Chào các bạn! Vì nhiều lý do từ nay Truyen2U chính thức đổi tên là Truyen247.Pro. Mong các bạn tiếp tục ủng hộ truy cập tên miền mới này nhé! Mãi yêu... ♥

Chapitre Unique : Part.3/5

Destin Funeste
____________________
Partie 3/5.



Cherchant désespérément une explication à ce qu’elle voyait, Kymia analysa une nouvelle fois la salle. Là, un indice insolite la frappa. Ses yeux arrondis, découvraient quelques traces de sang qui souillait certaines surfaces, dénonçant une horreur inénarrable.

Soudain, un autre détail retint son attention. Une femme d'ébène dénudée à la coiffure afro, gisait au sol, parfaitement immobile près d'un canapé. Cette dernière la regardait avec insistance, incapable de dire un mot.  Elle avait les yeux humides et rougeoyants ; le visage couvert d'épaisses couches de substances laiteuses ; les bras reposant au sol ; les jambes écartées ; le corps mouillé par un liquide jaunâtre qui se répandit sur le carrelage, et se mélangeait à un autre, donnant un fluide semblable à de la bétadine. Ce spectacle hypnotisa Kimya.

Subitement, des spasmes se manifestèrent sur l'abdomen de la femme nue, accompagnés de couinements. Ses yeux s'ouvrirent comme des soucoupes, laissant déferler un torrent de larmes. Elle redoutait quelque chose. Aussitôt, un homme vêtu d'un sweat à capuche couvrant toute sa tête, muni d'une machette barbouillée d'une substance rouge, se rapprocha d'elle. Il l'agrippa fermement par les cheveux, piétina énergétiquement sa poitrine rondelette, fit pression sur son cou en tirant sa chevelure vers le haut, positionna sa lame sur sa gorge et avec vigueur, se mit à faire des va-et-vient comme s'il utilisait une scie.

Epouvantée, les entrailles de l'observatrice se nouèrent. Son cœur battait à tout rompre alors que ses jambes se dérobaient. Les yeux larmoyant, sa paume droite pressée contre sa bouche étouffait ses gémissements. Seule une phrase submergea sa pensée, ''Seigneur, ce type est entrain de l'égorger''.

Incapable de se défendre, mais luttant pour sa vie, une horrible voix suffocante s'échappait de l'agressée. Pendant que la lame tranchait progressivement son larynx, ses orteils et ses doigts se crispèrent. Un flot de sang fusait le long de son cou pendant qu'elle gigotait. Il ne fallut plus longtemps, le bourreau lui coupa la tête.

La spectatrice ne put contenir ses larmes d'effroi. Elle vit le corps décapité, tombé comme une poupée de chiffon. L'exécuteur se tenait près du cadavre, empoignant le crâne de sa victime par les cheveux. De justesse, Kimya s'abstint de vomir. Par la suite, sa main étreignit sa gorge, comme si la décapitation la fut infligée. Mais son geignement attira l'attention du meurtrier. Ce dernier dirigea son regard glaçant dans sa direction.

Sur le champ, la témoin se pétrifia. Son cœur pulsa douloureusement dans son thorax. Ses poils se dressèrent et son sang se figea dans ses veine. Cependant, son instinct lui criait de s'échapper de cet endroit. Alors qu'elle reculait furtivement, elle se heurta à quelqu'un qui devait mesurer plus que ses un mètre quatre-vingt. À peine elle eu le temps de sursauter, que ce mur humain l'attrapa.

À en juger la robustesse avec laquelle ses bras furent immobilisés, et sa bouche recouverte, ce devait être un homme. Elle se débattait de toutes ses forces, mais l'individu était assez costaud. Il la traîna promptement jusqu'au seuil d'une pièce se trouvant à l'étage. Devant celui-ci, la capturée retroussa ses jambes, et les tendirent d'un coup, repoussant énergiquement la porte avec ses pieds, pour faire trébucher son porteur. Alors que tous deux s'écroulaient, ce dernier ne la lâcha pas pour autant. Au contraire, il la retenait plus solidement, jusqu'à s'affaisser au sol. Superposés, près de la rembarde en inox aux vitres teintées, ils avaient une vue sur le séjour.

— Shhhhh..., soufflait discrètement l'inconnu.

Au même moment, les pas lourds et serein du tueur se rapprochaient de la porte entre-ouverte. Ce dernier l'ouvrit d'un puissant coup de botte, laissant voir son ombre imposante s'étendre sur le sol de la salle pénombreuse. Cet assassin barbare venait après la réchapée, c'était une évidence.

Avec une lenteur délibérée, l'homme à la silhouette massive franchit l'entrée, et s'y arrêta. Du sang perlait le bout de sa lame, et s'égouttait de la partie ôtée du corps de la défunte. Certains d'avoir entendu un cri, son regard oscillait sur chaque recoin. Ensuite, il observa les marches. Par intuition, le meurtrier se dirigea vers elles. Le cliquetis régulier du trousseau de clés attaché à son jean se mêlait aux échos de ses pas dans une symphonie macabre.

Le voyant les monter peu à peu, une frayeur absolue saisit Kimya. Alors que la chair de poule recouvrit toute sa peau, des frissons parcoururent sa colonne vertébrale, et raidirent ses dorsaux. Mais elle n'était pas la seule. Les mains moites et frémissantes, dont l'une immobilisait ses bras et l'autre couvrait sa bouche, trahissaient la peur de l'individu qui la retenait.

Depuis l'autre bout du hall, un homme hurla.

