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Chapitre Sept

VII

Je me réveillais en entendant la porte claquée puis sortis de mon lit et enfilai des chaussons. L'odeur divine des viennoiseries m'enivra. Je sortis de la chambre en mettant ma robe de chambre puis me rendis dans la cuisine.

Harry déposait le sac venant de la boulangerie d'en face et commençait à préparer du café. Il sortit deux tasses ainsi qu'un plateau et le recouvrit de croissants ou autres viennoiseries en tout genre.

Je souriais. Le bouclé se retourna puis me dit bonjour en me souriant timidement.

-Je crois que le plateau ne sert plus à rien à présent, dit-il en riant

-Tu n'aurais pas dû

-J'en avais envie.

Il me déposa une tasse de cappuccino à ma place habituelle puis me tendit des viennoiseries. Harry s'assit devant moi et commença à déguster son petit-déjeuner. Il but sa tasse de café presque aussi vite qu'il avait mangé ses viennoiseries.

-Je pensais te croiser en train de partir à l'université

-Je n'ai pas de cours ce matin, je ne commence qu'à quinze heures

-Et tu finis à quelle heure ?

-Seize heures, et toi ?

-Je n'ai eu qu'une heure à l'amphithéâtre ce matin, en rentrant j'en ai profité pour te ramener ton petit-déjeuner

-C'est adorable merci, le remerciai-je

-Ton père a appelé ce matin dit-il

-Oh et c'était à quel sujet ?

-Thanksgiving

-Je vois... Il se rattache encore aux États-Unis après un an, ris-je

-Il voulait le passer avec toi et il m'a en quelque sorte invité ma mère et moi mais je...je vais décliner l'invitation, je n'ai jamais fêté Thanksgiving et ce n'est pas une fête que l'on célèbre avec d'autres personnes que les membres de sa famille

-Si tu refuses l'invitation tu auras le droit au coup de colère de ma grande tante Jane et de ma grand-mère Sissy, à ta place je préparerais déjà mon costume, souris-je

Harry me sourit en retour, il prit son téléphone et composa le numéro.

-Attend, je suis censé faire quoi ? Je veux dire, je ne connais absolument pas les traditions de ta famille à Thanksgiving et je connais encore moins son histoire.

-C'est une fête chrétienne, tu manges beaucoup, tu parles beaucoup et tu remercies beaucoup tout le monde pour tout et pour rien. C'est juste une fête familiale parmi tant d'autres. Nous le fêtons le 26 novembre cette année.

-Bien, on vient à Thanksgiving si vous venez à Noël, sourit-il

-Je.... OK, Deal accepté

-Je vais appeler ma mère et lui expliquer ce qu'est Thanksgiving, dit Harry en quittant la table

...

-Thanksgiving ? Avec Harry ? pouffa de rire Niall. Grace, Harry déteste les fêtes familiales, depuis la disparition de son père Noël est pour lui le jour le plus merdique qui puisse exister, et puis c'est un anglais de pure souche, les fêtes Américaines je crois que c'est pas son truc

-Je ne savais pas ça... soupirai-je. En plus j'ai insisté comme une imbécile

-Il ne va venir que pour te faire plaisir, je voulais juste te prévenir

-Merci, je vais à l'amphithéâtre, on se rejoint après les cours ?

-Il y a une fête au campus ce soir, tu te ramènes avec Harry ?

-Je le préviendrais mais non merci pour moi, souris-je

Je lui embrassai la joue puis courrais à mon cours.

...

Je déposais mon sac sur le sol puis me rendais au salon d'où provenait des rires. Je fus surprise d'y trouver mon père, Harry ainsi que sa mère en train de boire un thé que je devinais à l'orange à cause de l'odeur.

Mon géniteur se rua presque sur moi et m'enlaça comme si nous ne nous n'étions pas vu depuis des mois -ce qui n'est pas totalement faux-

Je l'embrassai puis saluai la mère d'Harry qui me prit automatiquement dans ses bras. Elle déposa un baisé sur ma joue puis se rassit.

