Chapitre 92 : Ceux qui s'en soucient
« Moumou, bravo ! »
Le Moumouflon se précipita vers Nabil, victorieux. Cela faisait longtemps qu'il n'avait pas gagné un match si compliqué, et le boost de confiance que cela lui donnait était non négligeable.
« Merci beaucoup pour ce match, Sophora !
- Humpf ! Je t'ai juste laissé gagner !
- Cesse dont d'être si mauvaise perdante et accepte ta défaite, soupira Saturnin, agacé.
- Encore merci à vous deux, grâce à vous, je m'améliore beaucoup en combat ! Vous êtes incroyables ! »
Saturnin se raclât la gorge et fit semblant que ce compliment ne l'affectait pas plus que ça.
« En tant qu'aînés au Dojo, il est de notre devoir d'aider les jeunes comme toi ! Répondit-il.
- Ne va pas croire que me complimenter t'attirera mes bonnes grâces ! S'exclama Sophora avec un sourire qui disait le contraire. Ce n'est pas comme ça que tu récupéreras mon autographe ! »
Nabil sourit. Ces deux-là étaient un peu bizarres, mais quand on s'y habituait, ils n'étaient pas méchants.
Le Motismart de Nabil se mit alors à sonner. Il flotta jusqu'à la tête de son possesseur en criant "Appel de Sonya ! Appel de Sonya !"
« Allô ? Répondit-il. Sonya, tu as besoin de quelque chose ? J'ai pas fini mes recherches sur les miels des Pokémon du coin !
- ... Nabil, tu n'as pas vu les nouvelles ? Demanda-t-elle d'une petite voix.
- N-Non, pourquoi ? Il... Il se passe quelque chose de grave ? S'inquiéta immédiatement le garçon.
- Ne regarde surtout pas les infos, d'accord ? Rentre tout de suite au Dojo. Nous en parlerons là-bas. Et vraiment, vraiment, ne regarde pas les infos tant qu'il n'y a personne pour te soutenir, d'accord ?
- D'accord... »
Nabil raccrocha, un Racaillou dans le ventre. Que pouvait-il bien se passer qui mette Sonya dans cet état ? Il dut battre la curiosité d'aller regarder les nouvelles sur son téléphone. Il laissa Sophora et Saturnin pour rentrer au Dojo.
Il y retrouva Sonya et elle l'amena à l'écart. Ils s'assirent côte à côte sur un banc. Sonya était pâle comme un linge et ses yeux rouges d'avoir un peu pleuré. Nabil craignait de plus en plus ce qui se passait, sans savoir du tout à quoi s'attendre.
« Nabil, écoute-moi...
- Qu'est-ce qui se passe ?
- ... La Ligue de Vallonia est en train d'être attaquée. » Parvint-elle à dire.
La gorge de Nabil s'assécha brusquement. Il ouvrit la bouche, la referma. Il baissa la tête, la secoua, avant de réussir à bégayer quelque chose.
« M-Mais c'est la finale, aujourd'hui ! C'est... C'est le combat avec... la dresseuse que Trixie adore ! Elle n'allait pas louper la finale, alors... elle est là-bas ? Comment ça, la Ligue se fait attaquer ? Trixie, elle va bien ?? »
Sonya pinça les lèvres, le regard plongé sur le sol.
« Je n'ai aucune nouvelle d'elle... J'ai essayé de l'appeler, mais elle n'a pas répondu... Mais je ne serais pas surprise si c'est parce que le réseau est en mauvais état et qu'il est saturé.
- Sonya, qu'est-ce qui se passe à la Ligue ? »
La rousse hésita un instant, avant de lui parler des évènements. Nabil commençait à paniquer. Il avait du mal à respirer.
« La... La Ligue est détruite ? Ils se font attaquer par un Pokémon légendaire contrôlé par une organisation maléfique ? Des... Des gens se sont fait transformer en pierre ... ? »
La voix de Nabil se cassa. Les yeux brillant, il sortit immédiatement son Motismart. Son cœur battait la chamade. Il essaya d'appeler Béatrix. Elle ne répondit pas. Il réessaya. Toujours rien. Puis encore une fois... Ses joues commençaient à être recouverte de larmes.
