache dès à présent que je serai l'exception à cette règle. Maintenant fais-moi la faveur d'enlever tes pattes yangui maye khossi.

- Mon bébé qu'est-ce qui a changé entre nous ? Pourtant hier tu étais bien calée dans mes bras alors dis-moi pourquoi me repousses-tu ce matin ?

- Pour la dernière fois enlève tes bras ! Et si tu veux tout savoir je ne veux aucunement finir comme Soukeyna. Tu croyais que je n'allais pas découvrir que tu as entretenu une relation avec elle et après avoir obtenu d'elle ce que tu voulais tu l'as jeté sans scrupule.

- Ah c'est donc ça la naine dis-je en me frottant contre ses fasses.

- Ouais c'est ça ! Et pour l'amour de Dieu ne m'appelle plus la naine et décolle-toi de mes fesses.

Je soufflais et je fis ce qu'elle demandait. Je partis m'asseoir de l'autre côté du plan de travail.

Je l'observais tout en me demandant quand est-ce que j'aurais la paix.

Comment mon frère avait fait pour se débarrasser de toutes ses maîtresses ?

Il faudra que je lui demande.

Sérieux ! Les femmes peuvent-être de vraies pot de colle quand elles s'y mettent.

Il faut vraiment que je trouve une solution et vite.

- Tu es jalouse mon amour ? Posais-je quand elle prit la peine de se retourner.

- Oui !

Une qualité que j'appréciais chez la naine c'était sa franchise. Elle n'avait pas peur dire ce qu'elle pensait même si cela signifiait vexer les gens et j'adorais cela chez elle.

Je me leva pour me mettre en face. Je pris ses mains dans les miennes. Comparer aux miennes les siennes étaient toutes riquiqui.

- Tu n'as pas à être jalouse ! Mane ioe rekk laye wattei (Je ne jure que par toi). Si je ne t'ai rien dit concernant moi et Soukeyna c'est juste parce que ma relation avec elle n'était pas importante à mes yeux. Tu es la seule femme qui compte pour moi et la seule qui se trouve ici dis-je en posant sa main sur mon cœur.

Elle ébaucha un sourire en encerclant ses mains autour de mon cou. Je dus incliner ma tête pour être à sa hauteur et l'embrasser doucement.

- Je ne supporte pas quand tes ex-maitresses viennent à la villa pour te voir. Je suis de nature très possessive et je ne suis pas sûre de devoir m'habituer à ta vie de Don Juan.

- Tu es la seule qui compte alors ait confiance en moi.

Elle allait sûrement répliquer quand je la pris par la taille pour la poser sur le plan de travail. Je l'embrassais en à perdre mon souffle, ses lèvres étaient d'une telle douceur et d'un tel goût qu'il m'était impossible de m'en séparer.

Pour dire vrai j'avais aucune envie de le faire.

La naine allait me rendre complètement fou.

Le bruit d'une chaise qu'on tirait nous fîmes tomber de notre petit nuage.

Je stoppais notre baiser pour tourner ma tête vers la personne qui venait de gâcher mon petit moment de becottage.

- Tu n'es pas sensé être au travail Tariq.

Je fis descendre ma chérie du plan de travail tout en la tenant fermement dans mes bras pour ne pas qu'elle prenne la fuite dès qu'elle verra ma mère.

Je n'avais pas du tout honte que ma mère nous ait surpris dans la cuisine parce qu'elle faisait la même chose avec mon père alors il n'y avait absolument rien à avoir honte.

À l'évidence elle avait marre de me voir célibataire et coureur de jupon alors me savoir en couple et sérieux avec la naine était une aubaine pour elle.

- J'ai pris ma journée maman. Et Deekha également ! Nous allons sortir.

- J'ai du travail Al Quassim au cas où tu aurais oublié.

- Ma mère saura se débrouiller seule. N'est-ce pas maman ?

- Tu peux prendre ta journée Khadija sans problème.

Je sortais de la cuisine en tirant Deekha qui traînait les pieds derrière moi.

