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Chapitre 17

     Alors que je commençais à somnoler sur ma couche, on frappa à ma porte. Je me levai et allai ouvrir la porte. Quelle ne fut pas ma surprise lorsque je vis Florence, la fameuse prétendante descendant d'un ancienne participante, me dévisager de haut en bas.

    - Je peux t'aider ? Demandai-je.
    - Tu faisais quoi dans le bureau du prince ? Et lui, que faisait-il dans ta chambre ? Cracha-t-elle en plongeant sont regard dans le mien.
    - Ça ne te regarde pas, répondis-je.
    - Écoute moi bien ma petite, ta place elle et en campagne à labourer les champs. Personne ici ne t'a encore cherché et tu ne le doit qu'à certaines d'entre nous. Se rabaisser à s'occuper de toi serai bien indigne. Alors maintenant veille à répondre à ma question si tu ne veux pas avoir à ramasser ta crasse dès demain.

     Ses paroles me choquaient au plus haut point. Mon arrivé ici n'était pas récente pourtant elle ne venait me voir qu'aujourd'hui pour me lancer des reproches inappropriés.

    - Va voir en enfer pour y cre…
    - Surveille ta langue fourchue la mandiante. T'es la fille de Dieu après tout. Je ne faisais que te poser une question. Mais je trouverai par moi même…
    - Le prince ne te dira rien.
    - Je n'ai pas besoin de cet Apollon pour avoir ce que je veux… Et à part ça les gueux qui t'accueillent vont bien ? Si l'église et trop dangereuse nous pouvons les e' desituer tu sais…
    - Satan va t'adorer…
    - Tu ne jures que par le diable à ce que je vois… Ce n'est pas très catholique !

     Soudain, une voix s'éleva derrière nous.

    - Tenez moi que vois-je, tu t'attaques enfin à des bouts de viandes assez petits pour la rapace que tu es ?

     Je reconnus, lorsque je me retournai, la fameuse Daphné. Sa prestance m'avait perturbé dès le premier jour, et ça n'avait pas changé.

    - Il ne manquait plus que toi. Qu'est ce qu'une chien…
    - Une personne avec si peu d'éducation n'aurait même pas dû être acceptée à la capitale… Une enfant pourrie gâtée…
    - Tu peux parler !
    - Je ne pense pas avoir été impolie avec qui que ce soit depuis mon arrivé ici ! Renchérit la belle rousse.
    - Enfait je parlais de l'enfant à son papa que tu incarnais.
    - Mon image à tes yeux est regrettable mais je ne m'en soucis gère. En revanche, si tu pouvais disposer et ainsi éviter d'envahir le couloir de ta voix insupportable je t'en serai très reconnaissante.
    - Et que m'apporterai ta reconnaissance ?
    - Un éloignement de biens des problèmes. Je peux menacer ta famille comme tu as menacé celle de cette basse campagnarde, je peux te rabaisser au même niveau qu'elle, toi et ton ascendance pourrie jusqu'à la moelle de ses os. Ma famille pourrai renverser toute une dynastie et tu le sais fort bien alors je te conseille vivement de ne pas trop convoiter les places de cette sélection.
    - Tu pairas pour les magouilles de ta famille.
    - Non, enfait je me fais payer pour ces fameuses “magouilles”.

     Florence pesta entre ses dents avant de s'en aller en claquant des pieds au sol.

    - Attends ! Ordonna Daphné d'une voie autoritaire.

     Ces mots eurent pour effet de stopper net la jeune noble dans son élan.

    - Ça fait quoi d'avoir reçu une éducation plus médiocre encore qu'une fille ne vivant même pas dans l'enceinte de la ville ?
    - Tu le paieras très cher...
    - J'ai l'argent qu'il faut.

     Sur les mots hautains de la rousse, Florence s'en alla à grands pas, sûrement très peu pressée de recroiser la lionne enragée qu'incarnait Daphné.
     Je ne savais pas vraiment quoi dire. La vérité, c'était que je n'avais rien à dire. Les deux femmes avaient l'air de se haïre au plus haut point et ce n'était pas mes affaires. Daphné se tourna vers moi et me dévisagea, hautaine. Toujours sans un sourire, elle me dit :

    - Jolie robe.
    - Je… Merci.
    - Ne te méprend pas, je ne fait qu'assurer mes arrières.

     Elle me fixa une dernière fois avant de faire de me tourner le dos et de retourner de là où elle était venue. Je pus alors remarquer que ses appartements se trouvaient en face des miens, et que la porte se situait au bout du couloir.
     Cette altercation venait de me faire comprendre que je n'avais pas à faire qu'à des enfants ignorantes et puériles mais aussi à des femmes matures, pleines d'ambition, et aux familles aux facettes plus noires les unes que les autres. Je rentrai dans ma chambre pour regarder l'heure et me décidai à me rendre dans les jardins. L'après-midi passait à une vitesse ahurissante et je voulais sortir une dernière fois avant d'aller me coucher.
     Les enfants n'étaient, à ma grande peine, pas à l'extérieur. J'entrepris alors d'aller plus loin dans les jardins. C'était vraiment magnifique. Je vis une fontaine au loin et me dirigeai vers cette dernière. Le coucher du soleil donnait à cette eau, habituellement bleue, une couleur orange éblouissante. La statue de femme qui y etait placée brillait également. Un fin filet d'eau coulait de ses yeux et rempait le long de son corps nu pour terminer sa promenade dans le bassin  de la fontaine. On aurait dit qu'elle pleurait des larmes de feu. Je m'étais arrêté de marcher pour contempler ce spectacle magique, et le bruit de mes pas sur les graviers s'étant stoppé, le silence profond du parc n'était brisé que par le son d'une voix au loin et de quelques aboiement discrets de chien.
     Je me dirigeai vers ces dernier et découvrit un homme que j'aurai pu reconnaître entre milles accroupi au sol, cajolant un chien en position dorsal et qui semblait aux anges. Le rire du prince me parvint aux oreilles comme une douce mélodie.
     Cependant, je chassai immédiatement toutes ces idées de mes pensées pour me rapprocher un peu plus et découvrir un regard que je n'avais encore jamais vu chez sa majesté.
     Comme il me l'avait dit, le chien était albinos. Dans le noir, on aurai dit un chien fantôme herrant s'il n'avait pas été en bonne compagnie. Ce dernier, Claus si mes souvenirs étaient exacte, se leva precipitement, sentant probablement ma présence, et se dirigea vers moi, la queue battante et la langue tombante. Je m'accroupi donc et me mis à le carreser dernière les oreilles, entre les deux yeux, et à tout ces endroit que Luna adorait. Il finit pas s'asseoir, puis se coucher, la tête posée et bien calée sur mes cuisses.
     Le prince n'avait toujours rien dit pour le moment, probablement surpris. Mais ouvrit rapidement la bouche pour dire une chose à laquelle je n'étais préparée.

    - Tu es très jolie quand tu souris, tu devrai le faire plus souvent...

     Chapitre 17 : validé ! Et dans les temps comme promis 😉
- Il vous plaît ?
- Vous aimez découvrir les personnages au dure et à mesure ?
- Aujourd'hui c'était au tour de Florence et surtout du Daphné. Que pensez-vous d'elles ?

     La suite au prochain chapitre !

Et surtout... Merci de votre lecture !!!

PS : Il y a eut des problèmes lors de la publication. Pou être franche, je l'avais mis en ligne jeudi... Et même après avoir dé publié puis re publié ça ne fonctionnait pas, j'ai du faire un copier coller sur un autre chapitre. J'espère que cela fonctionne désormais ?

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