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4

Tu n'aimes pas ? me demande Niall en désignant du menton mon verre de vin chaud auquel j'ai à peine touché.

— Non, pas trop. La cannelle c'est pas mon truc, j'explique en haussant les épaules. Ni le vin en fait.

Pourquoi ça ne m'étonne pas ? intervient Harry à qui nous n'avons rien demandé.

Hazz... souffle l'irlandais en lui lançant un regard éloquent.

Le bouclé lève les yeux au ciel, mais n'insiste pas.

Pourquoi tu en as pris du coup ?

Je voulais goûter, tout le monde en parle donc...

Mouton.

Harry, la ferme ! réagit de nouveau Niall.

C'est bon, laisse, il s'ennuie, il manque d'attention alors il en cherche... comme les gosses tu vois, j'explique avec un sourire narquois en défiant le bouclé du regard.

Ce dernier pince les lèvres, mais se tait finalement, se contenant de boire à son verre.

Tu veux boire autre chose ? me propose gentiment Lily, sa bienveillance tranchant avec les sarcasmes du bouclé.

Je veux bien une bière... mais je vais y aller, ne t'embête pas.

Non, c'est bon, t'inquiètes, me rassure-t-elle en se levant, imitée par son homme. Harry, un autre vin chaud ?

Oui, merci, Lil'.

Une fois qu'ils sont partis, je me retrouve seul avec Harry, les autres étant à l'autre bout de la table et occupé à tout autre chose que me prêter attention. Pour éviter une nouvelle rixe verbale, je détourne les yeux vers l'extérieur. La neige tombe à gros flocons, poussée par de violentes rafales de vent qui ne semblent pas vouloir se calmer. Le ciel est si chargé de nuages qu'on croirait qu'il fait nuit alors qu'il n'est que quinze heures.

La tempête est arrivée en fin de matinée. Par mesure de sécurité et à cause du risque d'avalanche, les autorités ont fait évacuer les pistes en début d'après-midi. Comme personne n'avait envie de rentrer, nous sommes allés visiter le village. Nous avons fait quelques emplettes avant de se poser dans ce bar du centre-ville qui semble assez sympa et bien fréquenté. Dans une salle attenante, ils ont disposé des tables de billard et un juke-box.

Je passe une main dans mes cheveux avant de reporter mon attention sur mon verre. Je voulais goûter la spécialité locale, mais je ne suis pas convaincu par le mélange des saveurs. Je finis tout de même mon verre, non sans grimacer, ce qui visiblement irrite mon voisin de table.

Tu es tellement difficile... remarque-t-il en levant les yeux au ciel.

Je souffle, exaspéré. De quoi je me mêle sérieux ? Il avait besoin de s'asseoir juste en face de moi ? C'est quoi son but ? Que je lui en mette une ? Il est bien parti s'il continue comme ça.

Je sais ce que je veux au moins, je lui réponds avec dédain en me calant contre le dossier de ma chaise.

— Moi aussi... et tu n'en fais pas partie, lâche-t-il en m'observant avec condescendance.

Ça tombe bien, je ne comptais pas t'ajouter dans ma liste de souhaits. Comme tu l'as si bien dit, je suis difficile.

Il cligne des yeux, un peu déstabilisé avant de se reprendre, affichant un air sûr de lui.

Pourtant, je suis dans celles de beaucoup de monde, se vante-t-il en jouant avec ses sourcils.

Je ne peux m'empêcher de ricaner en croisant mes bras sur ma poitrine.

Ce n'est pas de ma faute si la plupart des gens se contentent de peu.

De peu ?

Il a perdu de son assurance tout à coup. Il semble plus... fragile ?

Il suffit de te parler pour ne plus avoir envie de toi, je déclare sans le lâcher des yeux.

Je sais pertinemment que je suis dur, mais il me tape trop sur le système pour que ça me donne envie de me modérer. Cependant, lorsque je le vois légèrement pâlir et ses yeux se troubler, je me dis que je suis allé trop loin, ce que je regrette aussitôt.

Laisse tomber, c'était méchant. Je suis désolé, je m'excuse immédiatement.

Il écarquille les yeux, étonné.