« Trixie... Elle répond toujours à mes appels... Toujours...
- Nabil ! »
Sonya prit le garçon dans ses bras et le serra contre elle. Nabil éclata en sanglots.
« Trixie... Elle va bien, pas vrai ? Elle doit aller bien...
- Évidemment ! Tu connais Béatrix mieux que moi. Elle est si forte ! C'est une dresseuse très puissante ! Et puis, elle a toujours sa Sancoki avec elle, et jamais sa Sancoki ne permettrait qu'il lui arrive quoi que ce soit. Et la Ligue est plein de dresseurs puissants ! Je suis certaine qu'ils pourront l'aider si besoin, si elle n'est pas elle-même en train d'aider les autres !
- Mais... elle me répond toujours...
- Nabil, si les antennes téléphoniques de la Ligue ne sont pas détruites, alors il ne doit pas en rester grand-chose... Et le petit réseau qui reste doit être complètement saturé. Béatrix ne reçoit probablement même pas nos appels... »
Nabil hocha faiblement la tête. Oui, Trixie devait forcément aller bien... Sonya se détacha de Nabil et essuya sa joue.
« Écoute, je vais appeler ma grand-mère. Et Anne. Peut-être que l'une d'elle a plus d'informations. En attendant, va t'amuser avec tes Pokémon ou tes amis du Dojo, d'accord ? Change toi les idées. »
Nabil hocha faiblement la tête.
« Viviane ! » S'écria Lucas.
L'oncle de Béatrix était jusque là assis dans le canapé, en train de regarder la télévision. Puis un flash infos était passé, et tout à coup, il paniquait. Sa fille aînée descendit au pas de course, sentant l'urgence dans la voix de son père. Alice descendit à la suite de sa sœur, inquiète.
« Papa ! Qu'est-ce qui se passe ?
- Béatrix, la région dans laquelle elle est allée voir la Ligue... »
Le regard de Viviane se porta sur la télévision. "Ligue de Valliona détruite". "Ligue de Vallonia attaquée par ce qui semble être un Pokémon Légendaire". "Une manigance de la Team Flare..."
« Bon sang, c'est pas vrai ! » S'exclama Viviane, énervée.
Viviane sentit alors de petites mains s'accrocher à son t-shirt. Elles tremblaient. La rousse posa avec surprise ses yeux sur sa petite sœur, qui lui lançait un regard larmoyant.
« Vallonia... C'est là où est Trixie, non ? Elle... Elle est là-bas ? »
Alice pointa du doigt les scène de destruction qui passait à la télévision. Viviane n'avait même pas remarqué que la petite n'était pas restée dans sa chambre, et voilà le résultat... Elle s'agenouilla face à elle et lui caressa la tête en lui offrant un sourire rassurant.
« Je suis sûre que Béatrix va bien. Je vais appeler maman, d'accord ? Elle en sait probablement plus. »
Alice, abattue, hocha simplement la tête et Lucas vint la prendre dans ses bras pour la rassurer. Viviane alla dans la cuisine pour avoir la discussion avec sa mère à un endroit où la petite ne risquait pas d'entendre. Vu l'état de la Ligue, elle n'attendait pas de bonnes nouvelles...
Viviane était furieuse envers sa cousine. Pourquoi était-elle dans un endroit aussi dangereux ! Pourquoi la Ligue de Vallonia, de toutes les Ligues qu'elle aurait pu essayer d'aller voir ! Viviane se fichait pas mal, en tant que tel, de l'état de santé de Béatrix. Mais elle se faisait du soucis pour sa famille. S'il arrivait quoi que ce soit à Béatrix, Anne ne se le pardonnerait jamais et Alice serait inconsolable... Et sa famille tomberait en morceaux. Alors Béatrix avait intérêt à aller bien et à ne pas se mettre en danger !