Je m'arrêtais au pas de l'escalier et elle buta sur mon dos. Je me tournais pour la porter en mode sac patate. Elle poussa des protestations, me pinça par moment mais Je n'en fis pas cas et quand j'en eus marre je lui donnais une fessée ce qui eut le don de la calmer me faisant rire bruyamment.

Je le mettais sur ses pieds quand je refermais la porte de sa chambre.

- Vas prendre une douche ! Quand tu auras terminé habille-toi décontractée et retrouve-moi dans le salon.

- Je n'ai pas mon mot à dire daal.

- C'est exactement ça ! Obéit rekk ! Je t'aime.

Je lui fis un bisou sur la joue et j'allais me préparer de mon côté.

Mon téléphone vibra dans mon short au moment où j'ouvrais la porte de ma chambre, je consultais mon téléphone avec l'envie d'éclater mon téléphone sur le mur.

Putain encore un autre message !

C'était encore le même message provenant du même numéro masqué qui chercher à foutre ma vie en l'air et qui m'était mes nerfs à rude épreuves.

Pourquoi cela arrive juste maintenant mon Dieu ?

Pourquoi juste au moment où je construis une relation que j'espère durable avec Deekha ?

C'est certain qu'elle allait me quitter quand tout se saura et ma famille ... Je ne préfère même pas y penser ...

Le destin est vraiment un enculé qui cherchait à me faire passer pour un monstre si tout le monde découvrait ce que j'avais fait.

En quittant le pays je pensais avoir pris la bonne décision pour le bien de tout le monde mais visiblement je m'étais trompé.

Une espèce de connard cherchait à me faire peur.

Je réfléchissais sur l'identité de la personne qui m'envoyait depuis des semaines des messages de menaces et rien ne me venait à l'esprit ... La seule personne au courant de tout cette histoire ne jouerait pas avec moi et elle a plus à perdre ... Beaucoup plus que moi.

Putain de merde !

Ayant marre de réfléchir et de n'aboutir à rien je m'habillais sans grande conviction dans mes gestes; ma tête était pleine d'interrogations ...

Je pris mon portefeuille, mon téléphone et je sortis de la chambre.

Ce n'est pas un petit merdeux qui va foutre ma journée ni ma vie en l'air.

J'allais profité au maximum de ma sortie et après j'aviserai.

Une demie-heure à attendre la naine elle me trouva enfin dans le salon et nous sortîmes la seconde suivante direction notre première destination à savoir le centre commercial.

La naine allait sûrement piquer une crise quand elle saura ce que j'allais faire mais bon j'assuremais les conséquences comme un grand garçon.

Nous arrivâmes à destination et nous nous dirigeons main dans la main à la première boutique.

Dans la boutique, je saluais chaleureusement la gérante Faguy avec qui j'avais entretenu une relation il y a de cela quelques années.

Les salutations faites, j'entamais de lui expliquer l'objet de notre visite et comme je l'avais deviné la naine sortit aussitôt de la boutique visiblement en colère contre moi.

Je m'excusais au près de Faguy et je la rejoignis dehors.

- Je n'ai aucunement besoin de changer ma garde robe Quassim. Soit tu m'aimes comme je suis ou tu peux aller te faire foutre.

Note N°1 à moi-même : Éduquer la naine pour qu'elle me respecte à l'avenir !

Elle a la langue beaucoup trop pendue à mon goût mais je me chargerai de la façonner comme je le désire.

- Tu te plains tout le temps du fait que les gens ne te prennent jamais au sérieux résultat tu es diplômée mais personne ne veux t'embaucher comme assistante ... Tu ne t'es jamais demandée pourquoi à la première impression les gens pensent que tu as dix-huit ans au lieu de vingt-quatre ans ?

Et c'était vrai !

En plus d'être une naine elle avait le visage d'une adolescente. La première fois qu'elle m'avait donné son âge je l'avais traité de menteuse jusqu'à ce qu'elle me montre sa carte d'identité.

Je peinais à croire qu'elle avait vingt-quatre ans tellement elle ne les faisait pas.

Deekha est une femme dans le corps d'une adolescente.

- J'avoue que non répondit-elle en se grattant la tête l'air penaud.

Elle aime vraiment se gratter la tête celle-là.

Note N°2 à moi-même : Acheter à la naine un shampooing contre les poux et les pellicules.

