Chapitre 19: Spécial Jerza partie 1
Point de vue de Lucy
Happy miaule et nous sépare, demandant des caresses. Ce qu'il obtient.
Lisanna.... elle va m'en vouloir, c'est certain.
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Point de vue de Natsu
Je n'arrive pas à y croire......
Je l'aime. Elle m'aime. Pour de vrai.
Pour une fois dans ma vie , j'envisage une vie heureuse. Avec Lucy.
Lisanna.... elle vas me tuer pour être avec Lucy, son amie.
Point de vue de Jellal
Je vois Nastu et Lucy rentrer dans la maison, main dans la main. Le chanceux, lui il a eu ce qu'il voulait. Pour moi, c'est plus compliqué. Entre Erza, ma double identité et le grand projet, notre relation c'est détériorée. Je vais vous contez mon enfance. Vous en jugerez tout seul.
Tout commence lorsque nous avions 5 ans.
Erza vivait dans un village au passé sombre. Rosemary. Personne ne parlait de leurs vies avant. Tout ce qu'ils disaient, c'est qu'une petite fille est morte dans un accident. Je ne comprenais pas, en vérité, je n'étais venu à leur village parce que je cherchais logis. Oui-oui, à 5 ans. Moi et mon père, on marchait de village en village, tel que les itinérants que nous étions. Des granges comme maisons, de la paille pour lit, du pain sec pour festin.
Nous vivons de notre mieux avec ce qu'on avait. On y était habitué. Habitué de mal dormir. Habitué de voir nos amis mourir l'un après l'autre, d'une maladie ou de vieillesse, le deuxième cas étant plus rare, nous ne nous fessions pas d'illusions. Habitué d'entendre notre ventre gargouiller, à moitié rempli. Habitué de quêter auprès des marchands pour de la nourriture. Habitué de ce faire traiter de voleurs, de moins que rien, de sale pouilleux. Habitué.
L'hiver approchant, nous cherchions à nous trouver un bon logis. Mon père éclaira l'intérieur d'une caverne. Sauf les chauves-souris, aucun habitant dans la grotte. Je fis des réserves de bois, tandis que mon père, lui , chassait de quoi manger.
Nous y vivrons jusqu'au 25 décembre, calme et heureux. Ce jour-là, des soldats débarquèrent dans la forêt. Je me rappelle très clairement d'eux. Ils étaient géants, tous armés jusqu'aux dents.
Chef d'armée : Écoutez-moi. Notre seigneur, a remarqué que les animaux se fessaient plus rare sur ses terres. Il nous a donné l'ordre d'éliminer les voleurs. C'est un crime et les criminels doivent être punis. Prenez garde à en garder un vivant. Nous l'exécuterons en public.
Des sifflements et des « hourras » s'élevèrent dans la forêt, fessant fuir les oiseaux.
Je tente de réveiller mon père en le secouant. Nous devons partir. Maintenant. Rien à faire, il ne se réveille pas. Je prend le seau d'eau et l'arrose. Tout mouillé, il se lève.
Mon père: QU'EST-CE QU'IL SE PASSE?!
Jellal: Rien papa. Il y a juste des gardes qui veulent nous tuer...
Mon père: QUOI?!
Jellal: Tais-toi!
Je couvre sa bouche de ma main. Les ombres des gardes passent devant notre cachette.
Mon père: On va devoir passer.
Jellal: Comment?
Mon père: Je vais faire diversion. Toi cours jusqu'à la sortie de la forêt. Ne te retourne surtout pas.
Je fais comme il me l'a dit. J'ai confiance en papa, je sais qu'il réussira à s'en sortir. Je cours, entends les pas des soldats qui courent après moi . J'accélère, je cours sans m'arrêter. Les protestations de mon père se font entendre. Il s'est fait prendre. Je cours le plus vite que mes petites jambes me le permettent. Courir. Ne pas se retourner.
J'arrive à la lisière de la forêt. J'ai réussi! Je tombe au sol, aux pieds d'un inconnu. Mes paupières se ferment.
[...]
