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Chapitre 10 - Fight


8 novembre 2038 _ Casse auto - 17h02


La voiture se gara sur le bas coté. La jeune femme jeta à nouveau un œil au dossier, elle était bien à l'adresse indiqué.

La veille un citoyen avait dénoncé le propriétaire des lieux comme retenant captif des androïdes fichés comme disparus. Elle avait un sale pressentiment à propos de l'homme qui habitait la casse auto.

Mais elle avait endossée la responsabilité de cette affaire. Hank et Connor quant à eux, avaient bien trop de soucis avec l'enquête de la tour Stratford.

Inconsciemment, elle caressa du bout des doigts ses lunettes par-dessous sa veste. Ce n'était pas le moment de ce dégonflée, elle avait connu bien pire.

Melanie se pencha vers la boite à gants et en extirpa une arme.

« Au cas ou. » Ce répéta-t-elle.

Puis elle coupa le courant du véhicule et descendit.

Elle hésitait. Elle se tenait debout sans bouger depuis 5 bonne minutes déjà, à peser le pour et le contre. Enfin, la jeune femme se dirigea vers l'immense hangar pour se protégée de la pluie.

Elle engloba les lieux du regard. Il semblais désert.

_Je ne vais pas rester cloîtrée ici indéfiniment.

Melanie se tourna légèrement de sorte à pouvoir examiné l'intérieur du hangar. Il était impossible d'entendre le moindre bruits à cause de la pluie qui s'abattait sur les taules en métal qui servait de toit.

La jeune femme sortit sa paire de lunette ARI se sa poche, qu'elle positionna sur son nez. Soudain tout ce qui lui avait échappée apparue comme par magie sur l'interface des lunettes.

Une étrange marque au sol attira son attention. Lorsqu'elle s'en approcha le détecteur de ses lunettes lui indiqua que c'était du sang bleu.

_ARI commentaire : Il y a des traces de thyrium sur le chemin menant au hangar. Je vais suivre la piste.

La jeune femme se relava prestement et suivi la trace de sang qui l'emmena au fond du hangar abandonné. La trace s'arrêta près d'une carcasse de voiture, Mel du l'escalader pour continuée son chemin, comme si le véhicule avait été mis là pour caché quelque chose.

Melanie le savait, elle se trouvait dans un environnement hostile où le danger pouvait frapper à tout moment. Elle devait restée prudente.

La trace de sang bleu s'arrêta près d'une porte en fer.

L'agent de police retint sont souffle, enleva ses lunettes et posa fermement sa main sur la poignée.

Un androïde s'approcha de l'autre coté des barreaux, il leva la main, l'approchant lentement. Melanie se recula immédiatement, ébahi et probablement effrayée. Mais l'androïde la retint par le bras.

_Aide nous. Je t'en supplie.

Un frisson parcourut son corps et elle jeta un vif coup d'œil derrière la machine. Elle pouvait lire la terreur sur le visage de tout les autres machines. Mais combien était-il au juste ? Peut importe, elle devait les faire sortir de là.

Melanie repéra le cadenas. Elle devrais trouvée quelque chose d'assez solide pour le brisé. De sa démarche nerveuse elle s'approcha d'un établie, fouilla partout autour d'elle.

Mais un tas de question s'entre choquaient dans son esprits. Pourquoi retenir captif des androïdes ? Pourquoi ici ? Et pourquoi les lieux étaient bien trop calme ?

Avec un évident soupir agacé elle posa ses mains sur ses hanches.

_Réfléchie Mel... Réfléchie...

Lorsqu'elle tournait les talons, le teint blafard, son regard se posa sur un des véhicules. Elle donna un coup de pied dans le coffre de celui-ci qui s'ouvrit immédiatement. Elle caressa du bout des doigts la pince coupante qui se trouvait la parmi d'autres outils de mécanique.

Un sourire en coin étira ses lèvres.

Et sans hésité elle retourna vers la porte de métal affin de libéré les prisonniers. Une étrange forme d'excitation monta en elle, et doucement, elle cala parfaitement, l'outil sur le cadenas.

_Je vais t'apprendre a fouiné dans nos affaires. Déclara une voix rauque dans son dos.

Un puissant coup l'atteignis derrière la tête, la jeune femme tomba à genoux. Un frisson la secoua mais elle ne se démonta pas et se retourna pour évité un nouveau coup.

Elle se releva avec difficultée. Tentant de reprendre contenance.

L'homme frappa à nouveau, elle para son coup et repoussa l'attaquant.

_Tu va finir comme tous ses androïdes sale garce !

Melanie remarqua le pied de biche que l'homme abatis sur elle. Elle eu le temps de ce jeter au sol dans une roulade pour l'esquivé, puis elle le frappa au genoux. L'homme émis un cris de douleur avant de ce retourné à une vitesse folle et d'envoyé valsé la jeune femme contre un mur. Le mécanicien s'approcha à grand pas de Mel et l'attrapa par le col de sa veste, pour la soulevé. Elle se débâtie comme elle pu mais rapidement elle commençais à étouffée.

_Je vais te torturé lentement, et lorsque tu serra à l'article de la mort je t'enfermerais avec tout ses androïdes, histoire que tu comprennent que c'est mal de fouillé dans les affaires des autres. Ou alors... Peut être que je t'enfermerais dans une des voitures et t'écraserais avec la broyeuse à métaux ?

A vrai dire, elle ne voulait plus rien entendre. Elle souhaitait seulement qu'il cesse de parler, de déballer ces paroles dont elle assimilait douloureusement les atrocités. Mais il continua, prit d'un élan invisible.