- C'est pour la simple et bonne raison que tu t'habites comme une adolescente tout juste sortie de la puberté. Tu es super belle sans exagération de ma part mais tu n'essaies pas de mettre en valeur ta beauté ni tes atouts. Alors je te propose un relooking express, je vais changer la totalité de ta garde-robe et t'acheter de nouveaux vêtements qui seront adaptés à ta personnalité, qui vont te donner de la maturité, qui feront de toi une vraie jeune femme et ma nouvelle assistante ... Je veux que tout le monde sache que je suis amoureux d'une bombe de petite taille ... Accepte que je dépense de l'argent pour toi !

- Il n'est pas question que je devienne ton assistante. Que va penser ta famille ?

Note N°3 à moi-même : Faire perdre petit à petit à la naine sa fierté.

- Je m'en fous de leur avis. Tu es la seule qui compte. Je t'aime Deekha alors accepte que je prenne soin de toi. Tu es la première femme à qui j'exprime ouvertement mes sentiments alors sache que je ne joue pas avec toi. Tu es arrivée dans ma vie au moment où je n'en avais le plus besoin et tu m'as aidé à garder la tête hors de l'eau, à me réconcilier avec mes parents ainsi qu'avec mon petit frère, à me dire que la vie que la vie valait la peine d'être vécue. Grâce à toi ma naine chérie je vois la vie sous un angle différent.

- OK ! J'accepte parce que je t'aime.

- Je sais.

Nous retournons dans le magasin de vêtements. J'expliquais encore à Faguy le type de vêtements et d'accessoires que je voulais pour ma chérie et je la laissais sélectionner pendant j'allais m'installer au fond du magasin et Deekha alla dans un des cabines d'essayage.

Une dizaine de minutes passèrent et j'entendis le claquement de talons sur le carreau alors je relevais doucement la tête de mon téléphone.

Deekha se tenait devant habillée d'une jupe crayon taille haute blanche en simili-cuir
qui faisait ressortir sa taille de guêpe, elle avait également une chemise en cachemire saumon et des bottines à talons de la même couleur que la chemise.

J'avais le souffle coupé par sa silhouette et par tant de beauté.

- Je sens ridicule dans cette tenue.

Je me précipitais à sa hauteur pour capturer ses lèvres et pour la faire taire.

Je violais littéralement sa bouche par ma langue.

J'en oubliais même que nous étions pas seuls.

- Tu es sublime ma chérie. Tourne-toi dis-je en l'aidant à effectuer une rotation sur elle-même.

- Je valide cette tenue à mile pour cent. On passe aux autres Faguy.

- Sûre ? Quassim ne me ment surtout pas.

- Certain amore. Tu es parfaite dedans. Bellissima !

Les autres tenues qu'elle avait essayé lui allaient parfaitement tous sans exception. J'aurais dit une deuxième peau.

Faguy avait fait de l'excellent travail et j'étais super content des essayages et de ses choix.

J'avais de mon côté sélectionné des ensembles de lingeries ultrasexy pour elle demandant à Faguy de lui faire croire que l'idée venait d'elle.

J'avais hâte de la découvrir dedans surtout l'ensemble en dentelle blanche que j'avais pris exprès pour elle.

Faguy lui avait également fait une sélection de sacs, de chaussures et de bisous pour touts types d'occasions. Je payais tous nos achats et je demandais à Faguy de tout faire livrer chez moi.

De notre côté, nous nous sommes rendus à l'étage. Chez le coiffreur j'avais choisi moi-même sa coiffure et j'avais opté de lui laisser ses cheveux crépus et de les coiffrer de tel sorte qu'elle ait la possiblité de la reproduire elle-même en cas de besoin. J'avais aussi demandé un soin complet incluant la manucure, la pédicure et soins du visage pour elle.

Je voulais une nouvelle Deekha et j'allais l'avoir à la fin de cette journée.

Pendant qu'on s'occupait d'elle, je sortis pour aller lui acheter des effets de toilettes. J'avais choisi des gammes complètes pour le corps et les cheveux, des parfums de classe pour elle. Je n'avais rien laissé en rade même s'il fallait que je dépense trois mois de salaire pour elle alors je le refais car elle mérite.

