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Chapitre 23 : Confession

Quand il arriva dans le salon du deuxième, il se précipita vers la porte de la chambre de la jeune fille avant d'y frapper, impatient d'entrer.

- « FRISK ! »

Il écouta à la porte et entendit des sanglots, il frappa à nouveau.

- « Frisk s'il te plaît réponds-moi » reprit-il plus calmement.

- « Allez-vous-en » articula-t-elle, la voix enrouée à cause des sanglots.

- « S'il te plaît laisse-moi t'expliquer »

- « J'ai très bien compris merci, maintenant fichez le camp ! » railla-t-elle.

- « Écoute-moi, c'est pas ce que tu crois »

- « Vous ne m'aimez pas c'est clair et imprimé mais ne vous approchez plus jamais de moi maintenant ! »

- « Frisk laisse-moi au moins une chance de t'expliquer »

La porte s'ouvrit alors et Frisk apparut, les joues mouillées de larmes, Sans la regarda un instant avant de tendre la main, voulant essuyer ses larmes avec. Devinant ses intentions, la jeune fille s'empressa de les essuyer elle-même d'un revers de main avant de le défier du regard.

- « Je ne vous permets pas de me toucher ! Et si vous avez sous-disant du respect pour moi vous garderez vos distances ! »

Le squelette baissa sa main, elle le regardait avec colère et était presque prête à se remettre à pleurer.

- « Frisk ce que tu as entendus...C'était pas vrai »

- « Ah bon ? » dit-elle en croisant les bras « Pourtant ça venait directement de votre bouche et avec le ton que vous aviez pris ça avait l'air de venir du fond du cœur »

- « C'ét...C'était pas prévu que tu entendes ça »

- « Oh mais je veux bien vous croire ! » cracha-t-elle.

Sans ne savait pas comment lui expliquer, par contre il savait une chose il n'avait jamais voulut la blesser ou la faire pleurer et il était décidé à faire disparaître ces larmes.

- « En fait c'est bien ce que je pensais depuis le début, vous vouliez juste profiter de moi, une proie facile, qui habite en plus sous votre toit ! Une proie qui peut rien vous refuser étant donné que vous tenez sa sœur dans votre foutue Famille ! »

- « Pas du tout ! Je te jure que j'ai toujours été sincère avec toi »

- « Menteur ! On peut pas être sincère si on n'aime pas la personne qui vous embrasse, qui vous donne tout ce qu'elle peut offrir et qui vient vous veiller la nuit quand vous faites un mauvais rêve ! »

Sans ne su quoi répondre, complètement dépassé.

- « J'aurais dû vous laisser crever de peur dans vos cauchemars ! » s'emporta-t-elle.

Elle allait repartir dans sa chambre quand il la retint par le bras.

- « Non, il...Il faut que je t'explique, il faut que tu comprennes »

- « LÂCHEZ-MOI ! Je vous interdis de poser ne serait-ce qu'un doigt sur moi ! »

Il la lâcha aussitôt et elle entra dans sa chambre.

- « Le pire Don G c'est que je vous aimais vraiment » souffla-t-elle avant de refermer la porte.

Elle s'appuya contre la porte et ferma les yeux, le front contre celle-ci.

- « Frisk... » murmura le Don, choqué de ce qu'il s'était passé.

Il s'appuya un instant contre la porte puis la frappa de rage avec son poing, il songea un instant à tourner les talons et à la laisser mais il ne pouvait pas, il n'y arrivait pas ! C'était impossible pour lui, il ne voulait pas qu'elle pense qu'il n'était qu'un salaud s'étant amusé avec elle sans avoir le moindre sentiment pour elle. Son âme se tordait de douleur, elle lui brûlait à lui faire mal, il ne trouvait cependant en aucun cas la douleur insupportable, par contre il pouvait se vanter de ressentir ce que ça faisait d'avoir l'impression d'avoir le cœur brisé. Il posa ses deux poings contre la porte avant d'y poser aussi son front.

- « Frisk, je te jure sur ce que tu veux que j'ai jamais profité de toi, je peux aussi te jurer que ce que j'ai dis je ne l'ai pas pensé, c'est juste que... »

Il souffla, refoulant des larmes dû au rejet de la demoiselle en fermant les yeux.

- « Je...Je suis des personnes qui croit que l'amour est une illusion, que ça n'existe que dans les histoires et...Papyrus m'a toujours soutenu le contraire »

Il ouvrit les yeux.

- « Enfin pour que tu comprennes, mon frère a essayé de me faire croire que j'étais amoureux de toi et moi comme un idiot...J'ai soutenus que non...Jusqu'à ce que tu m'entendes »

Frisk écoutait avec attention ce qu'il disait, essayant de desceller la moindre trace de mensonge dans ses paroles mais il avait l'air si sincère qu'elle fut obligée de le croire.

- « Étant parmi ceux qui n'y croit pas, je ne sais pas ce qu'est l'amour mais je sais pas pourquoi avec toi c'est comme...Comme si j'étais mort et que j'étais au Paradis tu vois ce que je veux dire ? Et je suis maintenant obligé d'y croire parce que je pense que c'est ce je ressens pour toi »

La porte s'ouvrit alors et il s'écarta, la jeune fille sortit alors et se mit devant lui.

- « Vous voulez dire que quand vous disiez que j'étais la première à vous faire ressentir quelque chose, vous ne saviez pas ce que vous ressentiez pour moi ? »

Le squelette fit non de la tête.

- « Qu'est-ce qui me prouve que vous n'essayez pas encore de m'amadouer ? »

Sans avait bien une petite idée mais l'embrasser devait consister à la toucher, il prit quand même le risque et l'embrassa passionnément, voulant lui prouver, lui montrer, lui assurer qu'il ne mentait pas, l'humaine fut surprise mais ne le repoussa pas. Il posa ensuite son front contre le sien et confessa.

- « Je pourrais risquer ma vie pour toi si cela s'avérait nécessaire, j'aime bien suivre les règles de la Pègre mais pour toi je briserais n'importe laquelle et enfin la vérité c'est que je préférerais mourir plutôt que de te perdre à cet instant »

Elle resta complètement muette à la confession, ne sachant aucunement que le Don pouvait être aussi tendre.

- « Et je m'engage à tout faire pour ne plus jamais te faire pleurer »

Il l'embrassa encore et elle resta de marbre avant de lui répondre, lui enlaçant le cou de ses bras.

- « Hum ! Hum ! »

Ils s'écartèrent soudain et virent Papyrus légèrement mal à l'aise.

- « Bien...Euh...J'allais parler à Frisk pour arranger les choses mais...Euh...Je vois que tu t'es débrouillé » bredouilla-t-il, tout penaud.

- « Ouais et c'est pas grâce à toi ! » reprocha Sans.

- « Ben au moins tu ne diras plus que l'amour n'existe pas » plaisanta maladroitement le cadet.

Frisk gloussa avant d'enlacer Sans, qui passa un bras dans son dos et posa sa main sur sa taille.

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