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Je me souhaite un happy anniversaire 😘💃. Ouais si si 😆🎉🎊💃🎉🎊💗💗















Tariq

Que cela m'avait fait du bien de sortir tout ce que j'avais sur le coeur ce soir.

De là pire des manières peut-être mais cela avait été libérateur pour moi. Je n'avais aucune intention de blesser mes parents mais je n'ai pu me contrôler. Les maux que je gardais jalousement enfoui en moi ont franchi ma boucle et j'ai laissé libre cours à mes pensées.

J'avais accumulé trop de souffrances; de peine et ce soir c'était la goutte de trop.

J'avais besoin de faire savoir à tous que je souffrais en silence.

Souffrance; que j'ai nié pendant trente-deux ans, me disant que c'était juste pas possible, ma mère a dû m'aimer ne serait-ce qu'un instant même si elle était à la limite froide avec moi.

Au fil des années j'ai remarqué plus je lui donnais, moins elle m'en donnait en retour.

On attache à l'autre dans une relation de non attachement.

Ô combien c'est alienant et malsain cette relation.

Ô combien c'est cruel et castrant de se voir priver d'une affection.

Rien de plus avilissant et de plus frustrant pour un être humain que de s'attacher a un autre être humain qui ne peut et ne pourra jamais nous donner ce que l'on espère ou nous aimer comme on le souhaite.

Ma mère est pour moi comme un soleil d'hiver. Il est là, présent, vital, lumineux, important, mais ne me réchauffe pas le cœur.

Elle m'avait tout donné logistiquement parlant, nourri mais m'avait affamé émotionnellement. Je lui ai toujours pardonné, estimant que ce n'était pas de sa faute, puis j'ai espéré trouver l'amour d'une mère avec la naissance de Nadine, mais rien ... à nouveau, que du fonctionnel, pas d'amour maternel véritable.

J'ai alors recherché cet amour et la reconnaissance dans tout mon réseau social, maladroitement quelques fois ...

Pourtant, depuis tout petit, j'ai tout fait pour être parfait et surmonter toutes les montagnes avec force et courage que beaucoup m'enviaient, avec de surcroît un magnifique sourire permanent au visage, à la recherche constante du compliment, de tous, mais surtout d'elle ! Il n'est jamais venu.

En grandissant je faisais tout, absolument tout pour me faire remarquer et le seul moyen que j'avais trouvé; était de m'attaquer toujours à Tassem.

Je l'admets j'étais et je suis toujours jaloux de mon petit frère et de la relation fusionnelle qu'il partage avec notre mère.

Combien de fois ai-je rêvé d'avoir une relation normale avec lui ?

Une vraie relation de frères complices qui allaient se raconter leur premier amour, leur peine de coeur hélas tout cela n'était qu'un rêve qui ne s'est jamais réalisé pour la simple et bonne raison qu'à chaque fois ma jalousie prenait le dessus et je devenais méchant avec Tassem or ce n'était jamais mon but.

Cette jalousie m'a poussé plus d'une fois à lui faire du mal et je regrette aujourd'hui avoir fait une chose que j'espère ne se saura jamais jusqu'à ma mort.

J'aime mon frère même si je ne le montre suffisamment pas assez.

Ce soir, je n'en pouvais plus de porter ce masque, ce faux sourire ... de un trop lourd à porter et de deux, qui aurait empêché toutes personnes de mon enfance, adolescence, adulte, de constater ce gouffre en moi, bien enfoui, trop enfoui ...

Pourquoi est-ce que tout d'un coup, cette souffrance est évidente et insupportable?

Comment parvenir à avancer et ne plus ressasser tout ça?

Comment arriver à ne plus se focaliser que sur le négatif ?

Je suis conscient que la vie nous apporte tant de belles choses et pourtant je n'arrive pas ou plus à les voir...

J'aimerai tellement trouver une personne, une femme qui m'aimera et comblera ce vide émotionnel béant que ma mère a occasionné ...

Je tente d'avancer avec mes petits pas et je crois pouvoir dire que mon approche générale dans la vie s'en voit modifiée, avec un autre sens, avec une part de vérité.

En me libérant ce soir je n'espère aucun résultat particulier venant de sa part; j'espère juste qu'elle se rendra compte des erreurs qu'elle avait faites surtout avec Nadine.

Je reste avec le souhait qu'elle puisse un jour se libérer elle-même ...

- Vous devriez avoir honte de parler ainsi à votre mère.