Anne tapait frénétiquement sur le clavier de son ordinateur. Elle cherchait n'importe qui à contacter qui pourrait lui donner des nouvelles plus précises de ce qui se passait à la Ligue de Vallonia. Elle venait d'avoir Viviane au téléphone, et même Alice était au courant...
Son téléphone sonna de nouveau. Elle répondit.
« Professeure Magnolia ? Vous avez des nouvelles de Béatrix ? Demanda expressément Anne.
- Non, malheureusement... Sonya et Nabil non plus, j'espérais que vous en auriez...
- Non, rien du tout. J'ai appris que les réseaux à la Ligue sont en très mauvais état. Personne ne réussira à avoir Béatrix au téléphone avant que la situation se calme. J'essaie de rentrer en contact avec des personnes à Vallonia qui ne se trouvaient pas à la Ligue qui accepteraient de me répondre...
- Espérons que Béatrix s'en sortira...
- Je suis sûre qu'elle s'en sortira, essaya de persuader Anne autant elle-même que son interlocutrice. Elle est très débrouillarde.
- C'est vrai. Et elle est forte. Une très grande dresseuse... Si seulement il y avait un moyen de l'aider...
- Oui... »
Puis les paroles de la professeure intégrèrent complètement l'esprit d'Anne. C'était ça ! Voilà ce qu'elle pouvait faire.
« De l'aide ! C'est une excellente idée. Je vais aller demander au président s'il veut bien mettre en place une équipe et des ressources qui permettraient d'aider la Ligue de Vallonia... Tant que l'attaque à lieu, nous ne pourrons probablement rien faire, mais pouvoir aller à Vallonia le plus vite possible dès que la situation se calmera... Les aides seront probablement les premières choses à pouvoir se rendre à Vallonia et seront sans le moindre doute plus que bienvenue. »
Anne raccrocha en laissant à peine le temps à Magnolia de lui dire au ravoir.
La professeure Magnolia fixa un instant son téléphone après avoir quitté l'appel avec Anne. La femme s'en voulait. Elle s'en voulait profondément. C'était de sa faute si Béatrix se trouvait à Vallonia. C'était elle qui l'avait encouragée à aller visiter la région, voir la Ligue, sous prétexte de faire passer des recherches au professeur Platane... Qui lui non plus n'avait pas répondu. Sans le moindre doute, lui aussi était occupé par cette situation.
« Piot ? »
Magnolia fut surprise d'entendre ce petit cri et tourna la tête vers le Nénupiot de Béatrix, qui s'était faufilé dans la maison. Elle ne se sentit que plus culpabiliser. Elle savait que la Team Flare commettait des méfaits dans la région quand Béatrix s'y était rendue, elle l'avait mise en garde, mais qui imaginait que leurs plans étaient d'une telle envergure, et qu'ils attaqueraient la Ligue ?
La femme raccompagna le Nénupiot dehors. Tous les Pokémon que Béatrix n'avaient pas sur elle étaient là... Et tout ce que la professeure pouvait faire pour le moment, c'était s'occuper d'eux comme elle l'avait toujours fait.
Sherhoz reçut l'idée d'Anne avec enthousiasme. Il la désigna même cheffe de cette équipe et lui fit signe de désigner au plus vite qui travaillerait avec elle pour mettre au point un plan d'aide.
« Mais il faut également prévoir l'éventualité où la Team Flare ne sera pas arrêtée bientôt... Ne vous occupez pas de cela, madame Qinswor. Je m'occupe de mettre en place des mesures pour cela. La situation est urgente... »
Ayant le feu vert, Anne quitta le bureau du président. Shehroz fit appeler Liv, puis posa son regard sur la ville visible depuis les immenses vitres de son bureau. Il était ravi qu'Anne se soucie enfin d'autre chose que de ses plans et arrête de fouiner là où elle ne devrait pas, mais cette situation ne l'arrangeait pas pour autant. Ses plans risquaient d'être mis en arrêt si la Team Flare n'était pas bientôt stoppée. Alors qu'il n'a plus besoin que de quelques mois à peine, et ils auront rassemblé suffisamment d'Etoile Voeu...