-Bien, et si on me disait la raison de votre visite non callée dans notre emploi du temps ? dis-je en souriant faussement

-Thanksgiving et simplement pour avoir des nouvelles, Grace je sais que tu es vraiment occupée mais un coup de fil ça ne te tuera pas, râla mon père

-Je vais bien et nous venons pour Thanksgiving enfin pour Harry il faut encore qu'on en discute.

Il fit les yeux ronds, je m'approchais de lui puis lui susurrai à l'oreille : "il faudrait qu'on parle"

Il leva les yeux au ciel puis me suivit dans la cuisine. Je m'assis sur une chaise et croisai les bras contre ma poitrine.

-Tu hais les fêtes familiales Harry pourquoi veux-tu finalement venir chez nous pour Thanskgiving

-Tu ne veux pas que je vienne ? Pourtant tu as presque insisté hier soir

-J'ai réellement envie que tu sois présent mais Niall m'a dit que toi et les fêtes familiales ça fait deux, depuis ton père... Enfin, je veux dire, si tu ne veux pas venir pourquoi tu te forces ?

-Je ne me force pas Grace, j'ai envie de rencontrer tes tantes jumelles insupportables et collantes, j'ai envie de voir ta famille et de rencontrer ta grand-mère ainsi que ta grand-tante qui veulent visiblement réellement me rencontrer. J'ai envie de te voir dans ton monde, avec les personnes de ta famille. Tu ne m'as jamais vraiment parlé d'eux et ça me tiens à cœur, même si nous ne sommes plus comme avant.

Je lâchais un petit rire accompagner d'un sourire.

-C'est demain, dis-je en me levant de ma chaise

-J'apporte des cadeaux

-Non, ce n'est pas la peine

-Ce n'était pas une question, dit-il d'un ton enfantin

-Ce côté de toi ne changera jamais, ris-je

...

Je jetai la télécommande sur le fauteuil en face de moi puis soupirai, il n'y a strictement rien d'intéressant à la télévision ce soir.

L'appartement était vide et silencieux, il devait être plus de minuit et je m'ennuyais à mourir. Harry était parti il y a plus de trois heures à la fête du campus en vérifiant cinq fois s'il avait bien fermée la porte à double tours.

Je me levais du canapé les jambes engourdies puis me rendis dans ma chambre, je me couchais sur le lit épuisé de n'avoir rien fait.

Je n'arrivai pas à fermer l'œil. Je louchais rapidement sur le réveil : 01 : 08. Mon téléphone ne cessait de s'allumer et de s'éteindre. Je le pris entre mes mains et ouvris les huit messages qui venaient de Niall.

« Viens »

« flemmarde »

« Ramènes-toi on s'éclate »

« Je te déteste »

« Grace, aller! Demain on est samedi»

«Harry est arrivé »

« Il s'approche pas d'une seule fille, il les repousse, je crois qu'il est devenu gay, ça craint bordel. On m'a dit que j'étais toi version garçon, imagines, ça voudrait dire que je suis son genre de mec... »

« Il est saoul, bonne chance »

« Je l'ai mis dans un taxi, bonne nuit flemmarde, j'espère qu'il te fera chier toute la nuit, je t'aime xx »

J'entendis soudainement des clés tombées sur le parquet de l'entrée et la porte claquée. Je sortis de la chambre en soupirant et me retenais de rire en voyant Harry essayer de attraper son trousseau de clés.

Je m'approchais de lui puis les lui tendis en souriant. Le jeune homme était complètement ivre, il les fixait en louchant et se mit à rire bruyamment.

- Fermes-la ! On a des voisins Harry !

-J'aime quand tu es fermes Mademoiselle Henderson

-Et moi je déteste quand tu es saoul, tu empestes l'alcool, dis-je ayant mal au coeur

-J'ai pas bu un verre, ria-t-il

Je levai les yeux au ciel puis lui retirai son manteau.

