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CHAPITRE 14

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Ce certain Keegan – par ailleurs, maudit soit-il – pourrait potentiellement gâcher mon plan de séduction. Or, il est inconcevable que j'échoue au jeu des Bad Boys ! C'est une question de principe, tout simplement. Un petit con dans son genre ne peut pas rivaliser avec moi. C'est insensé. Je ne peux pas accepter ça.

— Regarde ! Je l'ai trouvé, s'exclame brusquement Pearl en faisant irruption dans la pièce.

Presque immédiatement, je me redresse en découvrant qu'elle tient Pacco dans ses mains. Et comme d'habitude, cette saleté de bestiole vient de faire caca. C'est vraiment dégueulasse. Le taux d'excrément dans son petit corps est contre l'équilibre de la nature ! Sérieusement. Comment ça s'fait qu'il fasse toujours caca de partout ? C'est biologiquement impossible !

— Il vient de chier dans ta main, remarqué-je en désignant du doigt le mini-fessier de la boule de poils.

Roh ! Encore ? s'écrit-elle en soupirant longuement. Pacco ! Ce n'est pas bien de faire caca sur maman. Tu le sais ça ?

— Tu te rends compte qu'il ne te répondra jamais ? À part si c'est un Chipmunk, dis-je en posant mon sac-poubelle alors qu'elle se dirige vers moi.

— Et alors ? Je m'en contre fiche qu'il ne parle pas, grommelle-t-elle en me donnant Pacco pour aller se laver les mains dans le lavabo.

Pendant que Pearl se sèche les mains avec une serviette, je pose le rongeur sur l'îlot central et commence à m'amuser avec lui. Même si c'est difficile à admettre, il m'arrive de ressentir un sentiment positif à l'égard de cet écureuil. Mais, personne ne doit le savoir ! Pourquoi ? Je n'en sais rien. Dans la vie, il existe parfois des choses destinées à rester énigmatiques ! Enfin, bref. Du coin de l'œil, j'aperçois Pearl saisir son téléphone portable. Instantanément, je pense au message de l'autre gars... Comment il s'appelle déjà ? Hum, peut-être Keegan. De toute façon, il n'est pas suffisamment important pour que je retienne son nom !

Soudain, sans que je m'y attende, un sourire s'étend sur les lèvres de Pearl. Uh, oh ! C'est mauvais signe ! Alerte crush, aaaah.

Fais chier. Aussitôt, Pacco éjecte une merde de son petit cul. Bordel, il lit dans mes pensées ou quoi ?

La brunette s'assit à mes côtés, et se met à pianoter sur son portable. Son sourire est toujours scotché sur son visage.

— Arrête. Tu ressembles à une détraquée quand tu souris comme ça, lancé-je en essayant de loucher sur l'écran de son cellulaire.

Lorsqu'elle tourne la tête, je cesse directement mon attitude d'espionnage – en dirigeant mes yeux vers Pacco qui me regarde intensément. Je dois avouer qu'il est mignon. Légèrement ! Pour simple information, je ne suis pas zoophile. C'est juste que je trouve qu'il n'est pas hideux, rien de plus !

— Ferme-là. C'est toi qui ressembles à un détraqué. N'oublie pas que tu viens de me séquestrer dans une putain de chambre ! Rectification. Tu es un psychopathe, proteste-t-elle avant de continuer à jouer avec son portable.

ZEN, DEVON ! Je dois être un minimum gentil. Il faut absolument que j'accomplisse la première étape avant que ce salopard de Keegan ne débarque. Autrement dit, il me reste une semaine – qui plus est, un délai extrêmement court. Mais, bon. Je dois le faire. Car, vous savez quoi ? Je vais réussir ce jeu de séduction avec brio. Ce gars-là n'aura aucune chance face à moi. Ça sonne comme une évidence.

— Pourquoi tant de haine ? déclaré-je avec une innocence sans faille.

— Parce que t'es un connard, grogne-t-elle avec agacement. Tu ne voulais pas être sympathique, non ? C'est toi qui l'avais dit lors de ton premier jour ici.