« Monsieur le Président, vous m'avez fait demander ?
- Ah, ma chère Liv... Avec ce qui se passe à Vallonia, nous devons nous préparer au pire. Nous ne pouvons pas laisser une région tomber en morceaux à cause d'un légendaire utilisé à de mauvaises fins.
- Je vais rassembler nos équipes et contacter les membres d'autres Ligues pour mettre en place des mesures d'urgence.
- Merci, Liv. Je peux toujours compter sur toi.
- Je ne fais que mon travail, monsieur le président. Je vous préviendrai lorsque la réunion aura lieu.
- Merci bien. »
Liv s'en alla. Shehroz voulait le bien de l'humanité. Bientôt, il résoudrait même l'une des plus grandes crises humanitaires qui arrive... Et les organisations telles que la Team Flare devaient être arrêtées.
Alistair pleurait à chaudes larmes, caché dans un coin d'Old Chister. Il avait fui ses devoirs de champion en apprenant les nouvelles de Vallonia, Béatrix n'avait pas répondu à ses messages et il ne savait pas qui contacter pour savoir ce qui se passait. Il était complètement paniqué.
Son Ectoplasma était à ses côtés, et essayait de le réconforter en faisant des grimaces, et ça marchait quand la raison pour laquelle Alistair paniquait était le stress d'aller combattre dans le stade de l'arène. Mais ça, c'était sans succès.
Le Spectre se stoppa soudainement et fit signe à son dresseur que quelqu'un arrivait. Alistair remit rapidement son masque. Pourquoi est-ce que quelqu'un l'avait trouvé aussi vite ? Mais après tout, il avait laissé Faïza en plan à l'arène alors qu'il avait des challengers à combattre, alors le personnel avait du être déployé pour le retrouver.
« Alors c'est là que tu te trouvais, p'tit gars ! Tout le monde est en train de paniquer à cause de ta disparition, tu sais.
- R-Roy ?! Qu'est-ce que... v-vous faites... là ? »
Alistair avait la voix complètement cassé. Ainsi, même son masque n'avait pas pu cacher l'état dans lequel il était, et le remarquer relança ses sanglots. Le champion de type Dragon fut surpris, et s'approcha du petit garçon pour le prendre dans ses bras. Il lui tapota gentiment le dos.
« Voilà, voilà... Je m'entraînais sur la Route 6 quand j'ai croisé un des dresseurs de ton arène. Ta disparition a causé la panique ! Ils ont cru que quelque chose t'es arrivé... Et on dirait bien que c'est le cas. »
Alistair garda la tête baissée, fourré contre l'épaule de l'adulte. Le Libégon de Roy, celui qui avait pu trouvé Alistair en parcourait la ville en survolant les toits, poussa un petit cri et frotta sa tête contre les cheveux du garçon pour le rassurer un peu. Ectoplasma semblait un peu rassuré que quelqu'un soit là pour réconforter son dresseur.
« On va retourner à l'arène, mais avant ça, et si tu me disais ce qui ne va pas ?
-... T-Trixie...
- Trixie ? C'est qui ?
- Oh, euh... Béatrix, la... challenger n°16...
- Oh, Béatrix ! Oui, je me souviens d'elle, évidemment, elle fait partie des rares qui ont réussi à me vaincre, moi ! C'est ton amie ? »
Alistair hocha doucement la tête.
« Et qu'est-ce qui lui arrive, à Béatrix ?
- L-La... La... »
Alistair eut toutes les peines du monde à finir sa phrase.
« Ligue de V-Vallonia... »
Puis Alistair éclata de nouveau en sanglots. Roy comprit immédiatement. Après tout, la Ligue de Vallonia faisait la une partout. À vrai dire, il attendait à tout moment qu'un appel du président rassemble tous les champions pour pouvoir se préparer à protéger Galar, voire intervenir à Vallonia.