Quoi ?

Je suis allé trop loin. Contrairement à ce que tu as l'air de penser, je ne suis pas si détestable que ça et je regrette mes mots.

Il ne me répond rien, enfonçant ses iris émeraude dans les miens. Nous restons ainsi un long moment, sans prononcer la moindre parole. Je suis déstabilisé par l'intensité de cet échange silencieux. Quelque chose est en train de se passer, mais je n'arrive pas à l'analyser. Tout ce que je sais, c'est que tout ce qui nous entoure semble avoir disparu et que le monde ne tient plus qu'à travers ses orbes vert pâle.

Mon cœur loupe un battement avant de s'emballer, mes mains sont moites, un frisson me secoue, ma bouche s'assèche. Je n'aurais hélas pas le loisir de tenter de comprendre ce qui m'arrive, car nous sommes interrompus par le retour de Niall et Lily avec nos verres. Lorsque je détourne le regard, j'ai comme une impression de vertige. Je ne sais pas s'il a ressenti la même chose, mais c'était à la fois étrange et intense.

Totalement inapproprié surtout.

Merci, je souffle en récupérant ma pinte, bien plus troublé que je ne veux bien l'admettre.

Je n'arrive pas à comprendre comment ce type arrive à me mettre dans tous mes états comme il sait si bien le faire. Il arrive à éveiller en moi tellement de sentiments contradictoires. Je passe par toutes les émotions avec lui. Le pire dans tout ça, c'est que je devrais détester ça, mais ce n'est pas le cas. Si je dois me montrer tout à fait honnête, c'est même tout l'inverse. Ça me rend juste vivant. J'ai l'impression de n'avoir jamais ressenti de cette façon si brutale, si entière.

J'aurais juste préféré que ce soit l'homme que j'aime qui me fasse cet effet et non un idiot casse-pied qui me tape sur le système. Je souffle en buvant de ma bière et me concentre sur la discussion avec Niall et Lily. J'essaie de ne pas analyser, parce que ça me dépasse et je n'apprécie pas de ne pas maîtriser mes émotions.

Nous restons tout l'après-midi dans ce bar à enchaîner les verres et les parties de billard. Je ne suis pas un as à ce jeu, mais ça m'amuse. Harry est resté tranquille pendant quelque temps avant de finalement reprendre ses remarques auxquelles je n'ai bien sûr pas pu m'empêcher de répondre. C'est plus fort que moi alors que je devrais le laisser se fatiguer. Malgré tout ce qu'il peut dire, je l'ai bien senti, son regard sur moi, lorsque je me penchais pour jouer.

Mais le pire, c'est notre bande de potes qui parient carrément sur nous. Je les ai surpris à s'échanger des billets en douce. En gros, ils misent sur qui va commencer, qui va avoir le dernier mot, la plus belle vanne... ils sont ridicules. J'ai eu beau râler, appuyer pour une fois par Harry, ils n'ont rien voulu savoir. Ça les éclate ces cons. En même temps, je dis ça, mais je ferais dans doute comme eux si j'étais à leur place.

Sans compter toutes les vannes à double sens qui n'ont pas arrêté de fuser autour du jeu. J'avais oublié à quel point une simple partie de billard pouvait dégénérer. Forcément, lorsqu'il s'agit de boules, de queues et de trous, l'âge mental général baisse dangereusement. J'avoue que j'ai bien ri moi aussi.

Lorsque nous rentrons, il fait déjà nuit et le temps est toujours aussi pourri. Honnêtement, je n'en mène pas large dans la voiture. Liam n'a quasi rien bu, heureusement, car je ne serais même pas monté, je crois. Agrippé à ma ceinture et à la poignée de la portière, j'ai presque envie de finir le trajet à pied, mais vu la distance qui reste à parcourir et les conditions météo, ce n'est pas l'idée du siècle à moins de vouloir finir en bonhomme de neige.