— Les gens changent, Pearl.

— Ouais, mais pas en douze jours, affirme-t-elle en posant son portable sur la table.

— La prison m'a fait réaliser beaucoup de choses, mentis-je en faisant preuve de sérieux.

— Attends, t'es sérieux là ? Tu es resté en garde à vue pendant moins de trois heures !

Je contracte la mâchoire en voyant que mes excuses ne servent à rien. Va falloir que je change de tactique, et vite. Étant donné que je n'ai pas envie d'avouer le fait qu'elle a raison en insinuant que je n'ai pas changé ; je décide de lancer un tout autre sujet de conversation.

— Où est ton père ? interrogé-je d'une manière beaucoup trop brusque.

Merde. Je sens que je vais rapidement regretter d'avoir posé une telle question... Mes paroles semblent avoir anesthésié le moindre de ses raisonnements. Elle reste silencieuse. Son regard est incandescent, presque bouillonnant. Qu'est-ce qui lui arrive ? Je présume que j'ai touché un point sensible... Oups.

— Je sais qu'il n'est pas mort, informé-je avec sérénité.

En vue des circonstances, il est inutile d'ajouter que la subtilité n'est pas mon point fort, non ? Un petit « désolée » s'échappe de ses lèvres avant qu'elle ne se précipite à l'étage : me laissant seul avec Pacco. Alors là, c'était bizarre. Vraiment bizarre. Mais, BON ! Pas la peine de s'attarder sur ça, pas vrai ? Je joue avec l'écureuil pendant une trentaine de minutes, et finis par le mettre dans sa cage. ALLONS REJOINDRE MON LIT – étant moins confortable que celui de Pearl ! Youpi...

Pour éviter d'avoir de mauvaises surprises ; je ferme la porte d'entrée à clef et m'oriente à l'étage, en n'oubliant pas d'éteindre les lumières après moi. C'est avec les dents propres, le visage parfaitement nettoyé et le haut inexistant, que je me dirige dans ma chambre.

Et c'est reparti pour une nuit blanche ! Mon insomnie persiste toujours autant... Allongé sur le lit, mes yeux fixent attentivement le plafond étant d'un blanc immaculé, tandis qu'un déluge de pensées me tracasse. Des flashs, des résonnements de paroles, des sensations. C'est dans des conditions alarmantes que je demeure. Durant une fraction de seconde, des souvenirs de mes parents me viennent en mémoire, mais ma conscience m'ordonne âprement que je cesse de songer à ça. Pourquoi ? Eh, bien... C'est seulement pour me préserver de la douleur humaine.

Un profond soupir de ma part retentit, dès lors où je me ronge considérablement de l'intérieur. Je déteste ces moments-là : lorsque je n'ai plus le choix que de méditer sur mes propres convictions...

Suis-je réellement beau ? Honnêtement, je n'en sais rien. J'essaye constamment de me convaincre que mon physique est supérieur aux autres, mais à force, ceci me cause beaucoup de préjudice. Vous savez... La confiance en soi, c'est tout ce que j'ai. Sans ça, je ne suis qu'un simple boxeur parmi tant d'autres. Mon tempérament narcissique est comme une sorte de marque de frabrique. Les gens se souviennent de moi pour ça. Et uniquement pour ça.

Suis-je réellement le meilleur bagarreur de la ville ? Sûrement pas.

Suis-je réellement heureux d'être un Bad Boy ? Possiblement. Je n'en ai aucune idée.

Bordel de merde. Je deviens pathétique. D'un geste lent, je me redresse pour passer mes mains sur mon visage. Qu'est-ce qu'il m'arrive, putain ? J'ai l'impression d'être triste, sans aucune raison apparente ! Il aurait mieux fallu que je prenne des somnifères pour ne pas subir toutes ses remises en question, ça aurait été plus judicieux.

