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0.3

Ma plus grande peur ?

Lui.

Pourquoi ?

Parce que je ne devais absolument pas flancher devant lui.

C'était impératif.

J'étais ce Yugyeom impassible, froid, impénétrable, et inexpressif.

Mais quand il me regardait, quand il plongeait ses yeux neutres dans les miens, j'avais toujours eu peur qu'il puisse lire en moi comme dans un livre ouvert.

J'avais peur qu'il puisse y lire quelque chose.
Quelque chose dont moi-même j'ignorais.
Ou quelque chose qui me poussait à me voiler la face, à repousser cette vérité.

Et lorsque qu'il plongea ses yeux bruns dans les miens, je ne pus que détourner le regard.

Je ne pus que éviter tout contact visuel avec cet homme que je brisais. Je m'écartai de lui, cherchant un peu d'air.

- Je peux avoir de l'eau ? soupirai-je avec un léger vibrato incertain dans ma voix.

- Tu te démerdes. T'as toujours fait ce que tu voulais, ici.

Perplexe et troublé, je m'élançais d'un pas pressé dans sa cuisine, fuyant à tout pris son regard embué qui semblait me décortiquer.

Je me servis un verre d'eau, manquant au moins une bonne dizaine de fois d'échapper la vaisselle.

Je sentais toujours ses yeux sombre qui se baladaient sur mon dos. Je pouvais deviner son visage contracté par la douleur. Ses bras croisés qui faisaient opposition à tout dialogue.

Je tournai les yeux en sa direction, et plongeai instantanément dans ses prunelles brillantes.
Un rictus timide se glissa sur mes lèvres.

Puis, dans un tintement cristallin, je déposai le verre vide dans le fond de l'évier, laissant résonner ce bruit clair dans la cuisine dépourvue de décoration, avant de m'approcher de ce qui me faisait de l'oeil.

J'étais indéniablement attiré par son air hagard et son émotivité.
Il était si facile à berner. Si facile à faire tomber dans ses bras.

Et en même temps, si inaccessible.

Chaque ligne de son visage semblait tirée par mes ficelles. Si je voulais qu'il sourit, je n'avais qu'à lui murmurer des mots dans le creux de l'oreille. Si je voulais qu'il gémisse, en deux effleurements, le tour était joué. Je n'avais pas vraiment envie qu'il pleure. Non, aujourd'hui il faisait assez humide comme ça.

D'un geste absent et contre-indicateur, mes doigts glissèrent d'eux-mêmes sous sa mâchoire.

Je me coupai sous ses lames de tristesse. J'avais autant mal au coeur que ça m'apaisait.

Je me noyais dans ses orbes noires et profondes, alors qu'il zieutait tout, sauf moi.

- Mark.

Il frémit. Mais ne réagit pas.

- Mark, réitérai-je, légèrement peiné.

Il m'ignorait royalement.

Je pouvais sentir son souffle brûlant s'échouer sur ma peau frissonnante, encore mouillée par la pluie battante qui tapait rageusement contre les carreaux de son appartement.

- Regarde-moi.

Ça me tuait.

- S'il-te-plait.

Car je le perdais.

Je perdais ce qui me réchauffait.

Je perdais son regard qui m'assassinait. Ce regard qui me rendait fou. Ce regard qui me brûlait, qui me glaçait. Ce regard où le reflet de mon égoïsme y brillait d'un air triomphant. Ce regard que je scrutai seulement pour y croiser mes propres pupilles.

Cette fois-ci, elles me fuyaient.

Car c'était la fois de trop.

S'il-te-plait Mark, dis-moi que je ne suis pas aveugle. Dis-moi que c'est faux.

Dis-moi que c'est juste le scintillement de tes sentiments que tu viens de trouver dans mes yeux.

Que se sont les tiens et pas les miens.

____

mdr

solu

c le retour des notes de fin p-e
g la flemme d'écrire pueril
pck g pas l'inspi pour.
dcp nvm

bisous

segolene royal la put
@taimlepain

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