— Zagor, qu'est ce que tu fous merde ? Ramènes ton cul on a pas de temps à perdre !

— Ouaiiis, une seconde. Je suis sûr d'avoir écouté une chatte miaulé par ici !

Juste quand il évoqua cela, une jeune femme sortit brusquement de sa cachette, et courut vers l'ouverture, saisissant une chance de s'enfuir. Malheureusement, sa longue robe de soirée noire qui moulait son corps svelte, la fit trébucher avant même d'y arriver. L'attention du colosse s'orienta sur cette dernière. Il se tourna, descendit les marches, convaincu d'avoir trouvé sa chatte. Tremblante comme une feuille, la femme élancée se soulevait aussitôt. À l'aide de ses mains, elle reculait en faisant glisser ses fessiers sur le carrelage. Des larmes et de la sueur coulaient son maquillage. Sa respiration saccadée perturbait sa voix fine.

— Nooon, pitié ! Je vous en prie, ne me tuez pas ! Pitiééé... pour l'amour du ciel !

Évidemment, elle s'adressait à une armoire à glace qui s'avançait sans dire un mot, avec une intention bien particulière. Il ne fallait pas être une génie pour comprendre les intentions de l'homme encapuchonné. Il jeta par terre la tête de la femme qu'il venait d'assassiner, déboutonna son pantalon, puis ouvrit sa braguette avant de s'arrêter devant la demoiselle. Frissonnant et craignant ce que le sadique envisageait de la faire, un liquide jaunâtre se répandit progressivement sur la surface lisse, en-dessous de son postérieur. Mais cela courrouça son oppresseur.

— Putaiiin... tu viens de casser mon délire ! lança-t-il.

Peinant à parler, la terrifiée n'eut le temps de prononcer le moindre mot que son visage coloré, percuta la semelle rageuse du sociopathe. Son crâne heurta violemment les carreaux, résonnant au contact de ceux-ci. Cependant, son instinct de survie l'interdisait de s'évanouir. Elle se redressa immédiatement en s'appuyant sur un de ses coudes, et se protégea avec l'autre. Mais son effort lui coûta ce membre. Lorsqu'elle réalisa que ce monstre lui trancha le bras, d'atroces hurlements de douleurs éclatèrent.

— Mon braaas... mon braaas ...

Pressé contre sa petite poitrine, son avant-bras amputé se transforma en une véritable fontaine sanglante.

Agacé par les gémissements de cette dernière, le barbare saisit la coiffure en forme de couronne de la pleureuse, tandis qu'elle se débattait. Pour la neutraliser, un puissant coup de pied rageur écrasa brutalement sa cage thoracique. Puis, avec sa lame aiguisée, il tranchait férocement le cou de cette dernière, jusqu'à ce que sa tête se détache de ses épaules.

L'aisance, la précision ainsi que la vitesse avec lesquelles le meurtrier le faisait, témoignait des années de pratique et de meurtres sordides. Le cadavre de la défunte qui s'était débattue en vain, se tortillait encore. Pourtant, sa tête se trouvait dans la poigne de son bourreau.

À la vue de cette scène effroyable, les traits des observateurs se tordirent d'horreur. Il n'y avait de mots pour décrire ce dont ils furent témoins. Kimya comprit une chose, si cet inconnu n'était pas intervenu, elle aurait subit le même sort que les deux autres. Pour échapper aux assassins, ils se précipitèrent discrètement dans ce qui les semblait être une excellente cachette.

Dans le même instant, un autre type pénétra le séjour, tirant d'une main un grand sac poubelle qui frottait le sol. Il était également armé d'une hache.

— C'est pas vrai ! Combien de fois je vais devoir te le répéter ? Arrête de faire ça à l'intérieur de la baraque, merde. On a pas le temps de se taper le nettoyage en plus ! gronda ce dernier en lâchant le sachet noir.

— Ça va, n'en rajoute pas une couche, je suis déjà sur les nerfs !

— Commence pas à faire chier et passe moi ça, reprit son interlocuteur en tendant la main.

Le géant lui remit la tête de la de cujus qu'il prit pour mettre dans le grand sachet noir, faisant de même avec l'autre au sol. Juste après, il déposa son arme blanche, se rapprocha ensuite de la dépouille pour la transporter mais un bruit à l'étage les interpellèrent.

— C'était quoi ça ? s'interrogea l'homme trapu.

Refermant sa braguette et boutonnant son pantalon, le tueur sanguinaire avança :

— Apparemment, aujourd'hui c'est Noël ! Il y a une surprise là haut. Je vais aller voir.

À peine plaça-t-il un pas devant lui, son complice le retint par le poignet.

— Non reste là, je m'en charge ! dit-il en prenant sa hache.

Il monta les marches, se rapprocha de l'endroit où provenait le son. L'homme se positionna devant la porte puis, l'enfonça d'un puissant coup d'épaule.

— Voyez-vous ça ! Sortez de là vous deux, et n'essayez pas de faire les malins, ordonna-t-il d'un ton menaçant.

_____________________

4. ''De cujus'' signifie défunt.

_____________________

😱 Bonté divine ! Cette troisième partie m'a retourné l'estomac. J'aimerais bien savoir ce que t'en penses. Donne moi tes impressions en commentaire.

🤢 Je crois que je vais aller au petit coin. 🥴 Ah, j'oubliais. N'hésite pas à faire des critiques et remarques.

😖 On ferai mieux de faire briller la petite étoile 🌟, tu ne crois pas ? Je ne veux surtout pas que ce Zagor me visite  🔪🩸🫀.

Bạn đang đọc truyện trên: Truyen247.Pro