Un énième soupire. Et j'abandonne ma tête sur l'oreiller. Mon regard s'arrête sur le réveil se tenant sur ma table de chevet ; et mon frustration s'accroît davantage. Il est plus de deux heures du matin. Cette nuit risque d'être longue... Je déglutis, et continue à fixer le plafond, puis les environs. Ew, une araignée ! En voilà une autre près de l'armoire... Ah, non. C'en ait pas une. WHAT THE F... ? MAIS, C'EST RATORS !

Je me lève brutalement en me rendant à l'évidence qu'il s'est barré, une fois de plus, saleté de rat mutant ! Je vais tuer ce Tyson pour avoir perdu son animal de compagnie complètement barge. Nan, sérieusement ; s'il existe une Mme Rators, je fais mes valises !

Et BAM, un cri assourdissant résonne dans toute la maison, provenant vraisemblablement de la pièce d'à côté. C'est-à-dire, la chambre de Pearl. Oh, shit ! Rators est sûrement là-bas. Équipé d'un pied-de-biche – la présence de cette arme ne vous concerne pas – je me dirige tel un agent secret dans la chambre de Mini-Hopkins. J'ouvre la porte,  avec le cœur battant la chamade.

Pearl est là. Les mains dans les cheveux, elle crie inlassablement. Je m'approche promptement vers elle en fronçant les sourcils.

— Qu'est-ce qui te prend à hurler comme ça ? questionné-je en haussant le ton.

— Ils sont morts... Ils sont tous morts ! Et c'est à cause de lui... sanglote-t-elle tandis que je pose mon pied-de-biche. C'est un monstre... !

Je suppose qu'elle ne parle pas de Rators. Quoi que... Non. Ça ne peut pas être ça. Étant donné que son lit est défait, et que ses cheveux sont en batailles ; je pense qu'elle vient de faire un mauvais rêve. En plus de ça, il est tard, et elle doit partir en cours demain. Je doute qu'elle ait envie de rester éveillée toute la nuit.

— Calme-toi, et arrête de chialer ! Gueulé-je avec autorité.

— LAISSE-MOI TRANQUILLE, s'égosille-t-elle en pleurant.

Elle me pousse violemment, mais je parviens à garder un appui. Wow. J'ai failli tomber ! Y'a de la force dans ce petit poignet, dis donc. Malgré son acte de violence, je m'avance vers elle.

— C'est un cauchemar, Pearl ! Ressaisit-toi putain !

AAAAAH ! crie-t-elle en fermant les yeux, provoquant la dégradation de mes tympans. Où est mon papa... ? Il doit revenir. Il le faut, sinon...

— Sinon quoi ? m'exclamé-je.

Elle s'arrête de sangloter. Pearl essuie une larme du revers de sa main, et finit par lever la tête dans ma direction. D'une voix froide, elle me prend la parole :

— Blake sera de retour.

Oh, mais ce nom me dit quelque chose... Je ne me souviens plus. L'Alzheimer précoce 0.2 ! Réfléchit, Devon. Hum, ce n'est pas évident quand même. Où ai-je pu avoir entendu ce prénom ressemblant étonnement au mot Black ? Ah, mais bien sûr ! Je me rappelle ; c'était lorsque deux cambrioleurs étaient entrés par effraction ici. D'ailleurs, l'un d'eux s'appelait Tarek – qui plus est, un nom horrible. Désolé (pas désolé) pour les personnes qui se prénomment ainsi !

— Qui est-ce ? demandé-je en faisant référence à Blake.

— AAAH ! gémit-elle comme si le fait de penser à cette personne se trouve être douloureux. Il ne faut pas qu'il me trouve. Plus jamais.

— Respire doucement, Pearl, conseillé-je.

— NE M'APPROCHE PAS ! vocifère-t-elle en me donnant un violent coup dans l'abdomen.

Les muscles contractés, je tente de ne pas succomber à ses nombreux coup-de-poing. Je me mords la lèvre, en espérant que ses forces s'atténuent. Toutefois, une douleur épouvantable me gagne. Mais, je l'ignore. Mes yeux sont rivés sur elle, ses larmes se sont diminuées. J'imagine que le fait de me prendre pour un punching-ball apaise sa colère. Quelle sadique ! Actuellement, je souffre de l'intérieur. Bon sang, ça fait mal ! Je serre les poings, et grince des dents.