Un coup de poing dans le ventre, la jeune femme tomba au sol à bout de souffle et blesser.

_Mais d'abord on, va jouer toi et moi !

Melanie cracha du sang et posa une main sur son ventre douloureux. L'homme c'était écarté pour attrapé un crochet attaché à une grue. Les yeux du policer se posait sur la porte en métal ou les androïdes assistaient impuissant à la scène.

Non. Elle devait les sauvé. Elle devait le faire.

Elle n'avait plus peur. Toute son angoisse s'était envolée. Évaporée. Enfuie. Comme si elle n'avait jamais existé. Ne restait qu'une allégresse passagère. Alors elle se remis sur pied, toute la douleur assimilée lui donnais la rage pour continuée. Alors elle se jeta sur l'homme et le frappa de toutes ses forces.

Les deux antagonistes basculaient au sol. Melanie frappa à nouveau l'homme, puis encore et encore. Il fini par attrapé ses poignées et l'immobilisé. L'homme frappa alors à son tour. Le policier esquiva quelque uns des coup, puis frappa l'homme avec son genoux, l'obligeant à la relâché.

Le mécanicien leva son point vif, près à frappé. Melanie attrapa l'arme accroché à sa ceinture.

Une détonation résonna dans tout le hangar. Puis le silence fut maître le temps de quelques secondes.

Le corps de l'homme c'était effondré, mort.

Mel se dégagea de la masse et se releva vivement. Tout son corps était couvert de sang et dans sa main droite, ses doigts serrait fortement la crosse de son pistolet.

Elle se redressa, tendue, jetant un regard scrutateur tout autour d'elle. Le temps semblait s'écouler a une vitesse folle.

Un voile noir passa devant ses yeux. Elle venait de prendre la vie de cet homme.

L'esprit embrouillé elle se précipita vers la cellule ou était prisonnier les androïdes. Elle attrapa l'outil qu'elle cala sur le cadenas. Toujours suffocante, la jeune femme tenta de le brisé.

Mais son corps chancela. La douleur revenais petit à petit et sa tête commençais à tourner.

Prenant une grande inspiration elle força à nouveau sur l'outil et coupa le cadenas. La porte s'ouvrit en grand.

Les androïdes s'empressaient de sortir et de s'échapper. Mais un seule resta, il s'approcha du policier dont le regard restait ostensiblement rivé sur le mur nu. Elle frissonna discrètement.

_Tu nous a sauvé !

Elle se redressa brusquement et planta ses pupilles dans celles de la machine, lui arrachant une petite grimace.

_Il est mort. Mais il ta fait du mal. Tu n'a fait que te défendre, ne te blâme pas.

_Peut importe... Sauvez vous. Quitté la ville avant que les autorités ne vous rattrapent. Conclut-elle d'une voix ferme,

L'androïde ne fut guère convaincu mais n'insista pas et partit rejoindre les siens.

Tendis que la jeune femme retourna à sa voiture une phrase tourna en rond dans son crâne.

«Je vais t'apprendre à fouiné dans nos affaires. »

_Pourquoi avait-il, dit ça ?

Reprenant contrôle de son esprit encore sous le choc. Ses grands yeux bleu glissèrent rapidement sur les notes étalées dans son véhicule. Puis, soudainement, elle repoussa violemment tous les papiers qui découvrirent les photos des deux suspects.

_Ils étaient deux... Murmura-t-elle.

A peine eu-t-elle le temps de relever la tête qu'un énorme camion de chantier fonça sur sa voiture.

Un énorme fracas retentis. Le choc fut violent, la voiture fit un tonneaux sur plusieurs mètres avant de s'écraser sur le terrain vague de la casse auto. Plusieurs minutes s'écoulaient sans que plus rien ne se passe.

C'est lorsque les flammes commençaient à dévorés le véhicule et qu'un nuage de fumée ce créa à l'intérieur du véhicule, que la jeune femme ouvrit difficilement les yeux. Aucun sons ne parvient a ses oreilles et la douleurs à sa tête s'amplifia. Elle posa une main sur son front, elle saignais. Elle fit voler son regard dans l'habitacle. Il ne lui suffi que quelques secondes pour comprendre que la voiture était retourné et que le feu commençais à ce propagé.

Elle se dégagea des décombres et des morceaux de verres. Mais autour d'elle le véhicule menaçais d'explosé à tout moment, elle devait se dépêcher à sortir.

Elle se pencha vers la porte coté passager et la poussa. Puis frappa avec force. Quelques chose semblais la bloqué, il lui était impossible de l'ouvrir. Son regard survola la carlingue qui menaçait de s'écraser sous le poids des flammes. Il ne lui restait que peut de temps avent de finir dans les flammes. Elle pivota lentement et donna un coup de pied dans la porte à sa gauche, celle-ci s'entre ouvris de quelques centimètres, elle recommença à nouveau et frappa de son pied la lourde portière. Les flammes arrivaient jusqu'à elle maintenant, rapidement suivi d'un craquement alarmant. Alors de toutes ses force elle donna un dernier coup dans la portière qui s'ouvrit. Melanie rampas jusqu'à l'extérieur, puis se releva et s'écarta le plus possible de la voiture en feu. Le bulldozer ou ce trouvait le deuxième homme, pris feu a son tour.

C'est alors qu'il eu une énorme explosion suivis d'une grosse monté de flamme. L'agent de police ce jeta au sol pour éviter les débris. A bout de souffle et, immobile, elle serra douloureusement les paupières, se concentrant un peu plus sur le rythme effréné de son cœur.

Elle était en vie. Son pouls en était la preuve.

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