-Tu ne peux pas dormir sur le canapé cette nuit, tu prendras le lit

Je le tirai vers la chambre et retirai peu à peu ses vêtements, malgré la gêne qui s'était installée. Je le bordai et pris soin d'éteindre toutes les lumières de la pièce. Le bouclé se retourna vers moi et pris mon visage entre ses mains.

-Harry...

-Grace...

Il caressa mes pommettes à l'aide du bout de son pouce et se mit à sourire niaisement. Je me levai les joues rouges écarlates mais fus retenue par Harry qui avait empoigné mon avant-bras.

Je hais quand il fait ça...

-Dors ici, dit-il en soulevant la couverture

-Non je vais prendre le canapé

-Ce n'est toujours pas une question Henderson

Je soupirai exaspérer par son comportement. Je retirais mes vêtements et enfilais rapidement ma robe de chambre pour rester un minimum habillée. Je me mis sous les couvertures puis éteins la dernière lumière.

Je sentis le souffle chaud d'Harry caresser la peau de mon cou, il embrassa légèrement ma joue puis glissa ses mains dans les miennes en fermant les yeux

-Je t'appartiendrais toujours Grace, souffla-t-il

...

-THANKSGIVING ! hurla Harry en se jetant sur le lit me réveillant.

Je criais de peur puis râlais. Le jeune homme ouvra tous les rideaux m'éblouissant avec la lumière matinale du soleil.

Harry souleva les couvertures et attrapa l'oreiller que j'avais écrasé contre mon visage. Il me tira presque en-dehors du lit et me servit un cappuccino.

Je le détestais à ce moment précis. Je frottais mes yeux à peine ouverts puis baillais bruyamment. Nous avions un train à seize-heure trente et il était à peine dix heures et demi. L'étudiant en médecine me tendit ma boisson.

Il était déjà prêt, Harry était habillé d'une chemise blanche et d'un simple pantalon noir, il mit rapidement sa veste de costard et tourna sur lui-même pour me montrer sa tenue parfaitement adéquate.

-Magnifique, dis-je d'une voix rauque en levant mon pouce vers lui

L'anglais me tendit un sac puis haussa des épaules en s'excusant.

-Désolé pour hier soir

Je déposais le croissant que j'avais dans mes mains puis ouvris le sac qui contenait une robe cocktail. Elle était splendide, sa couleur pourpre était parfaitement bien choisie.

-Tu n'aurais pas dû, j'en ai des millions

-Je l'ai vue en vitrine et ça m'a fait comme un déclic, je voulais absolument te voir la porter.

Je la rangeai soigneusement dans le sac et remerciai Harry qui avait visiblement très bien dessaoulé.

-Dépêches-toi d'aller te préparer, notre train est à seize heure, l'heure a été modifiée

Je rangeai mon petit-déjeuner puis courrai dans la salle de bain.

...

-Tu m'avais dit seize heure Harry !

-Je ne pensais pas que tu serais autant à l'heure, tu as toujours eu cette fâcheuse habitude d'être en retard d'au moins une demi-heure

-On prend le train de quinze heure et demi, dis-je en levant les yeux au ciel

-Ok...

Je présentais mon billet puis me faufilai dans le train suivis d'Harry. L'air était étouffant, j'avais remarqué que le jeune homme avait ramené plusieurs sacs.

-Je t'avais dit pas de cadeaux

-Qui a dit qu'il y en avait pour toi ? Sourit-il

Je lui donnais un coup de coude ce qui le fit mourir de rire. Pendant tout le long du trajet qui fut assez silencieux, Harry ne cessait d'allumer et d'éteindre son téléphone ou encore de montrer tous les signes qui prouvaient qu'il était vraiment angoissé.

A l'arrivée, mon père nous attendait, il avait levé une grande pancarte où été inscrit « Ma princesse et son prince , non sa grenouille » ce qui m'arracha un petit rire et un rougissement de la part d'Harry.