J'ai toujours eu peur en voiture quand ce n'est pas moi qui conduis. J'ai eu un accident plus jeune qui m'a traumatisé. C'est plus fort que moi, ma peur ne se contrôle pas. J'arrive à gérer la plupart du temps. Il suffit que j'écoute de la musique ou que je discute pour que ça me passe. Mais ce soir, avec la tempête qui fait rage, c'est compliqué. La voiture tangue et même si nous progressons à deux à l'heure, j'ai les larmes aux yeux.

Harry, qui s'est bien entendu assis à côté de moi, m'étonne par son silence. Je m'étais attendu à en entendre parler pendant des siècles, à ce qu'il profite de ma faiblesse pour se moquer de moi et qu'il appuie bien là où ça fait mal, sachant que j'aurais été dans l'incapacité de lui répondre, mais il s'abstient. Au contraire, je sens qu'il passe son bras autour de mes épaules et avant que je puisse réagir, il m'entraîne dans ses bras, de manière à ce que mon visage soit enfoui dans son cou.

Je ne vois plus la route, je n'entends plus que sa voix qui me fredonne une chanson à l'oreille, je ne sens que son parfum et une de ses mains me caresser le bras. Et contre toute attente, ça m'apaise un peu. Lorsque nous arrivons, je me détache de lui, mal à l'aise. Je m'attends à ce qu'il m'achève avec une remarque bien sentie, mais il n'en fait rien. Il se penche juste à mon oreille pour me chuchoter,

Contrairement à ce que tu as l'air de penser, je ne suis pas si détestable que ça...

Il a repris les mots exacts que j'avais utilisés lorsque nous étions dans le bar. Je ne réponds rien et sors de l'habitacle, soulagé d'être enfin arrivé en un seul morceau. Oli et Calvin s'approchent de moi alors que je me courbe en deux, les mains posées sur mes genoux. J'essaie de reprendre contenance, de calmer mon rythme cardiaque et ma respiration. La peur, mêlée au trouble que m'a causé Harry, m'a totalement retourné.

Ça va aller Lou ? me demande Cal, inquiet.

Je hoche la tête, incapable de parler pour le moment. Oli m'aide à me redresser en m'attrapant le bras.

Allez, rentrons. Tu vas prendre une bonne douche, ça va te faire du bien.

Son ton est calme, posé, ça me fait du bien. Personne n'ose commenter, mais je sais que tout le monde me regarde, ce qui me gêne. C'est donc soulagé que je passe la porte du chalet. Après m'être assuré que personne n'a besoin de la salle de bain, je monte à l'étage sans demander mon reste, frigorifié et encore retourné. Je prends des vêtements confortables dans ma valise et m'enferme dans la petite pièce carrelée. Après avoir profité d'une bonne douche bien chaude et m'être changé, je redescends pour m'installer devant la télévision.

Le coin salon est vide à l'exception de Liam qui lit tranquillement assis dans un des fauteuils individuels.

Je zappe rapidement sur les quelques chaînes que nous arrivons à capter malgré le mauvais temps en quête d'un programme qui pourrait m'intéresser. J'arrête mon choix sur un match de foot entre deux équipes françaises plutôt pas mal, qui comptent dans leurs rangs de bons joueurs. Attiré par le bruit de la télé, le reste de la bande me rejoint pour assister au match pendant que Niall et Calvin préparent le repas.

Putain, pas du foot sérieux ! râle Harry en prenant place sur le tapis moelleux devant la cheminée

Il s'adosse au canapé en soufflant. Pourquoi sa réaction ne m'étonne même pas ? Quand je dis qu'il n'aime rien de ce que je peux aimer. C'est juste dingue. Il me fatigue bon sang ! Dans la voiture, il a agi comme un gentleman, mais il faut toujours que son mauvais côté ressurgisse, effaçant ses bonnes actions. Loin de me démonter et connaissant à l'avance la réponse, je demande à la cantonade,

Qui a envie de voir le match ?

Et sans surprise, tout le monde à part Lily et Harry lève la main.

La majorité l'emporte ! j'annonce avec un sourire triomphant aux lèvres.

Le bouclé souffle en se relevant. Alors que je pense qu'il va juste partir ailleurs, il approche de moi et m'arrache littéralement la télécommande des mains.

Hey ! je m'exclame en tentant de la récupérer en vain.

