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0.5

À Mark :

C'est ta meuf ?

Envoyé.

De Mark :

Ouais

Pourquoi ?

Jamais de ma vie je n'aurais cru qu'un message, un simple putain de message m'aurait fait sortir de mes gonds.

Je ruminais rageusement devant ces deux mots que je ne voulais pas entendre, ni voir.

Je pouvais lui faire dire ce que je voulais, habituellement. Je pouvais tout faire. Il pouvait tout faire pour moi. Mais pas contre moi.

À Mark :

Depuis combien de temps

Envoyé.

Depuis combien de temps était-il avec elle ? Depuis combien de temps il la trompait avec moi ? Depuis combien de temps il nous trompait ? Depuis combien de temps il lui disait je t'aime ?

Est-ce que ses je t'aime étaient sincères lorsqu'il me les glissait au creux de l'oreille alors que je ne pensais qu'à son corps que je caressais sans relâche ?

Après trois semaines de silence, mes doigts avaient pianoté pour la première fois sur son contact, désireux d'avoir réponse à toute ces questions qui brûlaient chaque partie de mon corps.

J'étais partie, oui. À chaque fois que je partais, je m'étais toujours promis de ne jamais revenir.
Car nous n'étions pas ensemble.
Car je ne voulais pas développer de sentiments autre que mon indifférence envers lui.

Mais ces derniers jours semblèrent comme un supplice. Un supplice pour toutes mes interrogations taraudantes, un supplice pour moi et mon coeur.

J'avais eu tellement mal. Si mal quand ses lèvres que je pensais mienne, qu'il me disait mienne, s'étaient déposées sur d'autres.

Sur une fille.

De Mark :

2 mois

J'ai mal.

Mon sang ne fit qu'un tour, alimentant d'une vitesse faramineuse la fureur qui se tapissait maladroitement en moi.
J'étais fou. J'écumais ma rage comme un pauvre fou, me déchaînant comme un surexcité sur le mur qui me faisait face, tapant, une fois, puis deux, et à la troisième je sentis ma peau se déchirer.

Deux mois qu'il se foutait de ma gueule.

Et c'était bien deux mois d'espoirs envolés, piétinés et déchirés.

- Ah ce fils de pute...

Un rire nerveux m'échappa.

Non on me l'avait jamais faite celle-là.
Par quel chemin j'étais passé pour que nous entrions dans le désastre ?

Je vivais en rond.
Je ressemblais à tout le monde, marchant dans le bruit respirant et piétinant, doucement aspiré par les murs épais de mon appartement.

Je ressemblais à cette personne lambda qui venait de se faire tromper.

J'étais hors de moi. Et blessé. Blessé.

Je m'allongeais sur mon lit vide et froid, plongeant mes mains tremblante dans les draps froissés.

Sans lumière, sans coeur, c'était ma méchanceté qui s'illuminait, qui clignotait avec sarcasme au dessus de la tête.

Je ne t'aimais plus comme je t'aimais.

Et je me souvenais, ces moments.
Ces moments envoûtant. Ces moments que je disais détestables et écœurants, mais que j'aimais tant.
Ces moments déchirants pour toi, et apaisants pour moi, où ton corps criblés de mes mots se mouvait contre le mien.

Tu aimais, j'aimais, je me glissais de ton corps dans les cendres qui n'étaient que le fruit des braises de notre passion,
Une douce lumière dans les ordures sans fin de mes tabernacles.

Le vent me fouettait le visage, et le froid m'engourdissait les membres.

Ça faisait cet effet de se faire rejeter ?

Je reniflai, puis séchai honteusement mes joues  où ma colère s'était déversée sans que je n'en donne ma permission.

Je repris mes esprits, lorsque que je me rendis compte que ma fenêtre était ouverte.
Je me levai en soupirant, touchant mon parquet gelé de mes pieds frigorifiés, puis atteignis l'ouverture en quelques pas.

L'air pur et vif se glissa dans mes vêtements légers. Je tendis la main, et ma peau se blanchit.

Neige, neige sur ma vie.
Neige, neige sur moi.

Et avec les mêmes mots qu'il me répétait, sous un autre ciel, avec mes doigts craquelés, mes ongles rongés, et mon coeur effrité, je murmurais sans m'en rendre compte ses mots, un flocon cristal s'écrasant sur la pulpe blanche de ma peau.

Puis un fracas me vrilla les oreilles, me faisant sursauter.

- T'es rentré toi ? lança la voix franche de Jaebum.

J'aurais préféré plus de calme.

- Ouais.

- T'étais pas censé être chez ton mec ?

- C'est pas mon mec, crachai-je en lui lançant un regard mauvais.

- Ouais je sais, mais du coup qu'est-ce qu'il se passe ? Tu couches plus avec ?

- Nan.

- Il s'est trouvé un autre gars ?

Le plus risible dans tout ça fut son ton. Son ton presque compatissant.

Et ça, c'était encore plus douloureux.

- Une meuf.

- Ah.

- C'est bon je m'en pète un rein.

Un silence s'installa lourdement dans ma chambre où il commençait à neiger à l'intérieur.

- C'est une pute ce gars. Il est détestable, et complètement ridicule, argua-t-il.

Si il essayait de me rassurer c'était nul.

- J'ai ramené des pizzas, viens.

Un ricanement se glissa hors de mes lèvres tandis que je lui tournais le dos, les yeux rivés sur le ciel blanc qui recouvrait la ville de Seoul.

Voyant que je n'étais pas décidé à bouger dans l'immédiat, ma porte se referma. Me laissant une fois de plus seul dans ce froid mordant que je ne sentais plus.

Ce n'était pas lui qui était détestable.

C'était moi.

Et c'était entièrement de ma faute si j'étais dans mon appartement, et pas le sien. Si je me morfondais minablement au lieu de lui arracher un énième sourire que moi seul révoltait.

Car exquis était son corps dans ma méchanceté sans limites.

11/05/2018
zbeub zbeub

cv les tepu ?
nn jmen blc

euh bref
voilaaa
mdr on va rien dire

écrire avant l'entraînement ça libère pour courir un bon coup.

SINON
j'avais dit au dernier chapitre que j'allais poster peut-être un OS, eh ben voila

jvous jure il est très soft
c'est cocooning

ET EUUUH
30K JSUIS GIGA QUI ? JME SOUVIENS ENCORE DE PUÉRIL QUAND CTE MERDE AVAIT ENCORE 700 vues GT AU BOUT DMA VIE


et vs avez vu ? g refait ttes mes couvertures d'histoire lol

Jme prends trop pr une auteure jsais pas quoi jprends la grosse tête jv redescendre

nref

zoubi

grille t mor
@taimlepain

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