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♕ chapitre 19

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avertissement : ce chapitre contient une scène à caractère sexuel, si vous n'êtes pas à l'aise avec ça, vous pouvez vous repérer à l'émoji 👑 pour la passer (elle est à la fin du chapitre)

•••

Les jours s’étaient écoulés, lentement, bien trop lentement. Hyunjin était de plus en plus fatigué, la présence de ses parents au palais de Têhothen le rendait nerveux et il n’arrivait pas à s’apaiser. Seungmin essayait de l’aider, de le rassurer, de se montrer présent en tout temps, mais rien n’y faisait. Leurs mauvaises ondes ne le lâchaient pas et, tant qu’ils seraient dans les parages, il ne pourrait pas souffler. Il passait le plus clair de son temps enfermé dans ses quartiers, tandis que son époux voyageait d’une bâtisse à une autre pour différentes affaires. Il aurait aimé rester aux côtés de Hyunjin, mais son statut de prince lui demandait beaucoup, surtout en ce moment. Plusieurs conseils avaient eu lieu, et le roi Kim tenait à ce que son fils y assiste. Il devait aussi s’entraîner, étudier, et tout lui prenait du temps.

Hyunjin avait cessé les entraînements. Son état s’était pas mal détérioré depuis la réception de la lettre. Sommeil irrégulier, appétit absent, douleurs physiques. Il était exténué, son corps ne suivait plus et heureusement, Minho était présent lorsque Seungmin ne pouvait pas l’être. Il ne lâchait pas son prince, il lui faisait la lecture, l’aidait à se détendre dans un bain bien chaud et lui peignait les cheveux. Hyunjin avait du mal à lâcher prise, à ne pas penser au fait que ses parents étaient à proximité. Il ne voulait pas les voir, il ne voulait pas entendre parler d’eux, mais ces derniers trouveraient une bonne raison de le voir avant de partir. Non pas qu’ils s’inquiétaient pour lui, ils se fichaient bien de son état psychologique, de sa santé. Ils désiraient seulement lui mettre la pression.

Chaque jour, il attendait le moment où un garde royal allait débarquer dans sa chambre pour lui annoncer que ses parents désiraient le voir. Chaque jour, au moindre bruit, il sursautait et son cœur s’emballait. Il n’était jamais serein, même pas quand Seungmin était à ses côtés. Il ne dormait pas, ou très peu, et il passait la plupart de ses nuits à cogiter. Il imaginait ce que deviendrait sa vie s’il en venait à assassiner son époux. Ce que serait sa vie s’il refusait d’obéir aux ordres.

— Mon prince, l’interpella Minho.

Le regard vide, Hyunjin releva la tête. Son valet lui tendit une tasse contenant du thé encore fumant. Il l’incitait à bien s’hydrater et à manger ce qu’il pouvait, mais ce n’était pas chose facile. Il accepta tout de même la boisson et la porta à ses lèvres.

— Merci…

Minho récupéra la tasse et la déposa sur le plateau en argent.

— Voulez-vous prendre l’air ? Ou un bain ? Quelque chose vous ferait-il du bien ?

— Non, ne t’inquiète pas. Tout ce que je désire, c’est que mes parents s’en aillent, et vite.

Il ne se sentirait libéré qu’une fois qu’ils seraient hors du palais, hors de la cité. Il savait qu’il revivrait après leur départ, et que tout rentrerait dans l’ordre. Ou presque. Il y avait toujours cette satanée mission qui le contrariait, mais si ses parents étaient loin, la pression était moins forte. Il pouvait s’autoriser à souffler, à oublier.

Quelqu’un tambourina à la porte d’entrée de la bâtisse, et Hyunjin se crispa des pieds à la tête. Il priait pour qu’il s’agisse de Chan, il devait bien avouer qu’il préférait sa présence à celle de ses parents. Même avec son habituelle allure de barbare, il avait l’air bien plus sympathique. Cependant, la voix qui fit écho jusqu’à lui ne ressemblait pas à celle du valet. Pas d’accent, pas de rire gras. Quelques secondes à peine et Minho revint, accompagné des souverains Hwang.