Durant le trajet en taxi jusqu'à la maison, mon père ne cessait de questionner Harry sur ces projets futurs et moi sur mes études en médecine. A vrai dire quand je lui avais annoncée la nouvelle pour l'appartement et l'université à Manchester, il était loin de se douter que je suivrais des études de médecine, mais ça n'a pas l'air de lui déplaire autant que ça...

Vers dix-sept heures, le taxi arriva enfin à destination. J'entendais déjà ma grand-mère râler sur la couleur des serviettes qui ne s'accordaient pas avec la couleur de la nappe et celle des bougies.

Nous avions à peine passé le pas de la porte que ma grand-mère se rua presque sur Harry qui ne parut pas si surprit que ça. Il avait simplement lâché ses paquets et suffoquait.

Je fus la deuxième à être enlacer et embrasser. Ma grand-mère me félicita pour mon entrer à l'université et mon goût pour les garçons ce qui me fit rire.

En une demi-heure la famille était à son complet, nous dégustions la dinde farcie -qui était devenue presque une tradition de Thanksgiving- de ma grand-mère.

-Dit-nous Harry que prévois-tu comme avenir avec Grace ? demanda cette dernière

Je m'étais presque étouffée avec mon bout de viande alors qu'Harry souriait niaisement en s'essuyant délicatement la bouche avec la serviette en tissue.

-Et bien, nous ne prévoyons rien, à vrai dire c'est presque au jour le jour. Grace fait des études de médecine comme moi, nous avons un appartement et nous sommes...euhm...très bien comme ça

-Oh, dit-elle paraissant presque déçue de sa réponse. Habiter en Amérique ne te plairais pas ?

-Grand-mère !

-Je pose une simple question Grace ! Je ne te vois que pour les fêtes et je commence à me faire vielle, si vous comptez vous mariez et avoir des enfants je souhaiterais les voir le plus possible et pas seulement quand je serais sur mon lit de mort...

J'entendis Harry pouffer de rire quand elle prononça les mots 'mariez' et 'enfants'. Je lui donnais un énorme coup de pied sous la table lui retirant immédiatement son sourire enfantin.

-Nous ne sommes plus ensemble, lâcha Harry en haussant des épaules

Je le regardais les yeux ronds, blessée, il l'avait vraiment affirmé, il en était persuadé. Ça n'a jamais été réellement officiel, j'avais considéré son déménagement temporaire comme une séparation temporaire. Nous ne l'avions pas encore dit jusqu'à aujourd'hui mais pour lui ça paraissait évident. Il leva les yeux au ciel et murmura « Ne me regarde pas comme ça, c'était ton choix »

Je me levai de table en lui jetant ma serviette à la figure et sortis de la maison, presque en rage. Malgré les appels incessants de ma grand-mère et de mon père je ne fis pas demi-tour.

Je me réfugiai dans le jardin et m'assis sur un banc où j'avais pris l'habitude de me détendre en lisant un bouquin.

Je ne m'étais encore jamais rendu compte de ce qu'était devenue notre relation avec Harry. Avant Manchester c'était tumultueux, à Manchester c'était catastrophique et aujourd'hui ce n'était plus rien.

Son regard en disait tout. Il ne me regardait plus comme avant, il n'y avait rien dans son regard. Notre relation ce résumait à l'échec

...

Je claquais la porte de ma chambre puis enlevai ma robe. Le dîner se termina sans ma présence et sans aucune parole. Je fermais les rideaux et rassemblai mes affaires pour demain.

Je m'assis sur mon lit puis contemplai ma chambre. Les murs n'ont toujours pas été peints et le parquet n'a toujours pas été poli. Le vieux piano restait à la même place, intacte.

Malgré tout ce qui me rattachait à cette ville, rien n'a été assez fort pour me retenir ici. L'amour que je portais pour Harry était bien plus fort que tout ça.

Je me glissais sous la couette puis fermai les yeux. J'entendis soudainement deux coups frappés à ma porte de chambre.