Mettant ainsi fin à mes réflexions personnelles je tournais nonchalamment ma tête vers cette voix douce qui venait de me parler d'une manière si osée et peu commune que j'en suis plus que choqué.

Un petit bout de femme d'à peu près un mètre soixante cinq habillée d'une robe datant d'au moins de l'époque des dinosaures ou sûrement de la première guerre mondiale se tenait en face de moi les mains bien placées sur les hanches avec une expression faciale qui traduisait bien une colère male dissimulée.

- Excusez-moi ! Qu'avez-vous dit ?

- Je dis que vous n'êtes qu'un petit mal élevé qui ne respecte pas sa mère ajoute-t-elle.

Suite à sa dernière phrase, je me suis automatiquement levé du fauteuil sur lequel j'étais assis il y'a quelques minutes pour m'avancer vers elle. Je tournais autour d'elle inclinant ma tête en m'en tordre le cou pour l'étudier sous tous les angles et sous toutes les coutures en gardant un visage impassible accompagné d'un sourire en coin quand j'eus fini mon analyse.

La conclusion était que j'avais en face de moi une naine dont mère nature avait oublié de doter en chair et en forme quand elle faisait sa répartition. La jeune femme en face de moi n'avait rien d'exceptionnelle, elle était juste banale.

- Qui vous a autorisé à me parler ? Et d'une manière aussi irrespectueuse ?

J'avais dit ces mots à quelques centimètres près de son oreille pour qu'elle puisse sentir mon souffle.

Je ne savais pas pourquoi j'avais subitement envie de sourire et de prolonger la conversation avec la naine.

Il est plus que sûre que je n'étais pas dans mon état habituel pour penser une seconde me la faire.

Une idée saugrenue qui venait de me traverser l'esprit.

- Je me suis autorisée à vous parler aussi irrespectueusement que vous avec votre mère.

Je rêve ou un petit bout de femme venait de m'insulter ? Dans mon propre salon en plus.

- Je ne vous permets pas de m'insulter.

- Je me permets de le faire. Juste pour une histoire de bague rudicule vous manquez de respect à votre père et à la femme qui vous a donné la vie et vous vous mettez à crier comme un forcené dans toute la villa. Quel genre de fils, de frère êtes-vous à la fin ? Si j'étais votre mère j'allais vous flanquer une bonne paire de baffes pour vous remettre bien les idées en place et vous apprendre le respect en même temps.

Quel toupet !

Elle est diablement sexy quand elle s'énerve la petite.

Que dis-je là ?

Tariq ressaisit toi s'il te plaît et fais-toi respecter par cette naine.

- Mais qui diable êtes vous ? Et que foutez vous chez vous à cette heure de la nuit à m'insulter?

- Je m'appelle Khadija mais vous pouvez m'appeler Deekha si vous voulez et je remplace Soukeyna.

C'est vraiment une soirée pourrie !

Après m'être prise la tête avec ma famille me voilà me faire insulter une simple employée de maison.

Super ! Vraiment ma vie est superbe !

- OK Deekha merci pour toutes vos insultes; je ne veux pas vous voir demain dans la maison.

- Et pourquoi cela ?

- Vous êtes viré répondis-je en tournant les talons.

Au pas de la première marche de l'escalier je l'entendis qui riait à gorge déployée me forçant ainsi à me retourner pour la toiser.

- Vous rêvez debout mon cher. Seul votre mère est capable me renvoyer et au point où vous en êtes avec elle je doute fort qu'elle vous écoute alors bonne nuit mon beau. Oh et tâchez demain matin de vous excuser pour ce soir.

Je devais admettre qu'elle m'avait bien fermé la gueule.

C'est en souriant que je suis finalement allé me coucher.

Je sens que je vais adorer cette nouvelle bonne et notre cohabitation ne sera pas de tout repos.

Vivement demain waye !





Sira

Je n'aurais jamais cru que ma relation avec Tassem allait connaître un tournant décisif aussi rapidement. Sa demande en mariage m'avait laissé bouche baie et l'espace d'une milli-seconde j'avais vu ma vie passée aux côtés de Badou défilée sous mes yeux et une peur de revivre un autre échec m'avait pris en otage mais la rapidité avec laquelle j'ai imaginé mon futur avec Tassem avait pris le dessus et j'ai répondu positivement priant en mon for que cela ne soit pas une lamentable erreur.

Les choses sont allées trop vites par la suite ... Sa visite chez mes parents pour leur faire part de la nouvelle et chez les siens s'était faite le surlendemain ... une démarche que j'ai plus qu'apprécier. Il me prouvait qu'il était près à partager sa vie avec la mienne.