— Je te déteste tellement... murmure-t-elle de manière presque inaudible.

Ses attaques s'arrêtent. Et sa tête se pose sur mon torse. Un silence envahit la pièce ; c'est bien mieux ainsi. J'hésite quelques secondes. D'une main vacillante, je caresse doucement ses cheveux châtains. Et c'est au bout d'un certain temps que je devine qu'elle s'est endormie. Avec une délicatesse déroutante, je l'allonge sur son lit en plaçant sa tête sur l'oreiller. Malgré la présence du chauffage, je recouvre son corps à l'aide de sa couverture avant de me diriger vers la porte. C'est avec une insonorité complète que je rejoins ma chambre.

✽✽✽

— Devon, tu peux venir ? propose Pearl alors que je me tiens sur le canapé, aux côtés d'Elena.

— Mais, pourquoi ? Le film va bientôt commencer, renchéris-je en désignant le téléviseur.

— Il faut que je te parle, seul à seul.

D'après le ton de sa voix, ça doit être important. Mon intuition me dit qu'elle voudrait me parler des événements de la veille. Dois-je rafraîchir votre mémoire de poisson rouge ? Très bien ! Alors, hier soir, dans les alentours de deux à trois heures du matin ; Pearl s'est mise à hurler comme les meufs dans les films d'horreur. Perçant et assourdissant. Je suis pratiquement sûr que les voisins l'ont entendu vu à quel point son cri a été titanesque. Bref. Comme un brave et vaillant homme, je suis venu voir si tout allait bien. Bon, je vais vous passer les détails, hein. De SA faute, mon ventre me fait affreusement mal à cause des coups qu'elle m'a affligé. Car OUI, madame aime tabasser une personne bourrée de bienveillance ! Non, mais j'hallucine.

— Visiblement, je suis de trop ici, affirme la lieutenante Hopkins avant de continuer. Ne comptez pas sur moi pour que JE bouge de MON canapé !

— On peut discuter plus tard, non ? soufflé-je en ne voulant pas me lever.

— Non. Dépêche-toi là ! ordonne Pearl, tout en perdant impatience.

— Arrête de me donner des ordres ! J'ai encore moins envie de t'écouter, riposté-je.

— Épargniez-moi vos jérémiades inutiles, implore Elena en roulant des yeux. Devon, si tu vas discuter avec Pearl, je ferai des pizzas demain. Ça te va ?

Suite à cette proposition alléchante, je me lève presque immédiatement du salon. Il faut savoir que j'adore la bouffe, en particulier cette tarte d'origine italienne étant extrêmement succulente.

— Rajoute une portion de fromage rappé dans ma pizza, rétorqué-je en saisissant le poignet de Pearl pour l'attirer dans la cuisine.

Lorsque l'on se trouve dans la pièce en question, je m'assois sur une chaise, tandis que Pearl prend soin de fermer la porte derrière nous.

— Alors, qu'est-ce que tu voulais me dire ?

— C'est à propos d'hier soir, commence-t-elle. (Je le savais ! Et c'est qui le plus fort ? C'EST MOI !) Oublie tout ce qu'il s'est passé, surtout les moments où je pleurniche. J'étais un peu sonnée... Enfin, voilà quoi. Rien de ce que je t'ai dit n'est juste.

— Je m'en doutais ! Tu avais dit que tu me détestais, révélé-je d'un air amusé.

— Ah. Par contre, ça, c'était la vérité.

Ses mots sont aussi faux que le cul de Kim Kardashian ! Je sais qu'elle se voile la face ; c'est évident.

— Soyons honnête entre nous, voyons ! rié-je en me levant pour m'orienter vers elle.

Elle recule. J'avance. Cette scène s'est déjà passée plusieurs fois – à quatre reprises, pour être précis. Lorsque notre distance se réduit jusqu'à devenir dangereusement sensuellement, Pearl place ses mains devant elle pour obtenir un espace entre nos deux corps.