Tu peux toujours rêver mon gars, tu n'avais qu'à avoir des réflexes ! s'écrie-t-il en s'éloignant de moi.

Va te faire voir ! Je m'énerve en me relevant pour foncer sur lui.

Il recule en riant, se moquant ouvertement de moi.

Qu'est-ce que tu essaies de faire là ? demande-t-il en appuyant sur une chaîne au hasard.

Rends-moi ce truc, bordel ! On voulait tous regarder le match ! T'es pire qu'un gamin ma parole ! je fulmine, à bout de nerfs.

Essaie de la prendre, si tu y tiens tant que ça ! me provoque-t-il en relevant son bras au-dessus de sa tête.

Tu crois vraiment que tu vas m'en empêcher ?

Vu ta taille de nain, je n'ai en fait aucun doute là-dessus.

À sa remarque, je m'arrête net, soufflé par son audace. Il cherche quoi en fait ? Que je le frappe ? Je suis complexé par ma taille et je n'accepte pas qu'un mec que je connais à peine se permette de se moquer de moi là-dessus. Je tourne la tête vers nos amis, à la recherche d'un soutien quelconque, mais ces derniers nous observent en se marrant.

Il ne leur manque plus que le pop-corn. Ils sont au spectacle en fait. Toute cette histoire est ridicule. Je me sens moi-même ridicule. J'ai l'impression d'avoir régressé, d'avoir de nouveau dix ans quand je me disputais avec mes sœurs pour le programme télé.

Tu laisses tomber ? ironise Harry, prêt à sauter de joie si jamais je lui donne raison.

Il semble si content de lui que je n'arrive pas à me contrôler. Je le pousse sans ménagement, le faisant tomber à la renverse sur le canapé et sans même réfléchir, je lui grimpe dessus pour attraper la télécommande. Ce n'est qu'une fois l'objet en main que je me rends compte de la position dans laquelle nous nous trouvons. Je suis quasiment allongé sur lui, pesant de tout mon poids sur son corps, mes jambes serrant ses cuisses et une de mes mains appuyant sur son épaule.

Paralysé, je baisse la tête lorsque lui-même relève la sienne. Nos visages sont proches. Trop proches. Nos souffles s'effleurent, nos parfums se mêlent, nos orbes s'accrochent... c'est déstabilisant.

Mais qu'est-ce que je fous ?

Je me redresse aussitôt, brisant l'instant, les joues rouges et un peu trop bouleversé à mon goût par la situation. Je sens tous les regards peser sur moi. Embarrassé, je les ignore et reprends place sur le canapé pour remettre la chaîne que nous voulions voir à la base. Du coin de l'œil, j'aperçois Harry se redresser et s'asseoir à sa place initiale en silence. J'ignore s'il a été aussi troublé que moi, mais une chose est certaine, on ne s'adresse plus la parole de la soirée. Je ne sais pas ce qu'il vient de se passer, mais je ne veux plus que ça arrive de nouveau.

C'était trop... bizarre ? Improbable ? Inacceptable ?

Du moins, c'est ce dont j'essaie de me persuader, une fois seul au fond de mon lit.

Que ça ne doit plus arriver.

C'est ce que je me répète également le lendemain matin, lorsque je descends prendre mon petit-déjeuner et que je me retrouve encore seul avec lui dans la cuisine.

Ça ne doit plus arriver.

Le silence est pesant, l'ambiance lourde. Je suppose que nous sommes mal à l'aise autant l'un que l'autre. Ou bien sommes nous définitivement irrité par l'autre ? En tout cas, sa présence me dérange, même si je ne peux rien y faire. J'essaie de penser à autre chose pendant que je me fais chauffer de l'eau pour mon thé. Je me sers dans une assiette deux pancakes qu'il a pensé à faire en quantité suffisante pour que tout le monde puisse en profiter.

Wow, on avance ! Incroyable !

Espérons juste qu'il n'a pas glissé de l'arsenic dedans !