Et moi ? Je m'imaginais déjà madame Dia "propriété de l'espèce en voie de disparition" et tout cela me faisait extrêmement et toujours peur ... Oui peur de me réveiller un beau jour et de me rendre compte que je vivais une utopie.

Je sais que je suis sceptique ... Je me crée des tas de scénarios négatifs mais je n'y peux rien. C'est ainsi depuis la trahison de Badou j'ai tout le temps besoin de me sentir rassurer. Je fais la forte dehors alors qu' intérieurement je ne cesse de me poser des tonnes de questions auxquelles je n'ai pas les réponses.

J'ai constamment peur de revivre une tromperie même si quand je suis avec Tassem toutes mes peurs s'envolent instantanément cependant il suffit que je sois seule pour que quelques doutes s'insinuent dans ma tête.

Et pour ne rien arranger à mes problèmes Badou et ma mère viennent rajouter leur grin de sel. Mon ex se croit tout permis et il était même venu pour m'exiger de ne pas me remarier.

Avec Badou c'est l'hôpital qui se fout de la charité.

Il avait le droit de refaire sa vie et moi non. Je n'avais même pas pris la peine de lui répondre laissant ce privilège à mon père qui lui a expliqué avec des mots clairs que son avis nous importait peu.

J'étais libre de faire ce que je voulais et avec qui je voulais.

Pour ma mère j'avais pris la décision d'inscrire Khalil dans une crèche; il passera ses journées là-bas et à seize heures Zeyni ira le chercher le temps que je rentre du boulot vu qu'elle n'habite pas loin de chez nous.

Ce dont j'étais sûre c'est que ni Badou ni ma mère ne pourront m'empêcher d'être heureuse avec mon italien.

☆☆☆

Trois coups à la porte attiraient mon attention et un sourire franc se forma direct sur mes lèvres. Il était exactement treize heure, l'heure de ma pause déjeuner et je la passais toujours avec Tassem sauf en cas de contre-temps.

Nous pouvions nous passer toute la journée ensemble n'empêche la nuit je ressens son manque.

Vivement que l'on se marie.

- Prête cara ?

- Oui une minute répondis-je en me levant.

Je rabattais l'écran de mon ordinateur et je me mettais la seconde qui suivait en face de lui.

Tassem n'était pas dans son meilleur jour, il avait des cernes sous les yeux et il n'avait plus cette lueur espiègle qui lui était propre.

- Qu'est-ce qui ne va pas ? Demandais-je quand nous sortons du bureau.

- On va chez moi et je t'explique tout promis.

J'esquissais de la tête en le suivant. Je n'allais pas insisté pour ne pas le contrarier.

Nous sommes sorti de l'entreprise et nous avons pris sa voiture jusqu'à chez lui toujours sous un silence qui devenait inconfortable.

Je détestais ce genre de situation.

Nous sommes très vite arrivés chez lui.

- Te revoir dans mon appartement m'avait manqué avait dit Tassem quand nous nous sommes installés dans le salon.

Je me dechaussais profitant ainsi de sa moquette moelleuse et de l'étreinte de mon chéri.

- Ton appartement m'avait manqué aussi.

Je le vis qui fermait les yeux luttant sûrement contre ce qui le rongeait de l'intérieur.

Mon bébé n'allait vraiment pas bien.

- Et si tu me disais ce qui te tracasse posais je doucement.

Tassem me maintenait fort contre lui soufflant bruyamment.

Je patienterai le temps qu'il faudra pour qu'il se livre à moi.

Des minutes sont passées et quand il se décida enfin à me parler une jeune femme fit son entrée dans le salon.

Mes yeux passèrent automatiquement en mode scanne.

Qui était-elle ?

Et que foutait elle dans l'appartement de Tassem ?

- Ah Clarissa je pensais que tu étais déjà rentrée.

Je me mettais en retrait pour observer la dite Clarissa.

Son visage et ce faux sourire qu'elle me servait ne me disait rien absolument rien qui vaille. Je n'étais pas de ceux qui jugeaient les personnes aux premiers abords mais la fille qui se tenait en face de nous était tout aussi fausse que ses faux cils, ses hanches, ses seins et ses extensions.

- Je suis venue en retard ce matin Tassem répondit-elle en nous servant encore un fake sourire.

Tassem me répétais-je en me pinçant le nez.

Il laisse cette fille le tutoyer ou je rêve.

- Ah amore je te présente Clarissa. C'est la fille que j'ai engagée pour faire le ménage dans l'appartement. Clarissa je te présente ma fiancée Sira.

