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Épisode 1

— Diéyna ,Diéyna  Dié  baba  , néné ani Diéyna ( Père , mère où est ma sœur ?  ) demandait mon frère après moi.

J'étais dans ma chambre, et la dernière chose que je voulais s'était de le revoir sitôt.  Je stressais rien qu'à l'idée de faire face à mon frère  , tout d'un coup je sentais plus mes jambes.

— Diéyna , Diéyna s'en suivait mes parents.

— Nam , touti rék ( Oui , une seconde , j'arrive )

Qu'est ce qu'ils avaient tous à crier mon nom ? J'allais les rejoindre. J'ai traversé le couloir en marchant à grand pas. Mais comment cela se faisait d'ailleurs ? 

— Diéyna.., waa Diéyna mi s'écriait ma mère , alors que je venais de franchir le spacio.

— Nam néné. Baba Diallo , Néné Dia Mbada ? ( mes salutations père ,mère comment allez-vous ? )

—...

Ils étaient tous silencieux , même mon frère qui d'habitude ne pouvait pas tenir sa langue , me dévisageait d'une expression neutre. Mon Dieu j'avais si peur , je pouvais plus me tenir. Si c'est ce que je pense je ne pourrais plus jamais les regarder en face.

— Diéyna ma chérie , je suis...

Mon Dieu , qu'avaient ils tous à vouloir me montrer de l'affection. C'est ce que je détestais le plus , surtout quand mon frère me faisait des yeux doux ; ça sentais pas bon , même Baba me lançait des regards très fluide.

— Baba Wallah , j'ai fais de mon mieux commençai je à me rendre à l'évidence.

Une larme s'est échappé , s'en suivait une autre.

J'avais envoyé mon frère pour qu'il prenne les résultats du bac à ma place. J'avais peur d'y aller.

— Félicitations ma chérie , t'a eu ton bac !

— Si c'est pour me calmer , et bah sachez je n'arrêterai pas , “ heunnn , heunn ”

Qu'est ce qu'elle venait de dire ? Que j'ai eu mon bac !

— “Haaaaaaaaaaaa” me mettais je à sautiller pieds nues.

Alhamndoulilah , wou hou j'ai eu chaud. C'est l'un des plus beaux jours de ma vie , enfin , enfin.

— Mais pourquoi la réaction de  tout à l'heure  ? Laissez moi deviner , Moussa t'a quelque chose à voir avec ? Attend , je connais déjà la réponse !

—...

— Dis au revoir à ta maman , si je t'attrape ça serait ta toute dernière phrase. Vient là petit prétentieux me mettais je à lui courir après.

— Néné , Néné s'écriait il en s'accrochant au tour de la taille de Néné.

— Arrêtez de vous engueulez , Diéyna yaw tamit ki day fo rék khalé leu ( Diéyna laisse le toi aussi ce n'est qu'un gamin ) , prenait elle sa défense.

— J'ai deux de plus que lui et tu dis que c'est un gamin , laisse moi rire. Ne sois pas déçu , si on te dis que... , m'arrêtai je là ,  pour ne pas qu'il me dénonce à mon tour.

    J'essayais de m'approcher de lui , je n'avais qu'une envie ; lui asséner des gifles.
— Viens là , si t'es un homme.

Il continuait à faire l'enfant ; et comme toujours néné prenait sa défense en me menaçant de multiplier chaque gifle que je lui donnerai.

— C'est pas juste , Baba tu ne dis rien ? Fait quelque chose au moins me retournai je pour lui demander de l'aide à mon père.

— Tout ce que tu veux ma chérie ? Moussa vient t'excuser auprès de ta sœur.

Baba ne voulait rien me refuser. Ça commençait à me plaire. Moussa s'approchait de plus près. Je me tenais à carreaux au cas où il essaierai de toucher à un seul de mes cheveux.  j'en avais rien à foutre de ces excuses. Tout ce que je voulais s'était de l'attraper et lui donner une bonne leçon.

— Je t'ai petit prétentieux , on fait moins le malin à ce que je vois. Inutile d'essayer de t'en fuir , je suis immunisé contre tes manigances jeune homme.

  Je le tenais et il avait l'air très sûr de lui pour ne pas avoir peur.

— Qu'il est mignon le petit oiseau , disait il d'une voix si douce que je me mettait à regarder derrière moi.

— ...?

— Je t'ai eu.

Je me rendais compte qu'il s'était échappé. Je vais le tuer , celui là.

Il courait , en se retournant pour intensifier ma colère. Vraiment il me saoulait ce jeune homme.

— Attend que t'attrape.

