Creepypasta
Hey hey hey !!!
xX-Garvera-Xx a fait un concours et le thème : inventer une Creepypasta :
Voici donc Tête Cramée.
Son histoire et tout les trucs qui vont avec :
Il y a longtemps, personne ne sait quand exactement, une femme accoucha d'un petit garçon, après n'avoir longtemps donné naissance qu'à des filles. Son époux, un homme violent, désirait ardemment un fils, afin d'avoir un héritier, et se lamentait de n'avoir eut que des filles, accusant sa femme d'être une incapable, et n'hésitant pas à la frapper. Elle le haïssait.
Peu de temps après la naissance de son premier fils, elle fuit avec lui de la maison de son mari. Pour lui retirer la seule chose qu'elle pouvait lui donner.
Comme une vengeance.
Comme un moyen de rompre son impuissance.
Elle voulait se dérober au destin qui l'attendait : être jetée comme un objet qui a déjà servit et dont on a plus besoin.
Ce dernier, fou de rage de voir son héritier lui être retiré, se lança à la recherche de sa femme.
5 ans passèrent sans qu'il ne la trouve. Elle s'était retirée dans une région déserte, vivant dans la misère et l'isolement. Et plus son fils grandissait, plus il ressemblait à son père, et plus elle perdait la raison.
Elle confondait rêve et réalité, son corps brisé, son esprit brisé : elle traita tantôt son fils comme un chien, tantôt comme un objet, tantôt comme le diable, alternant entre mépris, indifférence, et haine.
Un jour de pluie où le petit, qu'elle n'avait même pas nommé, réclamait à manger après plusieurs jour à chaparder dans les placards ce qu'il pouvait trouver, elle s'énerva et l'enferma dehors. Le résultat ne se fit pas attendre, et il tomba malade. Une fièvre terrible le cloua au lit.
La mère, divaguant, noyée dans ses délires, incapable de faire preuve de cohérence et plus que quelques minutes, le monta à l'étage et l'y laissa sans s'en occuper.
La nuit même, elle entendit des chiens aboyer à l'extérieur. Affolée, elle crut qu'on l'avait retrouvé. Elle empoigna une lanterne, et prit son fils sur son épaule. Alors qu'elle descendait les escaliers, elle trébucha, se rattrapa de justesse, et lâcha la lanterne, qui éclata sur le sol taché d'alcool des bouteilles renversées, qu'elle disséminaient dans la maison.
Le feu brûla vite les poutres sèches et usés de la maison. Elle voulut remonter, mais, le poids de son fils l'épuisant, elle paniqua. Elle poussa son fils dans les flammes et remonta à l'étage. Là-haut, elle trouva une fenêtre et sauta. Elle se tua sur le coup.
Pendant ce temps, son fils, les os brisés par la chute, brûlait lentement dans les flammes, gémissant, appelant sa mère qui ne lui avait donné la vie que pour lui faire du mal, sa mère qui l'avait jeté dans l'incendie comme on abandonne un meuble encombrant. Cette mère qui l'avait laissé débouler l'escalier, écrasant, pilonnant, détruisant son délicat squelette maladif. Cette mère qui l'avait laissé rôtir, doucement, laissant entendre le crépitement de sa pauvre graisse qui éclate, le sifflement de ses fins cheveux qui se consument, le déchirement de sa petite voix éraillée, ses cris de souffrance désespérés. Cette mère qui l'avait laissé se débattre, impuissant, dans le feu qui dévorait sa chair, qui le rongeait et brûlait chaque parcelle de son corps, ses larmes s'évaporer dès la sortie de ses yeux fondus, son sang bouillir dans l'entrelacs de ses veines, jadis si bleues, juste sous cette peau, autrefois si blanche et douce, vivante, et désormais si noires et craquelées, comme du charbon, morte.
Et dans son appel de douleur, et dans les questions qui roulaient sous son crâne comme dans un tambour, et dans la détresse de ses moignons fondus tendus dans un geste suppliant vers le haut de l'escalier où avait disparus sa mère, quelque chose se produisit.
Il ne mourut pas. Pas complètement. Il revint sous la forme d'un corps d'enfant, brûlé, dont la tête est une flamme et sur le corps duquel s'étale un visage plein d'une joie cruelle et malade. On l'appelle Tête Cramée.
Et depuis, lorsqu'un père ou une mère indigne, qui ne perd pas soin de ses enfants et les fait souffrir, descend un étage, il apparaît en bas des escaliers, accompagnés des membres tordus et brisés de ses victimes, et alors deux choix s'impose pour ma cible.
~ Descendre et affronter les souffrances qu'ils leur infligera.
~ Ou monter à l'étage, et sauter par la fenêtre.
Siiiiiiinon.
Son caractère : Il n'en a pas spécialement. Il cherche juste à se venger lui et à venger les enfants qui souffre en massacrant les parents. C'est un moyen de soulager son esprit souffrant. Il ne s'en prend pas au innocent. Apparaît pour son crime et disparaît juste après. Il n'est pas vraiment stable mentalement. Et il ne parle pas.
Petit infos sur lui :
Il n'apparaît que lorsque sa cible est seule. Ainsi, en restant accompagnée on peut s'en sortir. Mais il ne fait jamais descendre un escalier seul. Sachant que même quelques marches sont déjà un escaliers.
Il s'en prend donc toujours aux mauvais parents.
Il apparaît souvent la nuit. Il n'apparaîtra le jour que si sa cible ne descend jamais la nuit seule. Et la lumière de sa flamme projeté sur les murs une ambiance effrayante.
Pour tuer, il brûle, il démembre, casse les os et tors les membres comme on essor une serviette. Il arrache souvent les yeux et les oreilles.
Il utilise aussi bien ses moignons que sa gueule pour tuer et torturer ses victimes.
La plupart de ses victimes ont glissées où se sont évanouies. Les autres remontent et choisissent la fenêtre.
Il ne cligne pas des yeux, et vous fixe en ne bougeant pas, son regard hypnotise et c'est ça qui fait qu'on ne peut que descendre ou sauter par la fenêtre.
Plus sa flammes est grande, plus la souffrance qu'il vous infligera sera grande, car plus vous êtes un mauvais parents.
Quand il a accompli son crime, il ne laisse que votre tête.
Pendant le crime, peu importe si quelqu'un descend où si vous criez à l'aide, personne ni ne vous verra, ni ne vous entendra.
Les seuls témoins sont ceux qui ont sauté du premier étage sans en mourir.
J'ai inventé ça parce que 3 choses me font vraiment peur, et c'est toujours seule, la nuit :
- Ouvrir une porte (ça, ça ça me fait hyper flipper)
- Regarder par la fenêtre.
- Descendre les escaliers.
Donc voilà....
Vous trouver que ça fait peur ^^ ?
Et au fait vous regardez mes dessins mais vous savez que j'écris des histoires aussi !
(Auto-pub ^^')
Bye ! Bonne année au fait !
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