Deux heures trente minutes plus tard à flâner dans le centre commercial, je partis retrouver ma belle.

Là également les filles du salon de coiffure avait effectué des merveilles sur elle.

Elle était belle et moi qui l'avait trouvé banale la première fois j'étais subjugué face à cette transformation.

- Waouh ! Je suis sans voix amore. Tu es bellissima ( magnifique ) !

- Merci Quassim.

- Tu es devenue timide ?

- Tu rêves mon cher.

Je ris tout en secouant ma tête de droite à gauche en l'entraînant dehors.

- Allons manger !

Je réglais la facture et nous nous rendîmes dans un des restaurant.

Nous sommes restés sur la terrasse à discuter après avoir mangé comme nous faisions chaque soir dans le jardin de la villa.

Ces moments en sa compagnie valent tout l'or du monde, l'écouter me parler de sa famille, de ses souvenirs d'enfance me faisait prendre conscience de la chance que j'ai eu d'être tombé in love d'elle.

Nous sommes rentnés à la maison vers seize heures car j'avais prévu de terminer la journée en beauté en allant d'abord dîner au restaurant ensuite en boîte de nuit en compagnie de Tassem, Sira, Nadine, Khalifa ...

C'était là une occasion pour fêter ma nouvelle idylle et le mariage de ma sœur.

Mes parents eux; joueront au baby-sitter avec les enfants pendant que nous les jeûnes, irons nous amuser.

- Vas te reposer ! Nous sortons ce soir.

- Je t'aime Quassim. Je n'oublierais jamais cette journée; c'était super !

- Je t'aime ma naine chérie répondis-je en la serrant dans mes bras.

- Arrête avec ce surnom gros malin.

Un dernier câlin chacun rejoignit sa chambre.




















Quelques heures plus tard ...












Nous étions dans le salon moi,Tassem et Khalifa. Nous attendions que les filles descendent enfin pour partir.

J'étais sûr que c'était Deekha qui faisait des siennes pour ne pas porter la robe que j'avais expressément sélectionné pour elle.

Je me levais de mon fauteuil pour les rejoindre quand jentendis des éclats de rire provenant des escaliers.

Enfin c'était pas trop tôt.

Les filles étaient toutes sublimes mais Deekha l'était encore plus que les autres à mes yeux car Tassem et Khalifa pouvaient penser la même chose de Sira et de Nadine.

Quand elles furent dans le salon nous disons au revoir aux parents et nous partîmes chacun de notre côté vue que tout le monde était véhiculé ce soir.

J'avais fait ma réservation au restaurent Les délices de Rahmia tenu par la belle-soeur de la sœur de Sira.

Son restaurant était hyper huppé et en ce dernier jour de la semaine, il devait afficher complet.

- Cette robe te sied à merveille dis-je pour briser la glace.

Je posais ma main sur sa cuisse nue et je la caressais tout en essayant de garder un œil sur elle et sur la route mais c'était peine perdue.

- Concentre-toi sur la route Quassim !

Je secouais ma tête en faisant ce qu'elle demandait en riant. Je me laissais ensuite bercé par la chanson Ma Go de Singuila.

Nous étions les derniers à nous garer au parking restaurant et puisque j'avais fait la réservation cet après-midi c'était à moi de les guider jusqu'à notre table.

Comme je l'avais deviné, le restaurant était bondé ce soir.

Nous nous installons au carré VIP et Mariama la propriétaire vint nous saluer et discuter avec nous quelques minutes avant de repartir nous laissant un de ses serveurs en notre entière disposition.

Nos commandes faites, nous entamions la discussion sur la politique en générale ensuite sur l'économie. Là mon frère et sa femme se sont chamaillés car ils n'étaient pas du tout d'accord sur certains points mais Tassem a laissé Sira avoir raison en disant je cite : qu'elle avait tout le temps raison. Nous autres avons juste ri en le traitant de peureux, chose qu'il avait accepté nous répondant encore que Sira était sa vie alors il s'en fichait de nos différents avis.

Le serveur était arrivé ensuite avec nos commandes ...

Nous avons mangé tout en discutant et riant.