Le cœur de Hyunjin se mit à battre la chamade, et ses paumes de mains devinrent moites. Il avait chaud et froid, il avait l’impression de se liquéfier. Il chercha de l’aide auprès de son valet, d’un simple regard désespéré. En silence, il lui criait de l’aider, de ne pas l’abandonner. Il aurait tant aimé que Seungmin soit là, qu’il puisse s’interposer une bonne fois pour toutes. Qu’il puisse lui tenir la main et lui dire que tout irait bien.

— Laisse-nous, fit la reine à l’attention de Minho. Et referme la porte.

Hyunjin déglutit. Il allait une fois de plus se retrouver seul face à ses bourreaux, et il avait envie de pleurer toutes les larmes de son corps. Seul, il était incapable de se défendre. Il ne pouvait pas leur tenir tête, il ne pouvait pas oser être qui il était. Il était terrorisé à l’idée qu’ils puissent lui faire du mal. Chaque mot désobligeant qu’ils pouvaient avoir à son égard était déjà une profonde douleur. Ses parents, ceux qui lui avaient donné la vie, étaient en train de le détruire. Comment avait-il pu devenir aussi faible, aussi docile ? Comment pouvait-il être aussi sensible alors qu’il avait été élevé dans un environnement hostile ? Il aurait dû se forger une carapace, une personnalité forte, mais il n’était qu’un pauvre jeune homme sans défense. Au lieu de se montrer déterminé et invincible, il restait le pantin que ses parents voulaient qu’il soit.

Minho s’était éclipsé de la pièce, à contre-cœur, et le prince restait cloué sur son fauteuil. Le roi et la reine observaient l’intérieur de la chambre avec une certaine attention. Sa mère s’arrêta sur leur lit conjugal, et Hyunjin sentit l’angoisse l’envahir.

— Nous allons partir avant la tombée de la nuit, alors nous tenions à te revoir avant, dit-elle. Ton cher époux n’est pas avec toi ?

Hyunjin secoua négativement la tête.

— J’ai l’impression qu’il passe plus de temps sans toi qu’avec toi.

— Il est très occupé.

— Oui, je l’entends.

Elle se tourna vers son mari et lui adressa un bref signe de la tête. Il s’éclaircit la voix.

— Nous comptons sur toi pour faire tout ton possible. Tu dois tomber enceint, et vite. Les jours vont passer, les semaines, les mois… Freyrior a besoin d’avoir la main mise sur Månerthia. Et cet héritier est notre seule chance.

— En d’autres termes, laisse ton époux te faire sien chaque nuit. Plusieurs fois s’il le faut.

Hyunjin ferma les yeux un court instant. Entendre ses parents parler ainsi de sa vie privée, de leur vie sexuelle, lui donnait la nausée. Ils gâchaient tout. Ils gâchaient toujours tout. Ils avaient littéralement saboté sa première fois avec Seungmin. Il avait eu très envie de son époux, de se laisser aller dans ses bras, mais il en avait été incapable. Il n’avait pas pu s’empêcher de penser à eux et à leurs désirs égoïstes. Il s’en voulait, autant qu’il leur en voulait. Il avait l’impression de ne pas avoir droit au bonheur, de ne pas mériter de prendre du plaisir avec le jeune homme qu’il aimait.

— Je me fiche de savoir si tu as mal ou s’il te fait du bien, s’il te fait jouir. Peu m’importe.

— Tu sais ce qu’il te reste à faire. Et l’aphrodisiaque que nous t’avons offert, fais-en bon usage.

Hyunjin serra les poings sur sa longue tunique de soie. Il tentait de se contenir, de ne pas pleurer, mais sa gorge était nouée, son cœur douloureux. Ils étaient odieux, de véritables monstres. Ils ne venaient le voir que pour le tourmenter davantage.

— Tu as bien compris, mon fils ?