— Tu ne vas quand même pas recommencer avec ça ! intervient-elle en me fusillant du regard. Devon, arrête ! Je suis capable de te tirer dessus avec un de mes revolvers que je cache dans ma chambre, tu le sais ça ?

— Oui, mais tu ne le feras pas. Ta mission est de me protéger, non ?

Elle ravale difficilement sa salive. Pendant ce temps, je me rapproche. Encore et encore. De ses yeux bleus pénétrants, elle me regarde. Pour ma santé mentale, ça devrait lui être interdit de me fixer de cette manière. J'en suis presque déstabilisé.

— Tu n'as pas intérêt à faire ce que tu sais que je sais, murmure-t-elle en restant bloquée contre le mur.

— J'ai déjà préparé le décompte, susurré-je à son oreille.

Accrochez-vous bien. Cette fois-ci, c'est la bonne ! Allez, hop. J'active mon mode poète ;

Dix

Avec sensualité, je la scrute. Avec intensité, je l'observe. Avec avidité, je la regarde. Plus rien ne compte hormis ses sensations devenues maître de mon esprit. Je ne m'oppose pas au désir qui me secoue de l'intérieur, et continue à la fixer d'une façon malsaine et salace. Elle ne se doute nullement des pensées diaboliques qui me tourmentent l'esprit.

Neuf.

Sa peau est parfaite. Du bout de mes doigts, j'effleure le contour de son visage. Elle détient un teint clair, presque pâle, mais étrangement attrayant. Ses joues deviennent rosies. Et un sourire narquois vient de prendre forme sur mes lèvres.

Huit.

En parlant de lèvres, les siennes sont pulpeuses. Les pigmentations naturelles de celles-ci rendent la couleur légèrement rouge. Obnubilé par l'envie d'un baiser, j'en oubliais même à quel point nos respirations sont irrégulières.

Sept.

Nos cœurs battent anormalement vite. Si bien que cela pourrait être considéré comme dangereux. L'adrénaline nous monte au sang. Le temps s'arrête littéralement.

Six.

Cela fait quelques secondes, quelques minutes, quelques heures que nous sommes ainsi ? Je n'en sais rien. Et ça m'importe peu. Un sentiment nouveau naît dans chaque parcelle de ma peau.

Cinq.

Suis-je stressé, décontracté, confiant, ou même angoissé ? Aucune idée.

Quatre.

Je ne sais plus rien. Mon esprit ne réfléchit plus. Tous mes raisonnements sont figés. Lorsque mes mains s'aventurent sous son tee-shirt, mon souffle est coupé. Je perçois des frisons à mon contact, et une lueur indéfinissable dans son regard bleuté.

Trois.

Je tremble presque. Demeurant dans un état second proche de l'incompréhension, ce rapprochement est terriblement plaisant. Il n'est plus question d'arrêter. Je suis condamné à être passionné par son odeur délicieusement enivrante.

Deux.

Mon corps est bouleversé. Comme animer par une force qui me dépasse, je ne contrôle plus rien. Je n'y comprends rien. L'impression d'être hypnotisé de me quitte plus.

Un.

Et là, ses lèvres répondent tendrement aux miennes.

   ✽ ✽ ✽ ✽ ✽ ✽ ✽ ✽ ✽ ✽

ET FINALEMENT, APRÈS QUATRE ÉCHEC, DEVON EST ARRIVÉ À OBTENIR SON BISOU ! C'est un grand pas pour l'avancement du jeu des Bad Boys ! *CLAP CLAP CLAP*

Alors que Devon semble déjà crier vainqueur, Pearl risque de n'être pas contente, ahah !

Quel sera sa réaction ?

  ➳ Selon vous, qui est ce fameux Blake ?

est le père de Pearl ?

Qu'en pensez-vous des confidences de Devon – qui se trouve dans un état des plus vulnérables

Et bien sûr, de l'évolution Devon/Pacco ? MDRRR

AH, ET BIEN SÛR, MERCI POUR LES 1K DE VOTES!!!! 💙

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