Pendant tout ce temps, nous n'avons pas échangé un seul mot. En fait, depuis que je suis entré dans la cuisine, nous n'avons pas parlé, nous contentant d'un hochement de tête en guise de salut. Je m'assieds en soufflant à l'opposé de lui et sors mon téléphone pour répondre à un SMS que m'a envoyé l'une de mes sœurs. Plus Noël et mon anniversaire approchent, plus ma famille me manque. Je ne regrette pas mon choix, parce que toute ma vie est à Londres et que je n'étais clairement pas prêt à tout laisser tomber, mais ça me pèse.

Je sens le regard d'Harry sur moi, ce qui m'agace prodigieusement. Il me déteste, mais il est incapable de m'ignorer. À croire que s'il n'a pas réussi à placer sa remarque désagréable dans sa journée, il l'a loupée. Comment faisait-il avant de me rencontrer ?

Je souffle de nouveau tout en tapant mon message.

À force de me regarder tu vas finir par m'user... je remarque en réprimant mon envie de lui tirer la langue.

Ouais, je sais, très mature comme réaction !

Je l'entends retenir brusquement son souffle, pris sur le fait et sans doute décontenancé par ma remarque. Mais il se reprend vite.

Si au moins en t'usant ça pouvait te permettre de disparaître... rétorque-t-il sèchement, vexé.

Si ça pouvait fonctionner de cette façon, crois-moi que je passerais mes journées à te reluquer, quitte à me brûler les rétines.

Je relève brièvement les yeux sur lui avant de me concentrer de nouveau sur mon téléphone.

Tss, des excuses tout ça. Tu le ferais juste pour pouvoir profiter de ma grande beauté, contre-t-il avec un sourire taquin.

À ces mots, je manque m'étouffer avec mon thé. Il ne manque pas d'aplomb quand même.

Tu prends tes rêves pour la réalité là, mon gars, je lâche, sarcastique. Tu t'es regardé dans une glace ou bien ?

Bon OK, je suis tout à fait de mauvaise foi et je n'en pense pas un traitre mot, mais je préfère être enseveli dans une avalanche que de le reconnaître à voix haute. Il est hors de question qu'il sache à quel point il est magnifique, magnétique et beaucoup trop de choses de ce genre et encore moins qu'il arrive parfois à me troubler. Parfois seulement hein, il ne faut pas déconner non plus !

En tout cas, mes mots ont atteint leur cible quand je le vois perdre son sourire. Dois-je préciser que je jubile intérieurement ?

Parce que tu crois vraiment que je rêve que tu baves sur moi ? Tu planes trop... je préférerais devenir insomniaque que de t'avoir dans ma tête lorsque je dors.

Ouh, il devient mauvais ! C'est qu'il est touché bien plus qu'il ne veut l'admettre. Loin de me démonter, je l'enchaîne direct.

Évite, ça te rendrait encore plus moche, je souffle en prenant une mine dégoûtée alors que je ne crois pas moi-même à ce que je viens de dire.

Il me jette un regard noir. Je crois que s'il avait des mitraillettes à la place des yeux, je serais mort sur-le-champ. Je me lève pour laver ma tasse et la ranger, content de ma répartie. Mais ma joie est de courte durée.

Au moment où je passe près de lui, sa réponse me fige sur place.

Ce n'est pas ce que t'avais l'air de penser hier soir, lorsque tu étais affalé sur moi...

J'ouvre la bouche, mais la referme, ne trouvant rien à lui répondre. Il vient de me bâcher en beauté. Je me pince les lèvres et sors de la pièce avec le peu de dignité qu'il me reste en me gardant bien de lui jeter un coup d'œil pour le voir jubiler.

Une chose est certaine, ce qu'il s'est passé hier soir ne doit plus arriver !

Et lui, il ne perd rien pour attendre.

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Hello tout le monde ! 👋

Voici donc le 4ème chapitre... Je l'aime bien celui-là. 🙈🙈

Louis et Harry ne cessent de souffler le chaud et le froid 😏😏 Ils se tapent sur les nerfs tout en ne pouvant se passer l'un de l'autre ! 🙄 Deux idiots quoi ! 😂😂

Les copains qui s'amusent encore de la situation 😂😂 et qui parient !

J'ai hâte de connaître vos avis ❤️❤️😘

Je vous embrasse fort 😘😘

💙💚

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