OK !

- Tu ne m'avais pas dit que tu avais une ménagère dis-je sur un ton de reproche.

- J'ai sûrement oublié ma bella. Tu sais que quand je suis à tes côtés, j'oublie tout même mon propre prénom.

J'ai souris sans le faire exprès et l'autre qui levait les yeux au ciel.

C'est sûre maintenant je ne la supporte pas.

- Je vous sers quelque chose à boire ?

Et prendre le risque de me faire empoisonner ... pensais je.

- Non merci je sais où se trouve la cuisine en cas de besoin.

Idiote va !

- Merci Clarissa je n'ai pas soif répondit Tassem l'air de rien.

- Bon ... Je rentre moi et Tassem je vous ai fait à manger au cas vous auriez une petite faim. Sira au revoir.

Culottée en plus d'être effrontée cette fille !

J'attendais que cette Clarissa machin truc referme la porte pour exiger des explications de la part de Tassem car oui il m'en devait et il avait plutôt intérêt de m'en fournir de bonnes et plausibles.

- Tu es sûr que cette fille est une ménagère ?

- Oui ! C'est une agence qui me l'a envoyé. C'est ma mère qui m'avait filé leur numéro.

Drôle d'agence !

- Une ménagère qui s'habille en mini-jupe et croc top.

- Je m'en fiche de son accoutrement du moment qu'elle fait ce pourquoi je la paie. Si cela peut te rassurer Clarissa et moi ne nous croisons à l'appartement rarement. Avant qu'elle arrive moi je suis déjà au bureau et le soir elle est déjà partie quand je rentre.

- Je dis juste qu'elle n'a rien à voir avec les ménagères classiques.

- Tu ne devrais pas être jalouse de Clarissa.

- Je ne suis pas jalouse plutôt méfiante. Elle est très attirante.

Oups !

- Et tu ne fais pas apparemment confiance jusqu'à présent. Tu crois que je vais coucher elle ? Tu penses que je prendrai le risque de te perdre, de tout perdre juste maintenant alors que nous allons nous marier très prochainement et cela même si je te désire à en devenir complètement fou.

- Je n'ai jamais dit une chose pareille ... essayais je de me défendre.

- Mais tu l'as réellement pensé Sira.
J'étais peut-être un connard qui sautait sur tout ce qui portait une jupe cependant cette époque de ma vie est révolue et cela grâce à toi. Tu sais comment je fais pour ne pas céder à mes pulsions sexuelles ? Comme en ce moment alors que je bande comme un âne dès que je suis près de toi.

- ....

- Je pense tout à le temps à toi et à tout l'amour que tu me portes et au bonheur que tu as apporté dans la vie de mon fils. Quand je pense à tout le mal que je t'infligerai, que je nous infligerai juste pour une paire de seins; je fais tout pour résister et jusqu'à présent j'y parviens difficilement peut-être mais j'y parviens ... Trois putain de mois que je n'ai pas touché une femme Sira ! T'imagines ce que cela signifie Sira ? Pour quelqu'un qui couchait chaque soir avec une nouvelle femme ?

Bon j'avoue que Tassem a raison d'une part mais hélas je n'y peux rien ...

C'est comme ça !

Mon cerveau et mon nouveau personnage anti baratin sont toujours au taquet.

J'aime Tassem de tout mon cœur mais j'ai encore du mal à lui faire totalement confiance. C'est mon système d'autodéfense qui est actif. Tassem est un bel homme, un très bel homme même mais son passé de coureur de jupons sans scrupule n'arrange en rien à la situation.

- Je suis désolée finis je pas dire.

- Je le suis encore plus. Je me rends bien compte qu'il t'ait difficile de me faire totalement confiance mais tu me fais mal quand tu penses que je ne suis qu'un obsédé sexuel incapable de réfléchir avec autre chose que son pénis.

- Je suis désolée Tassem ... répétais-je en me rapprochant. Look at me my morning star ! ( Regarde-moi mon étoile du matin ).

- Je t'aime Sira n'en doute jamais. J'agis dès fois comme le dernier des connards mais mon amour pour toi est la seule chose dont je suis certain en ce moment.

Pour seule réponse je scellais nos lèvres dans un baiser fougueux nous emportant ainsi dans un tourbillon d'émotions. Nos lèvres se touchèrent; nos langues valsaient ensemble et nos mains se faisaient plus entreprenantes, plus poussées.

Nous ne contrôlions rien en ce moment.