La main de sa mère glissa sur sa joue, puis sous son menton pour l’obliger à relever la tête. Ses yeux s’étaient emplis de larmes et ses lèvres tremblaient. Devant le sourire de la femme, il acquiesça. Elle lui asséna deux petites tapes avant de tourner les talons.

— Prends bien soin de toi, Hyunjin. Nous nous reverrons bientôt.

Ils sortirent, comme ils étaient entrés, sans un seul véritable mot bienveillant.

Il s’empressa d’essuyer ses joues humides et rougies, et Minho revint le voir. Il se mit devant lui et l’incita à poser la tête sur son ventre, lui caressant les cheveux d’une main. Hyunjin se laissa aller, il évacua tout ce qu’il put. Il sanglotait, silencieusement, comme s’il ne pouvait sortir aucun son. Ses parents l’avaient déjà bousillé, et ils continuaient de le faire. Ce n’était jamais assez. Jamais trop.

— Pleurez mon prince. Pleurez autant que vous voulez.

***

Lorsque le soleil finit par se coucher, Seungmin revint. Il annonça à Hyunjin qu’il n’avait plus à s’en faire, que ses parents étaient enfin partis. Il fut soulagé, c’était un poids en moins sur ses épaules. Il n’aurait pas supporté une journée de plus en les sachant dans les parages. Ils n’étaient qu’une menace pour lui, pour sa santé. Ils pouvaient l’anéantir en un claquement de doigts.

Des domestiques leur servirent le dîner dans leur chambre, Hyunjin n’avait pas envie de la quitter, il s’y sentait un peu plus en sécurité. Leurs valets ne furent pas conviés, ils avaient besoin d’être seuls. Minho s’était montré inquiet au sujet de son prince, mais il savait que Seungmin saurait s’occuper de lui. Et s’il y avait un quelconque souci, il pouvait toujours le faire appeler. Il viendrait, au beau milieu de la nuit s’il le fallait. Pour Hyunjin, il aurait déplacé des montagnes.

Après le repas, ils s’installèrent sur la terrasse à l’arrière de la bâtisse. L’étang reflétait la lumière blanche de la lune, et le chant des insectes diurnes apportait calme et sérénité. Il n’y avait pas de vent, la cime des arbres restait droite. L’atmosphère était agréable. Assis aux côtés de son époux, Hyunjin avait l’impression de revivre. Il faisait nuit, mais l’ombre s’était enfin dissipée. Il avait séché ses larmes, oublié ses peines. Il voulait juste retrouver ce quotidien sécurisant qu’il avait trouvé à Têhothen, ces instants de joie, d’amour et de tendresse. Il voulait seulement se contenter du sourire de son époux, de ses mots doux, de ses baisers et de ses étreintes. Il tombait de plus en plus sous son charme, jour après jour, et il n’avait pas envie de revenir en arrière.

Ce qu’il possédait désormais n’avait pas de prix. Il se fichait du pouvoir, des richesses, des apparences.

Seungmin se tourna dans sa direction et le surprit en train de l’observer avec insistance. Ses joues s’empourprèrent, et les yeux de son époux s’embrasèrent. Ils étaient magnifiques, teintés d’ambre, ils pétillaient telles deux flammes qui dansaient lentement sous la brise. Il ne pouvait pas résister à sa manière de le contempler. Il ne pouvait pas résister au brasier qu’il déclenchait en lui. Il le désirait, sans limites, sans retenue. Tout son être le réclamait. Il avait besoin de son toucher, de ses bras, de sentir son corps se tendre sous le plaisir. Il avait besoin de l’avoir tout contre lui, de sentir son souffle se glisser dans son cou. Il avait envie de lui. Et toutes ces pensées érotiques qui lui traversaient l’esprit ne firent qu’empirer son état. Il se redressa légèrement, ennuyé de constater qu’il était déjà excité rien que de s’imaginer dans une telle situation avec Seungmin.

— Un souci, Hyunjin ?

