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Chapitre 28

     Son regard, il y a quelques instants très intense, redevient vite comme à son habitude, hautain et désintéressé. Elle se redressa alors, inclina la tête en remerciement et se dirigea à sa place. Je redirigeai mon regard vers mon amant, le prince, qui m'adressait un regard interrogateur auquel je répondis par un large sourire qui sembla le rassurer un petit peu.

     À la fin du repas, le me dirigeai immédiatement vers la grande bibliothèque du palais. Arrivée là-bas, je ne su que chercher... J'eus alors l'idée d'aller demander des informations à la bibliothèquaire qui devait traîner quelque part. Personne n'était présent au bureau, je parcourut alors les rayon en quête du moindre signe de vie. Personne. Je redescendis alors en vitesse les escaliers pour arriver au rez de chaussée. Je poussai une porte en bois présenté entre deux étagères de cette immense salle circulaire. Là, j'arrivai dans une grande salle qui ressemblait à une salle d'étude. Plusieurs dizaines de tables était alignées supportant le poids d'autant de chandeliers posés sur ces dernière, faute de suffisance de la lumière du jour dût au peut de fenêtres. Au fond de la pièce j'appercus une homme, vieux et barbus, plongé dans un vieux livre poussiéreux. Pour une raison qui m'était inconnue, j'imaginais une femme à la tête de cette partie du château. Je m'avancai silencieusement et l'interpela.

       «- bonjours, j'aurai besoin d'indications »

     Le vieil homme leva doucement sa tête vers moi et me transperca d'un regard émeraude et perçant. Sa peau ridée laissai deviner un visage magnifique dont la beauté aurait été estompée avec le temps. Un sourire bienveillant apparut alors dans le désordre de sa barbe.

     « - Par la barbe de Merlin, une femme. Du moins j'imagine, cela fait tellement longtemps.
     - Ho... Je suis bien une femme, il n'y a pas le moindre doute la dessus.
     - Ha... Tant mieux. Ça me changera de ce petit chenapant de prince. C'est un garçon très contrariant, il n'est jamais d'accord avec moi. Je l'ai pourtant éduqué... J'ai dut mal faire mon travaille vu son caractère de cochon... Veuillez m'excuser de divague, vous vouliez ?
     - Si je vous dit un truc du genre : libère inné paix à tort morte. Cela vous dit quelque chose ?
 

   - Et bien... Je suis désolé mais pas vraiment, en faite ce que vous dites ne veut tout bonnement rien dire. Est ce du latin ?
     - Heu... Du latin ? Et je suis désolée mais j'étais fatiguée, je ne me souviens pas bien de la phrase exacte alors...
     - Ho je vois... Qui vous l'a dîtes ?
     - Heu... Une sorte de voyante...
     - Ha c'est donc bien du latin... Qu'est ce que ça pour être... Je ne pourrai pas deviner seul, les livres qui y font référence, je dois les retrouver... Peut être est-ce une formule...
     - Je ne veux pas vous déranger je...
     - Ho non, je t'en pris, pour une fois que quelqu'un d'autre que ce foutu prince me donne du travail.
     - Il est si horrible que ça ?
     - Depuis ces dernier moi oui, il me demander des choses dont j'ai même eu un doute sur l'existence dans cette bibliothèque. Vous rendez-vous compte ? Un doute ! Je dois me faire vieux... Bien, je dois te laisser j'ai du travaille mais n'hésite pas à me demander si tu as besoin d'aide. Pourrai-je avoir ton nom ?

     - Aileen, monsieur. Je vous remercie.
     - Ho... Aileen... Et bien ce n'est rien, appelez-moi Gabriel. »

     Je le remercie d'un sourire qu'il me rendit avant de commencer à s'e' aller

     « - Gabriel ? Appelai-je avant qu'il ne disparaissent parmis les rayons.
     - Que ce passe-t-il ?
     - Puis-je revenir demain ?
     - Oui bien sur fait ce que tu veux tu n'es pas en prison à ce que je sache. »

     Je lui souri et me dirigeai vers mes appartements, là, j'attendis l'arrivée des mes dames de chambre.

P.D.V ALAN

     Il me restait encore une heure avant le dîner et je décidai de m'en servir pour me rendre à la bibliothèque afin de récupérer quelques études sur les précédents administrations du royaume que m'aurai prépare mon vieux, précepteur. Arrivé là-bas, je me dirigeai immédiatement en salle d'étude pour l'y trouver.

     « - Salut le vioc. Alors, tu as trouvé ?
     - Je trouve toujours ce que tu cherches. D'ailleurs j'ai aussi trouvé ton petit cavalier de plombs dans la réserve. Tu y es allé quand tu étais petit ?
     - Tous les dimanches avec Clint jusqu'à mes dix ans. C'est seulement maintenant que tu t'en rends compte.
     - Tu m'énerves...
     - Tu me rassures, ça veut dire que je ne suis toujours pas devenu ennuyant...
     - Tu serai intéressant ennuyant dans ce cas. T'es livres sont sur l'étagère. »

     Je ris tout en m'approchant de l'étagère. C'est alors que  is au loin une pile de livres qui n'étaient sûrement pas pour moi. Je m'y approchai et découvrit avec stupéfaction qu'ils traitaient tous de langues anciennes, de proverbes, de magie et de science.

     « - Hé le vioc ! C'est pour qui tout ça ?
     - Aileen, l'une de tes prétendante. Elle a l'air plutôt cultivée. À la différence des autres.
     - Les autres connaissent beaucoup de choses aussi tu sais.
     - Probablement... Disons plutôt dans ce cas qu'elle est encore intéressée par l'apprentissage à l'inverse des autres. Cette formulation tu vas mieux.
     - Oui, ça la met plus en valeur.
     - Ho, je vois... Elle fait partie de tes favorites ?
     - Je n'en ai qu'une et je l'épouse bientôt.
     - C'est elle j'espère ?
     - Bien sûr que c'est elle, qui veux-tu que ce soit d'autre.
     - Les autres sont très belles également à ce qu'on dit.
     - Moi j'les trouve plutôt banales.
     - La beauté d'Aileen t'aveugle mon garçon.
     - Si même un binoclard comme toi l'admet.
     - Je suis vieux et presque aveugle, mais je suis loin d'être aussi idiot que toi.
     - Crois moi, tu n'es pas mal non plus dans ton genre. Pourquoi s'intéresse-t-elle à... Ça. Elle cherche quoi en fait ?
     - Pose lui la question, moi, je n'ai pas envie de te le dire. »

     Je reprimai un petit rire devant sa réponse. J'étais cependant inquiet intérieurement. Pourquoi me cacher tant de choses ? Et si tôt ? Je me décidai à lui en parler plus tard, peut être même après le mariage. Je repartis alors avec mes documents sous le bras. Mais mon précepteur m'interpela.

     « - Et gamin ! Dommage que tu sois si con, t'as de beau yeux pourtant.
     - Moi aussi j't'aime le vioc ! »

     Chapitre 28 : validé !
     • Alors ? Vous avez aimé ?
     • Un chapitre un peu plus long que d'habitude. Vous aviez remarqué ?
     • Petit PDV Alan. Vous en avez pensé quoi ?
     • Une idée sur la signification du poème ? Quelques indices :
         - A quoi font référence les larmes ?
         - Qui est ce fameux destin ?
         - Qui sont ces enfants ?

La suite au prochain chapitre !
Encore merci à vous tous de lire 🙏🏻

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