Ce besoin vital de nous toucher était plus fort que le reste et toute trace de lucidité s'était évaporée de nous dès que nos bouches sont entrées en contact.

Mon dos entrait en contact avec la moquette les minutes qui suivirent sans que nos bouchent se détachent l'une à l'autre.

Tassem était au dessus de moi bien placé entre mes jambes; de cette position je sentais bien son érection à travers le tissu de son smoking vue qu'il effectuait des mouvements ondulatoires avec ses hanches provoquant un raz-de-marée de sensations en moi.
En effet je pouvais confirmer ses dires de tantôt; il bandait comme un âne, son entrejambe était aussi dure qu'une barre d'acier haute adhérence de diamètre 40 millimètres et de nuance 460.

Les sensations et les picotements que je ressentais là ... juste en bas sont juste indescriptibles. Tassem avait quitté ma bouche pour ouvrir un à un les boutons de ma chemise avec sa bouche me faisant part de toute son expérience en matière de femmes et j'en étais plus que contente en ce moment. Il relevait la tête pour me faire un demi sourire tout en dégraffant mon soutien-gorge et la seconde suivante ses douces lèvres s'étaient emparées de mes seins m'arrachant un cri d'extase.

À ce rythme là Tassem risquait de me faire jouir juste avec sa bouche.

Une partie de mon cerveau voulait que je le stoppe mais mon Dieu c'était bon, très bon ce qu'il me faisait pour l'arrêter en si bon chemin.

Les secondes passèrent et Tassem nous changea de position; je me retrouvais au dessus alors qu'il jouait toujours avec mes seins qui lui étaient offert si gentillement. J'avais moi aussi ouvert sa chemise pour laisser courir mes doigts sur ses tablettes et je faisais des mouvements d'aller et retour simples avec mon bassin et quelques secondes plus tard mon corps se crispait et j'haletais encore et encore. Tassement lui était toujours aussi dure.

Je restais coller à son torse reprenant difficilement mon souffle.

Putain je venais de jouir sans qu'un homme m'ait réellement fait l'amour.

C'est de loin l'expérience la plus démante et la surprenante que j'ai eue à vivre jusque là.

- Je suis désolé Sira ... Je ne me suis pas contrôlé et tu étais tellement réceptive à mes caresses.

Il avait finalement brisé le silence qui pourtant était confortable.

- Ne t'excuse pas ! Je t'ai encouragé à aller plus loin mais cela ne doit plus se reproduire. Je t'ai laissé aller trop loin.

- Promis chef. Lève-toi maintenant je dois prendre une douche froide pour éteindre le feu que tu viens d'allumer.

Je ris en cachant mes yeux avec mes mains.

J'en profitais pour me rendre à la salle d'eau et évaluer moi aussi l'étendu des dégâts.

Le reflet que le miroir projeté; était juste horrible mais je ne pus m'empêcher de sourire encore.

Je me sentais légère et j'avais l'impression de planer.

Quand j'eus fini de me nettoyer et de ré-arranger ma tenue; je rejoignis le salon.

Tassem m'a rejoint dix minutes plus tard.

Tient il avait changé de vêtements celui-là.

- Nous avons largement abusé de notre pause dis-je en ramassant mes chaussures.

- La faute à qui ? Dit-il malicieusement.

- Tu ne m'as toujours pas dit ce qui te tracassais tout à l'heure avant l'arrivée de truc dis-je pour changer de sujet.

- Je t'expliquerai tout ce soir. Pour l'heure nous devons tous les deux retourner au boulot même si pour ma part j'aurais du mal à penser à autre chose qu'à la paire belle de seins que je viens de goûter.

Je lui lançais mon sac en riant.

- Nous devons impérativement nous marier le plus rapidement possible dit-il quand nous sortons de son appartement.

Je levais discrètement les yeux au ciel en le suivant.

Tassem m'avait finalement déposé devant nos locaux et il était parti sans traîner.

C'était rêveuse que j'ai repris mon travail.

Avec Tassem toutes mes résolutions tombent une à une tel un château de sable emporté par les vagues.

Une chose était sûre je vais éviter de me retrouver dans un endroit clos avec mon petit pervers.

Le soir en rentrant chez moi je me suis arrêtée dans une pharmacie pour payer à Khalil du lait et des compotes.

Une silhouette ... une femme plutôt avait attiré mon attention.

C'était juste impossible voir impensable.

- Coumba.

Le choc quand elle s'est retournée.









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Good morning par ici ...

Pourquoi vous n'aimez pas mon Tariq chéri 😡😢?

Vos avis

15/03/2019 Deekha15

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