Il se trouvait dans un ancien entrepôt désaffecté.

Ingrid : On a beau avoir trouvé Line, on est pas assez nombreux pour...

Jéïna : Stop ! On est assez nombreux ma grande !

La criminel sorti son portable.

Jéïna : Allô Rose, dit vous voulez toujours vous rattrapez toi et les autres parce que si c'est le cas j'ai un truc pour vous.... De personne... Non pas ce genre de personne... Oui... De combien ? Autant que vous pourrez !

Deux heures plus tard ils étaient à 181 devant l'asile. Jéïna tonna :

Jéïna : JE SAIS QUE VOUS M'ENTENDEZ ALORS ÉCOUTEZ MOI BIEN : VOUS AVEZ DEUX MINUTES POUR FAIRE SORTIR LINE DÉFINITIVEMENT DE L'ASILE ET NOUS JURER QUE PLUS JAMAIS ELLE NE SERA POURSUIVI !!! SINON ON ENTRE ET ON VOUS MASSACRE !!!

Médecin inconscient : Vous pouvez toujours rêver ! Elle restera ici ! Avec la mort de sa bête de foire sur la conscience.

Jéïna : QUI ?!

Geek comprenant : VOUS PARLEZ D'ELLE AUTREMENT BANDE DE BÂTARDS !!!

Mathieu : GEEK ?!

Jéïna : ELLE EST MORTE PAR VOTRE FAUTE ALORS RESPECTEZ AU MOINS SA MÉMOIRE !

Médecin suicidaire : Je fais ce que je veux, mais je maintiens qu'elle restera ici définitivement !

Ce fut les paroles de trop, toutes les personnalités de Line et de Mathieu ainsi que ce dernier hurlèrent d'une seule et même voix :

Tous : ET BIEN MOURREZ !!!

À ce moment les chefs des maisons closes donnèrent l'ordre à leurs larbins d'enfoncer la porte, cinq secondes plus tard il n'y avait que les gonds qui attestait qu'il y avait eu une porte.

Les amis enragés par les paroles du médecins explosaient la tête de toutes les personnes qui étaient en charge de soigner les gens schizophrènes. Après deux minutes de recherche ils arrivèrent devant la "chambre" de Line, la pauvre était au plus mal, elle était très maigre même si elle n'avait disparu que moins d'une semaine. Fatiguée aussi. Elle tenait à peine debout.

Elle articula difficilement cette phrase :

Line : Elle... Elle... Est... I... Ici...

À suivre...