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Cauchemar

Je suis dans un bâtiment administratif de taille imposante que je suppose être la Préfecture, puisque j'ai l'intention d'y retrouver ma mère. Je me rends dans un amphithéâtre, et en y allant je vois une femme. Je l'interpelle "Maman ?" et je la fixe longuement, et elle aussi se met à me fixer en souriant. Elle est blonde, ses longs cheveux sont attachés en une queue de cheval, et les traits de son visage sont très fins. Elle dégage de la bienveillance, alors je m'excuse de l'avoir confondue avec ma mère.
Dans l'amphithéâtre, la couleur rouge domine. J'arpente une allée et, sur un dossier de siège, je trouve une prise électrique bizarre. Ça ne se voyait pas au premier coup d'œil parce que le dossier avait une espèce de barre métallique noire au milieu, et la prise était noire. En fait, il y a un chargeur noir sur sa prise, sauf que c'est un chargeur de vélo qu'il faut faire glisser le long de la barre métallique du dossier du siège pour le brancher.
Au moment où je fais ça, un homme qui vient du fond de l'amphithéâtre s'avance dans ma direction. Il est brun, porte des lunettes à monture noire et épaisse et des vêtements sombres, et a le visage bouffi et la peau du front luisante. Il a l'air de vouloir savoir ce que je fais, mais quand il voit que j'ai trouvé le chargeur de vélo noir, il se met à me menacer avec un pistolet. Il me reproche d'avoir un téléphone portable dans ma main. Je vérifie, et en effet, j'ai à présent dans la main un portable noir qui semble un peu ancien. Je réponds alors à l'homme que j'ai trouvé le téléphone sur le siège. Il s'avance alors vers moi, et j'ai un peu l'impression que l'on change de lieu sans bouger, parce qu'on se retrouve en face de l'entrée de l'amphithéâtre. Là, l'homme m'enfonce une seringue (je suppose que c'est dans le cou mais je ne me souviens pas). Mes yeux se ferment, je sens mes jambes ployer, on dirait que j'ai ramolli et je dois lutter pour rester consciente. Mes mains sont jointes (pourquoi ?).
À ce moment-là, j'ai l'impression que le produit de la seringue ne marche pas bien, parce que je me force à fermer les yeux pour faire croire à l'homme que je suis immobilisée. Mon point de vue a changé, puisque je vois par dessus mon corps, donc je me vois tenue fermement par l'homme.
On entend du bruit dans le couloir qui mène à l'amphithéâtre. L'homme croit que c'est son complice, mais je sais que c'est ma mère qui vient. J'attends donc que ma mère apparaisse dans l'encadrement de la porte de l'amphithéâtre et je profite de l'effet de surprise pour frapper l'homme, qui se retrouve face contre terre. Je suis morte de peur, alors j'essaye de rejoindre ma mère, sauf que l'homme s'est entre temps emparé d'une nouvelle seringue et me la plante dans la cheville. Je me sens ramollir et je l'arrache pour la lui planter violemment dans la jugulaire. Il est un peu groggy.
Je crois qu'après il recommence à me planter une seringue dans la cheville, seringue que j'enlève aussitôt pour lui replanter à nouveau.
Je suis terrorisée. Ma mère sort un portable rose de sa poche et nous essayons d'appeler la police, puis une de ses collègues, mais personne ne nous répond. Ma mère décide alors de prendre les choses en main et traîne le corps de l'homme jusqu'à son bureau. C'est difficile parce qu'il a doublé de volume : il est gros et son costume sombre le moule. Juste avant d'arriver dans le bureau de ma mère, je vois deux personnes habillées en combinaisons noires avec des casques noirs qui camouflent leur visage près de la porte marron de ce que je pense être un autre amphithéâtre. L'une des deux personnes passe à travers la porte et s'introduit dans l'amphithéâtre. Ça me fait encore plus peur.
Une fois arrivées dans son bureau, ma mère lâche le corps de l'homme entre deux tables, et le corps de l'homme disparaît et réapparaît au même endroit, comme dans un clignotement.
Ma mère est devant son ordinateur et tente d'appeler sa collègue avec le portable rose. Je sens les deux personnes entièrement habillées en noir se rapprocher de nous dans mon dos, et je sais qu'elles veulent nous tuer.
Je m'enfuis et j'ouvre en trombe la porte d'une salle de réunion, où beaucoup de collègues de ma mère entourent une personne qui semble être leur supérieur, et qui me désigne pour un travail que personne ne veut faire, sauf qu'il m'appelle Chloé. Tout d'un coup, les deux personnes habillées en noir entrent dans la salle. Elles ont enlevé leurs casques : c'est un homme et une femme, qui sont l'archétype des méchants des films d'action. Ils indiquent aux employés qu'il s'agit d'un exercice de prise d'otages, et les employés déguerpissent en courant. Puis les personnes en noir nous enferment dans la salle de réunion, ma mère, moi et quelques autres personnes que je ne connais pas, et nous craignons que la bombe nucléaire explose et nous tue.

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