PDV Anaïs :

Avec Louna et Valentine, on partit vers le centre-ville. Nous avons commencé par les maillots de bains, j’en trouvé un bleu, qui faisait ressortir mes yeux, Valentine en prit un rose, et Louna un blanc.

Ensuite, on passa aux vêtements, quand on entra dans le magasin, la vendeuse vint nous demander si nous avions besoin d’aide. Nous avons refusé, nous savions ce que nous voulions. Je finis par prendre trois robes, cinq tops, quatre chandails, un sweat, beaucoup de shorts et de débardeurs, et quelques slims de différentes couleurs. Les filles repartirent avec un peu moins d’articles que moi. 

Et pour finir, nous nous dirigions vers le magasin de chaussures et d’accessoires. Je pris une paire noire brillante à talons aiguilles, trois paires de ballerines de différente couleur, des converses et des vans. Les filles se contentèrent de deux paires de chaussures chacune. Pour les accessoires, je me suis trouvée un sac à main, une pochette, et quelques colliers et bracelets. Les filles, elles ne prirent rien.

En sortant, je vis Tristan, mon petit copain et ses potes, Jim et Lucas. Ils nous virent aussi et nous rejoignirent. On se fit la bise, et Tristan m’embrassa. Je leur proposai de venir chez moi, faire un tour dans la piscine. Ils acceptèrent, en plus, ils étaient déjà en short de bain, car ils voulaient aller à la piscine municipale.

En quittant le centre-ville, j’eus la désagréable impression d’être observée, mais quand je me retournai, il n’y avait personne. Je repris le chemin de chez moi, suivie de mes amis.

En arrivant, les filles posèrent leurs achats dans l’entrée, et moi dans ma chambre, on prit nos nouveaux maillots de bain, on se changea et on rejoignit les garçons.

J’étais allongée sur un transat, je bronzais, Louna et Valentine faisaient de même. Mais de l’ombre vint briser notre tranquillité. En ouvrant les yeux, on se rendit compte que c’était les garçons qui étaient penchés au-dessus de nous. Tristan me prit en sac à patate, Jim fit pareil avec Louna et Lucas avec Valentine. Ils nous jetèrent dans la piscine, mais ils n’avaient pas prévu que nous allions nous accrocher à eux. Résultat : Nous étions tous tombés dans l’eau. Les garçons se foutaient de nous. Pour eux, nous étions des pandas, mais quoi de plus normal, lorsque qu’on se maquille me diriez-vous. Aujourd’hui, nous avions mis de mascara classique, donc je vous laisse imaginer nos têtes après un tour dans la piscine. Après s’être éclaboussés, coulés, pourchassés, et jetés dans l’eau, nous avons finis pas sortir.

Après cette après-midi forte en émotion, ils sont tous repartit. Moi, j’ai mangé rapidement, je me suis changée et je me suis couchée.

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PDV Astrid :

*Ellipse des cours*

Après les cours de cette première journée, je suis partie faire un tour dans la ville voisine avant mon cours de danse classique. Je me baladais sans but précis, appréciant le soleil sur ma peau, puis l’ombre des bâtiments… Je laissais mon esprit vagabonder par ci par là. Quand je me décidais à partir, j’aperçus un groupe de jeunes de mon âge, et parmi eux, une personne que je reconnaîtrais entre mille. Ma jumelle, Anaïs. Je les observai. Un garçon l’embrassa, ça devait être son petit copain, encore un autre, je soupirai. Elle changeait très souvent, trop. Une larme roula sur ma joue en repensant à avant, avant ce jour-là. Pourquoi a-t-il fallu que ça arrive. J’essuyai cette larme qui n’aurait jamais dû couler et partis à mon cours de danse, pressée de me changer les idées.

En y arrivant, je me suis changée directement. Puis après l’échauffement, la prof nous a fait exécuter des exercices à la barre, puis au milieu de la salle. Après deux heures intensives de danse composées d’entrechats, de grand jetés et bien d’autre, je me changeai et repartis chez moi.

Après 20 minutes de marche, j’arrivai enfin. J’habitais une maison ni trop grande, ni trop petite. Elle était confortable, chaleureuse et accueillante. J’entrai, je dis bonjour à ma mère, et partis prendre une douche bien méritée. Je me mis en pyjama et fis rapidement mes devoirs, qui je l’avoue étaient plutôt facile. Je descendis manger, mais ne parlai pas de ma jumelle. C’était un sujet trop sensible. Je partis me coucher. Dans mon lit, je n’arrivai pas à trouver le sommeil. Je pensai à elle, à ma vie avant. Pourquoi a-t-il fallu que ça tombe sur nous. J’aurais tellement voulu retourner en arrière et empêcher ce qui nous a détruits. Mais c’est impossible malheureusement. Je finis par tomber dans les bras de Morphée, épuisée par ma journée bien chargée.

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Dîtes-moi ce que vous pensez de ce chapitre.

J’espère qu’il vous plaira.

M.