Chapitre 63 : Maman
-C'est ou?
-On ne sait pas trop justement..
-On trouvera...
-J'en sais rien.. mais mon père a dessiné la carte de la ville..
-Mais comment ?
-Dans son rêve..
-Son rêve?
-Quand il dormait il a rêvé de cette ville...
-Il s'est ou elle est?
-Veritable mystère...
-Repose toi nous saurons demain
Elle hocha la tête en se blottissant contre lui pour s'endormir.Jay la serra contre lui et lui embrassa le sommet du crâne. Elle releva la tête et embrassa tendrement ses lèvres
-bonne nuit..
-Bonne nuit mon cœur
Il lui rendit son baiser timidement ce qui fit sourire la jeune femme qui se remit alors confortablement dans ses bras. Il embrassa une nouvelle fois ses Cheveux ..... Elle sourit à nouveau dans son sommeil appaisée. Il mit du temps à s'endormir. Le lendemain matin cj fut debout aux aurores.. Pas Jay qui dormait encore. Elle alla prendre une douche et se changer . Calista monta ensuite sur le pont. Son père était encore à la barre
Elle alla alors le voir :
-Dis moi que tu as dormis...
-La sieste ça compte ?
-Oui quand même...
-Ben j'ai fait une sieste de 10 minutes environ
-Tu es incorrigible.... On y est presque ?
-Oui nous pourrons bientôt apercevoir le soleil d'Agrabah
-Super sourit elle. On va devoir se changer..
-Ta chemise n'est pas légère ?
-H'm disons plutôt que j'aimerai bien me fondre dans la masse
-malette bleu et rouge sa la cale derriere celle en bois tu devrais trouver ton bonheur
-Je pense être trop petite pour rentré dedans...
-Vas essayer...
-Je ramène de quoi manger en même temps.
Calista partit alors vers la cale principal du bateau cherchant la fameuse mal. Elle était à côté de celle contenant toutes ses affaires. Calista ouvrit ensuite la boîte. Directement la blonde se saissit d'une tenu rouge et or...
-elle est splendide
Il y'avait plein d'accessoires à l'intérieur et de quoi cacher des armes sous ses vêtements
-Finalement ...ça va être palpitant.
Cj se changea alors , quelque peu mal à l'aise.. elle sortit ensuite et retourna voir son pere. Qui lui mit aussitôt son manteau sur les épaules
-Alors?
Elle sourit et regarda son père :
-c'est plutôt à toi de dire ce que tu en penses non?
-tu me fais penser à ta mère...
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