Chapitre 36 : La chasseuse est prête !
Quelqu'un frappa à la porte qui s'ouvrit seule. Une voix venant de la pièce sombre retentit :
"Tu as déjà finis ?
Les pas de la personne qui était entrée avancèrent vers la source des paroles où l'on voyait une silhouette se découper au milieu de la lumière blanche et intense de six écrans. Les pas s'arrêtèrent et la personne répondit :
"Non. Mais je sais comment m'y prendre."
La personne face aux écrans tourna son fauteuil de sorte à regarder la nouvelle arrivante de face :
"Très bien. Je sais que tu feras de ton mieux Némésis.
N- Elle eût un petit sourire. Oui, je les ai déjà affaiblies psychologiquement et est semée la peur en elles.
IC- Parfait. Tu sais ce qu'il te reste à faire maintenant..."
Le regard de Némésis s'illumina d'une lueur rouge sang :
"Je dois les éliminer !"
C'était la fin de la journée, Allia attendait aux casiers que Ayano arrive. Dépêche toi ou je vais arriver en retard pour ma permanence de ce soir... Elle la vit alors descendre les escaliers et se diriger vers elle en déclarant :
"Aller. On s'en va !
Al- Je peux pas ! Je te rappelle que j'ai toujours ma punition.
Ay- Merde c'est vrai ! Ça veut dire qu'on va se retrouver seule...
Al- Tu pourrais trainer... au club d'arts martiaux ! Tu dis à Budo que tu veux les observer parce que le club t'intéresse.
Ay- Bonne idée ! Mais et toi ?
Al- Généralement il y a un élevé de troisième année qui vient me surveiller. Alors ça devrait aller.
Ay- Si tu le dis. Vas-y alors.
Al- Ok ! À toute !
Ay- À plus !
Allia monta les escaliers jusqu'à arriver au deuxième étage où elle alla à la classe 3-1. Elle toqua et une professeur vint lui ouvrir :
"Installe toi. L'élève qui doit venir te surveiller devrais bientôt arriver. Je te laisse. Je te fais confiance pour l'attendre sagement."
La prof quitta la salle et laissa Allia seule. Ce n'était pas prévu comme ça ! Le coeur de la jeune fille se mit à paniquer au même titre que sa propriétaire. Elle entendit alors des pas dans le couloir. Elle ne réfléchis pratiquement pas et se mit en position fœtale sous son bureau ses mains sur ses oreilles. Elle était pétrifiée par la peur, les pas se rapprochaient lentement. Des larmes commencèrent à rouler doucement sur ses joux.
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