Il franchissait la porte sans voir ma tante. Moussa a finit par lui entrer dessus , ce qui n'avait rien de drôle , elle était en état.

— Mon Dieu , mon ventre me fais mal. Seydou vient voir ce qui se passe . waa keur gui guén len , gni dagn ma beug ray Mane ak sama dome  ( sortez tous et venait voir  , ils veulent me tuer moi et mon fils ) , wouy , wouyoo wouy magui déh ( Je suis entrain de mourir ) sou bokhoul ma gni ( maudit soit ils ).

Mais il l'a à peine touché , sacré comédienne. Tante Raby ne cessera jamais de m'impressionner , vivement les Oscars.

— Qu'est ce qui se passe ? Raby , qui t'a mise dans cet état ? Demandait mon oncle.

— C'est Diouldé , elle a demandé à son fils de se jeter sur moi . Fait quelque chose au moins sinon je risque de perdre le bébé; s'en prenait elle à ma mère.

Elle gémissait si fort qu'on aurait dit s'était vrai.

— Oncle Seydou ,ma mère n'a rien à voir avec ça , c'est à peine je l'ai touché. Ta femme est une sacré menteuse , disait mon frère très remonté contre ma tante.

— Insolant , fit mon oncle en s'attaquant à mon frère. Il lui assénait  des gifles et tout ce sous le regard de mon père qui ne pouvait pas se déplacer. 

J'avais si mal pour mon frère , il était si jeune et faisait face à cet canaille. Oncle Seydou nous détestait pour je ne sais quelle raison.

Après lui , il a essayé de s'en prendre  à ma mère. Je me suis mis en  travers. Il enlevait sa ceinture , tandis que tante Raby riait comme dans ses habitudes.

— Gare à toi , si tu la touche écartai je mes mains en essayant la protéger.

— Tant pis pour toi alors.

Je m'étais retourné pour couvrir ma mère qui pleurait à la vue de mon frère. Oncle Seydou me frappait sans  relâche.

— Seybou , laisse les en dehors de ça , lui suppliait mon père en rampant. Il était tombé de sa chaise.

J'attendais un cri strident, et le bruit d'une vase qui venait de s'écraser sur quelque chose. J'étais de dos et mon oncle avait tout d'un coup arrêter de me frapper , mon père fixait un truc par terre ,  je sentais ma mère pleurait et le silence régnait sur les lieux.

Je m'étais retourné pour voir et j'ai vu mon oncle par terre , il saignait de la tête et mon frère avait le reste de l'objet qui l'avait sans doute assommé.

— Assassin , Moussa ya bone , bok bone andak bone ( Moussa t'a un coeur pourrie ) C'est à ton oncle que tu fais ça , Wallah tu vas pourrir en prison.

Je restai là à regarder tante Raby s'attaquer à mon frère. Tout était de sa faute , cette bonne dame en a assez fait.

J'avais mal pour mon frère qui n'avait que 15 ans. Ma tante la menaçait de le mettre en prison alors qu'il essayait de me sauver. Mais pourquoi ?

— Moussa , viens t'inquiète suis là , le rassurai je.

Pendant ce temps ma mère aidait mon père à se relever.

— Désolé je sais pas ce qui m'a pris , il te frappait et...

— T'inquiète il va s'en sortir.

Les cris de ma tante ont fait venir les voisins , ils se sont incrustés et ont commencés à nous insulter.

— Vous êtes des montres sans cœur , d'abord vous vous en êtes pris à ma fille ensuite vous voulez assassiner ce pauvre homme. Vous devrez avoir honte , il vous a nourri depuis je ne sais combien d'année .Vous irez en enfers tous autant que vous êtes , lii nagn nane deum rayla dialéla nous insultait mère Sarra la mère de tante Raby.

Ils attendaient les urgences , tout comme eux nous étions inquiet oncle ne méritait pas de mourir de la sorte.  Il s'est laissé manipulé par cette vipère , qui en avait toujours après nous.

Après la mort de grand père , mon père avait hérité la maison ainsi que les fermes. Étant l'aîné , il se devait d'aider ses frères , oncle Seydou était le plus jeune. Il étudiait à l'Université , arrivé à un moment mon père a vendu ses fermes pour l'aider à finir ses études. Il finit ses études en France , et est resté là bas pendant plus de 12 ans. Il a épousé ma tante sans en informer mon père. Ensemble ils ont eus un fils,  Alioune qui avait un an de plus que moi.

Malgré qu'il vivait pleinement sa vie , en oubliant qu'il avait une famille ici. Mon père s'est toujours préoccupé de lui , il essayait de prendre de ces nouvelles de temps en temps.