Combien de temps ça fait? Depuis combien de temps suis-je couché, endormi dans ce. Attends.... je suis couché dans un vrai lit! J'ouvre les yeux et observant tranquillement les lieux, remarque que le milieu était assez pauvre. Bien entretenu, mais pauvre. Une cascade rouge me sers dans ses bras.
???: Dieu merci ,tu n'es pas mort! Ça aurait été difficile de ce fournir un cercueil. Trop grand pour enter dans cette sacoche.
Jellal: Qui es-tu?
Elle me regarde un instant et s'en vas en courant de la chambre. Une minute après, elle revient, une boîte à musique dans les mains. Elle l'ouvre. Tandis qu'une charmante mélodie part, elle me pointe l'intérieur de la boîte. Il y a un mot gravé dans le bois.
???: Ça! C'est mon nom à ce qu'il parait.... je ne le connais pas, je ne sais pas lire.
Jellal: Moi, c'est Jellal.
???: Ravie de te rencontrer! Tu as de la chance de connaître ton nom. Moi, mes parents sont mort quand j'avais à peine 1-2 ans. Je vis avec mon oncle.
Elle sourit. Elle me tends la main. Je la serre. La petite me dit qu'elle veut bien que je reste, à condition que la salle à manger, la cours et ma chambre soit en tout temps propre. J'accepte à contre cœur. Je voudrais retrouver mon père. Un enfant cri aux passants.
L'enfant: Achetez! Achetez! Un dollar le journal!
La rousse lui donne un dollars volé. Quant à lui, le petit garçon nous remercie de tout son cœur. Il pourra manger ce soir. Je souris tristement. Les riches sont si égoïste. Je me demande ce qu'ils leurs arriveraient s'ils vivaient dans la pauvreté. La fille me tends le journal. Non! Pas vrai?!
Une page entière est réservée à l'exécution de mon père. Il faut que j'y assiste. Peut importe si c'est un piège. Je suis son fils. Je dois être fier d'être un Fernandez. J'irais voir sa mort, je deviendrais plus fort. Je fais part de mes envies à mon amie.
???: Hum, ouais. Bon. C'est sûrement un piège. Tu ne devrais pas y aller.
Jellal: J'y vais. Point final.
???: Seulement si mon oncle et moi peuvent t'accompagner.
Je sais qu'elle ne changera pas d'idée. Plus qu'une chose à faire. Accepter qu'elle m'accompagne. Et puis pourquoi est-ce que je lui en ai parlé? Je n'aurais jamais dû . Maintenant, je vais me faire babysitter. L'horreur.
Éclipse 1 janvier
Depuis le temps, j'aurais pus changer d'avis?
Pourquoi dois-je y assister déjà?
Ah oui.... mon père. Son exécution.
Je respire un grand coup avant de regarder la guillotine. Sa lame étincelle au soleil.
Mon père arrive, des bleus partout sur le corps. Les bras, les jambes, le ventre, le dos, le cou, le visage. Il tremble, trébuche et reçoit des coups de fouets directement sur ses blessures. Plaies et cicatrices viennent se rajouter au bleus qu'il avait déjà. Il trébuche de nouveau et les coups ne tardent pas à arriver.
Je détourne mon regard, ne pouvant en supporter plus. La fillette rousse à mes côtés pleure abondamment, sachant que ça aurait pus être elle, le voleur qui se fait battre devant tous. Je la prends dans mes bras et caresse ses cheveux doux comme la soie. Je lui chuchotte à l'oreille d'être courageuse, la serre plus fort contre moi pour créer une barrière corporelle. Personne n'a le droit de lui enlever son innocence. Elle est si gentille, si jeune. Moi aussi.
Mais je serai courageux. Pour elle, pour papa, pour ma maman que je n'ai jamais connue.
Je suis courageux.
Je suis courageux.
Je suis courageux.
Je suis courageux.
....
Aidez-moi, j'ai mal....
Bonjour!
Devinez qui c'est?
Moi.
Wow! Incroyable n'est-ce pas?
J'espère que vous aimerez le chapitre 19: Spécial Jerza partie 1
....
Que faire.
Je m'ennuie.
....
JE SAIS! JE VAIS ÉCRIRE LE PROCHAIN CHAPITRE!
cordialement,
Moi,
Avec 1245 mots
Brihyoras
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