Il s’humidifia les lèvres et chercha à fuir le regard de son époux. Comment pouvait-il lui exprimer ses envies ? Il pouvait encore agir comme Minho le lui avait conseillé, en laissant son corps parler à sa place. Il n’était pas certain d’être capable d’expliquer ce qu’il désirait. Ce n’était toujours pas simple de discuter de sexe, même s’il se sentait plus à l’aise avec Seungmin, et qu’il savait ce qu’il ressentait pour lui.

— Je… J’aimerais rentrer, dit-il.

— Laissez-moi vous aider.

Il l’aida à se relever et l’emmena dans la chambre. Une fois à l’intérieur, au beau milieu de la pièce, ils continuèrent à s’observer, incapables de se détacher l’un de l’autre. Ils ne pouvaient pas se séparer, ils étaient attirés, naturellement, et chaque seconde plongée dans leurs regards semblait les rapprocher un peu plus. Leurs bouches finirent par se trouver, timides, incertaines. Hyunjin prit une grande inspiration avant qu’elles ne se scellent pour de bon. L’adrénaline envahissait son corps et lui faisait tourner la tête. Il avait envie de Seungmin. Il avait envie qu’ils fassent l’amour, encore, et encore. Et cette envie, elle était sienne. Il se fichait de savoir ce que ses parents attendaient de lui, ça n’avait aucune importance. Là, il s’agissait de ses désirs, et de rien d’autre.

Il n’arrivait même plus à réfléchir, à penser à autre chose qu’à ce que Seungmin et lui partageaient. De ses mains tremblantes, il alla chercher le nœud de sa veste pour le lui défaire. Sans rompre leur baiser, il fit glisser le vêtement sur le sol et Seungmin s’attaque au sien.

Leurs langues se rencontrèrent pour se caresser, c’était étrange, un peu gauche, mais terriblement grisant.

— Hyunjin… soupira Seungmin quand il se recula légèrement.

— Oui ?

Il était déjà à bout de souffle, son cœur lui faisait mal tant il tambourinait dans sa poitrine. Il aurait pu exploser de joie, les sensations qui le traversaient étaient intenses. Intenses et nouvelles. Même la première fois, il n’avait pas été aussi bouleversé.

— J’ai terriblement envie de vous.

Son estomac se tordit violemment et il attrapa le visage de Seungmin.

— Moi aussi. Plus que jamais.

Ils s’embrassèrent encore, et leurs mains se faufilèrent partout où elles pouvaient. Leurs soupirs désespérés vinrent se joindre au baiser, et avec précaution, Seungmin saisit la taille de Hyunjin pour le tirer avec lui. Il s’arrêta près du lit et y jeta un coup d’œil.

— Vous êtes certain de le vouloir ?

Il hocha la tête et, sans attendre, il alla s’allonger dans la pile d’oreillers. Seungmin le rejoignit très vite. Il grimpa au-dessus de lui, les mains de part et d’autre de son visage. Il le scruta avec attention, les yeux brillant de mille feux. Hyunjin se sentait aimé. Il n’avait plus peur, malgré le fait qu’il soit encore sur la réserve. Il ne voulait toujours pas dévoiler son corps tout entier, surtout pas depuis qu’il avait à nouveau perdu du poids. Il s’en voulait un peu de s’être autant affamé lors de la venue de ses parents, mais leur présence le contrariait tellement qu’il n’arrivait pas à avaler quoi que ce soit. Il préférait attendre encore, et il savait que Seungmin se montrerait compréhensif.

— Vous êtes magnifique… dit-il en venant lui frôler les lèvres de ses doigts.

— Vous aussi, Seungmin.

👑

Le prince de Månerthia se redressa et ôta ses vêtements qu’il balança en arrière. Il se retrouva nu,  toujours au-dessus de son partenaire, et ce dernier eut une sensation étrange de déjà vu. Mais cette fois, c’était différent. Il s’autorisa à admirer davantage son corps, à poser les yeux sur son sexe fièrement tendu. Il en rougit, mais ne s’en détourna pas. Avec tout le courage dont il pouvait faire preuve, il vint le toucher, et Seungmin frémit. Hyunjin leva les yeux vers lui, cherchant à jauger ses réactions, à savoir s’il lui procurait du plaisir. C’était la toute première fois qu’il touchait le sexe d’un autre homme, alors il essaya de reproduire ce que lui-même aimait se faire.