-Non ! dis-je en fermant les yeux

-Je rentre quand même ! hurla Harry

Je soupirai puis courrai vers mon armoire. Mais il entra avant que je ne puisse enfiler un tee-shirt.

-Je t'ai déjà vu plus nue que ça

-« Nous ne sommes plus ensemble » dis-je en l'imitant

-Grace, on sait très bien que c'est compliqué

-C'est compliqué voilà ce que c'est Harry ! Nous ne sommes pas encore séparé, entre nous C'EST COMPLIQUE !

Je cachais mon visage avec mes mains et m'écroulais sur mon lit.

-Hier soir, tu étais saoul mais tu paraissais sincère Harry. Tous tes gestes, et le « Je t'appartiendrais toujours Grace »... Je me suis endormis avec l'espoir que le lendemain je me réveillerais et tu auras toujours tes mains dans les miennes. Que tu auras toujours ce regard envers moi, ces paroles, et ces gestes. Mais au lieu de ça tu as dit devant toute ma famille que nous n'étions plus ensemble alors que j'avais l'espoir que ça aille mieux entre nous après cette journée, il était minime certes, mais présent Harry... J'ai crus que... Que je t'appartiendrais toujours, comme tu me l'as dit, que je serais ton avenir et plus encore. Mais aujourd'hui j'ai l'impression de n'être que ton passé

Le bouclé s'accroupit devant moi et prit mes mains. Il caressa le dos de ces dernières avec son pouce, dessinant de petits cercles.

-J'ai pensé que tu ne m'aimais plus, d'une certaine façon que tu avais trouvé un autre étudiant en médecine plus sexy que je ne le suis, ce qui est scientifiquement impossible

-Il est là le problème, tu as crus que j'aurais pu passer à autre chose, que j'aurais pu être avec quelqu'un d'autre. Mais je n'y arriverais pas, c'est toi que j'aime, que j'ai aimé et que j'aimerais toujours. J'ai toujours crus que tu en avais la certitude

-Il faut croire que non...

J'essuyais mon visage recouvert de larmes. J'avais lâché les mains d'Harry et m'étais reculer.

-On doit en être sûr, On est quoi l'un pour l'autre ? Aujourd'hui, là, maintenant... J'ai besoin de savoir, soupirai-je

-C'est compliqué

-Justement ça, ça ne l'est pas... Ce n'est pas compliqué ... Soit nous sommes ensemble, soit nous ne le sommes pas

Il baissa la tête et ne répondit pas. Je ricanai face à sa lâcheté puis enfilai ma robe et pris mes affaires avant de quitter la maison.

Je pouvais entendre les pas lourds d'Harry qui me suivaient.

Je claquais lourdement la porte sachant qu'il courrait toujours derrière moi. Il se mit devant moi et me barra le passage. Après quelques secondes, il jura et se jeta sur mes lèvres. J'avais lâché la totalité de mes bagages.

Ses mains prirent en coupe mon visage me rapprochant, ainsi, de lui. Il mit fin à ce baisé, essoufflé, mais ne se recula pas pour autant.

-Je t'aime et je t'aimerais toujours Grace, ça j'en suis persuadé, murmura-t-il sur mes lèvres

VACANCES!!!!!

Bordel, ce que j'aime ce chapitre! J'ai mit beaucoup de temps à l'écrire car j'en avais marre qu'il n'y ait que peu d'humour dans mes chapitres et que ce soit triste tout le temps donc j'ai tenté quelque chose de joyeux.... Mais évidemment il fallait qu'ils s'engueulent sinon c'est pas drôle pour moi... Et vous comment vous l'avez trouver?

Dites-moi vos avis je n'en recois quasiment plus aucun j'ai l'impression que les chapitres vous décoivent...

Durant ces deux prochaines semaines de "tranquillitée" j'ai calé un moment pour corriger quelques chapitres mais sincérement j'ai une flemme indéscriptible même pour faire mes devoirs, mais je promets d'essayer de combattre cette flemme et de soulager vos yeux.

Kisses,

Marion.

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