La soirée a bien débuté ...

Des questions plutôt indiscrètes nous ont été posées à moi et à Deekha. Des questions du genre à quand le mariage, le nombre d'enfants que nous voulons tous les deux ... Deekha était très mal à l'aise alors ils sont passés à un autre sujet. La naine était timide avec les autres alors que quand elle est avec moi, elle devient une petite chef me menant par le bout du nez.

Nous avons passé un bon diner sous une bonne ambiance entre nos rires à hautes voix, les anecdotes pourries racontées par Nadine, le concours de devinettes improvisés par Deekha, les questions de culture générale du docteur Khalifa et les scènes de becottage de Sira et de Tassem, nous avons passé mine de rien un agréable moment tous ensemble.

Je pensais déjà à en organiser un autre bientôt ...

Je m'étais levé pour régler l'addition
quand nous avons décidé de partir en boîte .

- J'ai réglé la note les gars. Nous pouvons partir.

Nous nous levâmes pour sortir de table quand notre serveur vint nous voir avec un panier nous disant que c'était des biscuits chinois.

Il ajouta que c'était de la part d'une jeune femme qui avait insisté pour qu'il nous les remette. Il tourna les talons quand Nadine prit le panier.

Moi je trouvais cela bizarre quand-même ...

- J'adore les biscuits chinois, il y a toujours des proverbes intéressants et complètement nuls dès fois. On les ouvre et après nous y allons s'exclama Nadine en se rasseyant. Oh regardez il y a même le prénom de chacun de nous inscrit sur un biscuit.

Coïncidence ou non je m'en fichais du moment que nous allions partir juste après.

Et comme ce que femme veut, Dieu le veut alors nous nous sommes tous rassis et chacun a entrepris de lire à haute voix le contenu de son biscuit.

- « Le silence est un ami qui ne trahit jamais. » vérité absolue s'exclama Nadine se tournant vers son mari.

Deekha entama la lecture de son biscuit.

- « Quand on ne sait pas ce qu'est la vie, comment pourrait-on savoir ce qu'est la mort ? » encore une vérité ajouta-t-elle en souriant se tournant vers moi.

C'était autour de Sira de lire le sien.

- « Choisissez un travail que vous aimez et vous n'aurez pas à travailler un seul jour de votre vie. » encore une pure vérité dit-elle. Mon travail consiste à aimer mon amore un peu plus chaque jour qui passe.

Et c'était reparti pour une autre séance de becottage entre mon frère et sa femme.

C'était limite s'ils ne faisaient pas un bébé sous nos yeux.

Ils n'ont aucune gêne ces deux-là.

- « Mieux vaut dire " Veux-tu du mien " que dire " Donne-moi du tien" » Euh ... Je ne suis pas sûre de comprendre dis-je. Khalifa c'est à ton tour.

- « Votre avenir est sans limites comme le firmament » Je crois que celui qui a écrit ça est un poète raté. Tassem yassi desse ( Il ne reste plus que toi).

- Oh coïncidence il y a un biscuit avec mon prénom inscrit dessus.

- Comme c'était le cas pour nous autres fratello ( frère ) dis-je en faisant rire toute la table lui y compris.

- Voyons ce qu'il y a écrit dedans « Consulte ton téléphone » de mieux en mieux.

Tassem était devenu d'un coup sérieux en déverouillant son téléphone et son visage de décompasait à chaque seconde qui passait.

Ses yeux passèrent de moi à son téléphone quelques minutes sans qu'il ne nous explique ce qu'il y avait lu.

- Cosa ti succede ? Que t'arrive-t-il ? Demandais-je pour être fixé.

Car il commençait à me faire peur, à nous faire peur.

- Amore qu'est-ce que tu as ? Questionna Sira en posant sa main sur son épaule.

La seconde d'après mon frère me balançait son téléphone en plein visage et il me sautait dessus sans que je comprenne ce qui lui passait réellement dans la tête ....
















~

Hello 😇

Pourquoi Tassem est aussi sauvage rekk avec mon amore ? 😡😠😈😥😤😧

Merci et bah dans ... ça dépend de vous 😁

20/04/2019 Deekha15

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