Les yeux fermés, la bouche entrouverte, Seungmin laissait filer de longs soupirs alors que ses doigts se crispaient sur la chemise de nuit de Hyunjin.

— Encore…

Son bassin bougeait de lui-même, il cherchait instinctivement à établir un contact plus poussé, peut-être même un rythme plus rapide. Il était beau, il était radieux, rayonnant tel un soleil en pleine canicule. Ses cheveux commençaient à s’imprégner des gouttes qui perlaient sur son front et dans sa nuque. Sa peau hâlée luisait et d’elle émanait une agréable fragrance fleurie. Hyunjin en perdait la raison. Son époux s'abandonnait entre ses doigts, la tête basculée en arrière tant le bien-être l’envahissait. Le voir ainsi le rendait tout chose, et si Seungmin n’était pas lui aussi en train de mouiller son vêtement, il aurait sans doute eu honte de son propre état d’excitation. Il était trempé, dessus et dessous, et il se trémoussait tant il avait envie que son époux vienne se glisser entre ses jambes.

Les joues rougies, le souffle court, Seungmin ancra son regard de braise dans celui de Hyunjin. Ses plaintes s’étaient faites plus discrètes, mais toujours aussi désespérées.

— Je… Je peux ? demanda-t-il d’une voix tremblante.

Il vint caresser la cuisse de Hyunjin, remontant d’une main sa chemise de nuit pour lui faire part de ses intentions. Il acquiesça d’un vif mouvement de tête, il n’en pouvait plus. Il avait ce besoin irrépressible de ne faire qu’un avec Seungmin. De le sentir en lui, d’être comblé, d’être enfin entier.

Ils s’enlacèrent, un soupir de soulagement les quitta, et leurs cœurs se mirent à battre en symbiose. Ils s’embrassaient à en perdre haleine, et Hyunjin s’accrochait aux biceps de son partenaire. Ses ongles s’enfonçaient dans sa chair, le plaisir qui montait en lui n’avait jamais été aussi intense. Cette nuit, il ne pensait qu’à leur bonheur, à leur amour. Il n’y avait rien ni personne dans son esprit à part Seungmin et tout le bien qu’il lui procurait. Sa voix, fluette, peinait à éclater, mais dans son corps, une véritable tempête qui se déchaînait. Seungmin lui faisait tellement bien l’amour qu’il voulait que cet instant dure une éternité.

— Hum, Seungmin… Encore…

Il s’agrippa davantage à lui tandis que la cadence s’accéléra d’un cran. Il se laissait totalement aller dans ses bras, transporté par les baisers qu’il déposait dans son cou, par les gémissements qui glissaient dans ses oreilles, par ses mains qui exploraient son corps avec habileté. Avec Seungmin, il avait l’impression d’être la plus belle créature au monde. Grâce à lui, il se sentait apprécié, et il se sentait beau. Constater qu’il le désirait autant lui redonnait confiance. Tous les mots malveillants et les remarques de ses parents s’étaient envolés.

Il resserra son étreinte sur son partenaire quand il heurta son point sensible, et ce à plusieurs reprises, jusqu’à lui faire enfin toucher les étoiles. Il serra les dents, fronça les sourcils, et se cambra, secoué par une puissante vague de plaisir. En même temps, Seungmin étouffa un grognement dans le creux de son cou, marquant sa propre délivrance. Ils restèrent de longues minutes ainsi, dans les bras l’un de l’autre, sans même s’échanger un mot. Il n’y avait nul besoin d’ajouter quoi que ce soit. Ils le sentaient, ils le savaient.

Ils étaient faits pour être ensemble. Ils étaient faits pour briller ensemble.

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