« Je vois... Écoute, Alistair. J'ai un ami dont la petite sœur est amie avec Béatrix. Peut-être qu'elle en saura plus, d'accord ? Je vais le contacter. Et avant ça, je te ramène à l'arène pour t'excuser auprès de Faïza pour l'avoir laissée en plan, d'accord ?
- D-D'accord... »
Alistair avait pu se calmer un peu. Faïza lui avait vite pardonné d'être parti vu la situation, et ils décidèrent de fermer l'arène pour la journée. Roy appela Peterson, mais Rosemary avait contacté toutes les personnes qu'elle connaissait qui connaissaient Béatrix, mais personne ne savait rien. Donc la panique d'Alistair revint en flèche. Mais maintenant, il avait obtenu le numéro de Rosemary et avaient promis de se tenir au courant si l'un d'eux à des nouvelles. Cela rassura un peu le garçon... mais pas beaucoup. Au final, personne ne savait ce qu'il advenait de Béatrix.
Élisa était confortablement assise sur son canapé luxueux, ses yeux écarlate rivés sur son Motismart dernier cri qui flottait devant elle. Les nouvelles de Vallonia passait dessus. Élisa sourit.
« Ah, quelle bonne idée mon adorable fille a eu d'aller à cette Ligue... »
Élisa avait mis la scène en place à Galar. Elle avait fait courir la rumeur qu'elle avait été forcée à abandonner ses droits en tant que mère, jouant la pauvre mère contre qui tous s'étaient tournés à cause de fausses accusations à la mort de son mari. Avec sa réputation au plus haut à Galar, le public avait tendance à la croire. Avec tout cela, si Béatrix mourrait, elle pourrait réclamer son héritage en prétendant être une mère aimante ne cherchant qu'à obtenir justice.
« Et si elle est en vie, quoi qu'il advienne, je pourrais être la mère éplorée qui est détruite par l'inquiétude de savoir sa fille dans un tel endroit... »
Élisa chantonna quelques notes. Si Béatrix restait vie, quoi qu'il advienne, son héritage serait sien. Sa fille allait revenir auprès d'elle... Après tout, elle avait bien remarqué lors de leur dernière rencontre que Béatrix n'avait pas complètement réussi à échapper à son emprise malgré ses tentatives. Quoi de plus normal avec l'éducation qu'Élisa avait pris soin de lui administrer... Et le président Shehroz avait promis que, si cela lui était profitable, il aiderait la mannequin à récupérer sa fille... Une assurance de plus.
Il lui suffisait de dire que sa fille se trouvait à la Ligue de Vallonia et qu'elle mourait d'inquiétude. Elle allait faire un lever de fond pour aider Vallonia et montrer sa bonne volonté.
Le public allait faire les liens de lui-même. Béatrix était la seule et unique challenger de Galar actuellement à la Ligue de Vallonia. Sa présence là-bas était connue grâce à son statut populaire de dresseuse ayant obtenue les huit badges et son compte de photographie sur Pokéstagram que beaucoup avaient trouvé il y a bien longtemps. D'ici peu, tout le monde saurait que Béatrix, la challenger n°16, se nomme Béatrix Tsurugi, fille d'Élisa Tsurugi.
« Jamais je ne dirais ton nom, ma Béatrix... Mais il est grand temps que tu te souviennes de qui tu es la fille. »
Et voilà un petit chapitre à briser le cœur pour vous ! Quelques nouvelles de Galar pour vous, avant de retourner à Vallonia très bientôt UwU Si j'arrive à bien avancer l'écriture (j'espère), le prochain chapitre sortira pendant le week-end !
Alors dites-moi, que pensez-vous de ce chapitre ? Nous avons des nouvelles d'un peu tout le monde, Nabil et Sonya à Isolarmure, la famille de Trixie, Anne et Macro Cosmos, la professeure Magnolia qui culpabilise, Alistair, et bien entendu, que serait Élisa si elle ne profitait pas de la situation ? (─‿‿─)
J'espère que ça vous a plu, et je vous dis à bientôt ! (ノ◕ヮ◕)ノ*:・゚✧
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