Nous vivons en paix avant qu'il ne débarque avec sa femme et son fils. Son retour a coïncidé , avec l'amputation de la jambe de Baba. Il a perdu une jambe suite à une explosion ; il était en mission. Mon oncle avait assez d'argent pour lui payer une opération mais il ne l'a pas fait. Il a attendu que mon père perd son travail pour lui apporter son aide. Il nous donnait de quoi manger. S'était un moyen pour lui de nous posséder en ayant une idée par la tête , d'acheter la maison pour ensuite nous mettre dehors. C'est de là que ça a commencé , mes parents faisaient face à beaucoup de difficultés , tante Raby leur répété sans cesse qu'ils constituaient un fardeau pour Oncle Seydou. Étant jeune , je me rendais pas compte qu'ils souffraient autant. Il nous arrivait de ne pas manger pendant une journée. On s'est habitué à cette vie , de souffrance sans pousser des cris. L'argent que mon père recevait de l'état servait à payer nos études. À un moment , mon père avait fait louer des chambres pour qu'on se libère de cette emprise. Mais comme toujours ma tante faisait fuir nos locataires. Après ça mon père a divisé la maison en deux , pour qu'il n'y ait plus de problème. D'après ce que je venais de voir , c'est ma tante qui cherchait des problèmes.

— Qu'est ce qui se passe ? Papa , papa ..qui l'a mise dans cet état?  demandait Alioune, mon cousin  en secouant son père.

— C'est Moussa , il frappé avec cet objet . Il a voulu tuer ton père , s'il n'est pas déjà mort.

— hrgr , je vais t'attraper tu vas voir essayait il de s'en prendre à mon frère.

— N'y pense même pas , l'arrêtai je.

Heureusement l'arrivée des urgences avait calmer ces nerfs. La police est venu en même temps , ils ont évacués les lieux. Ma tante leur a demandé de partir et de revenir plus tard.

Alioune est monté dans l'ambulance , et  est parti avec son père.

La maison s'était vidé de tous ces gens mal intentionnés. Ils nous accusaient sans raison. J'avais comme l'impression que s'était trop facile pour être vrai , ma tante n'avait pas dénoncé Moussa ce qui avait trop veau pour être vrai.

Comme je me disais , elle avait une idée en tête. Tante Raby a attendue que tout le monde parte pour venir nous voir.

— Je viens de parler avec mon avocat et il dit que ton fils risque 10 ans de prison si je porte plainte pour agression. D'autant plus que si mon mari meurt , ça en fera 70. Pourvu qu'il meurt , tout le monde sait que j'en ai rien à faire de lui. C'est vraiment ce que vous voulez ?

— Qu'est ce que tu veux , lui demandait ma mère.

— Diouldé , c'est aussi simple comme bonjour. Signez ces documents en mon nom. J'ai des projets concernant cet espace , je trouve que c'est trop grand. Je vais en faire un grand centre commercial.

La moutarde me montait jusqu'au nez.
— Peu importe ce que tu feras , ça sera nous tous contre la vipère que tu es.

—  Diéyna , Diéyna ma chérie. Qu'est ce que tu crois , je ne cherche qu'à récupérer ce qui me revient de droit. Ton père me doit beaucoup d'argent , beaucoup , beaucoup. Si par hasard je venais à vouloir le récupérer , il ira en prison tout autant que ton frère. Que feras tu après , tu seras si désespéré au point de vendre ton corps pour nourrir ta chère mère. C'est  ce que tu veux toi aussi ?

— Ça suffit , réagissait mon père verte de rage ; donne moi ces maudits papiers.

Il demandait après les papiers qu'avait  ma tante. Elle le lui a remise et il l'a signé. Ce qui a marqué , notre départ dans cette maison.

— Vous savez déjà ce qu'il vous reste à faire.

— Raby , nguir Yalla damalaka niane, bayi niou deuk fi ( je t'implore à genoux de nous laisser vivre ici ).  Nous n'avons que cette maison. Où irai je ? , pense à mes enfants lui suppliait ma mère en lui tenant la jambe fermement.

— Diouldé toi aussi , ne me salis pas avec tes mains.

— Néné , tu n'as pas à faire ça nous allons nous débrouiller.

Elle ne vas pas s'en sortir de cette manière. Elle a quitté la pièce et moi j'étais pas du genre lâcher l'affaire je l'ai  suivie. En m'approchant de plus prêt d'elle je l'ai entendu parler au téléphone.

— Alioune , mon fils j'ai une mission pour toi ? Que dirais tu de venger ton père ?

À suivre....

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